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Le blog de Bernard SARLANDIE

Meurtre en Périgord.

7 Mai 2014, 08:02am

Publié par Bernardoc

         Comme le titre peut le laisser entendre, il s'agit d'un roman policier qui se déroule au « Pays de l'homme ». Publié en 2012 aux Editions du Masque et écrit par Martin WALKER, je me suis aperçu seulement en commençant la lecture qu'il s'agissait d'une traduction dont le titre original était : Bruno, chief of police. Je l'ai regretté au départ car je préfère lire les versions originales des ouvrages de langue anglaise. Mais la traduction de Serge CUILLERON est excellente, et à part « bergerac » écrit systématiquement avec une minuscule, il n'y a rien à redire. Il faut dire que l'auteur connaît parfaitement la région dans laquelle se déroule l'action, ce qui n'est pas étonnant car, comme nombre d'anglais, il y possède une maison. (N'oublions pas que le premier hebdo de langue anglaise est né en Dordogne et que Sud Ouest publie des articles en anglais pendant les deux mois d'été).

         Ce récit est la première enquête de Bruno COURREGES, flic municipal dans le village de St Denis (et apparemment, il y en a toute une série). La vie quotidienne de ce policier est finement dépeinte, ainsi que celles de tous les habitants du village, dans leurs inter-relations fort paisibles, jusqu'à ce que...

         Eh bien oui, il y a un meurtre et le flic municipal se révèle, grâce à sa connaissance du terrain, être un collaborateur précieux de la police et de la gendarmerie nationales.

         Bien entendu, ne comptez-pas sur moi pour vous révéler la fin, mais ce que je peux vous dire, c'est que j'ai découvert certains épisodes de l'histoire de France et du Périgord dont je n'avais pas la moindre idée. Et tout cela grâce à une Anglaise !

         Bonne lecture !

Et ce n'est pas fini...   

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Atteindrons-nous les 70% ?

6 Mai 2014, 22:58pm

Publié par Bernardoc

Vous avez compris qu’il ne s’agit pas de la côte de popularité du président, mais je pense au chiffre de l’abstention pour les futures et proches élections européennes. Vu l’intérêt que portent les gens à ce qui est censé les concerner directement (n’oublions pas que la majorité de nos lois nous sont dictées par l’Europe), tout est à craindre.

Ainsi hier soir Les amis du Front de Gauche du Haillan avaient fait venir un invité de qualité, professeur des universités, spécialiste de l’Europe et enseignant à Bordeaux Montaigne. Vous pouvez lire ci-dessous trois des appréciations des présents.

Le débat de hier au soir était très très intéressant  et il est dommage que les gens ne se déplacent pas ; toutefois, nous devons poursuivre notre combat.

En complément à la réunion d'hier soir (excellente) sur l'Europe, une contribution de Jean-Marie HARRIBEY.

Très bonne réu hier soir, trés bon intervenant

         Merci à Rose et Bernard pour l’initiative apéro à reconduire.

         A peine plus de vingt participants, et un seul élu non-membre du FdG. C’est comme si les citoyens avaient peur d’aller écouter une parole différente de ce qui leur est abondamment déversé par les médias, ou comme s’il existait la consigne de conserver ses œillères. On s’en était déjà rendu compte lors de la campagne des municipales, où les « grands » meetings (de l’une ou l’autre liste) ne voyaient que des convaincus, et si par hasard quelqu’un d’inconnu venait se renseigner, il passait tout de suite pour un espion et était pointé du doigt. Curieuse notion de la démocratie et de l’ouverture d’esprit !

         Enfin, avec 25 listes pour notre circonscription, peut-être certains abstentionnistes habituels iront-ils voter ? Entre les Occitans et les Espérantistes, le choix est ouvert !

         Les photos de la soirée sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6010419031625853809?authkey=CLSZ9dv88_v2fQ

Et ce n’est pas fini…

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Très courts 16/3.

5 Mai 2014, 08:11am

Publié par Bernardoc

         Explication : c’était la 16ème édition du festival international des films « très courts », soit de 45 secondes à 4 minutes environ, mais la 3ème fois au Haillan. Donc, le visionnage (visionnement ?) des 44 films dura à peu près deux heures.

         Bien entendu, la salle de L’Entrepôt avait été requise pour accueillir ce spectacle à 5 € dans lequel le public avait son mot à dire, puisqu’il devait choisir trois films pour participer au prix du public. Malheureusement, la salle était remplie à environ 10% de sa capacité, et si l’on retranchait les élus municipaux et leur famille, il y avait vraiment peu de monde. J’y ai quand même reconnu quelques Haillanais.

         La particularité de ce festival est qu’il se déroule au même moment dans 29 pays, et plus d’une centaine de villes, dont 22 en France métropolitaine et une en Kanaky. Ce qui est réjouissant, c’est que certains pays en situation extrêmement difficile mise sur la culture, peut-être dans l’espoir de réconcilier leurs populations et d’espérer en l’avenir.  Je pense notamment à l’Espagne et à la Grèce qui sortent avec peine de l’étranglement de la troïka, mais aussi les Territoires palestiniens, qui survivent malgré les incessantes agressions israëliennes, l’Ukraine pour laquelle je n’ai pas besoin de vous faire un dessin, et le Venezuela où la réaction tente de faire tomber le gouvernement régulièrement élu. Quel courage pour les habitants de ces pays de participer à cette entreprise culturelle malgré toutes leurs souffrances quotidiennes.

         Voici, sous le lien, un exemple des perles que nous avons pu apprécier :

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=H330G1WAKeE

Et ce n’est pas fini…

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Bonheurs champêtres.

4 Mai 2014, 06:33am

Publié par Bernardoc

         Nous étions au mobile-home, et quasiment obligés de rester au chaud à l'intérieur, le climat n'étant pas vraiment clément. Ce qui nous a donné l'occasion d'assister aux jeux d'un groupe d'écureuil (trois frères ?) qui, sans aucune peur, envahissait notre terrasse et notre jardin, passant des pins aux mimosas avec une agilité et une adresse remarquables. On avait vraiment l'impression que ces petits animaux à la superbe queue de fourrure rousse étaient en train de découvrir le monde et les possibilités qu'il lui offrait.

         Ici, dans ce camping, avant l'arrivée des campeurs, tout le terrain était à eux. Et ils en profitaient ! Cela nous a fait d'autant plus regretter la disparition de nos petits voisins à la maison, chassés qu'ils furent par la construction d'un lotissement sans aucune unité architecturale : le symbole de ce qu'il ne faut plus faire !

         Mais ce ne sont pas les seuls visiteurs qui viennent nous tenir compagnie lors de nos séjours à Euronat. A l'automne, les palombes, qui ne sont pas folles, choisissent ce refuge protégé pour se mettre à l'abri et échapper aux chasseurs médocains. Toutes sortes d'oiseaux, merles, geais, chardonnerets,...ont élu domicile autour de nous et se posent périodiquement dans notre jardin pour picorer. Je n'y ai pas encore vu de sanglier, sinon les traces de morceaux de terrains retournés, mais lorsque je courrais encore il m'a été donné d'apercevoir biche ou chevreuil à une courte distance.

         Donc, même quand le temps n'est pas de notre partie, c'est vraiment un dépaysement total. Avec, pour rythmer les saisons, la cueillette du mimosa à la fin de l'hiver, les mûres au mois d'août, les arbouses en septembre et les champignons en octobre. Il n'y a vraiment pas que la plage et l'océan pour profiter des moments de détente...en dehors de la thalasso, bien entendu.

Quelques photos (sans téléobjectif) sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6009309941207852289?authkey=CJ_zsvu52q6jwAE

 

Et ce n'est pas fini...  

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1er mai à Bordeaux.

3 Mai 2014, 08:05am

Publié par Bernardoc

         Comme toujours, peu de monde à l'heure du rendez-vous de 9h30, mais la foule s'était agrandie lors du départ, une heure plus tard, pour largement dépasser les 7 000 participants. On aurait pu en espérer encore davantage après les scandaleuses annonces du premier ministre qui continue à se prétendre socialiste alors qu'il y a quelques années plusieurs voix au sein de ce parti s'étaient élevées pour lui demander de le quitter. Mais la division syndicale continue de faire des ravages. Pourtant, je me souviens, depuis la fin des années '70, d'avoir participé à de nombreux cortèges unitaires CGT-CFDT-FEN. Chacun connaît la dérive de la CFDT (qui a provoqué le départ de sections entières vers la CGT), mais nous devons tout de même nous réjouir de la présence de deux des avatars issus de l'ancienne Fen, à savoir la FSU et SUD'éduc.

         C’était un plaisir de voir que tous les élus du Front de Gauche du Haillan étaient présents, et j’espère que d’autres élus majoritaires, je pense notamment aux syndicalistes, y étaient aussi, mais dans la foule, impossible de voir tout le monde.

         En prévision de notre manifestation parisienne du 3 juin prochain, nous devions vendre des foulards à 3 € afin d'amortir les frais de transport, la SNCF ne nous faisant pas de cadeau. Seul un actif (non membre de la CGT) m'en a acheté, et c'est là qu'on se rend compte de la crise économique qui frappe le monde salarié : 3 € pour une action de solidarité intergénérationnelle représente une dépense que bon nombre ne peuvent assumer. Mais j'ai quand même réussi (pas seulement aujourd'hui, mais en trois fois) à financer déjà un peu plus d'un aller-retour...et il me reste encore des foulards ! Il y aura sans doute d'autres occasions d'ici le 3 juin.

         Manif relativement silencieuse, mais c'est de plus en plus souvent le cas, dans le cortège de la CGT. Nous eûmes la chance d'être épargnés par la pluie, mais le repas convivial et fraternel s'est déroulé non pas sur le cours Aristide BRIAND, mais dans le hall de la Bourse du travail. Nous étions parmi les premiers, si bien que nous n'eûmes pas à faire la queue, et comme prévu, nous sommes arrivés au mobile-home à une heure raisonnable.

         Quelques photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6009074808688788593?authkey=CLbt-9KWzt31Kw

Et ce n'est pas fini...

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Toujours le manque de profs.

2 Mai 2014, 23:25pm

Publié par Bernardoc

         Pendant cinq ans, les différents gouvernements Sarkozy-Fillon ont consciencieusement sapé l’institution Education nationale. Ceci a provoqué une désaffection croissante pour les métiers de l’enseignement. Le ministre Peillon a tenté de stopper cette dégradation en promettant de revenir à un recrutement amélioré, en abandonnant le dogme imbécile et désastreux du non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.

         Seulement voilà : la source s’est tarie. Encore de mon temps, la méritocratie républicaine permettait aux jeunes d’origine modeste de pouvoir accéder à ces nobles métiers en étant pris en charge par les écoles normales ou les IPES, c’est-à-dire à recevoir un traitement pendant la durée de leurs études. Ceux qui n’avaient pas été reçus à ces concours de pré-recrutement avaient la possibilité d’obtenir un poste de surveillant (MI-SE) dont le salaire était l’équivalent d’un salaire de premier échelon d’instituteur. Maintenant, à eux de se débrouiller financièrement pour atteindre bac + 5 avant de pouvoir prétendre à passer le concours.

         Et à quoi assistons-nous aujourd’hui ? Les postes mis aux concours (mathématiques et professeurs des écoles entre autres) ne sont pas totalement pourvus.

         Le gouvernement semble le déplorer, mais cherche-t-il à susciter des vocations ? Il continue à annoncer le gel des traitements, refusant d’envisager pour les enseignants une rémunération qui corresponde à leur niveau d’études et aux difficultés qui s’accroissent dans l’exercice de leur métier (classes de plus en plus nombreuses, multiplication des réunions et des tâches,…) Résultat les candidats potentiels vont se tourner vers d’autres activités où leur statut de cadre sera reconnu et où ils n’auront pas à affronter l’ire des parents d’élèves et les injonctions de la hiérarchie.

         Pour l’éducation nationale, le changement, c’est pour quand ?

Et ce n’est pas fini… 

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Un dernier pour la route.

1 Mai 2014, 00:03am

Publié par Bernardoc

         Je veux parler du dernier Mercred ! du Haillan de la saison. Le hall de L’Entrepôt était bien plein, mais comme d’habitude les Haillanais étaient minoritaires. Il faut dire que le sport, qui évite de penser, attire davantage les foules ; et il me semble que les investissements prévus dans ce domaine ne seront freinés que par le régime austéritaire auquel le gouvernement vallsocialiste  entend soumettre les collectivités locales.

         Bref, encore une fois les absents ont eu tort, et les spectateurs extérieurs en ont largement eu pour leurs cinq euros.

         Le héros de la soirée était Bastien LANZA (rien à voir avec le ténor Mario), auteur-compositeur-interprète de 25 ans. Maniant la guitare avec aisance, il a vite conquis l’assistance par ses chansons variées, aux textes puissants capables de camper une ambiance grâce à l’association de paroles et musiques adaptées à la peinture d’histoires sensibles qui nous touchaient au plus profond de nous-mêmes.

         Butant à la fin sur une de ses chansons, il nous a interprété « L’encre de tes yeux » de Cabrel. Mais, ce qui était le plus frappant, notamment au début de son récital, c’était le quasi mimétisme avec le chanteur Renaud. Si l’on passait ces chansons à la radio, on pourrait croire, à leur écoute, qu’il s’agit d’inédits du Renaud des débuts (fin 70, début 80).

         Un regret cependant : en écoutant le disque, qui nous a été dédicacé, en rentrant à la maison, on se rend compte de l’exécrable sono de ce hall, et c’est bien dommage.

         Les photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6008200312123536833?authkey=CMrt6eyS2bf5AQ

Et ce n’est pas fini…  

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Barbarie.

30 Avril 2014, 14:15pm

Publié par Bernardoc

         Les Etats Unis d’Amérique, pays d’immigration massive, a une très courte histoire et il lui manque notamment le moyen-âge. C’est ce qui explique qu’un certain nombre de châteaux forts européens ont été démontés pierre à pierre pour être reconstruits outre Atlantique. Walt DISNEY s’en est d’ailleurs inspiré pour les châteaux de ses parcs d’attraction.

         Donc, afin de revivre les traditions moyenâgeuses qui lui manquent tant, ce pays, que d’aucuns osent qualifier de « plus grande démocratie du monde », ce pays a choisi la peine de mort. Non pas par pendaison, fusillade (ça, les simples citoyens s’en chargent) ou guillotine, châtiments bien trop rapides au cours desquels le condamné n’est pas censé souffrir, mais en utilisant des méthodes dignes des tortures antérieures, tels l’écartèlement le pal ou la roue. Il s’agit d’injections létales, qui nécessiteraient des talents d’infirmier de la part du bourreau, ce qui visiblement n’est pas toujours le cas, les intraveineuses se transformant en intramusculaires, et devant le refus de certains laboratoires de continuer à fournir ce produit, les bourreaux ont recours à des mélanges plus ou moins hasardeux. C’est ainsi que l’on vient d’assister au supplice d’un condamné qui est finalement mort d’une crise cardiaque.

         Ceci est la torture extrême, mais n’oublions pas ce qui se passe à Guantanamo, que l’actuel président Obama s’était engagé à rendre à l’état cubain, mais qu’il a conservé car, rappelons-le, les droits de l’Homme ne sont pas la priorité absolue de ce pays.

         Vous êtes choqués à la NSA ? Vous n’aviez qu’à pas venir me lire !

Et ce n’est pas fini…            

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Les fontaines de Bordeaux.

29 Avril 2014, 00:21am

Publié par Bernardoc

         Il est bien possible que ce ne soit que le début d’une série, car en deux heures nous n’avons pu en découvrir que quatre : celle de la place Charles GRUET (sur la rue Fondaudège) où nous avions rendez-vous, puis sur le chemin du Jardin public, une autre, beaucoup plus modeste. La troisième était la fontaine Wallace du jardin public : aucune de ces trois ne fonctionnait. Enfin, nous terminâmes par la fontaine des Girondins, un plagiat de la fontaine des Terreaux à Lyon, œuvre de Bartholdi que la ville de Bordeaux avait refusé d’acheter à l’époque.

         Deux heures pour quatre fontaines, mais deux heures passionnantes grâce à une guide conférencière Isciane LABATUT qui nous a conté l’histoire de l’eau à Bordeaux depuis l’Antiquité. Elle maîtrisait parfaitement son sujet et n’a eu besoin d’aucune note pour nous présenter cette histoire et les caractéristiques de chacune des fontaines.

         La place Charles GRUET était occupée par des SDF, qui fort aimablement, sans qu’on le leur demande, ont débarrassé la fontaine de leurs affaires (qui y étaient à l’abri), afin de nous permettre de prendre des photos.

         Les fontaines Wallace de Bordeaux ne sont pas un don de M. WALLACE, mais d’un mécène bordelais, Daniel IFFLA OSIRIS, complètement tombé dans l’oubli, de façon fort injuste selon notre guide.

         Enfin, et depuis que nous travaillons à notre guide touristique en esperanto, les particularités de la fontaine des Girondins étaient beaucoup plus remarquables à mes yeux : j’essayais de devancer la présentation d’Isciane en me remémorant les textes que j’avais adaptés.

         Il y a matière à au moins quatre visites supplémentaires pour faire le tour des fontaines bordelaises.

         Quelques photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6007471298508486961?authkey=CJuu6P_fyMWwHg

Et ce n’est pas fini…   

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Qu'est-ce qu'ils sont bien ces Néo-zélandais !

28 Avril 2014, 07:43am

Publié par Bernardoc

Messieurs les barbes font chavirer le cœur des dames ! Mais attention, pour cela il faut s'assurer d'être le seul barbu ! Selon les chercheurs de l'université South Wales (Nouvelle-Zélande) les caractéristiques les plus rares sont les plus attrayants. Pour vérifier cette hypothèse, ils ont demandé à un groupe de 1453  femmes d'observer trois catégories de photos. Une série avec des hommes rasés, une autre où ils avaient une barbe de cinq jours et une troisième avec des hommes très barbus. Toutes les femmes ont dû noter combien elles trouvaient les hommes attirants selon les catégories d'images.

Les résultats ont montré que les hommes barbus et particulièrement ceux avec une barbe légère de cinq jours ont été mieux notés que les autres. Néanmoins, une variation a été soulignée par les chercheurs. Sur les photos, les femmes ont mieux noté un homme barbu lorsqu'il était le seul à l'être que lorsqu'il était entouré d'autres barbus. Un phénomène de saturation qui donne un avantage aux traits physiques rares. Voilà pourquoi la mode des hommes barbus disparaît et réapparaît au fil des années. Planet.fr

         Je ne change rien !

Et ce n’est pas fini…

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