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Le blog de Bernard SARLANDIE

Le bonheur n'est plus dans la classe !

27 Août 2024, 15:35pm

Publié par Bernardoc

J'ai été collègue de l'auteur, Alain PARAILLOUS, pendant un an lorsque j'étais CPE stagiaire au Lycée Stendhal d'Aiguillon, dans le Lot-et-Garonne. Il y avait un moment que ce livre publié il y a vingt ans était au chevet de mon lit, et un voyage en train m'a donné l'occasion d'enfin le lire.

C'est un livre alerte, vivement écrit et délicieusement réactionnaire. Le prof héros de ce roman est Paul MIRADOU. Je ne peux m'empêcher de penser qu'il y a de nombreuses allusions autobiographiques. Certaines assertions ne sont pas contestables, comme le fait que certains enseignants ne réussissant pas devant une classe se verront chargés de mission pédagogique auprès de leurs collègues par le rectorat. D'autres consignes ministérielles sont tournées en dérision, comme les PAE (Projets d'Action Éducative) mais largement utilisées notamment pour servir de prétextes à l'organisation de voyages scolaires, dont quatre sont décrits avec beaucoup de réalisme.

La quatrième de couverture mentionne « un quart de siècle de délires pédagogiques ». C'est un peu dur selon moi ; je ne jetterai pas tout, en tout cas pas les directives incitant les profs à travailler ensemble et non chacun dans son coin. Pendant des années, une collègue prof d'histoire a travaillé pour le Concours National de la Résistance et de la Déportation avec le prof d'arts plastiques, et cela n'avait rien à voir avec « l'école fourre-tout ».

Lorsque j'étais CPE (comme la secrétaire de la CGT et le grand maître du Grand Orient), un métier spécifique à la France et ô combien utile, j'ai toujours organisé la formation des délégués élèves (même si cela leur faisait « perdre » une journée de cours), mais cela contribuait à la formation du citoyen, dont l'école ne peut être absente. Et j'ai continué lorsque j'étais Principal. Après tout, au XIX° siècle les hussards noirs de la République étaient bien censés préparer leurs élèves à devenir de bons petits soldats. Eh bien au XXI° il s'agit d'un autre objectif.

Et ce n'est pas fini...

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Réflexions économiques.

21 Août 2024, 14:25pm

Publié par Bernardoc

Ce n’est pas ma spécialité, mais après ce que j’ai entendu à la radio, je me sens aussi compétent que les « experts » invités.

Ce matin, Mathilde PANOT se fait apostropher par une cheffe d’entreprise (TPE) à propos du smic à 1 600 €, dans la lignée de « ça va relancer l’inflation ». Bonne réponse de la députée qui a parlé de la relance de l’économie par le pouvoir d’achat et du système de péréquation afin de ne pas pénaliser les PME/TPE. Elle aurait pu rappeler que chaque fois que le smic a été augmenté on nous avait prévu l’effondrement de l’économie...qui ne s’est jamais produit.

A midi, il était question de l’ISF, qui rapporte peu mais favorise, soi-disant, l’exil des ultra-riches susceptibles de voir leurs impôts réévalués à hauteur de leurs gains, comme c’est le cas pour les familles modestes et ordinaires. Il n’a pas été fait mention d’une solution, radicale je dois l’admettre, mais qui serait bonne pour la République. Si ces milliardaires refusent le consentement à l’impôt (inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789), ils devraient être déclarés traîtres à la patrie et leurs biens nationalisés (sans indemnité ni rachat, bien entendu). Ce ne serait pas la première fois que cela arriverait : le collaborateur Renault a subi cela à la Libération, et la RNUR a toujours été ensuite le fer de lance des avancées sociales. Le peuple français s’en est-il plaint ? Si cela se produisait à nouveau, je suis sûr que nous serions des millions à descendre dans la rue pour soutenir le gouvernement qui prendrait ces mesures et résister à l’Europe ultra-libérale dont le seul credo est le marché.

Et ce n’est pas fini...

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Claude Mademba Sy, le tirailleur devenu ambassadeur du Sénégal

20 Août 2024, 17:17pm

Publié par Bernardoc

In L’Humanité du 20 août 2024, jour de la St Bernard

Dans les multiples images de ce moment historique, on ne voit pas son visage. Il est pourtant là, à bord de son char M8-H Scott dénommé Pantagruel. Claude Mademba Sy est le seul Noir de la 2e division blindée du général Leclerc à faire son entrée à Paris, ce 25 août 1944. Ils étaient pourtant nombreux, les tirailleurs que la France a enrôlés depuis ses colonies d’Afrique.

Ils constituaient, en 1941, l’essentiel des forces de la colonne Leclerc, devenue deux ans plus tard l’héroïque 2e DB. Née de la fusion de troupes d’Afrique et de l’unité Leclerc, elle était équipée en chars et matériels par les Américains. Si bien que ces derniers, ségrégationnistes, ont fait pression.

En prévision de la bataille de France, ils ne pouvaient supporter que l’on voie des soldats noirs entrer triomphalement dans Paris libéré. Ils avaient « blanchi » la 2e DB, comme l’explique l’historien Jean-François Muracciole, rapportant les propos du général Walter Bedell Smith, chef d’état-major d’Eisenhower : « Il est hautement désirable que la division soit composée de personnels blancs. »

En 1943, un an avant l’entrée sur Paris, les tirailleurs ont donc été soit démobilisés, soit intégrés à une division d’infanterie. Ils furent, pour la plupart d’entre eux, plus d’un millier, affectés dans la 1re division française libre du général de Lattre de Tassigny, qui débarqua en Provence.

Seul Claude Mademba Sy est resté. Sans doute, avance Christine Levisse-Touzé, spécialiste de la Seconde Guerre mondiale, parce qu’il était pupille de la nation, citoyen français, diplômé et issu d’une lignée de soldats ayant servi l’empire. Son grand-père fut officier « indigène » sous Joseph Gallieni, gouverneur général du Soudan français (devenu Afrique occidentale française). Son père, Abdel Kader, fut le premier Noir chef de bataillon de l’armée française. Trois de ses oncles furent tués pendant la Première Guerre mondiale.

Claude Mademba Sy est né le 11 décembre 1923 à Versailles, où son père effectuait un stage comme commandant d’infanterie. Le petit Claude n’a pas 8 ans et il est trimbalé, avec sa famille, successivement à Madagascar, au Mali et au Sénégal, au gré des affectations de son père. Celui-ci meurt d’une pneumonie en 1932, un an à peine après leur retour en France. Claude devient pupille de la nation

En 1943, il rejoint, à Tunis, où sa mère s’est installée, le régiment de tirailleurs sénégalais du Tchad, qui intégrera la 2e DB. Sous-officier dans ce prestigieux régiment, il participe à la campagne de Normandie, à la libération de Paris et de Strasbourg, ainsi qu’à la prise du nid d’aigle de Hitler à Berchtesgaden, près de Munich. Autant de faits d’armes pour ce combattant des Forces française libres qui lui permettront d’acquérir une légitimité et de gravir les échelons dans une armée française victorieuse et non moins coloniale.

Après la Seconde Guerre mondiale, le jeune Claude intègre la promotion Victoire 1945 de l’école des officiers de Saint-Cyr Coëtquidan. Devenu lieutenant, il est affecté en Afrique-Occidentale française, en Indochine, où il est blessé, puis en Algérie. Capitaine, il rejoint le sinistre 6e régiment de parachutistes coloniaux (devenu le RPIMa).

C’est lui, à la tête de sa compagnie, qui traquera et fera exécuter, en 1959, le colonel Amirouche, l’un des chefs indépendantistes du Front de libération nationale. Claude Mademba Sy termine sa carrière en France au grade de commandant dans le 9e bataillon d’infanterie de marine (Bima). Il se mettra ensuite au service de son pays, le Sénégal, nouvellement indépendant, où il sera, sous la présidence de Senghor, formateur dans l’armée, puis ambassadeur dans plusieurs pays d’Europe et d’Afrique, ainsi qu’à l’ONU.

À la retraite, il revient en France, à Lagrave, dans le Tarn, près du siège du 8e régiment de parachutistes (RPIMA). Il y est décédé le 8 avril 2014, à l’âge de 90 ans. Il était la dernière grande figure des tirailleurs sénégalais dont l’histoire, à nos jours, demeure encore injustement méconnue. Depuis le 25 août 2020, une allée porte son nom dans le 14e arrondissement de Paris.

L’histoire retiendra son engagement sans relâche pour la défense des droits des tirailleurs. Une centaine d’entre eux, réclamant simplement leur dû, avaient été massacrés par l’armée coloniale le 1er décembre 1944 dans le camp de Thiaroye, près de Dakar. Claude Mademba Sy n’a cessé de dénoncer « l’indignité du traitement des combattants africains après la décolonisation ». Il s’est illustré dans la longue bataille menée pour que les combattants africains touchent les mêmes pensions que les soldats français.

Et ce n’est pas fini...

 

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FACE À LA DÉFAILLANCE DE L’ÉTAT GREC : AUTOGESTION FACE AUX INCENDIES ET SOLIDARITÉ PAR LA BASE !

19 Août 2024, 14:57pm

Publié par Bernardoc

Une semaine après avoir subi un immense incendie au milieu de la Crète, entre Réthymnon et Héraklion, avec plus de 2700 ha brûlés durant plusieurs jours, des routes coupées et beaucoup de sinistrés à nos côtés, les flammes encerclent maintenant Athènes et d’autres villes grecques jusque dans le nord.

  Il faut savoir et faire savoir que d’énormes erreurs ont été commises par les dirigeants du pays. Ceux qui prétendent nous gouverner n’ont absolument pas retenu les leçons des années précédentes et n’ont rien fait en matière de prévention. Les nombreuses victimes sont révoltées, livrées à elles-même, avec pour principal secours l’entraide dans la base sociale et la solidarité sans frontières.

  Dans ce contexte, alors qu’une nouvelle phase solidaire allait de toutes façons commencer (nous étions au début de la préparation des prochaines livraisons d’huile d’olive et d’aliments de nos camarades paysans en Crète à destination de plusieurs collectifs et lieux du mouvement social), NOUS APPELONS À L’AIDE D’URGENCE pour pouvoir épauler cette lutte partout où c’est nécessaire : véhicules de pompiers en autogestion, équipements divers, aide alimentaire d’urgence et de produits de première nécessité, soutien financier si possible pour certains lieux et collectifs qui n’ont pas encore reçu d’aide, contrairement aux 25 premiers en avril-mai dernier.

 

Compte-rendu des premières actions du convoi solidaire en avril-mai dernier :

http://blogyy.net/2024/05/07/des-nouvelles-de-grece-du-convoi-et-du-film/

 

Et ce n’est pas fini...

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3/4 de siècle

18 Août 2024, 15:55pm

Publié par Bernardoc

 Le CDMJSEA33 (Comité Des Médaillés de la Jeunesse, des Sports et de l'Engagement Associatif de Gironde) vient de m'envoyer une carte papier pour me souhaiter mon anniversaire. Comme chaque année il y joint un certain nombre de maximes diverses et variées, mais censées faire réfléchir en un jour particulier. J'apprécie ce geste.

 Lorsque je présidais l'AMOPA-Gironde, pendant sept ans, comme nous sommes moins riches, je me suis contenté d'envoyer des cartes virtuelles. Certains adhérents qu'on voyait peu ou pas appréciaient cependant de voir qu'ils n'étaient pas oubliés. Cela contribuait à maintenir le lien entre adhérents, comme les appels téléphoniques pendant le confinement à ceux qui n'étaient pas reliés à internet.

Et ce n'est pas fini...

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SECRETS D’ARCHIVES

17 Août 2024, 16:03pm

Publié par Bernardoc

Merci à Sud ouest du 17 août 2024 pour cette magistrale leçon de géographie.

Souvent issus du gaulois ou du latin, les noms de nos cours d’eau ont parfois des origines encore plus anciennes… et plus d’une explication. C’est le cas de la rivière (ou du fleuve ?) qui a donné son nom au département qu’elle traverse.

Née de la confluence de deux torrents, la Dore (1 680 mètres d’altitude) et la Dogne (1 640 mètres) à 1 370 mètres d’altitude, la Dordogne, longue de 483 km, prend sa source dans le Massif central, dans la chaîne des monts Dore, sur l’une de ses plus hautes montagnes : le Puy de Sancy.

Contrairement aux idées reçues, le nom de la Dordogne, « Dordonha » en occitan, n’est pas un néologisme dérivant des noms de la Dore et de la Dogne. Son nom vient de la racine pré-celtique « dur- », signifiant « eaux tumultueuses, eaux imprévisibles ». Dans sa forme première, le cours d’eau s’appelait « duranius » puis deviendra « duranus » à l’époque romaine. Les formes médiévales adoptent un suffixe redoublé – ononia : « Dorononia fluvius » (VIe siècle), « Dornonia » (VIIe siècle) qui évolue en « Dordonia » (IXe siècle) par un phénomène de dissimilation, donnant ainsi l’impression d’une étymologie Dore-Dogne. Aimoin de Fleury est le premier auteur connu à utiliser le nom « Dordonia », au Moyen Âge.

C’est au XIXe siècle qu’elle devient finalement « Dordogne ». C’est également à cette époque, sous Jules Ferry (1832-1893) plus précisément, que l’on fracturera le mot « Dordogne » en deux pour nommer les deux torrents de la réunion desquels elle est issue…

Rivière ou fleuve ? Voici une question qui a fait débat ! Après avoir parcouru six départements au travers du Massif central et du Bassin aquitain, la Dordogne conflue avec la Garonne pour former l’estuaire de la Gironde, qui débouche sur l’océan Atlantique. Voilà pourquoi, pendant longtemps, la Dordogne a été considérée comme une rivière dans les dictionnaires et encyclopédies ainsi que par le Sandre. Toutefois, certains organismes régionaux comme le Comité de Bassin Adour-Garonne ou l’Établissement public territorial du bassin de la Dordogne (Épidor), considérant que la Gironde est un estuaire commun à la Garonne et à la Dordogne, qualifient la Dordogne de fleuve, ce qui en ferait le cinquième plus long fleuve de la France métropolitaine.

Le fait que la Dordogne soit soumise au mascaret, et ce jusqu’à Castillon-la-Bataille, plaide notamment grandement en la faveur de l’appellation « fleuve », au détriment de « rivière ».

La Dordogne, qui arrose six départements (le Puy-de-Dôme, le Cantal, la Corrèze, le Lot, la Dordogne et la Gironde, d’amont en aval) et dont le bassin-versant s’étend à cinq autres (la Creuse, la Haute-Vienne, le Lot-et-Garonne, la Charente et la Charente-Maritime) est entrée au patrimoine mondial de l’Unesco en 2012 comme « réserve naturelle de biosphère ». De ses sources jusqu’à l’estuaire, c’est tout son bassin-versant qui est protégé, soit près de 24 000 km², ce qui en fait le plus grand territoire naturel protégé de France. 39 espèces de poissons sont répertoriées dans ses eaux, des sédentaires, comme les brochets, sandres, truites, perches, brèmes, chevaines, ablettes, goujons et autres silures, mais aussi des migrateurs : saumons, truites de mer, esturgeons, lamproies, anguilles…

La Dordogne est jumelée avec la rivière Jacques-Cartier, au Québec, depuis 1985.

Et ce n’est pas fini...

 

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Une autre facette : militant « alimentaire ».

11 Août 2024, 14:42pm

Publié par Bernardoc

Maeva surveille les travaux.

Nous faisons partie de l’AMAP (Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) haillanaise et lorsque nous signons la charte d’adhésion nous nous engageons à donner un coup de main aux producteurs en cas de besoin.

Régulièrement nous participons chaque année au déplacement des serres. Cela prend une dizaine de minutes mais mobilise un nombre important d’amapiens : un à chaque pied de la serre à déplacer ; ceci est vital pour renouveler le lieu de plantation des tomates.

Mais il y a un autre moment important, c’est le désherbage des carottes, trop fragiles lorsqu’elles pointent le bout de leurs feuilles pour supporter un désherbage mécanique. C’était le cas ce matin, et nous nous sommes retrouvés 22, protégés du soleil par des barnums que nous déplacions au fur et à mesure de notre progression, et ce fut plié en 1h30 avant des rafraîchissements bienvenus, mais c’est un aspect convivial qui est toujours présent et qui permet de resserrer les liens entre amapiens.

Maintenant, une fois le « devoir » accompli certains vont partir en vacances. Il y a un couple qui se réjouissait notamment d’aller trouver la fraîcheur du Danemark tandis que d’autres se contenteront modestement d’une escapade en Médoc.

Et ce n’est pas fini...

Une autre facette : militant « alimentaire ».Une autre facette : militant « alimentaire ».
Une autre facette : militant « alimentaire ».Une autre facette : militant « alimentaire ».
Une autre facette : militant « alimentaire ».Une autre facette : militant « alimentaire ».

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C’était il y a 79 ans…

10 Août 2024, 11:24am

Publié par Bernardoc

A 10h58, un champignon atomique s’élève à 18 km au-dessus de Nagasaki, trois jours après le même crime (le Japon était déjà vaincu) sur Hiroshima. Comme chaque année les pacifistes girondins se rassemblaient hier au pied du monument symbolisant la paix, offert par la ville de Fukuoka en 1990 pour commémorer ce sinistre évènement. On y retrouvait les représentants de la mairie, de l’Appel des cent, du Mouvement de la paix, de l’ARAC, du PCF. Je suis intervenu brièvement (pour cause de manque de sûreté dans la voix) pour parler du désarmement unilatéral et aussi des victimes polynésiennes des essais atomiques, toujours pas totalement reconnues et indemnisées. Gloria a lu une lettre manuscrite que lui avait adressée Jean ROSTAND.

Il était 19 heures, et je suis parti avant la fin de la manifestation (j’ai loupé la partie artistique et le pot de l’amitié) car j’étais attendu à la maison.

A noter, pour la première fois la mairie a fait déposer une gerbe.

J’espère que nous serons encore plus nombreux l’an prochain pour le 80ème anniversaire.

Et ce n’est pas fini...

C’était il y a 79 ans…
C’était il y a 79 ans…C’était il y a 79 ans…
C’était il y a 79 ans…C’était il y a 79 ans…

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Victor HUGO et Cuba.

9 Août 2024, 13:50pm

Publié par Bernardoc

In Cuba Coopération France du 8 août 2024

Pendant que des ateliers sont organisés en juillet et août : « numismatique pour tous » afin de faire connaître l’un des biens culturels les plus communs et les moins connus, la monnaie, « Vicor Hugo dans l’histoire de Cuba », sur les rapports entre l’écrivain et Cuba et notamment la solidarité de Victor Hugo avec le mouvement indépendentiste de Carlos Manuel de Céspedes, ou encore un atelier de deux jours sur l’image des clowns, la Maison accueille une nouvelle exposition, celle de notre ami Santiago Hermes.

Cette exposition retrace le travail réalisé à Cienfuegos par l’association Trazos Libres autour des traditions de la province et de la culture dans ses diverses expressions. Ce projet socio-culturel s’incrit dans un travail communautaire mené depuis plusieurs années par le street artiste Santiago Hermes et toutes celles et ceux qu’il a su entraîner dans son engagement local.

La Maison a également accueilli le 24 juillet le groupe de théâtre pour enfants La Colmenita (la petite ruche, créé en 1990 par Carlos Alberto Cremata, aujourd’hui directeur) pour une représentation spéciale mêlant phrases en français et références à la culture française et aux Jeux Olympiques.

Avec une belle performance en français dans le rayon de la ruche et des jeux avec le public, La Colmenita a offert du miel et de la joie à tous, à la découverte de la culture française.

Une rencontre avec la ruche reviendra bientôt tous les mois.

Les Colmenitos ont dit « Prof, nous resterons vivre à la Maison Victor Hugo »

Et ce n’est pas fini...

 

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Rendez-vous demain

8 Août 2024, 14:32pm

Publié par Bernardoc

INVITATION à la COMMEMORATION des TRAGIQUES BOMBARDEMENTS US sur HIROSHIMA/NAGASAKI le 9 MAI 2024

 
Les Pacifistes de Gironde et l'Appel des Cent pour la PAIX vous invitent à la commémoration du 79ème Anniversaire des tragiques bombardements états-uniens sur HIROSHIMA et NAGASAKI de 1945 qui ont entraîné la mort de centaines de milliers de victimes civiles innocentes :
 

Le VENDREDI 9 AOÛT 2024 à partir de 17 h

   Devant le Monument/Sculpture "LA PAIX"

   Avenue des 40 Journaux à Bordeaux Lac

Et ce n’est pas fini...

 

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