Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Bernard SARLANDIE

Lamego.

19 Octobre 2016, 07:23am

Publié par Bernardoc

Originalité du jour : une demi-heure de navigation au moment du petit-déjeuner, qui nous amène jusqu'à Tavora, où nous retrouvons notre moyen de transport terrestre qui nous conduira jusqu'à la ville historique de Lamego, célèbre, entre autres, par son fameux Santuário Nossa Senhora dos Remédios. Les pèlerins grimpent les 688 marches, parfois sur les genoux. Mais nous, en bons touristes (mécréants?) nous nous sommes contentés de les redescendre : c'est le car qui nous avait déposés sur le parvis. De style baroque, l'église domine donc la ville ; malheureusement, les photos n'étaient pas autorisées à l'intérieur. Revivez donc avec nous la descente, pas trop fatigante, vers le cœur de bourg avec la Sé (cathédrale), construite entre le XIII° et le XVI° siècles. Deux statues se font face de part et d'autre de la nef : Fatima et Bernadette. Après temps libre, ça permet toujours aux guides de souffler un peu et aux touristes de vaquer individuellement. Nous choisirons le musée, qui d'après Le Routard est le lieu le plus intéressant de la ville. Une exposition temporaire « Faces » nous accueille, puis nous passons aux collections permanentes, avec notamment de grandes tapisseries, des statues de vierges enceintes du XIV° siècle (après ce fut interdit par l’Église de les représenter ainsi, comme allaitant), et, non pas à l'extérieur, mais bien à l'intérieur : des azulejos !

Bref, une ville qui mérite le détour.

Et ce n'est pas fini...

Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.
Lamego.

Voir les commentaires

La gare de Pinhão.

18 Octobre 2016, 14:02pm

Publié par Bernardoc

Vous avez vu plus haut un reportage sur la gare de São Bento à Porto, avec les azulejos qui retraçaient les grands faits de l'histoire du Portugal. La gare de Pinhão, à 2h30 de São Bento, est beaucoup plus modeste, mais tout aussi décorée, avec le thème de la vie à la campagne. Pour ceux qui n'auront pas eu comme nous la chance de faire une croisière, la voie de chemin de fer longe le fleuve pendant très longtemps. Ce doit sûrement être un beau voyage en train, ou une excursion à la journée.

Mais jugez plutôt en regardant les photos.

Et ce n'est pas fini...

 

La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.

Voir les commentaires

Message de la Déléguée générale du Mouvement international ATD Quart Monde

17 Octobre 2016, 07:28am

Publié par Bernardoc

Une nouvelle humanité sans misère verra le jour

« Le plus pauvre nous le dit souvent : ce n’est pas d’avoir faim ou de ne pas savoir lire, ce n’est même pas d’être sans travail qui est le pire malheur de l’homme. Le pire des malheurs, c’est de se savoir compté pour nul au point ou même vos souffrances sont ignorées. Le pire est le mépris de vos concitoyens, car c’est le mépris qui tient à l’écart de tout droit, qui fait que le monde dédaigne ce que vous vivez. Il vous empêche d’être reconnu digne et capable de responsabilité. Le plus grand malheur de la pauvreté extrême est d’être comme un mort vivant, tout au long de son existence » disait Joseph WRESINSKI, fondateur d’ATD Quart Monde.

Au cœur de cette Journée mondiale du refus de la misère, sont présentes toutes les personnes qui font face à la violence de la misère infligée par les privations et par le mépris, toutes celles qui sont chassées d'un lieu à l'autre par les conflits, mais aussi par la sécheresse, les inondations, la faim : quel accueil trouvent-elles tous les jours parmi nous ?

Des frontières se ferment encore plus entre les pays, d’autres invisibles se dressent entre des quartiers et des communautés. Des murs s'érigent entre les hommes, l’escalade vers toujours plus de sécurité pour les uns jette les autres dans une vulnérabilité absolue. Tant de personnes, en cherchant la vie, la risquent et disparaissent sans laisser de traces.

L’indifférence et l’ignorance alimentent les préjugés et les peurs jusqu’à inspirer parfois des politiques publiques qui considèrent les personnes démunies comme des suspects ou des assistés et non comme des détenteurs de droits et de responsabilités.

C'est un gâchis pour les sociétés. Elles se privent ainsi de l’expérience des personnes dont le quotidien est fait de résistance, de courage et de patience pour trouver les chemins qui nous libéreront des divisions et amèneront la paix.

« Dans la misère, on n’est que l’ombre de soi-même, dit ce père de famille d’Allemagne. Pour s’en sortir il faut pouvoir sauter par-dessus son ombre. Mais pour passer au-dessus de ton ombre, tu dois avoir à côté de toi quelqu’un qui croit en toi, plus que tu n’y crois toi-même. »

Et Madame Louise de République Démocratique du Congo explique : « Dans notre Mouvement, on ne trouve pas l’argent mais l’intelligence qui peut aider à sortir ensemble de la misère. Notre objectif, c’est de voir la personne qui est le plus enfoncée dans la misère. On l’appelle, on lui dit : « Lève-toi, tu en as la force ». Je l’emmène avec moi, je lui apprends à porter les charges comme moi, et on continue ensemble dans le travail. On fait en sorte qu’aucune personne ne soit laissée en arrière. Si on suit cette philosophie qu’on applique ici, il n’y aura plus de misère dans le monde de demain. »

Ce combat, que portent Madame Louise et ce père de famille en Allemagne, pour la reconnaissance de la dignité de tous se mène dans bien des lieux.

En France, dans une cité délabrée, des habitants se sont mis ensemble pour repeindre leur cage d’escalier maculée d'inscriptions infamantes.

Au Guatemala, des parents très pauvres ont trouvé la force de parler avec des enseignants, de dialoguer avec le Ministère, jusqu’à obtenir la gratuité de l’école publique.

Dans le monde, à l'initiative du Mouvement ATD Quart Monde, des milliers de personnes ayant l'expérience de la grande pauvreté, rejointes par des fonctionnaires, des acteurs de terrain, des universitaires, ont réfléchi ensemble en croisant leurs savoirs. Leurs travaux ont influencé les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies, par lesquels les chefs d’État se sont engagés à œuvrer pour un développement qui « ne laisse personne de côté ».

Le chemin est long pour libérer le monde de la misère. Nous progressons tant que nous gardons confiance dans l’être humain et que nous nous mettons ensemble à l’école de ceux qui résistent depuis toujours à la grande pauvreté, refusant que quiconque soit humilié et déconsidéré. Joseph Wresinski nous a mis en route avec détermination. Comme lui nous continuons à croire qu’« une nouvelle humanité sans misère verra le jour, puisque nous le voulons. »

http://www.atd-quartmonde.org/nouvelle-humanite-misere-verra-jour-isabelle-pypaert-perrin/

à l'occasion de la Journée mondiale du refus de la misère, le 17 octobre 2016

Isabelle Pypaert Perrin, Déléguée générale du Mouvement international ATD Quart Monde

Et ce n'est pas fini...

 

Voir les commentaires

La route des vins.

16 Octobre 2016, 13:35pm

Publié par Bernardoc

C'est le premier jour où l'excursion se déroule l'après-midi, après avoir navigué le matin de Barca d'Alva jusqu'à Ferradosa. Nous grimpons donc le long de routes sinueuses jusqu'à un belvédère, São Salvador do Mundo, lieu de pèlerinage où sept petites chapelles, visibles uniquement de l'extérieur, jalonnent un parcours au milieu d'une végétation « méditerranéenne », et d'où nous surplombons la vallée de « notre » fleuve et l'écluse de Valeira.

De là nous poursuivons jusqu'au petit village de São João da Pesqueira (Virginia francisait son nom, mais c'est suffisamment transparent pour que je vous laisse le soin de le faire vous-même) où nous attendait des commerçants sur la place de la République, avec les production typiques lusitaniennes : le linge brodé et les objets en liège, qui ont vu une remarquable extension depuis 2011, au moment où la troïka essayait de mettre le pays à genoux. De belles images, notamment une empreinte stylisée de pied d'éléphant, souvenir d'une ancienne histoire locale.

Il était temps de redescendre vers la vallée, au milieu du vignoble, remarquable par l'implantation des ceps, le long des courbes de niveau, et non pas perpendiculaires à celles-ci comme dans la plupart des terroirs chez nous. Et en chemin, nous nous arrêtons pour notre deuxième visite dégustation de porto, à la Quinta do Tedo, rachetée depuis quelques années par un viticulteur bourguignon. Cette visite était différente de celle de chez Ferreira : ici nous étions tout près du traitement du raisin après la vendange, et non dans les chais de vieillissement.

C'était maintenant l'heure de retourner vers notre bateau, qui nous attendait à Pinhão. Mais avant de rembarquer, nous avons passé un moment dans la gare de cette ville, dont vous verrez le reportage photo après-demain.

Et ce n'est pas fini...

 

La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.

Voir les commentaires

Salamanque.

15 Octobre 2016, 19:14pm

Publié par Bernardoc

Un peu moins de deux heures de route depuis notre lieu d'appontage pour atteindre cette vieille cité qui possède une des plus vieilles universités d'Europe (avec Coimbra, Oxford et la Sorbonne). Nous fûmes accueillis par Tonio, un guide du cru qui, au cours de deux bonnes heures, nous fit respirer l'ambiance de la ville.

Comme dans la plupart des villes espagnoles, le centre était la Plaza Mayor, qui, jusqu'à il n'y a pas très longtemps, se transformait périodiquement en arène pour abriter des corridas. Nous avons quitté cette place sur laquelle se dresse sur un des côtés l'hôtel de ville par la Rúa Mayor pour arriver jusqu'à la maison aux coquilles, qui n'est pas seulement le moyen d'indiquer que l'on est sur la route de St Jacques de Compostelle, mais surtout pour rendre hommage à l'épouse du propriétaire des lieux dont le blason comporte des coquilles. En face se trouve l'université catholique, et comme c'était le jour de rentrée universitaire, le nonce apostolique était là, comme le signalait le drapeau du Vatican.

Notre visite se poursuit par l'université, dont la façade est en train de se refaire une beauté avant de fêter ses 800 ans. Des poutres servant de bancs et d'appuis sont patinées par le temps, probablement depuis l'origine. Nous avons appris que les étudiants pouvaient questionner leurs maîtres à la sortie, et que ceux-ci ne pourraient partir que lorsque leurs réponses auraient été satisfaisantes. Deux détails remarquables : les noms des diplômés peints sur les murs en hauteur, et plus bas les traces laissées par les couteaux que l'on aiguisait sur la pierre blonde.

Nous continuons notre découverte de la ville par les deux cathédrales : la « vieja » et la « nueva » qui communiquent entre elles. La neuve, à peine terminée, fut ébranlée par le tremblement de terre de Lisbonne le 1er novembre 1755 et il fut récemment fait appel à des artistes pour rénover la décoration, et c'est ainsi qu'on peut voir un...cosmonaute sur les frises d'un portail ! De magnifiques orgues en chamade (j'ai appris la signification d'un mot) en font aussi un monument remarquable.

Le repas était prévu dans un restaurant capable d'accueillir plus de 120 personnes, et qui nous offrit, outre un excellent repas, des billets d'entrée pour la Maison Lis, musée d'art nouveau et d'art déco. L'après-midi était libre, et nous choisîmes un tour en petit train ; heureusement que ce n'était pas cher car on n'a pas appris grand chose de plus. Ensuite nous avons visité le musée maçonnique, curieusement dans les mêmes locaux qu'un petit musée sur la guerre civile (ou était-ce le contraire?) et nous avons terminé par la maison Lis, où nous avons rencontré beaucoup de nos compatriotes.

Enfin, en descendant vers le rio Tormes, dont les berges semblent être en voie d'aménagement, nous arpentâmes un morceau du pont romain en attendant le car qui devait nous ramener vers le Vasco amarré sur le Douro, en place pour la descente du fleuve. Une fois là, nous reprîmes l'heure portugaise.

Et ce n'est pas fini...

Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.
Salamanque.

Voir les commentaires

Joyeux Noël !

14 Octobre 2016, 15:19pm

Publié par Bernardoc

 Bizarre ce titre à cette époque-là de l'année, non ? Eh bien, c'est que hier soir nous avons profité du cadeau offert à Noël dernier par nos enfants : une soirée au Café-théâtre des beaux-arts.

Nous arrivons donc une heure avant le spectacle pour un dîner à base de salades, avec apéro, vin à volonté et café. Notre table était déjà retenue, avec notre nom sur un cavalier. Accueil très sympa, décor adapté au thème de la pièce : quatre survivants après le naufrage du Titanic : Les femmes et le ténor d'abord.

Dès avant le début de la pièce proprement dite, deux des acteurs, habillés en marins, font chanter le public, à qui on a distribué auparavant les paroles, Ah le petit 'Tanic, sur l'air du petit vin blanc, et chacun s'en est donné à cœur joie pour cette mise en train.

Ensuite ce fut un spectacle complètement déjanté, à mi-chemin entre une revue de cabaret et une comédie musicale, fort bien enlevé, avec des trouvailles linguistiques et des enchaînements musicaux bien amenés.

Le répertoire musical était très varié et entraînant. Le final nous fit revivre l'ensemble de ces pièces musicales, enfin en raccourci, afin qu'au bout d'une heure et demie nous quittions la salle la tête pleine de ces refrains populaires et intergénérationnels.

Pour ceux qui seraient intéressés, le spectacle se poursuit jusqu'à la fin de l'année.

Ce fut une bonne soirée, augmentée par la place gagnée par Rose au tirage au sort d'un spectacle au Trianon.

Donc, un grand merci à nos « petits » !

Et ce n'est pas fini...

 

Voir les commentaires

Navigation jusqu'à la frontière espagnole.

13 Octobre 2016, 13:51pm

Publié par Bernardoc

Navigation jusqu'à la frontière espagnole.

Deux passages d'écluse, Valeira et Pocinho, et nous atteignons la frontière espagnole. Nous ne remonterons pas davantage le fleuve, je ne sais d'ailleurs pas s'il est navigable au-delà de Vega de Teron, et notre escapade en Espagne le lendemain se fera en autocar jusqu'à Salamanque.

Donc, simplement des photos de cette demi-journée de navigation.

Et ce n'est pas fini...

Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.
Navigation jusqu'à la frontière espagnole.

Voir les commentaires

Mateus et Vila real.

12 Octobre 2016, 16:04pm

Publié par Bernardoc

Mateus et Vila real.

C'était notre troisième jour, toujours sous le soleil, nous retrouvons Virginia notre excellente guide qui venait de Porto tous les matins, et nous allions laisser le Vasco da Gama remonter le Douro sans nous : nous le récupèrerions à Tavora après nos visites matinales.

Nous commençons par le manoir de Mateus, qui n'a rien à voir avec le vin du même nom (rosé et légèrement pétillant), même si c'est son image qui figure sur l'étiquette. Demeure baroque privée du XVIII° siècle dont nous avons librement visité le parc et découvert l'intérieur, guidés par une jeune femme qui nous a dit « Moi je suis née en France, mais ma famille est portugaise. », donc encore une fois un français parfait lors des explications ; Les propriétaires étaient des gens très cultivés comme en témoignent les nombreux livres en diverses langues de l'immense bibliothèque. C'était aussi des gens très pieux, puisque toute une partie de la demeure est consacrée à des objets religieux.

Dans le jardin nous avons pu goûter du chasselas sous une treille tellement épaisse qu'elle formait une véritable tonnelle, plus agréable que le tunnel formé par les résineux.

Ensuite, notre périple se poursuivit par la ville de Vila real, dont l'intérêt nous a paru très limité, à part la pâtisserie locale sur laquelle chacun s'est précipité : les crêtes de coq (beignet sucré, fourré à la confiture).

Retour pour le cocktail du jour, le repas accompagné par le début de notre navigation de l'après-midi, avec encore le passage de deux écluses.

Et ce n'est pas fini...

Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.
Mateus et Vila real.

Voir les commentaires

Mirèio.

11 Octobre 2016, 10:19am

Publié par Bernardoc

Mirèio.

Encore une fois, l’espéranto montre sa grande capacité à s'ouvrir au monde et à faire découvrir des richesses parfois insoupçonnées.

Il y a quelques mois, le mensuel Monato consacrait un reportage à cette fameuse vallée de Patagonie peuplée de Gallois qui maintiennent leur langue et leurs traditions depuis des générations loin de « la mère patrie ».

Ce même magasine nous offre ce mois-ci un intéressant article de trois page sur l’œuvre majeure du prix Nobel de littérature Frédéric MISTRAL : Mirèio. Il intitule son article : « Une œuvre merveilleuse dans une langue merveilleuse ». rappelons qu'il s'agit du provençal.

Mais ce qu'il y a de plus surprenant, c'est le nom et l'origine du rédacteur : Garbhan MacAoidh, un Irlandais !

Merci à lui de faire partager à la communauté universelle ce trésor de la littérature.

Et ce n'est pas fini...

Mirèio.Mirèio.

Voir les commentaires

Perfect timing.

10 Octobre 2016, 14:23pm

Publié par Bernardoc

Ça vous étonne, hein, de ma part, un titre anglais ? Allez, on va traduire ça par correspondance chronologique parfaite. Pourquoi ? Samedi soir concert au profit du Burkina Faso au Haillan, et dimanche soir sur LCP un film documentaire suisse de 2014 intitulé : « Capitaine Thomas SANKARA », qui fut, rappelons-le, celui qui changea le nom de la Haute-Volta, nom aux relents colonialistes un peu trop forts.

Mais ce changement de nom s'accompagnait également d'un changement radical de politique, avec une volonté d'acquérir l'indépendance à laquelle chaque peuple a droit. Pour cela un fort accent a été mis sur l'éducation : de 6%, la scolarisation est passée à 22%, en particulier concernant les femmes, encore trop souvent tenues en servitude. L'armée faisait partie également de cette éducation : « Un militaire sans culture politique est un assassin en puissance ».

Thomas SANKARA fut un grand voyageur, et il parcourut le monde pour expliquer cette révolution au « pays des hommes intègres ».

De très forts moments dans cette évocation dont l'authenticité se vérifiait dans les vieilles bandes VHS qui constituaient la majorité du reportage. Le discours lors de la réception du Président MITTERRAND n'avait rien de diplomatique, même si la réponse fut pleine d'esprit. Mais aussi le discours chaleureusement et longuement applaudi devant le sommet de l'OUA (Organisation de l'Unité Africaine) à Addis-Abeba dans lequel il prônait l'annulation de la dette (30 ans avant que cette notion agite l'Europe). Sans oublier le discours devant l'assemblée générale de l'ONU, où il se faisait le porte-parole de tous les opprimés à quelque niveau que ce soit.

Sa tragique fin lors d'un assassinat fomenté par son « meilleur ami » Blaise COMPAORE, qui restera 27 ans au pouvoir (on le comparaît à Ben Ali), a dû en soulager plus d'un. Sankara s'y attendait d'ailleurs et il avait même dit : « Si vous m'apprenez que Blaise trame quelque chose contre moi, c'est qu'il sera trop tard. » Et ce dernier affirmait avec beaucoup de cynisme : « C'était lui ou moi. »

C'était au siècle dernier, et on peut se demander où est passé l'esprit de ces révolutionnaires issus du tiers-monde qui avaient pour ambition de le changer et l'améliorer.

Et ce n'est pas fini...

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 > >>