Ni preparu la lilan kongreson.

         Nous nous faisions une joie de participer au congrès universel de Buenos-Aires, mais les prix proposés sont hors de portée d’un principal honoraire et d’une infirmière de l’éducation nationale. Irons-nous au congrès de SAT en Bretagne ? C’est loin d’être sûr. En revanche nous avons accepté de participer à l’animation du congrès de Lille en 2015. Esperanto-Gironde s’est donc réuni aujourd’hui à son siège social du château Palmer à Cenon, selon un ordre du jour qui devrait être dupliqué pendant plusieurs mois.

         Le matin, mise au point sur le guide de tourisme en Esperanto sur la Gironde et ses environs, guide qui sera mis en ligne, mais dont une première édition pourrait être éditée avant le congrès, car pour les gens qui viennent d’un autre continent que l’Europe, Lille-Bordeaux ne sera plus qu’un saut de puce.

         Ensuite, l’après-midi, nous avons balayé la liste des chansons que nous pourrions tenter de faire chanter, en Esperanto ! dans la rue aux passants. Nous en avons retenu une bonne vingtaine, dans des traductions plus ou moins anciennes, y compris, bien entendu vu le lieu, plusieurs de Jacques BREL. Nous devrions être accompagnés par un orgue de barbarie, un accordéon et un soubassophone. C’est dire que nous ne devrions pas passer inaperçus dans les rues de la cité du nord. Et nous envisageons également de donner un concert en salle, avec un répertoire légèrement différent.

         Nous avons donc du pain sur la planche pour les mois à venir, et l’apparition de nouveaux venus qui paraissent avoir bien envie de s’impliquer, laisse bien augurer de l’avenir.

         Quelques photos de cette journée sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/5968127924834934145?authkey=CLGZr9eT5vK8Kw

Et ce n’est pas fini…