Journée internationale de la paix.
Nous n'étions qu'une petite cinquantaine ce matin place de la République, et nous restâmes cantonnés là, notre déambulation jusqu'à la préfecture n'ayant pas été autorisée.
Après la prise de parole du secrétaire de l'UD-CGT, chacun est intervenu pour donner la vision de son association. Je suis intervenu pour l'UPF après l'ARAC. Après avoir déclaré que l'UPF était contre toutes les armées, quel que soit le qualificatif qui l'affuble, j'ai dit qu'il fallait saisir la rupture du contrat de sous-marins pour réorienter les usines vers la construction de péniches ou de trains, moyens de transport écolo, et profiter de cette « trahison » pour claquer la porte de l'association guerrière dénommée Otan. Comme d'habitude, j'ai mentionné la proposition de loi pour le désarmement unilatéral, cosignée il y a une trentaine d'années par le sénateur girondin Marc BOEUF.
Mais si les mobilisations restent à ce niveau, les guerres ont encore de beaux jours devant elles : il faut bien que les armes servent, sinon ce n'est pas la peine d'en fabriquer.
Et ce n'est pas fini...