Vivre ensemble ?
26 mars, 15:34
Quel est le lien entre Saint Médard et le gouvernement..!! J'ai du louper un épisode..!! J'ai du mal à comprendre..!! Peu être le même que celui du Parti de Gauche et la gauche..!! Autant de difference qu'avec un plat de ravioli et une choucroute..!! Mélanchon, le chancre de la gauche soutenant Chavez...!! C'est ça ta gauche camarade Sarlandie..?? He bien , celle là, tu peux la garder..!! Un rassembli-rassembla d'aigris, de jaloux, de non-élus rancuniers, d'anciens Jevaisàlasoupemaisjedisrien..!! Stop..!! Mutez ou disparaissez..!! J'ai dit mutez, pas luttez..!!
Voici la façon dont je suis interpellé par un élu municipal. J’en reste sans voix ! Comment peut-on se croire autorisé à parler de la sorte à un administré ? Mon éducation, ma culture, mon expérience professionnelle, mes engagements associatifs m’interdisent de proférer de tels propos. Il m’arrive parfois d’être incisif, voire corrosif, peut-être même excessif lorsque je défends une idée, mais je n’ai pas souvenir d’avoir manqué de courtoisie avec qui que ce soit, notamment lorsque j’étais en activité. L’élève le plus en difficulté comme le plus talentueux, le vacataire le plus précaire comme l’agrégé le plus brillant, chacun avait droit à la même considération, au même respect de ma part. C’était la condition pour avancer ensemble vers un idéal de progrès et de fraternité.
Et lorsque je me retourne je ne regrette rien, à part peut-être un engagement municipal auquel je croyais, mais dont les meilleurs souvenirs restent les mariages et le parrainage républicain que j’ai célébrés. C’est pourtant intéressant de voir de l’intérieur et ça devrait être possible pour un maximum de citoyens, en limitant les mandats. Peut-être ainsi retourneraient-ils aux urnes ?
Quant à ceux qui se sont précipités pour aimer ce commentaire, ils me font penser aux personnages que présente Renaud dans une vieille chanson qui commence par : « Il y a beaucoup de monde dans la rue Pierre Charron… »
Enfin, faisons-nous plaisir, un blog ça sert à ça aussi, en citant Johann Wolgang von Goethe, ce vénérable poète allemand : « Si je suis un sot, on me tolère ; si j’ai raison, on m’injurie. »
Et ce n’est pas fini…