Spécial cousinage
Voici quelques photos de l'oeuvre de mon petit cousin Bilal.
Tunis
Camp Choucha (à la frontière tuniso-lybienne)
Il y a plus de quarante photos dans chaque série.
www.zoo-project.com
Et ce n'st pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Voici quelques photos de l'oeuvre de mon petit cousin Bilal.
Tunis
Camp Choucha (à la frontière tuniso-lybienne)
Il y a plus de quarante photos dans chaque série.
www.zoo-project.com
Et ce n'st pas fini...
Dernier après-midi du congrès : avant l'apothéose du spectacle du soir, nous sommes partis visiter la cap d'Agde, en commençant par Le musée de l'éphèbe, qui en vérité se révèle être Alexandre le Grand. Tous les objets exposés dans ce musée d'archéologie sous-marine ont été retirés de la mer ou des fleuves.
Puis nous sommes allés jusqu'au bord de mer, au bord d'une plage de sable noir d'origine basaltique : nous étions sur les restes du dernier volcan de la chaîne des puys.
Stèle du débarquement.
Et ce n'est pas fini...
Comme dans tous les congrès, notamment esperantistes, des excursions sont prévues pour faire découvrir la région aux participants. Nous nous étions inscrits pour la visite de l'étang de Thau le samedi, mais comme c'était complet, nous avons participé à celle du dimanche. Et bien nous en a pris, car, à cause de la tempête qui sévissait sur Sète ce week-end, les visiteurs du samedi ont été privés de la majeure partie de l'excursion.
Le dimanche après-midi, nous nous embarquons donc sur un petit bateau qui nous emmènera, à travers thoniers, cargos et ferries jusqu'à un bateau à vision sous-marine qui nous fera découvrir les parcs à moules et à huîtres, bien différents de ceux que nous connaissons sur le bassin d'Arcachon.
Malgré le soleil, il ne faisait pas chaud. Rose en a profité pour afficher son patriotisme.
Un des multiples ponts levants (ou tournant) permettant deux fois par jour l'accès au port.
Le moment du transbordement.
Le débouché sur l'étang de Thau.
Les champs d'élevage de moules.
De plus près.
Au milieu.
Vue de dessus.
Vue sous-marine à travers le hublot.
Le retour, après une belle matinée.
Et ce n'est pas fini...
L'eau était bien présente pour ce troisième jour, sans doute même davantage que ce que l'on pouvait souhaiter. C'est à dire qu'elle tombait du ciel et a ainsi découragé un grand nombre de Haillanais de venir participer à la fête.
Pourtant, les commerçants étaient bien là, place Henri Bos ; les aura-t-on convaincus de revenir au Haillan ?
Le village de l'eau, sur la place François Mitterrand, était bien tristounet ; pourtant, les stands étaient nombreux et variés.
En revanche, pas de problème pour les volleyeuses (largement majoritaires par rapport aux hommes) qui fêtaient les 25 ans du Volley-Ball Club du Haillan. Un beau discours de la Présidente et une rencontre intergénérationnelle entre les anciennes championnes et la génération montante. Jean-Pierre, auteur d'une remarquable exposition, a déploré la fin de la section sportive au collège Emile Zola, et a rappelé qu'un seul Président d'Association Sportive (en l'occurrence votre serviteur) avait accompagné l'équipe en finale du championnat de france à Vichy.
L'après-midi, de nombreuses animations étaient prévues le long du parc du ruisseau, mais là encore le temps en a provoqué l'annulation : quel dommage ! Mais quelques personnes s'étaient déplacées et ont pu constater les progrès dans l'aménagement du site. Ce sera vraiment une réussite lorsque ce sera terminé.
Même le saule pleurait, mais peut-être pas à cause du temps !
Et ce n'est pas fini...
Tout s'annonçait bien ; le monde était venu admirer les jardins, dont certains étaient magnifiques.
Le stand du service des espaces verts.
L'habillage d'un écureuil avec des fleurs vivantes.
Deux des nombreux panneaux pédagogiques réalisés par les élèves et qui, malheureusement, ont beaucoup souffert de la pluie qui s'était invitée à cette fête dont le thème était l'eau.
Les jardins (provisoires) à la française de l'ESC.
Il faisait très chaud dans le hall d'accueil du centre, mais au moins nous étions à l'abri !...
Et ce n'est pas fini...
...pour la 3ème Fête du Printemps du Haillan, avec pour thème, cette année : l'eau.
Le Maire après le premier film financé par la Lyonnaise des eaux (qui gère la distribution de l'eau dans la CUB et l'assainissement -pour le moment).
Comme toujours, lors des festivités du Haillan, un très copieux buffet...très fréquenté !
Notre conseiller vert ne s'en laisse pas compter...
Et ce n'est pas fini...
Le premier avait eu lieu en 2005 à Boulogne-sur-Mer, afin de célébrer, dans le même lieu, le premier congrès international d’Esperanto, instant magique s’il en fut, selon les témoignages. Il avait été proposé d’organiser un congrès similaire tous les trois ans, mais des difficultés, pour ne pas dire des réticences, ne l’avaient pas rendu possible.
Sète représentait donc un espoir attendu, ce qui a largement contribué au succès de ces rencontres. La preuve, il y avait des congressistes arrivant de Russie, du Japon et même du Népal.
Outre les assemblées générales ordinaires de l’ensemble des organisations présentes, un spectacle de qualité, sur place ou dans la salle municipale Georges BRASSENS (ouverte au public) a animé chaque soirée. Comme lors du congrès universel de Montpellier il y a quelques années, PATRIC, chanteur occitan a fait chanter « Se canto » à l’ensemble du public.
Comme dans chaque manifestation espérantiste, le rendez-vous central est le libroservo, c’est-à-dire la librairie multimédia, qui est un bon moyen de montrer aux dénigreurs qu’il existe une véritable culture espérantiste.
Bien sûr, le maire de la ville d’accueil est venu, selon la tradition, et quel que soit le parti (ici, c’était la droite) est venu saluer le rassemblement, et offrir le vin d’honneur. Selon les villes, l’intervention de l’édile municipal est plus ou moins effectuée en esperanto ; ici, le maire s’est contenté d’un « Saluton ! ».
Un espérantiste catalan nous a parlé de la tristesse qu’il avait en voyant que les gens d’Occitanie lui répondaient en français, langue qu’il ne maîtrise pas, alors qu’il s’adressait à eux dans la langue qu’il croyait être la langue de leur pays.
Les visites culturelles, toujours organisées lors de ces congrès pour faire découvrir la région, vous seront présentées dans un prochain article.
Et ce n’est pas fini…
C’est ainsi qu’aurait pu s’intituler la lecture par deux comédiens du TNBA samedi dernier à la bibliothèque du Haillan. En effet, Bess DAVIES (qui, malgré son nom, n’avait aucun accent gallois !) et Tristan ROBIN nous ont donné quelques extraits du spectacle qui se finissait le jour même au théâtre.
Les textes lus avaient été écrits au début du siècle dernier par une auteure russe très tourmentée : Marina TSVETAEVA.
Poèmes, nouvelle, lettres, extraits de romans nous ont plongés dans une atmosphère dramatique traduisant bien les malheurs qui ont affecté cette auteure. Ainsi, la mort d’une de ses filles, pendant la maladie de l’autre, semblait complètement absorbée par la neige de l’hiver russe, ce qui explique la nécessité pour Marina de crier son désespoir et sa révolte, pour ne pas succomber à son tour.
Un public clairsemé pour ces trois quarts d’heures émouvants, mais c’était bien que la lecture se termine alors que le soleil était encore haut, ce qui a pu permettre aux spectateurs de rentrer chez eux vers la vie. Nul doute que si ce spectacle s’était terminé à la nuit et sous un temps maussade, les auditeurs auraient mis du temps à s’en remettre.
Fabien nous a annoncé une possible future coopération avec le TNBA, les lectures pouvant se faire au début des représentations afin de nous mettre l’eau à la bouche…et peut-être d’obtenir ensuite un tarif réduit au théâtre.
Et ce n’est pas fini…
3 000 personnes environ selon moi (je ne connais pas les chiffres "selon la police" ni "selon les syndicats"). Tract d'appel unitaire qui rappelait "CGT-CFDT-FEN" des années '70-'80, même si SUD avait également appelé à la manif. "Le Haillan en action" n'avait pas sorti sa banderole, mais le PG et le NPA représentaient quand même la majorité municipale. J'ai distribué quelques dizaines de tracts pour la pétition pour l'esperanto au bac ; le seul qui l'ait refusé portait un drapeau noir : il faut croire qu'il existe encore des analphabètes chez les anars, mais heureusement ce n'est pas la majorité.
Le défilé en images maintenant :
Corinne lisant son discours avant le départ.
La banderole unitaire.
Quelques drapeaux de l'Unsa.
Les anars en nombre (il me semblait que la grève générale expropriatrice devait également être gestionnaire, mais c'était il y a 40 ans et avant, depuis le XIX° siècle).
Les copains retraités.
La CGT Educ'Action.
Le plaisir d'être ensemble.
International
Le Boulevard des Potes s'affiche.
Accueil en chansons à la Victoire.
Le méchoui devant la Bourse du Travail.
Avant le banquet commun évoqué pour l'an prochain, l'Unsa s'invite à la table de la CGT.
Alain DELMAS et son T-shirt militant.
Et ce n'est pas fini...
Et ce n'est pas fini...