Ali Baba, le retour.
Rien à voir avec le film de Fernandel : c'est la façon dont j'étais interpellé à Marrakech.
Vous en saurez plus dans les jours à venir.
Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Rien à voir avec le film de Fernandel : c'est la façon dont j'étais interpellé à Marrakech.
Vous en saurez plus dans les jours à venir.
Et ce n'est pas fini...
Un article de radins.com qui interroge.
Selon une étude CSA Link pour Bouygues Télécom, intitulée Observatoire des pratiques numériques des Français, de plus en plus de Français sont devenus totalement accros à leur smartphone. Selon ces travaux, 43% des Français n'éteignent jamais leur téléphone, même quand ils se couchent. Les jeunes, sans surprise, sont les plus touchés par cette addiction : 57% des 15-25 laissent leur mobile allumé en permanence.
Il s'agit bien d'une addiction puisque, selon cette étude révélée par Le Parisien, 79% des personnes interrogées déclarent préférer se passer d'alcool pendant une semaine plutôt que d'être privées d'Internet. 66% des sondés choisiraient d'arrêter le sport s'il devait choisir entre le sport et leur téléphone et 41% préfèrent se priver de sexe plutôt que de renoncer à avoir Internet à portée de main. C'est là, que cela devient un peu inquiétant.
Mais que fait-on sur Internet ? Selon Bouygues Telecom « les Français cherchent des informations (88%), consultent les réseaux sociaux (73%), les journaux (69%), leurs comptes bancaires (69%) ». Mais ils « postent également des photos d'eux (60%), effectuent des achats (59%) et des démarches administratives (56%) ». 49% des personnes interrogées expliquent aussi regarder la télévision et jouer en ligne sur leur téléphone.
Ce qui est par ailleurs inquiétant dans ces travaux c'est le manque de vigilance des parents à l'égard des plus jeunes. Seuls 16% des smartphones des 12-14 ans sont équipés d'un contrôle parental. Cet outil bloque l'accès aux sites qui contiennent des images choquantes, violentes ou pornographiques. On rappellera que l'âge moyen pour avoir un smartphone est de 11 ans et demi. Et que chez les 12-14 ans, 9 jeunes sur 10 ont déjà de leur propre mobile.
Et ce n'est pas fini...
(le 17 avril sur France Inter)
(le 17 avril sur franceinfo)
(le 16 avril sur franceinter)
(le 16 avril sur RTL)
(le 16 avril dans un communiqué)
(le 17 avril sur BFMTV)
(le 18 avril sur Europe 1)
On attend la prise de position de notre député.
Et ce n'est pas fini...
Que voilà une bonne nouvelle tirée du Monde d'aujourd'hui.
Philippe MARTINEZ, le patron de la CGT, "souhaite " un 1er Mai unitaire avec toutes les organisations syndicales. Interrogé sur le plateau du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, il a assuré qu'il allait le proposer lors de la " réunion la semaine prochaine des cinq secrétaires généraux " des principales
centrales.
" Le 1er-Mai pourrait être une occasion d'exprimer non seulement la solidarité à ceux qui luttent, mais de proposer des alternatives ", a-t-il estimé.
Et ce n'est pas fini...
«Les éléments réunis par la France et ses alliés constituent un faisceau de preuves suffisant pour mettre en cause la responsabilité du régime syrien».
La participation de la France aux frappes en Syrie débattue lundi au Parlement.
Trois phrases tirées du Monde et de Libération qui m'interrogent, d'autant que l’Allemagne, l’Italie et le Canada s’y sont refusés.
L'ONU, organisation mondiale, est censée veiller à l'apaisement des conflits. Elle a succédé à la SDN (Société Des Nations) fondée après la première guerre mondiale dans le même but et qui a disparu lorsque les « grands » pays de l'époque, notamment l'Italie mussolinienne, ont décidé de l'ignorer. Les trois pays de l'OTAN qui viennent d'intervenir (et n'oublions pas que la France est dans une situation économique critique et qu'elle n'a pas « d'argent magique ») souhaitent-ils la disparition pure et simple de l'ONU ? Cela me semble hélas bien parti pour aboutir à ce résultat.
« Un faisceau de preuves suffisant » : cela ne vous rappelle-t-il pas les affirmations d'un certain Blair (successeur bienveillant de Thatcher) mises en avant pour envahir l'Irak et y ramener la démocratie ? Le résultat est remarquable, n'est-il pas...d'autant que les dires de Blair se sont révélés être des mensonges.
Le Parlement autorisé à exprimer une opinion post-opération sans vote ? Est-ce ainsi que l'on espère faire revenir les gens aux urnes ? Voter pour quoi faire ?
Asselineau, dont on peut dire tout ce que l'on veut, sauf qu'il ne connaît pas les textes, demande aux parlementaires d’engager la destitution du Président république, selon l’article 68 de la Constitution. Je laisse à mes lecteurs le soin de vérifier cet article qui, à ma connaissance, n'a jamais été utilisé sous la V° République.
Question subsidiaire, combien de réfugiés syriens accueillis sur notre territoire national ?
Et ce n'est pas fini...
L'article dans Sud-Ouest d'hier qui rapporte qu'un de nos anciens" de 82 ans vient de se faire prendre 4000 € (+ 700 € pour l'anesthésiste) par un chirurgien de l'Hôpital Pellegrin de Bordeaux (faisant quelques extras à la Clinique Jean VILLAR de Bruges) illustre le scandale des dépassements d'honoraires.
En bureau avant-hier, nous avions programmé une nouvelle opération D-STOP pour le mardi 29 mai à Bordeaux pour d'autres affaires, nous allons réagir rapidement sur la présente.
Nous vous tenons au courant et comptons sur vous pour une réaction collective à la hauteur des enjeux.
Merci pour votre attention renouvelée.
Pour la Santé Un Droit Pour Tous, Annie CARRARETTO, Evelyne TERRIER, Bernard COADOU
Et ce n'est pas fini...
Communiqué unitaire des Fédérations de Fonctionnaires
Réunies le 10 avril 2018, les organisations syndicales CFDT - CFE/CGC – CFTC – CGT – FAFP – FO – FSU – SOLIDAIRES réaffirment qu’elles ne partagent ni l’orientation, ni la méthode, ni le calendrier proposés par le gouvernement dans son document d’orientation intitulé «Refonder le
contrat social avec les agents publics.» Les organisations ne partagent pas davantage les objectifs poursuivis par le gouvernement consistant à réduire le périmètre de l’action publique avec la perspective d’abandon voire de privatisation de missions publiques.
Porteuses de propositions et de revendications, elles demandent l’ouverture de discussions sur d’autres bases. Elles exigent un dialogue social respectueux des représentants des personnels.
Le Statut général des fonctionnaires, leurs statuts particuliers et leurs régimes de retraite doivent non seulement être préservés mais aussi développés.
Enfin, les organisations syndicales exigent que des dispositions soient prises pour faire respecter l’égalité professionnelle et gagner de nouveaux droits.
Le développement des missions de service public au service de l’intérêt général nécessite la création d’emplois statutaires dans les services qui en ont besoin et un nouveau plan de titularisation. Pour cela, elles décident d’organiser des rassemblements lors de la prochaine réunion traitant de cette question avec l’Administration.
Les organisations rejettent le projet de suppression de 120 000 emplois et le recours accru au contrat qui dégraderont les conditions de travail des agent-es. Elles considèrent que le développement de la contractualisation constitue une attaque contre le statut de même que la possible rémunération «au mérite» assise sur des critères antinomiques de ceux du service public.
Après avoir obtenu un rendez-vous salarial au mois de juin, les organisations exigent que le gouvernement en donne maintenant le contenu qui doit permettre une réelle amélioration du pouvoir d’achat pour toutes et tous les agents. Elles demandent pour cela des mesures générales : fin du gel de la valeur du point d’indice et sa revalorisation, rattrapage des pertes subies, abrogation de la journée de carence, respect des engagements en matière d’évolution de carrière, amélioration des déroulements de carrière.
Les organisations sont attachées à une Fonction publique rendant des services de qualité à toutes et tous les usagers sur l’ensemble du territoire, aux valeurs et principes d’égalité, de solidarité et de justice sociale, à la nécessité aussi de conforter les agents dans leurs rôles et dans leurs missions.
Elles appellent les agents à une nouvelle journée de grève et de manifestations dans l’ensemble de la Fonction publique le 22 mai prochain. Dès aujourd’hui, les organisations soutiennent toutes les mobilisations propres à la Fonction publique et au service public. A tout instant, elles affirment qu’elles prendront les dispositions nécessaires pour défendre le modèle social public. Elles appellent à la tenue immédiate d’assemblées générales et d’Heures Mensuelles d'Information (HMI) pour alimenter le débat entre les agent-es et inscrire les mobilisations et la grève dans la continuité.
Les organisations appellent à développer partout des initiatives et actions pour rassembler sur la nécessité de préserver la Fonction publique : meetings, rassemblements, conférences de presse, forums, pétition, adresse aux usagers… Elles prévoient d’ores et déjà un temps fort de mobilisation lors du rendez-vous salarial prévu à la mi-juin.
Elles organisent une conférence de presse le 17 avril.
Les organisations décident de se revoir, avec toutes les organisations qui le souhaiteront, le 3 mai prochain.
Les Lilas, le 10 avril 2018
Et ce n'est pas fini...
Lycée Paul ELUARD, LP Edouard VAILLANT, Collège Louise MICHEL, Collège Paul LANGEVIN...Je n'ai pas les noms des écoles primaires, mais visiblement ce n'est pas une commune de droite. Effectivement, un maire socialiste fut élu en 1919, qui devint communiste en 1920 et cela s'est poursuivi jusqu'à nos jours, avec une nouvelle dénomination : ADS (Alternative Démocratie Socialisme), mouvement fondé par l'ancien ministre limousin Marcel RIGOUT, dont la Haute-Vienne était un bastion.
Avant cette époque (longtemps avant ! ) fut construite autour du XII° siècle la collégiale, une des plus belles églises romanes du Limousin. Maintenant, et c'est une chose assez rare pour être mentionnée, le drapeau républicain et celui de l'Europe flottent au fronton de ce bâtiment religieux. Juste à côté se dresse l'imposante salle des fêtes ; les conseillers municipaux étaient si fiers de leur réalisation que le nom de chacun d'eux figure, gravé dans le bronze, au dessus du porche d'entrée. Quand nous y étions se tenait une fort intéressante exposition photographique sur des thèmes divers.
Mais ce que j'ai trouvé particulièrement intéressant, ce sont les plaques présentant les divers monuments et leur contexte historique en français et en occitan. C'est tout de même mieux que ce qu'on trouve à Bordeaux où les plaques explicatives sont rédigées en français et dans le langue de Trump.
Une autre exposition dans le centre culturel Laurentine TEILLET tournait autour des « livres retrouvés » au sein de la Cour d'appel de Limoges, comment les mettre en valeur et comment les protéger : un magnifique lutrin et de belles enveloppes de cuir personnifiaient cette action ; je me mettais à rêver de ce que nous pourrions faire avec les trésors de l'IHS-CGT à la Bourse du Travail de Bordeaux.
Et ce n'est pas fini...
Sous-préfecture de la Haute-Vienne, abritant un peu moins de 4 000 habitants, Rochechouart est une ville pittoresque anciennement fortifiée qui possède un château du XIIIe, XVe et XIXe construit sur un éperon rocheux de brèches météoritiques.
Un événement extraordinaire de l’histoire de la planète s’est produit sur la région de Rochechouart, il y a de cela … 200 millions d’années.
Une météorite géante d’un kilomètre et demi de diamètre y a fini son voyage à 72000 km/h…
De la force de cette explosion, la Météorite n’a pas survécu, mais sa fusion avec les roches terriennes a donné naissance à des pierres uniques et rares, les brèches d’impact. Leurs teintes variées selon les degrés de fusion, du jaune au vert, au rouge donnent une identité originale au patrimoine bâti local.
Depuis toujours l’homme a utilisé ces pierres uniques nées de la rencontre du ciel et de la Terre pour construire son habitat. Des gallo-romains dont les thermes de Chassenon sont dans un remarquable état de conservation, à l’église au clocher tors et au Château de Rochechouart, jusqu’aux maisons du XXème siècle.
Le château abrite actuellement le Musée Départemental d’Art contemporain, mais certaines fresques à l'intérieur de l'église n'y dépareraient pas. Un beau monument aux morts se dresse sur la place du château ; pourquoi beau ? Parce qu'il n'est pas belliciste mais exprime la douleur
Et puis, car il ne faut pas négliger les nourritures terrestres, nous avons très bien déjeuné à l'Hôtel de France, situé sur la place principale de la ville.
Et ce n'est pas fini...
Limoges, cette ville est synonyme, depuis 1914, de relégation pour les officiers relevés de leur commandement par le maréchal Joffre. Ce n'est jamais l'opinion que j'en ai eue. Pour moi, Limoges était synonyme de vacances : c'est là que chaque mois de juillet nous descendions du train, que nous avions pris à la gare d'Austerlitz, pour prendre la micheline jusqu'à St Yrieix la Perche, dernière étape avant notre village de Dordogne.
Et puis, n'oublions pas non plus, c'est là que fut créée la CGT en 1895. Ce n'est donc pas un hasard si Limoges eût comme surnoms : « la Rome du socialisme » ou « la ville rouge » !
Nous avions parcouru cette ville après notre dernier déménagement, à la recherche de porcelainiers susceptibles de remplacer une pièce qui avait été cassée. Chacun nous avait dit que nous ne retrouverions pas l'équivalent, les techniques modernes étant beaucoup moins artisanales que ce qui existait au début du XX° siècle.
La semaine dernière, visite différente : je ne me souvenais pas que Limoges possédait autant de si belles maisons à colombages qui voisinent avec les beaux bâtiments du XIX° ou du début du XX° siècle que sont la gare des Bénédictins, la poste centrale ou même la mairie (passée à droite pour la première fois lors des dernières municipales).
Ci-dessous quelques photos prises lors de ces déambulations ensoleillées.
Et ce n'est pas fini...