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Le blog de Bernard SARLANDIE

Demain, on commémore.

30 Avril 2021, 15:16pm

Publié par Bernardoc

Bordeaux

10h30

Place de la République

Et ce n'est pas fini...

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Les rendez-vous du 1er mai.

29 Avril 2021, 11:00am

Publié par Bernardoc

C'est pour le centenaire de la Commune que les francs-maçons ont commencé à se rassembler au Père Lachaise, devant le mur des Fédérés le 1er mai. Après une interruption, ils ont repris cet hommage, devenu annuel, en 1998.

Il n'eut pas lieu l'an dernier pour cause de pandémie (le grand-maître de l'époque a enregistré un discours) et cette année, c'est le 29 mai (date anniversaire de la chute de la Commune) que celle-ci sera célébrée et que certaines tombes seront fleuries. En 2018 j'étais passé au cimetière le 3 mai et j'avais pu remarquer que la tombe fleurie était celle de Jean-Baptiste CLEMENT, auteur du Temps des cerises.

Alors, en attendant le 29, je vous suggère un petit livre intitulé Commune de Paris et franc-maçonnerie qui est un recueil de six discours de l'adjoint au maire du XX°, Pascal JOSEPH, prononcés lors de cette cérémonie entre 2008 et 2013. Ce sont des discours vibrant d'émotion et s'attachant à resituer les faits historiques de cette (trop) courte période qui a tant marqué notre histoire et constitue toujours un des fondements de la gauche 150 ans après.

Devant le silence du gouvernement, c'est bien à nous d'en parler.

Et ce n'est pas fini...

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Changeons le système, pas le climat !

28 Avril 2021, 14:58pm

Publié par Bernardoc

En tant que boomer, je ne peux que souscrire aux dix points ci-dessous du Manifeste pour la responsabilité environnementale de l'UGICT-CGT; c'est dans ce sens-là qu'il faut agir.

 

  • OBTENIR DE NOUVEAUX DROITS SUR LES QUESTIONS ENVIRONNEMENTALES ;

  • SE RÉAPPROPRIER L’OUTIL DE PRODUCTION ;

  • RELOCALISER LA PRODUCTION ;

  • L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE POUR RÉVOLUTIONNER LES MODES DE PRODUCTION ET DE CONSOMMATION ;

  • DIVERSIFIER NOTRE MIX ÉNERGÉTIQUE ;

  • MISER SUR LA RECHERCHE ;

  • MAÎTRISER NOTRE CONSOMMATION D’ÉNERGIE ;

    • DÉVELOPPER LES SERVICES PUBLICS ET LES INFRASTRUCTURES ;

-POUR UN NOUVEAU MODÈLE DE CROISSANCE FONDÉ SUR LE DÉVELOPPEMENT HUMAIN ET ÉCOLOGIQUE ;

  • POUR UNE SOCIÉTÉ DU BIEN-ÊTRE.

    Et ce n'est pas fini...

 

 

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Un bijou !

27 Avril 2021, 10:56am

Publié par Bernardoc

Je viens de finir de déguster un recueil de nouvelles publié chez Agullo, un éditeur girondin. Je dis bien « déguster » car je ne lisais qu'une nouvelle à la fois, quelle que soit sa longueur, deux pages ou une dizaine.

Certaines sont noires, voire très noires, ce qui explique peut-être qu'Hervé Le Corre en ait écrit la préface.

Presqu'îles : c'est curieux ce pluriel pour des histoires qui se déroulent dans le Médoc, mais en fait je pense que « îles » se rapporte justement à la somme des nouvelles, chacune formant un tout, sans liaison apparente avec la suivante hormis le lieu, entre la plage, les villages et la forêt médocaine.

Chaque histoire est remarquablement ciselée ; en quelques phrases le portrait du personnage prend une consistance réaliste, et il n'y a pas besoin d'en rajouter pour le voir devant nous. Parfois la chute est moralisante et souvent la forme m'a fait penser aux Caractères de La Bruyère. (J'ignore si cet auteur est encore étudié au XXI° siècle.) C'est après avoir observé le milieu où il a grandi que Yan LESPOUX a pu nous faire partager, même à nous les « Bordelais », la rudesse de ce Médoc, trop souvent considéré seulement comme le « bronze-cul de l'Europe » (ce terme n'est pas mentionné), territoire qui vit pourtant tout au long de l'année et pas seulement pendant les trois mois d'été. La couverture reflète d'ailleurs parfaitement le contenu des 185 pages.

Un grand écrivain est né, et en plus il est prof d'occitan à la fac de Montpellier !

Vite, un nouveau bouquin !

Et ce n'est pas fini...

 

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Pas d'amalgame !

26 Avril 2021, 18:26pm

Publié par Bernardoc

Depuis 2015, 80% des auteurs d'attentats sont français (chiffres gouvernementaux), comme ce fut le cas depuis la bande à Bonnot jusqu'à Mesrine.

Cependant la droite et l'extrême droite ne cessent de dire que la criminologie augmente à cause de l'immigration. Est-ce pour cela que lors du dernier quinquennat il a été envisagé la déchéance de nationalité ?

Les auteurs sont peut-être, comme la majorité de la population issus de l'immigration (« première, deuxième, troisième génération, nous sommes tous des enfants d'immigrés !»), mais ce sont des résidents de la République et à ce titre ils ont les mêmes devoirs et les mêmes droits que chaque citoyen. Est-ce bien le cas ?

Trop souvent la couleur de peau et le patronyme sont discriminants. Est-ce une raison pour vouloir les brandir comme un étendard en se disant « racisé » ? N'est-il pas temps de s'accorder une confiance réciproque plutôt que de cultiver un sentiment victimaire qui ne fait pas avancer les choses.

Rappelons-nous deux chantres de la négritude, Senghor et Césaire, anciens députés, ont fait avancer les choses. Leur action parlementaire était sans aucun doute plus efficace que déboulonner des statues ou enlever des plaques de rue au nom de Victor HUGO.

Pendant 40 ans dans l'éducation nationale, je n'ai fait aucune différence entre les élèves, tout en m'appliquant les dernières années à freiner les tentatives communautaristes absolument contraires à l'idée de notre République. Je suis vraiment persuadé que c'est à l'école que tout se joue et que toute la nation a le devoir de la défendre.

Et ce n'est pas fini...

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Faisons simple.

25 Avril 2021, 14:20pm

Publié par Bernardoc

Le journal Valeurs actuelles a publié mercredi une tribune lancée par Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et responsable du site Place Armes, appelant Emmanuel Macron à défendre le patriotisme, signée par « une vingtaine de généraux, une centaine de hauts gradés et plus d’un millier d’autres militaires ».

Et ce n'est pas fini...

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Suis-je trop vieux ?

24 Avril 2021, 15:15pm

Publié par Bernardoc

D'après une étude réalisée par le cabinet BearingPoint, 35% des personnes interrogées affirment détenir entre trois et cinq abonnements numériques, et paient entre 39 et 85€ mensuels

Eh bien nous, nous n'avons que les 23 chaînes de la TNT, et ça nous suffit amplement. Il faut dire que entre la chorale, le théâtre et les autres réunions, nous restions fort peu devant la télé. Et comme le cinéma était aussi une sortie plus qu'exceptionnelle, depuis un an nous jonglons entre les différentes chaînes et nous y trouvons notre bonheur. Nous n'avons fait appel que très rarement à notre DVD-thèque pour voir (ou revoir) un film.

Cependant, je regrette que les chaînes se mettent à la mode des « plateformes » payantes et nous abreuvent de deux (voire plus) épisodes de séries à la file. J'ai un certain nombre de livres sur ma table de chevet et j'aime bien pouvoir lire avant de m'endormir, ce qui fait que je manque une partie de l'histoire ; le seul sacrifice auquel je consens c'est lorsque la série tire à sa fin et là je regarde les deux épisodes.

Il y a beaucoup de rediffusions me direz-vous ? Mais comme nous n'avions pas vu les premières, cela ne nous gêne pas. Nous n'avons jamais payé d'abonnement à Canal+, et nous n'allons pas commencer maintenant. Mais qu'est-ce que nous avons hâte de pouvoir reprendre nos activités culturelles « normales » !

Et ce n'est pas fini...

 

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RPS et Fonction publique.

23 Avril 2021, 15:09pm

Publié par Bernardoc

Extrait de MGEN actus du 22 avril 2021

Les risques psychosociaux : définition

Il n’existe à ce jour aucune définition légale des RPS, le Code du Travail n’évoquant que l’obligation pour l’employeur de protéger la « santé physique et mentale des travailleurs ».

Dans les années 2000, la complexité des RPS a été identifiée par le Ministère du Travail : plurifactoriels, poreux (mêlant les sphères personnelle et professionnelle) et entraînant des effets variés. C’est en 2011 que le rapport Gollac (commandé par le Ministère du Travail) propose une définition qui fait aujourd’hui consensus :

« Risques pour la santé mentale, physique et sociale, engendrés par les conditions d’emploi et les facteurs organisationnels et relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental ».

Les risques psychosociaux sont à l’interface de l’individu et de sa situation de travail d’où le terme de risque psychosocial. Sous l’entité RPS, on entend stress mais aussi violences internes (harcèlement moral, harcèlement sexuel) et violences externes (exercées par des personnes extérieures à l’entreprise à l’encontre des salariés).

On réduit souvent les risques psychosociaux à la seule notion de « stress », qui n’est en fait qu’une des manifestations de ce risque.

Les facteurs de risque

Bien que chaque cas soit particulier, les RPS ont souvent des causes communes. Le rapport Gollac fait une liste de six familles de facteurs de risque :

  1. Intensité et temps de travail.

    2. Exigences émotionnelles.

    3. Manque d’autonomie dans le travail.

    4. Mauvaise qualité des rapports sociaux au travail.

    5. Conflits de valeur.

    6. Insécurité de la situation de travail.

Enfin, ces facteurs peuvent se superposer. Une analyse contextualisée et au cas par cas est donc nécessaire pour comprendre les situations de travail et les ressentis des salariés et agents.

Les RPS dans la fonction publique

La Direction Générale de l’Administration et de la Fonction Publique précise que les risques psychosociaux peuvent se manifester sous diverses formes : « stress au travail, sentiment de mal-être ou de souffrance au travail, incivilités, agressions physiques ou verbales, violences, etc. ».

Le secteur public se différencie du monde de l’entreprise à plusieurs égards, les RPS de la fonction publique sont donc eux aussi spécifiques. Il est question notamment d’une relation fréquente au public, d’un contact avec des populations en situation de précarité ou de détresse ou encore du sens au travail. La fonction publique est donc prise en compte depuis quelques années dans l'enquête « Conditions de travail – Risques psychosociaux », qui constate que la fonction publique suit les même grandes évolutions que l’ensemble des salariés en termes de RPS.

En termes de risques psychosociaux, il existe cependant quelques différences entre les trois fonctions publiques (Etat, hospitalière, territoriale). Par exemple, les contraintes de rythme particulièrement fortes sont typiques dans la fonction publique hospitalière. A l’inverse, une notera une réduction des risques psychosociaux plus importante dans la fonction publique d’Etat que pour les deux autres fonctions publiques ou encore le secteur privé.

En outre, les RPS impactent aussi la vie sociale professionnelle des personnes touchées, ce qui se manifeste par des tensions entre collègues ou des formes de désengagement au travail.

Et ce n'est pas fini...

 

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Couleurs de l'incendie.

22 Avril 2021, 13:11pm

Publié par Bernardoc

Il s'agit du deuxième tome de la trilogie Les enfants du désastre de Pierre LEMAITRE, commencé avec Au revoir là-haut, prix Goncourt 2013. Si le premier volume se déroulait autour de la guerre de 14-18, avec le scandale des monuments aux morts, celui-ci se déroule entre 1927 et 1933, période troublée s'il en fut.

On retrouve la génération suivante des personnages gravitant autour de la famille Péricourt à la déchéance (provoquée) de laquelle on assiste. Ceci débouchera sur une vengeance froide et calculée de Madeleine, l'héritière spoliée.

Et c'est là qu'on découvrira le talent de l'écrivain, plusieurs fois récompensé pour des romans policiers. En effet, on est happé par le récit et plus on avance dans la lecture, plus il est difficile de s'en séparer.

Inspirée de faits réels romancés, l'histoire nous dresse un portrait réaliste de cette période qui vit la montée du fascisme, soutenu par la grande industrie et une presse d'extrême droite florissante. Les magouilles politiciennes dépeintes n'avaient rien à envier dans leur opportunisme intéressé avec ce à quoi nous assistons aujourd'hui.

Comme le précédent, ce volume de 541 pages s'achève par une liste de sources et d'« inspirateurs » qui vont de Tolstoï à Aragon en passant entre autres par Brassens.

Comme le disait François BUSNEL, j'ai été « embarqué, scotché, médusé ».

A votre tour (c'est en Livre de poche) !

Et ce n'est pas fini...

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SNU : ARRETONS LE MASSACRE !

21 Avril 2021, 12:21pm

Publié par Bernardoc

Extraits d'une déclaration de Solidaires jeunesse et sports

 

Service National Universel (SNU), nom masculin (origine : acharnement présidentiel) :

Dispositif d’endoctrinement et de formatage de la Jeunesse. Certains disent aussi de lui qu'il n'est rien d'autre qu'un dispositif de recrutement pour la police et l'armée.

 

Pour l’Education populaire ? Des uniformes !

Depuis le début, nous nous opposons à ce dispositif et exigeons son abandon immédiat car malgré l’effort de propagande fait autour de lui par le Gouvernement, il n’est rien d’autre qu’un énième dispositif souhaitant mettre au pas la Jeunesse. De plus, nous demandons à ce que les personnels Jeunesse et Sports ne soient plus associés à ce simulacre de « mixité sociale » qui n’est en fait rien d’autre qu’un acharnement du président de la République et un reflet parfait de la « politique communicationnelle ».

Dispositif décadent (re)cherche partenaires particuliers

Aujourd’hui, il n’est pas difficile de dire que le Service National Universel (SNU) est rejeté par l’écrasante majorité des acteurs du champ de l’Education Populaire et la Jeunesse. La première fédération à avoir rejeté ce dispositif, dès octobre 2019, est la Fédération des Centres sociaux et Socioculturels de France (FCSF) ; depuis de très nombreuses organisations de Jeunesse et de l’Education populaire lui ont emboîté le pas.

Le Comité pour les relations nationales et internationales des associations de jeunesse et d’éducation populaire (CNAJEP), par l’intermédiaire de sa vice-présidente Lucille Bertaud, émet même des doutes sur la « pertinence » du SNU concernant l’enjeu de la mixité sociale. De surcroît, le CNAJEP demande de "redéployer les crédits du SNU, vers une politique de jeunesse globale attentive aux jeunes qui en ont le plus besoin". Le contexte sanitaire ne fait que renforcer le besoin criant des associations d’avoir de réels financements en soutien au secteur associatif pour porter des projets de long terme et d’éducation populaire. La politique de Jeunesse menée par le Gouvernement (notamment à travers le SNU) n’est pas ancrée dans une vision stratégique de soutien, de participation à des initiatives, elle relève juste d’une politique marketing mensongère aux objectifs réels douteux.

En 2020, la majorité des services s’insurgeaient contre l’impréparation du SNU et notamment de son séjour de cohésion. Un cahier des charges livré avec 3 mois de retard, des budgets inexistants à deux mois de la tenue du séjour, sans compter les cafouillages sur les contrats de travail des encadrants… Cette situation intenable en 2020, devient insultante quand elle se reproduit à l’identique une année plus tard. La crise sanitaire ne peut ni tout expliquer, ni tout excuser. Qu’est-ce qui explique cette faculté incroyable à préférer l’impréparation généralisée ou même l'absurde comme fondement ? Pour rappel, les dates retenues pour les séjours de cohésion vont se heurter joyeusement à des périodes d'examens scolaires et à des dates de stages professionnels.

Dans les plus hautes sphères de l’Administration de l’Etat, c’est la panique générale, le rafiot SNU tangue fortement, pourquoi ? Car la jeunesse n’en veut pas, n’en a jamais voulu et n’en voudra pas !

Alors que le Gouvernement crie dans tous les médias que le SNU vit une importante montée en charge, nous sommes obligés d’y apporter une lecture contradictoire. En effet, en 2021, l’objectif de jeunes en SNU est fixé à 25 000 alors que cet objectif était de 30 000 en 2020. Pour rappel, les « séjours de cohésion » ne se sont pas déroulés, en 2020, du fait de la crise sanitaire. Cette dernière a évité au Gouvernement de devoir justifier un lamentable (et heureux) échec. Lorsque l’on passe comme objectif de 30 000 à 25 000, il ne faut pas être un grand mathématicien pour voir que l’objectif est en forte baisse. Adaptation à un désaveu de la Jeunesse ou début d’enterrement ?

Malgré cette forte diminution de l’objectif 2021, nous pouvons annoncer que cela correspond à 14% de l’objectif-cible, avec 3500 inscrits.

La panique est caractérisée.

Le SNU n’est pas simplement un dispositif d’endoctrinement de la Jeunesse, il est aussi une gabegie financière et surtout un frein au développement d’une politique de jeunesse ambitieuse.

Pour 2021, le coût du SNU est estimé par le Sénat à 61 millions d’euros. Comme le demande le CNAJEP, une réorientation immédiate des crédits vers une politique de Jeunesse serait le bienvenue et ce, encore plus dans le contexte actuel. Surtout quand nous savons le montant des rémunérations relativement élevées pour les chefs de centres (7080 euros pour 59 jours de travail maximum), quand d’autres participants auront droit à une rémunération assez faible à travers un Contrat d’Engagement Educatif (CEE). Enfin, ce qui est extraordinaire c’est que les agents publics de l’Education Nationale seront autorisés à s’absenter pour participer activement au SNU avec maintien du traitement plus le salaire pour chef de centre par exemple. L'exemple est connu mais, lorsque le sens est douteux, l'argent est le dernier recours pour attirer.

Ce constat rejoint les besoins exprimés par le Mouvement Associatif, en février 2021, à travers ses « 16 PROPOSITIONS pour une vie associative ambitieuse dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville ». L’une d’elle, la numéro 3, est la suivante : « Renforcer les liens entre les CEPJ et les petites associations, notamment par la co-construction de projets communs, la mise en réseau d’acteurs et de ressources, la relocalisation au plus près des territoires pour un service public de qualité, dans l’intérêt des habitants.».

Et maintenant, qu’allons-nous faire ?

Nous demandons l’arrêt immédiat du SNU et la réorientation des montants non-dépensés aux différentes politiques de soutien à la vie associative.

Nous exigeons qu’une réflexion soit entreprise par le gouvernement pour recréer un Service Public Jeunesse et Sports au service de l’intérêt général et de mener des politiques publiques coopératives. Vivons nos métiers comme ils doivent l’être, à savoir sur le terrain, au service de l’Education Populaire !

Et ce n'est pas fini...

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