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Le blog de Bernard SARLANDIE

Il en faut pour tous les goûts.

26 Octobre 2012, 09:20am

Publié par Bernardoc

         Le dernier mercredi du Haillan accueillait, grâce à Chœurs et musique un duo de musiciens : Vincent PEIRANI à l’accordéon et François SALQUE au violoncelle. L’église du Haillan accueillait un grand nombre de Haillanais, mais également beaucoup de gens extérieurs à la commune, preuve, une fois de plus, que la qualité, surtout à un tarif tout à fait abordable (mais qu’en sera-t-il lorsque la dotation de fonctionnement des communes aura baissé de 30% - c’est pour dans deux ans) attire les foules. Cette réalisation de la présente mandature est vraiment à conserver.

Les deux virtuoses semblaient ne faire qu’un avec leur instrument, tant ce dernier était vraiment le prolongement de leur corps et paraissait un attribut indispensable à leur expression. François, avec ses faux airs de Souchon jeune, mettait tellement d’ardeur à frotter ses cordes, que les crins de son archet n’y résistaient pas. Alors que l’immense Vincent arrivait à danser pour accompagner les notes qu’il tirait de son accordéon.

Mais voilà : leur musique ne m’a pas emballé. En fait, et même s’il ne s’agissait pas du même instrument, je pensais à cette chanson interprétée, entre autres, par MOULOUDJI : Mon pote le gitan, dans laquelle il est question d’« une guitare crasseuse qui vous colle le noir » et qui se termine par : « Toi sacré gitan qui sentait le cafard
Au fond ta musique était pleine d'espoir. » Tout au long du récital je me disais que c’était une musique à surtout ne pas faire écouter à des gens dépressifs, et puis à la fin, le ton a changé et c’était l’image de guinguette ou de cabaret populaire qui m’envahissait, mais avec une sorte de folie tourbillonnante de gens qui voulaient se noyer dans ce mouvement ; donc quand même pas tellement réjouissant.

Je dois avoir été le seul à percevoir ce concert de la sorte, car à la sortie les gens ne tarissaient pas d’éloges. D’où le titre de cette chronique.

Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20121024MercrediMusique?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLqE89DUxOOfnQE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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UFEO.

25 Octobre 2012, 07:00am

Publié par Bernardoc

         Non, pour ceux qui auraient mal lu, rien à voir avec les OVNI ! Il s’agit de l’Université de la Formation, de l’Education et de l’Orientation, XVIII° du nom, qui se déroulait les 22 &  23 octobre 2012 à la Maison de la Promotion Sociale d’Artigues-près-Bordeaux. C’était la première fois que j’y participais, et rétrospectivement, je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt, mais je ne me souviens pas l’avoir vu apparaître dans les PAF (Plans Académiques de Formation)…du temps où ils existaient.

         Le thème cette année était : « La formation, cœur du développement humain ? ». Et le « ? » est important, c’est-à-dire que nous allions non pas seulement disserter, mais tenter de répondre à la question.

         A l’origine, cette université était directement organisée par la MPS, mais depuis quelques années, c’est Aquitaine Cap Métiers qui a pris le relais. Nous fûmes quand même accueillis par le nouveau directeur, Jean CAMILLE, de la Fédération Léo LAGRANGE qui vient de reprendre la gestion de cet indispensable outil de formation. J’ai bien aimé son discours en défense de l’éducation populaire.

         Le programme de l’UFEO était très varié : deux tables rondes successives avec pour thème :

-      Développement humain : nouvelles perspectives, nouveaux risques, nouveaux défis.

-      Regards croisés sur les pratiques d’éducation et de formation à l’aune du développement humain.

Après l’apéro-jazz venait la projection du film Indices, à laquelle je n’ai pu assister, la répétition chorale m’attendant.

Le lendemain matin quatre ateliers se déroulaient en parallèle ; ils abordaient les thèmes des réseaux numériques, des « capabilités », les facteurs d’insertion professionnelle et le projet d’émancipation.

Une dernière table ronde l’après-midi nous conduisait à réfléchir sur : «Quel défi pour les acteurs du territoire ? », juste avant la restitution des ateliers.

Enfin, François DUBET, dans sa conférence de clôture, se demandait si « L’ambition du développement humain [était] au cœur des missions de l’école et de l’université ? ».

Des intervenants de très haut niveau et d’origine variée m’ont conduit à suggérer à Thierry BERTHET, le président du comité scientifique, de proposer cette université comme module de formation des nouveaux chefs d’établissement. Mais il m’a semblé entendre une certaine forme de pessimisme quant à l’avenir de cette UFEO. Ce serait extrêmement dommage si elle n’était pas pérennisée.

Trois photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/UFEO?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIic1Jv6y7aR0QE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Autour de Préveza.

24 Octobre 2012, 00:38am

Publié par Bernardoc

         Nous quittons notre hôtel sans avoir pu profiter de la piscine (faute de temps) et nous nous rendons six kilomètres au nord, sur le premier site occupé par les romano-byzantins : Nicopolis d’Epire, que ses habitants ont plus tard abandonné pour fonder Préveza.

         Comme les autres sites visités, celui-ci ne déroge pas à la règle et des travaux étaient en cours pour sa maintenance. Et ça le mérite car certaines parties sont remarquablement bien conservées malgré les siècles. L’Union européenne l’a d’ailleurs primé, même si l’urgence actuelle pour les Grecs se porte sur des besoins plus vitaux. Ces constructions, qui mêlent rangées de briques et élévations de pierres, ne sont pas sans me rappeler certains aspects de l’architecture que l’on trouve en Lot-et-Garonne. Les sols en mosaïque qui ont été révélés sont maintenant protégés et entretenus, témoignages révélateurs des croyances antiques. L’épaisseur de certaines fortifications indique que cet ancien port devait bien se protéger contre les envahisseurs.

         Puis nous nous dirigeons vers le site de Kassopé, d’où nous apercevons les gigantesques statues rendant hommage à ces femmes qui ont préféré se jeter en dansant de la falaise, plutôt que de succomber aux envahisseurs. C’est sur une autre falaise que Kassopé  fut construite en damier. Mais l’effondrement de cette falaise a provoqué la disparition d’une grande partie de cette cité. Ici aussi, le site est magnifique : les anciens ne s’installaient pas n’importe où, et l’on peut remarquer les différents bâtiments qui participaient à la vie urbaine : agora, « parlement », auberge,…Les rues, tracées au cordeau, abritent un système d’égouts bien préservé. Nous remarquons également la façon dont les pierres sont taillées de façon à bien s’encastrer et de rester solidement unies même sans ciment.

         Notre journée allait se poursuivre sur l’île de Leucade. En attendant, les photos de cette matinée sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/NicopolisEtKassope?authuser=0&authkey=Gv1sRgCODMz-WozMfLYg&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Parga.

23 Octobre 2012, 07:33am

Publié par Bernardoc

         Ultime étape avant d’arriver à Préveza : la station balnéaire de Parga, qui m’est apparu comme une sorte de St Tropez local, avec quand même un peu de monde en cette arrière-saison.

         Mais d’abord, trois quarts d’heure après avoir quitté Igoumenitsa, arrêt au bord de la route, malheureusement à un endroit éloigné de la mer : un des voyageurs avait oublié ses papiers à l’hôtel et nous avons donc dû attendre le taxi qui les lui apportait.

         Arrivée au bord d’une plage tentante, on se serait vraiment cru sur la Côte d’azur, mais ce n’est pas là que le bain était prévu. Après quelques emplettes nous décidons donc de monter à l’assaut de la colline à travers les petites rues pittoresques et juste assez larges pour des scooters. Efforts récompensés par la découverte d’un superbe paysage que nous admirons en longeant le chemin des douaniers ( ?). Quel plaisir d’avoir retrouvé le soleil, son absence aurait gâché notre promenade. En redescendant nous jetons un œil à l’intérieur d’une église, très sobre : on aurait presque pu se croire chez les protestants ; pourtant l’iconostase témoignait bien de son orthodoxie.

         Nous longeons ensuite une plaine côtière qui ressemble à une tourbière, alors qu’il s’agit probablement d’un marécage.

         Nous arrivons enfin à notre hôtel, le Margarona, le seul dans lequel nous allions rester deux nuits. Certains décident d’aller dans une taverne voisine, d’autres n’ont pas faim, un autre groupe choisit de tester la nourriture du restaurant de l’hôtel. Ils ont bien mangé, mais au moment de payer c’était du niveau de L’addition, le sketch de Muriel ROBIN.

         Des photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Parga?authuser=0&authkey=Gv1sRgCJ2_77yEjY7sKw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…  

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Dodone.

22 Octobre 2012, 09:25am

Publié par Bernardoc

         En route pour Préveza, nous nous arrêtons sur le site de Dodone, sanctuaire d’abord dédié à Zeus, puis siège d’une basilique chrétienne. Etonnant que les popes n’y aient pas fait construire de monastère puisque le lieu semblait propice à la proximité divine. Nous avons définitivement retrouvé le soleil qui ne nous quittera plus jusqu’à la fin du voyage.

         Le site qui nous accueille est gigantesque, et ce qui nous frappe en arrivant est l’immense amphithéâtre, relativement bien conservé et qu’on est en train de réhabiliter. Peut-être, d’ici quelques années, des voix d’acteurs ou de chanteurs y résonneront-elles à nouveau ? En effet, contrairement à ce qui semble se passer en Italie, où le site de Pompéi notamment est en train de se dégrader à toute allure, partout où nous sommes passés visiter des ruines, fort nombreuses en Grèce ! des travaux de conservation s’y déroulaient, apparemment la plupart du temps en lien avec les facultés d’archéologie. Il est bon que malgré ce que la finance européenne fait subir à leur pays, la protection du patrimoine n’ait pas été abandonnée.

         Zeus, Dionée, Héraclès, Aphrodite, avaient chacun leur temple dédié sur ce lieu. Et c’est sous le chêne sacré- il existe toujours, mais c’en est un autre -, que les prêtre(sse)s interprétaient la parole divine par l’intermédiaire du vent dans les feuilles : c’était l’oracle au sens premier.

         Nous poursuivons ensuite, par l’autoroute, notre chemin jusqu’à Igoumenitsa, port en pleine expansion depuis l’ouverture de cette autoroute, car débarcadère des ferries venant d’Italie. Nous revoyons donc la mer, mais ne ferons qu’une halte-déjeuner dans cette ville.

         Photos de Dodone :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Dodone?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKSZvMCdg_aYhQE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Fin de visite à Ioannina.

21 Octobre 2012, 21:55pm

Publié par Bernardoc

         De bon matin, après avoir chargé nos bagages dans le car, nous descendons à pied à travers les rues tranquilles jusqu’à l’embarcadère puisque nous allions prendre le bateau jusqu’à une île, au nom original de « l’île du lac » ! Le but avoué était de visiter le monastère de Filanthropinon, monastère du XIII° siècle mais déserté actuellement et gardé par une vieille dont il faut vérifier si elle est toujours vivante avant d’entamer la visite.

         Très courte traversée sur des eaux vertes (très !) et sous un ciel encore gris jusqu’à un village protégé du fait de son insularité, mais apparemment ravi et équipé pour accueillir les touristes. Les fresques post-byzantines du monastère resteront dans nos mémoires visuelles car il était interdit de prendre des photos et une lampe électrique était nécessaire pour en voir les détails.

         En sortant du monastère nous parcourons les rue du village : c’est fou ce qu’on trouve comme katanas dans les boutiques grecques (et pas que là), objet typiquement grec s’il en est ! Nous croisons l’église du village et nous y pénétrons : elle semblait à peine assez grande pour contenir toutes les richesses que les paroissiens avaient voulu y entasser pour se faire bien voir par le pope dieu. 

         Retour sur le « continent », sous un ciel qui commence à ressembler davantage à un ciel grec, avec pour but la visite de la citadelle et de la mosquée qui entourent la tombe d’Ali Pacha. Superbe endroit d’où l’histoire transpire de chaque pierre, belle mosquée transformée en musée qui mêle en son sein des témoignages des trois religions monothéistes, et beau point de vue sur le lac et les environs.

         Et c’est sous le soleil que nous quittons Ioannina pour nous diriger vers la côte occidentale de la Grèce.

         Les photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/IoaninaFin?authuser=0&authkey=Gv1sRgCP6K9vP77-GtPg&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Les ponts de Zagori.

20 Octobre 2012, 09:01am

Publié par Bernardoc

         Petit détour en quittant Monodendri dans un paysage toujours aussi grandiose, pour découvrir ces merveilles architecturales vieilles de trois siècles, qu’on ne peut qu’admirer…Avant le retour à l’hôtel et le lien renoué avec le monde grâce à internet !

         Les photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/LesPonts?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIf9lofAqZLP8AE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Les gorges de Vikos.

19 Octobre 2012, 08:03am

Publié par Bernardoc

         Ce fut notre promenade digestive après le déjeuner chez Dionysos. Quelques-uns décidèrent de rester à la taverne, d’autres s’arrêtèrent en chemin. Mais pour ceux qui sont allés au bout, cela en valait vraiment la peine.

         En quittant la rue principale, nous passons devant une (ancienne ?) école primaire, plusieurs églises et la place du village, ou plutôt d’un quartier. Nous choisissons alors le chemin qui va vers les gorges, qui figurent sur le livre Guinness des records grâce à leur profondeur et leur largeur au sommet.

         Le chemin était magnifique, les couleurs de l’automne donnant une parure chatoyante à tous les feuillus qui le bordaient. Nous arrivons à un autre hameau, blotti autour d’une chapelle surplombant les gorges, que nous devons traverser pour avoir une vue encore meilleure. Sur ce chemin étroit, parfois glissant, nous croisons un groupe de franco-grecs qui apparemment jonglaient naturellement d’une langue à l’autre.

         Profondeur impressionnante, et nous n’irons pas plus loin que la limite fixée par Andreas qui tenait à ramener la totalité de son groupe !

         Retour à Monodentri avant de voir sur la route du retour vers Ioannina quelques curiosités du pays des Zagoris.

La suite au prochain numéro, mais en attendant quelques photos de ce site et de cette balade sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Vikos?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLH7yq6c_sGaSg&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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De Kalambaka à Ioannina.

18 Octobre 2012, 11:59am

Publié par Bernardoc

         Dimanche matin, personne n’était en retard pour embarquer vers notre voyage-découverte de l’Epire. Chacun avait le cœur serré : nous aurions tellement voulu communiquer avec nos hôtes, et c’était tellement difficile à cause du problème de langues. Quelle différence avec Ha noi quelques semaines plus tôt, où les 800 congressistes venant de 60 pays différents pouvaient avoir toutes sortes de discussions sans interprète, grâce à l’esperanto.

         Quelques dizaines de minutes plus tard, après avoir franchi des cols auxquels nous menaient des routes étroites et sinueuses, nous arrivions au village de Metsovo, à la sortie de la messe. Nous avons pu y croiser des gens endimanchés, et notamment quelques femmes en habit traditionnel. Nous profitons de notre halte dans cette station de sports d’hiver pour faire quelques emplettes, y compris un fromage fumé qui ressemble à un saucisson, et que nous venons de finir la semaine dernière.

         C’est par l’autoroute que nous arrivons à Ioannina et commençons par visiter la citadelle, le « Kastro » (KAƩTPO). Passé la porte de la muraille, nous sommes accompagnés par un chien qui nous protège et en empêche un autre de nous ennuyer. Dans ce vaste espace, sur lequel se dresse une mosquée désaffectée, vestige témoin de l’occupation byzantine, nous visitons le musée, remarquable pour sa collection de peintures inspirées de diverses écoles, dont l’italienne. Nous redécouvrons la grande culture de notre guide Andreas qui arrive à nous passionner sur un sujet que sans doute la majorité d’entre nous ne privilégie pas en temps ordinaire. De ce Kastro nous avons une belle vue sur le lac de Ioannina sur lequel nous voguerons le lendemain.

         Nous repartons vers le nord et la frontière albanaise, le pays des Zagoris, jusqu’au village de Monodendri, dont la taverne Dionysos nous accueillera pour le déjeuner.

         Les photos de cette matinée sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/DeKalambakaAIoanina?authuser=0&authkey=Gv1sRgCILW28uxiZHtgAE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Découverte de la Thessalie.

17 Octobre 2012, 07:17am

Publié par Bernardoc

         Nos jumeaux avaient organisé une visite au sud de Kalambaka, autour du lac artificiel de Plastira. Il n’y avait pas une place de libre dans le car, nos hôtes, s’ils étaient libres, étant bien entendu du voyage.

         Mais le matin, avant de nous embarquer nous sommes passés déposer nos valises chez Ilias et Cryssa, ce qui semblait contenter tout le monde et permettait à Grigorio et Eleni de se rendre à Athènes pour le baptême de leur petite fille.

         Nous prenons la route de Trikala et poursuivons encore plus au sud, jusqu’à ce que nous atteignions les gorges de la rivière Tavropos sur laquelle se dresse le barrage qui porte le nom de son initiateur, le général Nikolaos PLASTIRA, qui en eût l’idée dès 1925. Mais il fallut que le projet mûrisse, puisque la construction effective date de 1959.

         Surprise lorsque nous arrivons sur le barrage : nous devons descendre du car, la route étant trop étroite et fragile pour un véhicule en pleine charge. Et bien entendu, c’est ce moment que choisit le temps pour faire des siennes et je ne vous dis pas le nombre de parapluies retournés le temps de cette traversée !

         Ensuite, ce fut une succession de paysages magnifiques qui n’avaient rien à voir avec l’image qu’on se fait traditionnellement de la Grèce ; cela se rapprochait plutôt des paysages nordiques découpés par les eaux, et en plus avec un ciel similaire.

         Une halte était prévue dans un chai, mais nous nous sommes trompés de route et Georges, notre chauffeur s’est livré à des manœuvres très délicates : c’était décidément un as de la marche arrière !

         Après la cave, déjeuner dans un restaurant géré par une municipalité, puis retour en face de la gare de Kalambaka, où nous allions passer notre dernière nuit.

         Un saut chez Stefanos et Manuela et il était temps d’aller partager le dernier repas, agrémenté de danses grecques que chacun pouvait partager s’il en avait envie. On devrait mettre gigues ou bourrées au programme pour leur prochaine visite !

         Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/LExcursion?authuser=0&authkey=Gv1sRgCP2Z6rbsyPzNOw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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