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Le blog de Bernard SARLANDIE

Signe extérieur de richesse ?

21 Juin 2016, 08:37am

Publié par Bernardoc

Depuis quelques mois, dans mon quartier, des murs s'érigent un peu partout autour des maisons. Ils remplacent les haies ou les grillages qui existaient depuis l'origine. Je suppose que ces modifications ont été possibles lorsque les anciens locataires sont devenus propriétaires de leurs logements. Mais je ne peux m'empêcher de me demander ce qui motive cette frénésie d'isolement ?

Dans mon lotissement, lors d'une assemblée générale où il était question de construire un mur, je m'y étais, bien seul, opposé, en disant que je préférai construire des ponts plutôt que des murs. Ce doit être encore le vieux fond d'humanisme que m'ont enseigné mes parents qui persiste malgré toutes les tendances nouvelles que l'on cherche à nous inculquer, plus ou moins de force.

Lorsque nous avons emménagé, nous avons proposé de faire un repas des voisins, et bien ce n'avait jamais été tenté jusque-là, et cela prend de plus en plus d'ampleur d'année en année : des habitants de notre impasse, nous sommes maintenant passé à toute la rue, et même un voisin qui ne pourra venir nous a apporté des bouteilles pour que nous les buvions à sa santé ; l'an dernier c'était des entrées que des absents nous avaient apporté !

Si l'on construit des murs, cela représente pour moi une volonté d'isolement et de fermeture aux autres. Ouvrir sa fenêtre sur un mur à 1,5 mètre me paraît quand même moins agréable que de l'ouvrir sur une haie dans laquelle nichent et piaillent des oiseaux.

Peut-être ai-je été traumatisé par ma première chambre en cité-U où j'avais trois niveaux de grillages devant mes yeux sur un espace de trois mètres ?

Il y a cinq ans, lorsque nous étions retournés à BoraBora vingt deux ans après, c'est aussi quelque chose qui nous avait frappés : des murs gris partout pour remplacer les haies d'hibiscus ; l'image du « paradis » en avait pris un coup !

Enfin, pour le moment, les murs n'ont pas encore été décorés par ce slogan entonné par toutes les extrêmes droites d'Europe : « On est chez nous ! ». Mais peut-être cela ne saurait tarder,

Et ce n'est pas fini...

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Parmi les réactions à notre concert.

20 Juin 2016, 07:40am

Publié par Bernardoc

Parmi les réactions à notre concert.

Une spectatrice :

Toutes mes félicitations à la chorale pour ce bon moment que vous nous avez fait passer.

Le premier morceau, en particulier, m'a "remuée"...

J'ai complètement oublié hier soir de te transmettre le message de Solange qui te priait de l'excuser pour son absence mais elle avait ses petits enfants à garder.

Une choriste :

Parmi les personnes auxquelles j'avais envoyé l'affiche du concert, les 5 qui sont venues -d'horizons différents- m'ont toutes exprimé leur grand plaisir d'avoir passé ce moment à nous écouter et leur admiration pour le travail accompli !

Nous étions tous unis et concentrés, et nous avons donné le meilleur je crois ! Merci Henri !

Le chef de choeur :

Bravo à tous les choristes pour m'avoir donné la satisfaction du travail accompli. Ce concert fut une réussite.

Merci à toutes et à tous ainsi qu'a Fred. Mention spéciale à nos deux solistes.

Henri

Et ce n'est pas fini...

Parmi les réactions à notre concert.Parmi les réactions à notre concert.

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Concert du 17 juin 2016.

19 Juin 2016, 13:31pm

Publié par Bernardoc

Concert du 17 juin 2016.

Vous l’avez compris, c’est un concert spécial auquel vous allez assister, et peut-être participer.

D’abord, une courte œuvre finlandaise. Il y a un compositeur qui vient à l’esprit lorsqu’on parle de Finlande : c’est Jean SIBELIUS, qui est mort en 1957 à 92 ans. L’extrait que nous allons vous proposer date de 1899 et est extrait de Finlandia, l’hymne officieux de son pays. Les paroles françaises ont été écrites par un poète ch’ti, décédé en 1997 : Jean DAUBY. Voici : Prière.

Et maintenant une œuvre qui comporte plusieurs mouvements : un Stabat mater, c’est-à-dire un poème catholique datant du XIII° siècle. Cependant cette version a été adaptée et composée en 2008 par un compositeur gallois Karl JENKINS, né en 1944, ennobli par la reine, et on doit donc parler de Sir Karl. C’est un compositeur très prolixe, puisque cette année-là il a aussi composé un Te deum et quatre concertos, entre autres. Le chœur alternera avec des solos, que vous pourrez applaudir.

Comme vous le savez sûrement, nous sommes de grands linguistes : aussi allons-nous chanter, non seulement en latin, mais aussi en arabe, en persan, en anglais, en grec, en hébreu. L'auteur nous épargne le gallois, probablement parce que ce n'était pas sa langue maternelle.

Vous entendrez successivement : Cantus lacrimosus, Incantation (solo de Maïté), Vidit Jesum in tormentis, Lament (solo de Gabrielle), Sancta Mater, Now my life is only weeping (Maïté), And the mother did weep, Virgo virginum, Are you lost out in darkness (Gabrielle), Fac, ut portem Christi mortem, Ave verum.

2001 : Le Seigneur des anneaux : sûrement les fanas de science-fiction ont vu et revu ce film. Mais la musique, vous vous en souvenez ? La chanson, composée par Enya et Roma RYAN, deux Irlandais, a reçu de nombreuses récompenses en tant que meilleure chanson originale.

Tous les garçons et les filles de mon âge…Et bien non. On va vous interpréter une autre chanson de Françoise HARDY, qui lui a été proposée par Jean-Max RIVIERE (l’auteur) et Gérard BOURGEOIS (le compositeur) en 1963 : L’amitié.

Et ce n'est pas fini...


Concert du 17 juin 2016.

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Théâtre.

18 Juin 2016, 21:45pm

Publié par Bernardoc

Samedi 25 juin 2016 à 20h00

A L'Entrepôt
13, rue Georges Clemenceau – 33185 Le HAILLAN
Le CTL Théâtre présente,

(pour la modique somme de 6 €)

L’île au Champagne

Par la troupe des Ados

Quelqu’un

Par la troupe des Adultes

Mise en scène : Philippe DUBUCQ

L'île au champagne !

Deux jeunes filles sont échouées sur une île déserte…

Personne ne sait où elles sont…

Elles vont devoir survivre dans un monde inconnu, et surtout sans nécessaire de survie…

Elles n’auront que le produit de la pêche et les fruits qu’elles trouveront pour se nourrir, mais surtout elles n’auront pas de quoi boire… quoique… !

Une découverte surprenante va les amener à rencontrer des êtres bizarres…

Entre réalité et fiction, il n’y a qu’un pas que nos petites écervelées vont vite franchir.

Quelqu’un !

On cherche tous à savoir qui l’on est…

On cherche tous à rencontrer quelqu’un, avec qui échanger, à qui parler, qui pourrait écouter…

Il y en a qui ne cherchent pas à rencontrer quelqu’un et qui subissent…

Un chassé-croisé de personnages en quête de rencontres, de savoirs, d’amitié, juste un besoin de dire des mots…

Humour au premier, deuxième, troisième degré…

Et si la rencontre se faisait avec le public ?

Et ce n'est pas fini...

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Indépendant de ma volonté.

16 Juin 2016, 23:54pm

Publié par Bernardoc

Deux jours sans ordi, donc deux jours sans blog.

A bientôt.

Et ce n'est pas fini...

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Un autre répertoire.

14 Juin 2016, 13:05pm

Publié par Bernardoc

Un autre répertoire.

Nous vous attendons nombreux pour un concert exceptionnel et mémorable.

Et ce n'est pas fini...

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Enchantés !

13 Juin 2016, 10:03am

Publié par Bernardoc

Hier soir, dernier spectacle de la 7ème édition du Haillan chanté, et dernier spectacle de la saison de L’Entrepôt. Enfin, presque, puisque n’oublions pas les représentations de la section théâtre du CTL les 25 et 26 juin, pour lesquelles, j’espère, les spectateurs seront aussi nombreux que pour Dick ANNEGARN.

Le temps n’était pas avec nous hier soir, si bien que nous ne sommes pas allés au traditionnel « apéro-chanson », mais d’un autre côté, nous avons bénéficié des sièges de la salle, quand même plus confortables que les gradins du « Théâtre de verdure ».

Le Haillan accueillait donc le plus célèbre des Hollandais de France : Benedictus (d’où le raccourci « Dick ») ANNEGARN pour un tour de chant d’une heure et demie, qui se clôturait bien entendu par Bruxelles, titre largement diffusé après les derniers attentats dans cette ville.

En arrivant je saluai d’anciens collègues, ce qui a provoqué des remarques sur l’âge des spectateurs, dont beaucoup avaient les cheveux grisonnants, pour ne pas dire blancs. Pourtant, je n’avais jamais assisté à un concert de l’artiste, et j’ai découvert un talentueux joueur de blues, tant au piano, qu’à la guitare, à l’harmonica ou même a capella. Une très forte chanson d’ailleurs sans accompagnement était consacrée à un tirailleur marocain ; je crois que c’est celle qui a été le plus applaudie.

Dommage que la salle n’ait pas été plus remplie, mais le théâtre de verdure aurait été comble. Comme dans la plupart des évènements culturels, les Haillanais étaient largement minoritaires, preuve du rayonnement de notre commune largement au-delà de ses limites.

Et ce n’est pas fini…

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Villa Farnesina.

12 Juin 2016, 07:43am

Publié par Bernardoc

Après un pique-nique (en principe interdit) ensoleillé dans le jardin de cette villa, nous y pénétrâmes. Construite vers 1510, elle prit son nom actuel lorsque le cardinal Farnese l’acheta en 1580. Elle est aujourd’hui le siège d’une académie scientifique dont les origines remontent au temps de Galilée.

C’est un bâtiment richement décoré, dont certains aspects ne sont pas sans rappeler le palais des doges à Venise, tel l’escalier au plafond voûté aux moulures géométriques. Les portes, les volets sont recouverts de magnifiques peintures dont les photos jointes ne donnent qu’un pâle aperçu.

Certaines de nos voyageuses en profitent pour se reposer (étonnant qu’il soit permis de s’asseoir sur de sièges qui à première vue paraissent être des éléments d’exposition) avant de repartir pour notre visite suivante, l’ambassade de France. Mais pour cela nous devons longer le Tibre. Les berges sont moins bien aménagées que celles de la Garonne à Bordeaux, mais on peut remarquer de loin des peintures sur les parapets. En fait, il ne s’agit pas de peintures, mais de travail sur la roche qui a été creusée pour faire apparaître la teinte noire sous-jacente.

Une belle promenade sous le soleil, toujours.

Les photos :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6295040186129183921?authkey=CNbek5L3v5K7XQ

Et ce n’est pas fini…

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A la découverte de Rome.

11 Juin 2016, 07:22am

Publié par Bernardoc

Nous avons dîné et rencontré nos hôtes le premier soir à la Bella Farnia, sorte de centre communautaire et social, mais nous ne sommes pas attardés car dès le lendemain direction Rome, et le premier bus était à 6h30 ; il devait nous conduire jusqu’à la gare de Fossanova, d’où nous prenions le train pour la capitale. De Termini, nous avons pris le métro jusqu’au Vatican (certains voulaient voir le pape). Il n’y avait pas de grève, les trains arrivaient régulièrement, mais nous n’avons pu prendre que le 7ème métro ; les rames étaient bondées et c’est miracle ( !!) qu’il n’y ait pas eu d’accident.

Quelques photos de St Pierre et nous voilà partis à déambuler toute la matinée à la découverte de Rome. Des lieux intéressants, l’aboutissement étant la fontaine de Trévi, que nous eûmes la chance de découvrir sous un éclatant soleil. Nous y avons jeté un sou, donc en principe, nous y reviendrons.

C’est après que notre promenade s’est gâtée : nous avions un pass-transport, mais personne ne nous indiquait le bon chemin pour retrouver le groupe à la villa Farnesina. Finalement nous avons pris un taxi au pied de « la machine à écrire », mais ce ne fut pas évident à cause des travaux. Mais nous sommes finalement arrivés à l’heure, voire en avance.

Quelques photos de cette matinée romaine :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6294683250395868977?authkey=CLLf4dfxv7TkyAE

Et ce n’est pas fini…

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Envol vers Sabaudia.

10 Juin 2016, 15:52pm

Publié par Bernardoc

C’était un voyage retour vers la ville dont nous avions accueilli un couple lors de leur venue à l’automne dernier. Et comme le courant était passé, ils avaient insisté pour que l’on soit de ce voyage, un peu comme les Grecs de Kalambaka.

Donc, rendez-vous à 14 heures à Billi, pour un vol Ryanair en ce dernier jour du mois de mai. Je fus étonné de la facilité avec laquelle, pour une fois, j’ai pu franchir tous les obstacles de la sécurité sans aucun problème. Les vigiles ne devaient pas être socialistes ! Nous avons dû décoller selon un angle inhabituel car j’ai découvert pour la première fois le circuit auto-moto de Mérignac.

Pas surpris non plus de l’absence de services de Ryanair : on le savait, mais ce n’était pas une raison pour qu’Aer Lingus (la compagnie irlandaise) s’aligne sur ce modèle. Vol calme, ensoleillé qui nous permis de survoler Corse et Sardaigne pour atterrir à Ciampino, un des deux aéroports de Rome, bordé de quantité d’immeubles. Sont-ils bien isolés phoniquement ? Je n’en ai pas la moindre idée.

Gianni était là pour nous accueillir et nous attendîmes quelques minutes à l’extérieur de l’aérogare l’arrivée du car qui devait nous conduire à notre point d’arrivée. Le temps allait-il être aussi ensoleillé au cours de la semaine ? Vous le saurez en regardant notre prochain épisode qui paraîtra bientôt.

Les photos du vol :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6294559127874894753?authkey=CO7Rv5XdldqgjQE

Et ce n’est pas fini…

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