Journée détente
Saint Emilion et Montaigne avec un groupe de congressistes, mais trop fatigué pour rédiger l'article ce soir. @+
Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Saint Emilion et Montaigne avec un groupe de congressistes, mais trop fatigué pour rédiger l'article ce soir. @+
Et ce n'est pas fini...
Nos trois demi-journées de travail sont terminées. Demain et après-demain les congressistes disponibles partiront à la découverte de notre département. Pour le moment tout s'est bien passé, à ce qu'on m'a dit, car à part mon discours d'ouverture je n'ai pas beaucoup participé. Je vous l'offre donc sous le lien :
http://amopa-gironde.over-blog.com/2017/06/
Et ce n'est pas fini...
6ème circonscription de Seine maritime : candidat PCF soutenu par FI.
18ème circonscription de Paris : candidate citoyenne soutenue par EELV, PCF et Ensemble !
5ème circonscription du Calvados : candidate citoyenne soutenue par EELV, PCF, FI et PS (!!!).
11ème circonscription de Seine-St-Denis : candidate Ensemble ! soutenue par PCF et FI.
2ème circonscription du Puy de Dôme : candidat FI soutenu par le PCF.
Pourquoi ce qui a été possible dans certaines circonscriptions (et il y en a d'autres!) ne l'a-t-il pas été dans la 6ème de Gironde ? La volonté de perdre l'a hélas emporté. Eh bien tant pis, vous aurez le titulaire de Macron et les retraités verront leur retraite diminuée. Qui doit dire merci à qui ?
Et ce n'est pas fini...
Deux extraits d'articles de Les Échos d'avant-hier. Comme vous le savez, Les Échos n'est pas spécialement un journal de gauche. Mais on peut considérer ceci comme un aperçu du bilan des cinq dernières années.
Les inégalités dans le monde du travail ne se résorbent pas
Le deuxième rapport de l'Observatoire des inégalités brosse un tableau qui « ne pousse pas à l'optimisme » .Il pointe un marché de l'emploi toujours coupé en deux entre les plus diplômés et les autres.
Conditions de travail : la situation s'aggrave
Travail à la chaîne, pollution, bruit, absence d'autonomie, dimanche, nuit : le rapport résonne avec les débats autour du compte pénibilité. Les salariés sont mieux protégés, mais la part de ceux qui subissent des contraintes liées au rythme de travail ne diminue pas : 31,6 % en 2005, 35,2 % en 2013. De ce point de vue, ce sont les employés de commerce et de services et les ouvriers qualifiés qui ont payé le plus lourd tribut. Un salarié sur cinq ne connaît pas ses horaires de travail un mois à l'avance.
La part de ceux qui subissent des contraintes physiques a aussi progressé, même si c'est dans une moindre mesure. « Une partie des tensions sociales sont nées du décalage entre la vision idéalisée du monde du travail dans laquelle vit toute une partie de la population très 21 protégée et l'univers professionnel des classes populaires, à son service », pointe l'Observatoire.
Les dépenses sociales des départements ralentissent
Le RSA a enregistré 73.000 bénéficiaires en moins l'an dernier.Les coûts des prestations aux personnes âgées et aux handicapés progressent moins vite.
Rappelons aussi qu'il y a un grand nombre de bénéficiaires potentiels qui ne font pas la demande.
Et ce n'est pas fini...
Ça y est, on y est ! Deux ans de boulot de toute une vaillante équipe pour accueillir dès demain nos 300 congressistes, avant les journées de travail de la fin de semaine et les excursions de lundi et mardi.
Les discours sont polis, la charte du jumelage avec nos partenaires autrichiens est imprimée, les cadeaux sont prêts : nous avons fait tout ce qu'il fallait SANS AUCUNE SUBVENTION pour que nos visiteurs venant des départements métropolitains ou ultramarins, ainsi que de quatorze pays européens gardent une bonne impression de leur séjour girondin. Au dernier congrès étaient venus une collègue de Séoul ainsi que les habituels Québécois qui ne se sont pas inscrits cette année. Il faut dire que c'est cher de participer à un congrès et c'est la raison pour laquelle nous inaugurons le cycle des congrès non plus annuels mais bisannuels.
Il reste encore de la manutention à faire demain avant d'endosser costume et cravate pour accueillir dignement tous ceux qui viennent nous visiter.
Mais qu'est-ce que nous serons contents mercredi de pouvoir souffler un peu, en espérant qu'il n'y aura pas trop de déçus (à part par le temps peut-être?)
Et ce n'est pas fini...
Mais de qui se moque-t-on ? Quand cela va-t-il cesser ?
Ce matin j'ai entendu le ministre ci-dessus à la radio, j'avais l'impression d'entendre Fillon : les arguments étaient les mêmes, l'obstination semblable, et la sensation d'être au-dessus de la justice.
Le premier ministre avait déclaré la semaine dernière que les élections seraient « le juge de paix » ; il a du se faire remonter les bretelles par son président de patron, puisque le ton a changé et le soutien est devenu plus ferme. Un peu comme lorsque, lors du quinquennat précédent, l'ensemble du gouvernement socialiste (le parti de Monsieur Ferrand à l'époque) défendait mordicus l'honnêteté de Cahuzac.
Alors l'élection juge de paix ? Chiche ! Et que Ferrand retourne à ses juteuses affaires.
Je n'ai aucune appétence pour les macroniens, mais ce matin un auditeur, fervent défenseur du président de la République, a appelé pour enjoindre Ferrand de démissionner afin que Macron ne soit pas plombé dès le départ par des gens qui s'accrochent malgré tout. Je ne peux que souscrire à cette demande, même si l'objectif que je poursuis est complètement opposé.
Et ce n'est pas fini...
Une équipe de choc pour démanteler le Code du travail
L'économiste Marc FERRACCI et l'ex de FO Stéphane LARDY ont rejoint l'équipe de Muriel PENICAUD,dirigée par l'ancien du Medef Antoine FOUCHER.
APRÈS LA COMPOSITION DU NOUVEAU GOUVERNEMENT
L'égalité hommes-femmes fait-elle marche arrière ?
« L'égalité hommes-femmes sera une cause nationale », a indiqué le candidat Emmanuel MACRON le 2 mars dernier.
Rappel des faits : alors que le candidat Macron avait promis un grand ministère, la mise en place d'un secrétariat d'état a été dénoncée par les associations engagées pour les droits des femmes.
J'dis ça, j'dis rien.
Et ce n'est pas fini...
Le congrès approche : pas le temps de bloguer : trop peu de temps passé à la maison...
Et ce n'est pas fini...
C'est ainsi que j'ai ressenti l'article de Christian SEGUIN dans Sud ouest dimanche d'aujourd'hui : une véritable déclaration d'amour ! Dans la série « Le portrait du mois », l'article est intitulé Un conte de fée du vin. Il s'agit du portrait de Latifa SAIKOUK, jeune vigneronne maroco-médocaine (et également « 100% médoco-marocaine » déclare-t-elle.
Et effectivement, si l'on en croit l'article, les fées se sont bien penchées sur son berceau puisque née quelques années après l'arrivée de sa famille dans le Médoc, elle fut prise en charge par un vigneron du coin qui lui a payé ses études avant de lui transmettre, lui qui n'avait pas d'héritier, son bien.
Il y a une dizaine d'années, les débuts en tant que vigneronne furent rudes et elle eût bien du mal à placer ses 2000 bouteilles. Il a fallu attendre 2012 pour qu'elle intègre les cartes de La Tupina et du St James, et c'est maintenant dix fois plus de bouteilles qu'elle produit, surtout du rosé « le rosé des copines » et un peu de blanc.
Moi qui ne suis pas cuisinier, j'apprécie « On va déguster » l'émission du dimanche matin qui met en appétit. Et bien cet article est autant porteur de plaisir.
Merci.
Et ce n'est pas fini...
Que voilà une annonce bienvenue, faite devant une association de parents d'élèves. Mais est-ce si révolutionnaire (pour utiliser le titre du livre de notre président) ?
Déjà, en primaire, les devoirs ont été supprimés depuis lurette. Mais lorsque j'étais parendélev à ce niveau, il existait des études surveillées (par les maîtres) qui permettaient le soutien aux élèves qui n'avaient pas tout saisi dans la journée.
Au collège on a mis en place des assistants pédagogiques, certains d'un haut niveau universitaire mais sans formation pédagogique pour remplir ce rôle. Certes leur nombre est insuffisant mais c'était un début ; or, je n'ai pas l'impression que l'on va accroître ces personnels.
Lorsqu'il existe un internat, en principe, il y avait des études surveillées ; j'ai eu l'occasion de les encadrer pendant quatre ans tant en lycée d'enseignement général qu'en ce qu'on appelait à l'époque Collège d'Enseignement Technique (nos actuels LP/Lycées des métiers), lorsque j'étais SE (Surveillant d'Externat) puis MI (Maître d'Internat). C'était très formateur pour le futur prof que j'aspirais à devenir. Que sont devenues ces études ? Existent-elles toujours ?
Pendant la quinzaine d'années au cours desquelles j'ai enseigné en LEP, il était évident que les devoirs étaient dans leur quasi totalité faits en classe. La seule exception était les compositions françaises qui auraient utilisé trop du temps scolaire si elles étaient rédigées en classe. Mais les corrections, elles, exercices éminemment formateurs, se déroulaient bien entendu en ma présence. Mes seules exigences pour le domicile étaient des leçons (verbes irréguliers par exemple) ou des lectures. Et on y arrivait !
Mais c'était l'ancien temps et depuis de nombreuses tâches sont venues se greffer sur la didactique. Nos collègues devront-ils accepter des heures supplémentaires pour remplir cette nouvelle demande ? Leur temps de travail « ordinaire » sera-t-il augmenté ?
Donc, initiative intéressante, mais à suivre de très près.
Et ce n'est pas fini...