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Le blog de Bernard SARLANDIE

Une autre raison de sortir masqué.

28 Octobre 2020, 08:35am

Publié par Bernardoc

D'après 20 Minutes avec AFP , le 27/10/20

A long terme, la pollution pourrait jouer un rôle dans la mortalité liée au coronavirus. Une étude internationale montre ce mardi que respirer un air pollué augmente de 15 % en moyenne dans le monde le risque de mourir de la Covid-19.

L’étude parue dans la revue spécialisée Cardiovascular Research s’attache à évaluer dans quelle proportion cette pollution, déjà à l’origine de décès prématurés, pourrait également influer sur la mortalité liée à la Covid-19. Cette proportion serait d’environ 19 % en Europe, de 17 % en Amérique du Nord, d’environ 27 % en Asie de l’Est, selon les estimations du professeur Jos LELIEVEL de l’Institut Max Planck de chimie à Mayence (Allemagne) et de ses collègues.

Mais les auteurs n’établissent pas de relation de cause à effet direct entre cette pollution et la mortalité Covid. Ils ont utilisé des données épidémiologiques antérieures américaines et chinoises sur la pollution de l’air et le Covid-19 et sur le SRAS de 2003, maladie similaire à la Covid. Ils les ont combinées avec des données satellitaires sur l’exposition mondiale aux particules fines polluantes et des données des réseaux de surveillance de la pollution au sol, pour faire leurs calculs.

Les particules polluantes semblent augmenter l’activité d’un récepteur, appelé ACE-2, situé à la surface des cellules, impliqué dans la manière dont Covid-19 infecte les patients, selon les chercheurs. « Nous avons donc un "coup double" : la pollution de l’air endommage les poumons et augmente l’activité de l’ACE-2, ce qui conduit à une meilleure absorption du virus », selon le Pr Thomas MUNZEL (Université Johannes Gutenberg, Mayence), co-signataire de l’étude.

« La transition vers une économie verte avec des sources d’énergie propres et renouvelables favorisera à la fois l’environnement et la santé publique, au niveau local en améliorant la qualité de l’air et au niveau mondial en limitant le changement climatique », plaident-ils. Jugeant « extrêmement probable » l’existence d’un lien entre la pollution de l’air et la mortalité due à la Covid-19, Anna HANSELL, professeur d’épidémiologie environnementale (Université de Leicester) estime pour sa part « prématuré d’essayer de le quantifier précisément ».

Elle évoque « de nombreuses autres bonnes raisons d’agir maintenant » pour réduire la pollution de l’air, que l’OMS associe déjà à 7 millions de décès par an dans le monde (4,2 millions de ces décès liés à la pollution de l’air extérieur et le reste à la pollution de l’air intérieur).

Et ce n'est pas fini...

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Le saviez-vous ?

27 Octobre 2020, 09:49am

Publié par Bernardoc

Le gouvernement a décidé cet été de transférer à la Caisse d’Amortissement de la Dette Sociale (Cades) 136 milliards d’euros comprenant pêle-mêle des dépenses liées à la Covid, mais aussi les conséquences des politiques d’exonérations de cotisations sociales non compensées, des dettes indues (comme la prise en charge des arrêts de travail pour gardes d’enfants ou encore une partie de la dette des hôpitaux sur laquelle le gouvernement s’était engagé).

Ces 136 milliards d’euros seront à la charge des assurés sociaux à travers la CRDS et la CSG puisque le gouvernement a décidé de faire financer jusqu’en 2033 des dépenses qui relèvent pour une bonne partie du budget de l’État, ou sont la conséquence de ces choix.

Quasiment dans le même temps, le gouvernement donne 100 milliards aux entreprises pour relancer l’économie. Et cela, sans contrepartie ou contrôle et au moment même où des plans de licenciements boursiers sont à l’oeuvre, comme chez Bridgetown dans le Nord ou Veralia en Charente Maritime.(d'après une communication du président de Mutami)

Et « en même temps », les cotisations mutualistes subissent une hausse de 17% (comme le disait un ancien président de la Mgen, la santé est plus taxée que les hamburgers -malbouffe). Combien d'adhérents vont-ils être contraints d'abandonner leur mutuelle faute de moyens, et ainsi se mettre en grand danger sanitaire ?

Et ce n'est pas fini...

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Séparatisme ?

26 Octobre 2020, 16:16pm

Publié par Bernardoc

Il y a une quinzaine d'années, je dirigeais un collège en Zone Urbaine Sensible dans lequel se tenait des cours de « Langue et Culture d'Origine ». Pour ce qui me concernait, il s'agissait de la langue turque. J'ai vu plusieurs enseignantes y participer, certaines animées par un sentiment laïque « ataturkien », d'autres qui avaient beaucoup de peine à s'exprimer en français, et je me posais des questions sur le contenu de leur enseignement.

Dans ce même collège, certaines élèves, qui ne participaient pas à ces cours, se regroupaient dans la cour pour parler turc.

A la demi-pension, une fille au patronyme à consonance arabe, prenait du jambon en entrée et s'est faite menacer par certains élèves turcs qui prétendaient lui interdire de manger ce qu'elle voulait. Elle était obligée de se réfugier dans le bureau de la CPE aux récréations pour ne pas être harcelée. J'avais fait un signalement, mais ses parents ayant déménagé, elle est restée fort peu de temps parmi nous.

Toujours à la même époque, le président des parents d'élèves turcs de la CUB m'a écrit comme à un certain nombre de collègues. Sa missive disait en substance : « Pourquoi nos enfants aiment-ils la maternelle, réussissent bien en primaire, un peu moins bien au collège, et fort peu continuent au lycée ? »

Je lui ai répondu qu'il était important que les enfants soient présents le jour de la rentrée et ne partent pas avant la sortie, qu'ils évitent de se regrouper entre eux et de parler turc à l'école, et qu'il serait important que les parents s'investissent dans les associations et s'impliquent dans la vie scolaire (conseils de classes, d'écoles, d'administration). Je n'en ai plus entendu parler.

Mais quinze ans plus tôt, dans un autre établissement, en recevant un couple de parents, j'avais laissé tomber la main que je tendais à la mère, un peu en retrait du père, et que manifestement elle avait ordre de ne pas toucher.

Et à l'époque, ce n'était pas Erdogan.

Alors, faut-il s'étonner de ce qu'il se passe aujourd'hui ?

Et ce n'est pas fini...

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Et voilà, c'est fini...

25 Octobre 2020, 16:21pm

Publié par Bernardoc

Nous étions partis en été, et nous sommes revenus en automne. Ce fut d'ailleurs très frappant ce jour de retour : 28° et beau soleil à 8 heures du matin à Palerme, 13° et pluie à 13 heures en débarquant à Mérignac.

Cette semaine de découverte était justement choisie entre deux vagues de covid, j'espère que vous avez apprécié ce voyage virtuel et que si vous ne connaissez pas cette île, cela vous donnera envie d'y aller faire un tour.

Au pied de la passerelle à Palerme, je vois des gens arriver avec un foulard rouge autour du cou ; des camarades retraités de la CGT ? Non, le signe de reconnaissance de leur agence de voyages.

Et ce n'est pas fini...

 

Et voilà, c'est fini...
Et voilà, c'est fini...
Et voilà, c'est fini...
Et voilà, c'est fini...
Et voilà, c'est fini...
Et voilà, c'est fini...
Et voilà, c'est fini...
Et voilà, c'est fini...
Et voilà, c'est fini...
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Et voilà, c'est fini...
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Et voilà, c'est fini...

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Notre Cène.

21 Octobre 2020, 11:09am

Publié par Bernardoc

Eh oui, notre dernier repas sicilien. Comme on n'allait pas se laisser abattre, nous sommes allés dîner dans le restaurant du Teatro Politeama Garibaldi, sur la Piazza Castelnuovo, à quelques centaines de mètres de notre hôtel. Un quadrige de chevaux de bronze orne cet imposant bâtiment de style néoclassique.

Nous nous sommes répartis en trois tables dans l'espace dédié à la restauration, et il n'y avait que nous, ce qui nous a permis d'apprécier ce dernier moment de convivialité.

Nous n'avons pas fait table longue, même si lorsque nous sommes sortis la place était très animée, notamment par beaucoup de jeunes. En effet, le lendemain, nous, les Bordelais, étions les premiers à partir, tandis que ceux venant d'autres régions de France bénéficiaient d'une bonne demi-journée supplémentaire dans la capitale sicilienne.

Et ce n'est pas fini...

Notre Cène.Notre Cène.
Notre Cène.Notre Cène.Notre Cène.
Notre Cène.Notre Cène.Notre Cène.

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Cefalù.

20 Octobre 2020, 09:33am

Publié par Bernardoc

Dernière étape avant le retour à Palerme. Nous longeons la côte tyrrhénienne pour arriver à cette bourgade côtière et très touristique dominée par sa remarquable cathédrale normande adossée à la falaise de la Rocca, encadrée par ses deux tours carrées surmontées d'un toit pointu.

Sa construction s'est étalée sur plus d'un siècle, à cheval sur le douzième et le treizième. A l'intérieur on trouve là aussi un Christ pantocrator comme nous en avions rencontré au début du voyage.

Après la visite, nous avons flâné dans les ruelles qui descendaient jusqu'à la plage, payé une petite visite à l'original lavoir médiéval et sommes entrés dans le théâtre communal Salvatore Cicero, terminé en 1816 et lieu de tournage d'une partie de « Cinéma Paradiso ».

Après cela, nous avions bien mérité une glace en bord de plage.

Et ce n'est pas fini...

 

 

Cefalù.
Cefalù.
Cefalù.
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Messina.

19 Octobre 2020, 10:46am

Publié par Bernardoc

Dernier jour : retour vers Palerme et première halte à Messine. Non, nous ne sommes pas allés pêcher la sardine, mais avons observé le détroit qui sépare la Sicile (Charybde) de la Calabre (Scylla) avant de nous diriger vers la cathédrale, reconstruite après le tremblement de terre de 1908.

Avant d'y pénétrer, nous avons observé l'horloge astronomique fabriquée en 1933 à Strasbourg. Quel travail et quel spectacle ! Nous n'avons pu assister qu'à une des animations horaires ; mais en fait il faudrait rester en observation pendant une année complète pour assister à l'ensemble des informations distillées par cette tour qui se dresse à côté de la cathédrale.

Le voyage tirant à sa fin, nous avons apprécié, pour nous reposer, le café pris à l'ombre du « duomo », plutôt que d'aller cavaler à la découverte des alentours.

Et ce n'est pas fini...

Messina.
Messina.
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Pour la République et son école.

18 Octobre 2020, 18:05pm

Publié par Bernardoc

Eh bien, c'est pas gagné ; je pense qu'elles sont réellement en danger et j'ai un sentiment amer en revenant du rassemblement qui avait lieu non pas place de la République, mais place de la Bourse : tout un symbole !

Mais le plus décevant était le peu de personnes présentes. J'imaginais que nous aurions largement débordé de la place pour atteindre les rives du fleuve, mais même pas : le tram a pu continuer de rouler comme si de rien n'était.

Combien étions-nous ? Je dirais autour de 600, soit 0,1% de la population métropolitaine : tu parles d'un soutien ! Mais s'attendait-on à davantage de participation ? Il y a eu des orateurs perchés sur la fontaine, mais sans haut-parleur, donc j'ignore totalement ce qu'ils ont pu dire ; dommage !

Alors, après avoir fait deux fois le tour de la place à la recherche de visages connus (il y en avait quelques uns), nous avons traversé la rue et sommes allés admirer le beau bateau amarré au quai.

Et ce n'est pas fini...

Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
Pour la République et son école.
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Comme chaque année...hélas !

17 Octobre 2020, 11:42am

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Taormina.

16 Octobre 2020, 14:51pm

Publié par Bernardoc

C'était le seul endroit de Sicile où nous avions pris pied en 2004, lors d'une escale à l'occasion d'une croisière pour nos trente ans de mariage, après avoir vu le Stromboli de nuit, spectacle magnifique.

Là le spectacle était différent et comme il faisait beau nous avons pu voir, depuis la route, à la fois le Stromboli et l'Etna avec leur panache de fumée.

L'arrivée à Taormina est superbe : « un balcon à 200 m au dessus de la mer ». Souvent présentée comme le St Tropez sicilien, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de monde, mais je fus détrompé par Laurent qui disait qu'habituellement il fallait jouer des coudes pour s'y déplacer (notre car était resté au parking et nous avions terminé notre approche par une navette gratuite).

Nous y pénétrons par la Porta Messina et arrivons à la Piazza Vittorio Emanuele, à l'emplacement de l'ancien forum romain, pour quelques explications, avant de poursuivre jusqu'au clou de la visite : le théâtre grec. Peu de monde s'y trouvait et nous avons donc pu prendre tout notre temps pour la visite.

C'est le plus grand théâtre de Sicile après Syracuse. Construit par les Grecs au III° siècle avJC, sa dernière modification par les Romains date du II° siècle de notre ère. Le choix du site a été soigneusement choisi pour pouvoir utiliser la géographie des lieux, avec d'un côté la mer et de l'autre l'Etna.

Après cette visite, nous avons utilisé notre moment de liberté pour descendre le Corso Umberto I jusqu'à la Piazza IX Aprile pour admirer le superbe panorama et remémorer nos souvenirs. Mais d'un coup le ciel se noircit et nous rebroussons chemin. L'orage a éclaté au moment où nous grimpions dans la navette et nous ne nous sommes mouillés que pendant quelques mètres.

Retour au même hôtel au pied de l'Etna, ça sentait la fin.

Et ce n'est pas fini...

Taormina.
Taormina.
Taormina.
Taormina.
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