Villa Farnesina.
Après un pique-nique (en principe interdit) ensoleillé dans le jardin de cette villa, nous y pénétrâmes. Construite vers 1510, elle prit son nom actuel lorsque le cardinal Farnese l’acheta en 1580. Elle est aujourd’hui le siège d’une académie scientifique dont les origines remontent au temps de Galilée.
C’est un bâtiment richement décoré, dont certains aspects ne sont pas sans rappeler le palais des doges à Venise, tel l’escalier au plafond voûté aux moulures géométriques. Les portes, les volets sont recouverts de magnifiques peintures dont les photos jointes ne donnent qu’un pâle aperçu.
Certaines de nos voyageuses en profitent pour se reposer (étonnant qu’il soit permis de s’asseoir sur de sièges qui à première vue paraissent être des éléments d’exposition) avant de repartir pour notre visite suivante, l’ambassade de France. Mais pour cela nous devons longer le Tibre. Les berges sont moins bien aménagées que celles de la Garonne à Bordeaux, mais on peut remarquer de loin des peintures sur les parapets. En fait, il ne s’agit pas de peintures, mais de travail sur la roche qui a été creusée pour faire apparaître la teinte noire sous-jacente.
Une belle promenade sous le soleil, toujours.
Les photos :
Et ce n’est pas fini…