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Le blog de Bernard SARLANDIE

Déambulations palermitaines.

30 Septembre 2020, 11:29am

Publié par Bernardoc

Avant de visiter notre dernier monument de la matinée, c'est à pied que nous avons quitté la cathédrale. Car Palerme le mérite ; n'oublions pas qu'elle est inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2015 et qu'elle fut capitale de la culture en 2018.

Les photos vous montreront successivement la Piazza Vigliena et les Quattro Canti, la Piazza Pretoria et sa spectaculaire fontaine face à l'église baroque San Giuseppe dei Teatini. Nous poursuivons par la Piazza Bellini bordée par La Martorana (ce nom vous dit-il quelque chose ? Ce sont ces gourmandises sucrées en forme de fruits) et San Cataldo couverte de trois coupoles roses.

Au long des rues on peut remarquer les balcons traditionnels en marbre soutenus par des équerres en fer, qui n'ont rien à voir avec les nouvelles constructions dont les balcons s'écroulent à cause de « béton mafieux ».

Nous avons également traversé l'ancien quartier juif et nous avons pu remarquer le mélange des civilisations révélé par une plaque de rue rédigée en italien, hébreu et arabe.

Mais la matinée n'était pas encore terminée.

Et ce n'est pas fini...

Déambulations palermitaines.
Déambulations palermitaines.
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Déambulations palermitaines.
Déambulations palermitaines.
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Déambulations palermitaines.
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Déambulations palermitaines.
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Déambulations palermitaines.
Déambulations palermitaines.
Déambulations palermitaines.
Déambulations palermitaines.
Déambulations palermitaines.
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Déambulations palermitaines.
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Déambulations palermitaines.
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La cathédrale de Palerme.

29 Septembre 2020, 14:01pm

Publié par Bernardoc

Edifice majestueux, qui, comme le palais des Normands, mêle plusieurs styles, suite aux différentes arrivées de population.

VI° siècle : basilique byzantine ;

IX° siècle : mosquée (la plus grande de Sicile, prévue pour 7 000 fidèles) ;

XII° siècle : cathédrale normande ;

XV° siècle : portique sud, gothico-catalan ;

XVIII° siècle : coupole néoclassique (Habsbourg).

La cathédrale était en partie fermée lors de notre visite pour cause de mariage. Nous nous sommes donc contentés de tourner autour des tombes royales des souverains souabes (originaires du sud de la Bavière) entre 1095 et 1250. Leur histoire nous fut brillamment contée par notre guide érudit Laurent, mais je préfère vous la laisser découvrir par vous-même, j'aurais trop peur de me tromper et d'oublier des épisodes.

Et ce n'est pas fini...

 

La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.
La cathédrale de Palerme.

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La chapelle palatine.

28 Septembre 2020, 18:15pm

Publié par Bernardoc

Maupassant, lors de son passage à Palerme, l'a décrite ainsi : « Le plus surprenant bijou religieux rêvé par la pensée humaine ». Construite au sein du palais entre 1130 et 1143 par Roger II, elle mêle des éléments byzantins, islamiques et romans.

On pense qu'elle servait à la fois de lieu de culte et de salle du trône selon le sens dans lequel on était assis. Pendant les services, l'évêque et le roi se faisaient front, le trône du roi étant cependant plus haut que celui du prélat.

Deux décorations remarquables : le plafond en bois à muqarnas (éléments en forme de stalactites ou de nids d'abeilles, destinés à l'origine à répartir les poussées des voûtes et à passer du plan carré de la salle au plan circulaire de la coupole), c'est donc un aspect de l'art islamique. La coupole et les mosaïques sont de tradition byzantine. Un Christ pantocrator (Christ en gloire, c'est-à-dire la représentation artistique de Jésus Christ dans son corps glorieux par opposition aux représentations plus humaines du Christ souffrant la Passion sur la Croix, ou celle de l' Enfant-Jésus) décore la coupole tandis que, sur deux étages, des mosaïques racontent, en 32 tableaux, l'ancien testament.

En dehors de toute religion, on ne peut qu'admirer le talent des artistes qui ont réalisé ces œuvres entre 1140 et 1170.

Et ce n'est pas fini...

La chapelle palatine.
La chapelle palatine.
La chapelle palatine.
La chapelle palatine.
La chapelle palatine.
La chapelle palatine.
La chapelle palatine.
La chapelle palatine.
La chapelle palatine.
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La chapelle palatine.
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Palermo.

27 Septembre 2020, 18:34pm

Publié par Bernardoc

Départ à 8 heures (dur, dur pour les retraités que nous sommes), ce sera le cas pour presque tous les jours. Première prise de température en grimpant dans le car ; apparemment, à 37°5, on ne montait pas. Et en route vers le palais des Normands. En effet, la Sicile a subi de nombreuses invasions au cours de son histoire et chaque civilisation « importée » a laissé des traces.

Le car nous dépose devant la monumentale Porta Nuova élevée en 1565 en hommage à Charles Quint, vainqueur des Turcs représentés en atalantes de chaque côté.

Puis par un grand parvis s'étendant devant une haute façade rose, nous pénétrons dans le Palazzo dei Normanni, construit par les Arabes à partir du IX° siècle sur l'emplacement d'une forteresse phénicienne du VII° siècle. C'est au XII° siècle que les Normands l'investirent comme résidence royale. Au XVI° siècle ce sont les vice-rois espagnols (une pièce avec une série de portraits leur est consacrée) qui lui ont donné l'aspect qu'il a maintenant pour abriter l'ARS (je développe pour qu'il n'y ait pas confusion : Assemblea Regionale Siciliana).

Nous montons un escalier monumental au pied duquel se trouve un carrosse sénatorial exhumé d'une ferme pour apparaître dans un film dont j'ai oublié le nom.

Place aux photos.

Et ce n'est pas fini...

 

 

Palermo.
Palermo.
Palermo.
Palermo.
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Découverte de la Sicile.

26 Septembre 2020, 20:49pm

Publié par Bernardoc

Voilà, entre deux confinements (?) nous sommes allés faire le tour de la plus grande île de la Méditerranée. Pour la première fois, nous sommes partis avec l'association Arts & vie car il y avait un départ de Bordeaux. Il n'y avait que nous de ce groupe sur le vol d'une compagnie polonaise à bas coût, « Enter airlines ». Les autres participants venaient de Nantes, Lyon ou Paris. Bien entendu dans un vol qui partait d'Occitanie pour aller en Sicile, les annonces se sont faites dans la langue de Trump et Johnson, et répétées dans un français approximatif ; et bien sûr, rien en italien. Nous étions prévenus, si l'on voulait un café, c'était payant. Mais le vol s'est malgré tout bien déroulé et comme d'habitude, lorsque je suis au hublot, je n'ai pas arrêté de mitrailler jusqu'à ce que l'on arrive à l'aéroport de Palerme, baptisé Falcone Borcellino, du nom des deux célèbres juges assassinés par la mafia.

En descendant de l'avion, nous découvrîmes un autre couple : Philippe et Isabelle étaient venus de Toulouse en voiture pour prendre le même avion que nous.

40 minutes de trajet en voiture nous conduirent jusqu'à notre hôtel où nous eûmes droit à la première de nos nombreuses prises de température. J'aurai l'occasion d'en reparler.

Et ce n'est pas fini...

Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
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Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
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Découverte de la Sicile.
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Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
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Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
Découverte de la Sicile.
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Découverte de la Sicile.
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Découverte de la Sicile.

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De retour.

25 Septembre 2020, 16:49pm

Publié par Bernardoc

Partis de Palermo ce matin avec 28° sous le soleil à 8 heures, ce fut un peu décevant de débarquer sous la pluie à Mérignac avec 12°

Je vous parlerai de la Sicile dans les jours à venir.

Et ce n'est pas fini...

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L e séparatisme ignoré du président de la République.

18 Septembre 2020, 09:06am

Publié par Bernardoc

Extrait d'une lettre ouverte de la FNLP

 

Citons quelques articles édifiants du Statut de l'enseignement catholique en Francequi se passent de tout commentaire :

 

Art. 8 : « Aujourd’hui comme hier, l’Église catholique est engagée dans le service de l’éducation. Elle accomplit ainsi la mission qu’elle a reçue du Christ : travailler à faire connaître la Bonne Nouvelle du Salut… »

 

Art. 17 : « Le caractère ecclésial de l’école est inscrit au cœur même de son identité d’institution scolaire » Cette particularité « pénètre et façonne chaque instant de son action éducative, partie fondamentale de son identité même et point focal de sa mission ».

 

Art. 21 : Le projet éducatif est le garant de l’unité de l’école, de la communauté qui la constitue et de sa mission. Cet impératif d’unité commande que, dans chaque projet éducatif, on ne fasse pas « de séparation entre le temps d’apprentissage et les temps d’éducation, entre les temps de la connaissance et les temps de la sagesse. Les diverses disciplines ne présentent pas seulement des connaissances à acquérir, mais des valeurs à assimiler et des vérités à découvrir. [...] Dans la perspective d’un tel projet éducatif chrétien, toutes les disciplines doivent collaborer, de leur savoir spécifique propre, à la construction de personnalités en possession de leur maturité ».

 

Art. 23 : L’Évangile est la référence constante des projets éducatifs, car « c’est le Christ qui est [...] le fondement du projet éducatif de l’école catholique ».

 

Art. 41 : Une école au service du projet de Dieu : « L’Église poursuit l’œuvre du Seigneur par l’annonce de la Bonne Nouvelle qui est Jésus-Christ lui-même. C’est dans cette Église que s’inscrit et se comprend l’école catholique : la préoccupation éducative qu’elle porte, et avec elle le souci de la proposition et de l’annonce de la foi, est celle de l’ensemble de la communauté ecclésiale, dans laquelle elle trouve force et soutien. »

 

Faudrait-il croire que ce que vous estimez insupportable pour l'Islam, est accepté et même subventionné par l'Etat,

quand il s'agit du catholicisme ?

Et ce n'est pas fini...

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Vous avez dit manif ?

17 Septembre 2020, 15:41pm

Publié par Bernardoc

Ca vaut pourtant le coup de se battre ; mais visiblement une journée rituelle tous les mois de septembre ne suffit pas. La préfète a pu être contente : nous n'avons pas dépassé la jauge de 1 000 !

Et ce n'est pas fini...

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Mémoire !

16 Septembre 2020, 11:00am

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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SNU : l’adjudant Blanquer s’implique toujours plus

15 Septembre 2020, 14:53pm

Publié par Bernardoc

Un virus peut-il avoir la peau du SNU ? Par un communiqué officiel en date du 11/08/2020 le gouvernement annonce que « l’impact de la crise sanitaire sur l’organisation du SNU ainsi qu’un contexte épidémique trop incertain contraignent à annuler le séjour de cohésion en 2020. » Avant de s’empresser d’ajouter que « le SNU est toujours d’actualité  » et qu’il [le gouvernement] présentera « son plan de marche pour le SNU 2021 à la rentrée  ».

Même si cette annulation a des allures de reculade, elle ne doit pas faire oublier que, dans un contexte sanitaire et social dont on attendait qu’il impose d’autres priorités (et une certaine prudence), l’Education nationale n’a pas ménagé ses efforts pour tenter de donner, avec une assise règlementaire qui lui fait défaut, un semblant de crédibilité au projet de service national universel (SNU), pourtant bien mal parti sur le terrain en dépit d’une communication inépuisable.

Tout au long de l’été, plusieurs documents officiels sont venus confirmer le rôle moteur joué par l’Education nationale dans la mise en œuvre d’un dispositif surréaliste, hors de prix (à terme, la généralisation du SNU devrait coûter chaque année 2 à 3 milliards d’euros au budget éducatif), porteur d’une idéologie délétère :

Ce « projet d’émancipation de la jeunesse, complémentaire de l’instruction obligatoire  », omet une nouvelle fois de signaler que cette émancipation passe par la coercition et la punition (lourdes sanctions prévues à l’encontre des réfractaires). Avant l’annonce de l’annulation, il avait été prévu d’inverser les 2 étapes du SNU et de reporter la période d’internement (appelée "séjour de cohésion")... sur les vacances de Toussaint. Pas de quoi attirer les volontaires déjà nettement moins nombreux que prévus.

- Les nouveaux programmes d’éducation dite civique et morale (EMC) du cycle 4 y font également référence dans l’inénarrable rubrique « servir son pays » (c’était déjà le cas des programmes 2018).

- Des instructions interministérielles (Santé, Education, Intérieur, Outre-Mer) s’attardent, sans le reconnaître ouvertement, sur les difficultés rencontrées dans l’organisation de la mission d’intérêt général de 12 jours. Il apparaît notamment qu’à l’heure actuelle un certain nombre de volontaires du SNU 2019 n’ont toujours pas réalisé leur mission. Si le contexte sanitaire est mis en avant, il est plus probable qu’il faut en chercher la cause dans la nature même de cette mission bien mal nommée, très éloignée, par exemple de celle attendue du service civique ou de toute autre forme d’engagement basé sur le volontariat. Car une mission de 12 jours (ou 84 heures), exigée de force (dans le cas de sa généralisation) restera d’abord une corvée pour le jeune qui n’est pas volontaire mais simplement requis, comme pour le service chargé de s’en occuper. La lourde insistance avec laquelle l’instruction ministérielle susdite cherche à orienter ses destinataires vers une sorte de réserve sanitaire, scolaire ou sportive, susceptible d’épauler les personnels des maisons de retraite, des EHPAD, des « vacances apprenantes » ou du soutien scolaire, tombe d’autant plus à plat que, comme il a déjà été signalé, la très grosse majorité des volontaires du SNU 2019 mais aussi du SNU 2020 est principalement motivée par les métiers de la sécurité. Une constatation qui confirme que cette mission d’intérêt général (on imagine d’ici les difficultés logistiques lorsqu’elle s’adressera non plus à 2000 jeunes volontaires comme en 2019 mais à 800 000 non volontaires d’une classe d’âge…) est une escroquerie dont la fonction est avant tout de justifier aux yeux de l’opinion publique l’objectif principal du SNU : élargir à l’ensemble de la scolarité obligatoire la dimension militaire et identitaire de l’éducation civique.

- Une priorité concrétisée par un décret (1) présenté en conseil des ministres (30/07/2020) par les ministres de l’Education et des Armées, toujours aussi fusionnels. « Projet ambitieux pour la jeunesse, le service national universel (SNU) a pour objectif de renforcer la cohésion nationale en faisant partager les valeurs de la République et en développant l’expérience de la mixité sociale et territoriale pour l’ensemble d’une classe d’âge. Le dispositif entend également développer la culture de l’engagement etc… » Rhétorique habituelle autour des inépuisables valeurs de la république qui autorisent toutes les manipulations, toutes les impostures, une rhétorique qui s’est imposée au fil des ans dans le cursus des élèves, notamment par l’intermédiaire des programmes d’EMC, ou encore par l’éducation à la défense qui, depuis 1982 (Chevènement), s’est incrustée dans les programmes scolaires.

Dans cette optique, le SNU sera donc précédé par « une phase d’information préalable et un temps de préparation, visant à informer les familles et à préparer l’appel des mineurs. Cette phase, principalement mise en œuvre au sein des collèges et lycées, va s’inscrire dans le cadre du parcours citoyen de l’élève et, en particulier, de l’enseignement moral et civique dispensé dès l’école élémentaire et pleinement convergent avec la finalité du SNU.  » Autrement dit : en vue de faciliter sa mise en œuvre et son acceptation par les familles et les élèves, le SNU devrait faire l’objet, au sein des établissements, pendant les heures de cours, d’une information à sens unique, c’est-à-dire d’un bourrage de crâne délivré par les enseignants. Confirmant ainsi que la liberté de conscience dont les programmes font pourtant officiellement grand cas, s’arrête devant les prescriptions quasi totalitaires d’une certaine éducation civique.

(1) Le projet de décret a été à trois reprises unanimement rejeté par le comité technique ministériel de la Jeunesse et des sports.

Notons quand même, dans ce décret, cette curieuse formulation qui fait du séjour de cohésion une possibilité (« …peuvent participer »). Et non une obligation ? « Les Français recensés, âgés de moins de dix-huit ans, peuvent, dans la limite des places disponibles, participer à un séjour de cohésion organisé par l’Etat. Ce séjour consiste en une période de vie collective avec hébergement. » Une interrogation à rapprocher du communiqué du conseil des ministres évoquant la généralisation du SNU «  à terme »… sans plus de précisions.

Et ce n'est pas fini...

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