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Le blog de Bernard SARLANDIE

Les 10 000 emplois manquants sont des emplois associatifs !

31 Janvier 2014, 14:24pm

Publié par Bernardoc

  Intéressant communiqué chiffré du Collectif des Associations Citoyennes. 

 

Il a manqué 10.000 emplois à François Hollande pour réussir son pari. Ce sont peut-être les 10.000  emplois associatifs perdus fin 2012 / début 2013 ?

 En 2013, le gouvernement a réussi à stabiliser temporairement la situation en créant 28.000 emplois d'avenir. Mais la création d'emplois non qualifiés pour une durée de 2 ans ne pourra pas être renouvelée en 2014. Elle ne remplace en aucun cas les suppressions d'emplois qualifiés qui se poursuivent et s'accélèrent.

 La situation promet d'être bien pire encore en 2014, avec une perspective de 30.000 à 40.000 emplois associatifs supprimés (résultat probable d’une diminution des financements de l'Etat aux collectivités et aux associations).

 Ces restrictions budgétaires sont d’autant plus contre-performantes qu’elles ont pour effet mécanique de creuser d’avantage le déficit des comptes sociaux : ainsi, lorsqu’elle provoque un licenciement dans une association, une baisse de subvention de 15.000 € entraîne en moyenne, pour les finances publiques, une perte de cotisations sociales de 12.000 €, ainsi que le versement d’une allocation chômage et 20.000 € dès la 1ère année. Ignorer cette réalité ne peut qu'engendrer incompréhension et suspicion sur les motivations de telles restrictions budgétaires dont on a vu les conséquences en Irlande, en Grèce, en Espagne et au Portugal. 

 C’est pourquoi le Collectif des Associations Citoyennes appelle à une autre politique associative, qui préserve les financements publics des associations et conforte leurs raisons d’agir au service de l’intérêt général et du bien commun.

Et ce n’est pas fini…

 

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La France une et indivisible ?

30 Janvier 2014, 17:02pm

Publié par Bernardoc

         L’assemblée vient de voter la ratification de la charte des langues de France, et d’aucuns y voient un danger pour la République. Pourtant, n’y a-t-il pas d’autres façons de diviser notre République, plus sournoises et que l’on a tendance à écarter un peu vite ? Je veux parler de la pauvreté.

         Le seuil de pauvreté est calculé par rapport à ce qu’on appelle le salaire médian, c’est-à-dire la ligne de partage entre les revenus : 50% gagnent plus, et 50% gagnent moins. En France il se situe autour de 29 000 € par ménage et par an, soit environ 1 200 € par personne et par mois. On peut calculer le seuil de pauvreté, pour favoriser les statistiques à 50% de ce montant, bien qu’un grand nombre de pays tablent sur 60%.

         Eh bien, la ville la plus pauvre de France semble être Roubaix, où 45% de la population touche moins de 600 € par mois. Mais viennent ensuite 4 communes de La Réunion : St Pierre (44%), Le Tampon (43%), St Paul (39%) et St Denis (36%). La Martinique est aussi présente dans ce « palmarès » puisque Fort de France en compte 33%.

         A ces cinq villes d’outre-mer, c’est-à-dire la moitié des dix premières, viennent s’intercaler Aubervilliers (à égalité avec St Paul), St Denis (du 9-3) avec 34%. Les deux dernières de ce premier décile étant Béziers (même taux que Fort de France) et Perpignan avec 32%.

         Cinq villes d’outre-mer parmi les huit premières « lauréates » pour ce qui concerne la pauvreté, vous trouvez que c’est une juste répartition des richesses ?

Et ce n’est pas fini…     

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Passer à 39 heures payées 35.

29 Janvier 2014, 11:30am

Publié par Bernardoc

La solution pour sortir de la crise ?

 

Il fallait oser ! C’est une proposition d’un ancien ministre qui se souvenait d’avoir assisté au débarquement, alors qu’il est né au moins cinq ans après. Il avait aussi tenté de se présenter à l’élection présidentielle, mais les 0,3% que lui prêtaient les sondages l’ont vite fait renoncer et se mettre au service du futur perdant. Espérons que sa proposition réactionnaire et antisociale tombe vite aux oubliettes d’où elle n’aurait jamais dû émerger.

Mais en fait, Hervé MORIN (c’est de lui qu’il s’agit, si vous ne l’aviez deviné) possède une écurie de chevaux de course et donc, je suppose qu’il pense à son intérêt à lui, car probablement des lads et des palefreniers travaillent à son service.

Il préconise également « une réduction des charges sociales avec une baisse des cotisations patronales familiales » ainsi que la « mise en place d'un contrat de travail unique ». « Pour que les entreprises n'aient plus peur d'embaucher, il faut aussi qu'elles puissent licencier : faisons un contrat dans lequel les conditions de rupture soient connues au moment de l’embauche » explique-t-il.

Voilà donc clairement exprimées les revendications du Medef ; on peut donc s’attendre à les voir apparaître bientôt dans la bouche de notre président. Et l’on entendra la « gauche » du PS protester à grand bruit et s’allonger pour voter toutes les mesures proposées par leurs camarades de parti.

La mobilisation est absolument nécessaire. Pour préserver l’honneur de nos grands-parents qui ont mis en place Les jours heureux, il ne faut pas laisser échapper tout ce qui a été conquis pour le bien-être de la majorité des habitants de notre pays, et non pour les profits des héritiers des 200 familles.

Et ce n’est pas fini…

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Mobilisation pour les Droits des femmes.

28 Janvier 2014, 16:27pm

Publié par Bernardoc

Rassemblement 1er février 

Le gouvernement espagnol Rajoy veut annuler la loi autorisant l’avortement, rappelant les sombres heures du franquisme.

Il revient sur la loi obtenue en 2010 qui légalisait l’avortement jusqu’à 14 semaines d’aménorrhée (22 pour raison médicale) au mépris des recommandations des textes internationaux de l'Organisation Mondiale de la Santé et de l’Organisation des Nations Unies. Renouant avec des pratiques qui dénient la liberté de choix aux femmes, au mépris des droits humains fondamentaux, il annonce clairement son projet de société : maintenir les femmes dans un statut social étroit et de soumission.

L’attaque du gouvernement espagnol s’inscrit dans l’offensive européenne des opposants aux droits des femmes comme l’a illustré en décembre 2013 le rejet du rapport Estrela par le parlement européen.

Le combat des femmes, des forces démocratiques et associatives espagnoles pour ce droit fondamental est le nôtre, et nous le soutiendrons ici et ailleurs, car il est le combat de celles et ceux qui veulent l’égalité entre les femmes et les hommes.

Il rejoint les luttes que nous avons menées et que nous continuons à mener dans notre pays. Car si le droit à l'avortement est bien inscrit dans la loi française, la concrétisation du droit à travers des centres d'avortement nombreux, permettant un accueil et des soins de qualité, n'est toujours pas assurée de manière satisfaisante dans toutes les régions.

14h, Place de la Comédie (Devant le grand Théâtre)

A Bordeaux

A l’appel du Collectif Bordelais pour les Droits des Femmes pour :

ð lutter pour une Europe où toutes les femmes pourraient disposer librement de leur corps sans contrainte étatique et religieuse et qui intègre ces droits à la charte européenne des droits fondamentaux

ð soutenir le combat des femmes espagnoles pour conserver l’acquis qu’elles ont gagné de haute lutte

Et ce n’est pas fini…

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Bientôt les municipales.

27 Janvier 2014, 16:05pm

Publié par Bernardoc

Un sondage CSA -  réalisé par Internet, du 17 au 21 janvier 2014, sur un échantillon de 1206 personnes inscrites sur les listes électorales, représentatif de la population française de 18 ans et plus - pour BFM TV, Orange et Le Figaro, plaçait mercredi dernier la droite en tête des intentions de votes pour les prochaines municipales.

Avec 46% des intentions de votes au premier tour dans les communes de plus de 3 500 habitants, la droite (UMP, UDI, MoDem, Divers droite) devance ainsi la gauche (PS, EELV, PCF, Parti de Gauche, PRG, MRC, Divers Gauche) qui n’enregistre que 41% des suffrages. Le FN compte lui 9% d’électeurs potentiels.

Mais à deux mois des élections, c’est surtout le taux de participation qui semble pêcher. Si 74% des Français disent s’intéresser à la campagne, ils ne sont que 52% à déclarer avoir l’intention d’aller voter.

Et parmi ceux qui vont se déplacer, combien seront-ils à voter blanc ? En effet, comme le déclarait un éditorialiste sur France-Inter la semaine dernière (voir plus haut), la politique devient totalement illisible, et le jeu de certains candidats est surtout de ne pas faire apparaître ces élections comme politiques, alors que, selon moi, c’est bien au niveau de la commune que se situe le premier engagement citoyen, c’est-à-dire Politique (je ne dis pas politicien).

Alors, comment s’y retrouver ? Entre les communes comme la mienne où le Front de Gauche dans son ensemble se présente sur la liste du PS, les communes où un élément du FdG (le plus souvent le PCF) se présente allié avec les socialistes dans le but avoué de sauver des postes, les communes, telle Poitiers où la liste de gauche est menée par EELV avec l’ensemble du FdG (moins le PCF qui part avec le PS) et le NPA, les listes PG/NPA opposées aux listes PS/PCF dans certaines communes de la CUB, les attaques du PS contre les mairies communistes en Seine St Denis, où se situe le débat ? Existe-t-il un clivage visible ? D’autant que, deux mois après, ces alliances vont éclater au moment des élections européennes.

Hier certains fachos réclamaient dans leur manif parisienne la démocratie participative par tirage au sort, comme pour les jurys d’assises : cela éviterait d’avoir à mesurer l’abstention. Mais il faudrait une condition supplémentaire : que ceux qui sont aux affaires puissent être révoqués par un référendum d’initiative populaire, ce qui n’est pas possible actuellement.

Allez, il n’est pas interdit d’«utopier » en dehors du parti !

Et ce n’est pas fini… 

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Revue de presse (complément).

26 Janvier 2014, 16:04pm

Publié par Bernardoc

         Chaque fin de semaine, France-Inter oblige un vieux journaliste à venir faire la revue de presse, alors qu’il me semble qu’il devrait avoir ses annuités pour profiter d’une retraite bien méritée, comme l’ont prise en leur temps Claude VILLERS ou José ARTUR. Il s’agit d’Ivan LEVAI, et je me pose certaines questions quant à sa capacité de discernement. En effet, je l’écoute régulièrement et il oublie de mentionner un des deux hebdos auxquels je suis abonné, à savoir Marianne. Comme cela se passe régulièrement, je pense que c’est volontaire, ce qui me paraît peu compatible avec ce qu’on est en droit d’attendre du service public que nous finançons.

         Pourquoi cet ostracisme ? Le ton de Marianne est sans doute trop libre et sa vision politique ne penche-telle pas assez du côté socialiste ? Le magazine avait-il fait une mauvaise critique du livre écrit par le journaliste en défense de DSK (le meilleur beau-père pour mes enfants, avait-il déclaré en substance) ? Je ne m’en souviens plus.

         Donc, en attendant que la radio nationale fasse place aux jeunes, à qui, je suppose, on apprend dans les écoles le nécessaire souci d’objectivité, je vais vous donner une idée du sommaire de cette semaine, et comme le jour de parution va être le vendredi, espérons que Bruno DUVIC n’ait pas la langue égratignée lorsqu’il évoquera ce magazine.

         Deux dossiers principaux : L’amiante, un scandale français, avec une interview de la juge dessaisie du dossier et Un livre sur Szkolnikoff : « Juif et collabo sous l’occupation », sans oublier les pages culture qui représentent plus de 15% du volume du journal.

         Voilà, l’«oubli » est réparé, vous savez maintenant que Marianne est en vente chez tous les marchands de journaux.

Et ce n’est pas fini… 

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AG Kalambaka.

25 Janvier 2014, 23:22pm

Publié par Bernardoc

         Comme de coutume, une semaine après l’AG de Colindres, se déroulait au même endroit l’AG de Kalambaka. Tout à fait classique, avec les passages obligés, rapport d’activités, rapport financier, projets,…tous approuvés à l’unanimité. En fait, cette AG, comme la précédente, est un prétexte pour se retrouver ensemble dans un moment convivial, renforcé depuis notre participation il y a deux ans à un voyage en Grèce où Kalambaka n’était vraiment qu’un prétexte. Et, alors que Rose est trésorière de l’autre comité, elle me faisait remarquer que nous étions beaucoup plus à l’aise ici que la semaine précédente. Il faut dire que l’accueil, ou plutôt le non-accueil, que nous avions reçu sur place ne pouvait que nous encourager à fuir Colindres, alors que la chaleur et le partage à Kalambaka nous avaient profondément touchés.

         Le Maire a participé à cette soirée, sa dernière AG en tant qu’élu, mais il a laissé planer le doute sur l’avenir des comités de jumelage tels qu’ils existent, tout en déplorant le peu d’engagement des jeunes, c’est-à-dire d’abord les enseignants, mais aussi les éducateurs, car un jumelage qui ne se compose que de gens du troisième âge, et dans lequel les collégiens et les lycéens ne sont pas impliqués, a de fortes chances de disparaître avec ceux qui en ont été à l'origine.

         Pourtant nous sommes voisins de l’agence 2e2f qui s’est toujours montré prête à venir nous apporter ses conseils techniques pour monter un véritable projet européen ; mais encore eût-il fallu que les gens de terrain le souhaitent.

         Quelques photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/5972960605248940129?authkey=CIu_1O_GoqfodQ

Et ce n’est pas fini…

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Blessures.

24 Janvier 2014, 07:25am

Publié par Bernardoc

Anglet : le centre de thalasso Atlanthal refuse l'entrée à deux trisomiques non accompagnés ; les deux mères de Christopher et Yohan, âgés de 27 et 28 ans et atteints de trisomie 21, portent plainte. 

Malgré le règlement intérieur du centre qui prévoit que toutes les personnes handicapées mentales ou physiques doivent être accompagnées jusque dans les bassins, ces mères s'indignent. "Nous avons pourtant expliqué que nos enfants font de la natation en compétition et qu'ils ne requièrent pas de surveillance particulière, mais Atlanthal n'a rien voulu entendre", explique Danielle Marais, la maman de Christopher. "Nos enfants ont été profondément touchés. Ce que nous demandons, ce n'est pas de la tolérance, c'est du respect", insiste la mère de famille. Sud ouest d’hier.

En lisant cet article, je ne peux m’empêcher de penser à ce que nous avons vécu et continuons parfois (trop souvent, hélas !) de vivre au quotidien. Trois exemples :

Cela avait commencé au restaurant pédagogique du Cetad de BoraBora lorsque certains « collègues » (oh que les guillemets sont nécessaires !) avaient tenté de faire pression pour que, avec nos enfants,  nous en soyons exclus. Fort heureusement la collègue responsable nous a soutenus, et ce sont donc les autres qui sont partis.

Il y a eu aussi cette fois où Air France a failli refuser d’embarquer Maeva, pourtant accompagnée. Malgré ma lettre de protestation à la compagnie qui fut nationale, pas la moindre excuse.

La dernière fois, le mois dernier, lors d’un repas avec des personnes dont je croyais que nous avions certaines valeurs en commun, Maeva qui est très fine observatrice malgré son handicap, voyait bien qu’il se passait quelque chose lorsque les gens venaient les uns après les autres pour retirer les assiettes qui étaient sur la table où nous étions assis. Finalement, certains ayant remarqué le malaise ont rompu l’ostracisme et nous ont invités à nous joindre à eux.

Ces trois exemples me confortent dans mes efforts de lutte contre cette plaie qu’est le Téléthon et dans laquelle plongent encore trop de gens : les personnes porteuses de handicap n’ont pas besoin de fric, mais d’empathie et de témoignages d’humanité.

Et ce n’est pas fini…

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Certains hommes nous étonneront toujours.

23 Janvier 2014, 18:22pm

Publié par Bernardoc

A peu près en même temps que s’éteignait, très âgé et repenti Kalachnikov, Hiroo Onoda est mort paisiblement dans son lit à Tokyo, à 91 ans. Il était le dernier des "soldats perdus" japonais. Pendant 29 ans, après la reddition de l'Empire japonais, il a survécu, caché dans la jungle aux Philippines. Isolé de tout, il pensait que la guerre n'était pas finie.

En 1944, cet officier de renseignement et spécialiste des techniques de guérilla est envoyé à Lubang, une petite île de l'archipel philippin. Ses ordres sont formels : ne jamais se rendre, tenir à tout prix jusqu'à l'arrivée de renforts et ne pas mourir.

Avec trois autres soldats, il obéit scrupuleusement, ignorant que le combat était fini. Ils se nourissent de ce que leur offre la jungle : l'eau d'une rivière, du lait de coco, des bananes. Parfois ils volent du bétail.

En 1950, las, un de ses compagnons sort de la forêt, rentre au Japon et révèle au monde l'existence de ces "soldats perdus". Des avions larguent alors des tracts annonçant la fin de la guerre, des patrouilles se lancent sur leurs traces dans la jungle. "Les tracts qu'ils avaient largués étaient pleins d'erreurs, j'ai donc jugé que c'était un complot des Américains", s'expliquera-t-il plus tard. Et puis, pour Onoda et ses compagnons restants, l'armée impériale ne peut avoir été vaincue. Ainsi, ils continuent à surveiller des installations militaires et se battent même contre des soldats philippins.

Les recherches finissent par s'arrêter en 1959 : Japonais et Philippins sont persuadés qu'ils sont maintenant morts.

Mais, surprise, en 1972, ils refont surface. Les deux hommes attaquent des troupes philippines. Onoda réussit à s'enfuir. Son dernier compagnon est tué. Tokyo décide alors d'envoyer des membres de sa propre famille pour tenter de le convaincre d'arrêter le combat. En vain.

Pour sortir de sa tanière, le soldat têtu réclame un ordre de son officier traitant. Finalement, son ex-commandant s'enfonce lui-même dans la jungle en 1974. Il lui ordonne de déposer les armes. Le président Philippin lui accorde son pardon pour la trentaine de soldats philippins tués et, symbole de la résistance farouche des soldats nippons, il rentre triomphalement au Japon. Au Japon, il trouve le pays bien changé et part s'exiler au Brésil et ne revient définitivement au Japon qu'en 1984.

Banzaï !

Et ce n’est pas fini…

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Lundi matin sur France-inter.

22 Janvier 2014, 09:00am

Publié par Bernardoc

  L'édito politique :


http://www.franceinter.fr/emission-ledito-politique-la-politique-devient-illisible

               

                Je pense à peu près la même chose…hélas !

Et ce n’est pas fini…

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