Encore des cartes
Ce sont les dernières de celles qui étaient sur le bateau. Mais beaucoup d'enveloppes étaient simplement garnies d'une autre façon.

Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Ce sont les dernières de celles qui étaient sur le bateau. Mais beaucoup d'enveloppes étaient simplement garnies d'une autre façon.
Et ce n'est pas fini...
Une liaison qui aurait pu se faire entre amis, collègues et voisins...Quelle tristesse.
Et ce n'est pas fini...
Comme la Sécu !...Et merci à elle.
Et ce n'est pas fini...
Toujours la volonté unitaire : FI & EELV.
Une erreur cependant sur la carte insoumise : nous ne sommes programmés que jusqu'à 120 ans, pas 150 !
Et ce n'est pas fini...
C'était pourtant bien parti, comme en témoignent ces trois cartes : ma naissance, mes engagements et l'AMOPA. Quel dommage que les liaisons n'aient pas eu le temps de s'accomplir !
Et ce n'est pas fini...
Bousculé entre les dossiers judiciaires, assurantiels,...guère le temps de remplir ma blogueuse tâche quotidienne. Alors, une première sélection de cartes accompagnant votre générosité.
Je vous aime.
Et ce n'est pas fini...
Toujours dans la région du nord, pas très loin de Tamale, nous avons passé quelques jours avec Fanny et Daniel (le couple qui était programmé pour Mampong) dans cette réserve de faune sauvage qui est maintenant devenu un des parcs nationaux.
Le site était super, avec les habitations sur le haut d'un promontoire, qui dominaient un réservoir dans lequel les animaux pouvaient venir s'abreuver en toute sécurité.
Nous sommes partis dans un 4x4 avec un guide en quête d'animaux à photographier. Ce fut assez infructueux et le soir, surprise, une famille d'éléphants était juste sous nos fenêtres, et donc les téléobjectifs ont fonctionné. Mais cela était néanmoins moins impressionant que le troupeau d'éléphants qui a traversé la route devant notre 4L à un autre moment en Haute Volta. Là, on se sentait vraiment petits, mais ils ont fait comme si on n'existait pas, et il a mieux valu. Il faut maintenant que je remette la main sur ces photos.
Et ce n'est pas fini...
Les faits tels qu’ils se sont produits :
Ce lundi 19 août 2019, nous étions invitées par notre ami Bernard Sarlandie et sa famille à fêter son anniversaire sur le bâtiment de promenade fluviale le Burdigala II.
Une fois tous les convives installés dans la salle de réception du pont médian fermé du bateau, déjà installé pour le lunch, nous avons quitté le quai de Queyries quelques minutes après 12 heures. Notre ami Bernard a commencé à accueillir ses invités (environ 90 personnes), rappelant les circonstances de ses rencontres avec l’un ou l’autre. L’ambiance était joyeuse.
Nous trouvant assises à l’avant du bateau et habituées à naviguer, nous avons constaté qu’après avoir doublé de très près la balise de tribord rouge, le Burdigala avançait à vive allure, trop vive, le long des quais des Chartrons. Nous nous en sommes fait la remarque. Sans plus, mettant ce constat sur le compte de la force du courant du fleuve jointe à celle de la marée descendante. Quelques minutes plus tard, la présentation des invités étant encore en cours, nous avons constaté à voix haute (nos voisins immédiats l’ont entendu) que nous abordions bizarrement le pont Chaban-Delmas. Anormalement, le bâtiment dérivait vers la pile bâbord du pont et seul un vigoureux coup de barre pouvait éviter de la heurter…Ce qui n’a pas été le cas. Le bateau ne paraissait pas (plus) être manœuvrant. Seuls les passagers de l’avant étaient conscients de ce qui allait se passer. Inéluctablement, l’avant bâbord du Burdigala est venu heurter violemment la pile du pont. Ce premier choc s’est produit à 12h28 : il a provoqué de nombreuses chutes de matériels et de personnes et a été suivi d’un second choc, à l’arrière du bâtiment. Des hurlements de peur et de douleur s’en sont suivis, compte tenu de la violence de ces deux impacts successifs et rapprochés.
Nous avons alors constaté que le navire poursuivait sa route sans être manœuvré. Nous foncions à très vive allure à tribord vers les vieilles piles en béton du quai de Brazza. Le troisième choc que nous qualifierions d’abordage non maîtrisé s’est produit à 12h33 et a été d’une violence inouïe. Nous avons alors constaté que de nombreuses personnes étaient allongées, blessées et souffraient énormément. Après un amarrage de fortune, effectué par le commandant de bord seul, les passagers valides ont rejoint le pont supérieur, effarés et hébétés dans l’attente des secours.
Les pompiers sont arrivés très rapidement sur place.
Attitude de l’équipage :
Apparemment 4 personnes pour 90 passagers. Aucune consigne de sécurité avant le départ. Aucune consigne donnée par le commandant de bord pendant l’accident. Après les deux chocs sur la pile du pont et avant le troisième choc, un « aide marin » est venu nous demander de « monter sur le pont supérieur du bateau ». Cette consigne ne devait en aucun cas être exécutée compte tenu de l’imminence du troisième choc. Le bon sens aurait voulu que la seule consigne soit de tous s’allonger par terre. Heureusement, cette consigne de sécurisation est venue d’une passagère, ce qui a permis d’éviter de nouveaux accidents lors du troisième choc quai de Brazza. Pas un mot du commandant de bord avant, pendant et après l’accident. Seule l’agente d’accueil s’est excusée pour « cet incident »…
Compte-rendu de presse :
Le journal Sud-Ouest dans son édition du 20 août parle à tort d’un « accostage quai de Brazza » alors qu’il s’agit d’un abordage non maîtrisé, de plein fouet, et de front, contre des piles de béton armé… D’où un impact d’une extrême brutalité qui a entraîné la plupart des traumatismes et des blessures parmi les passagers.
Témoignage de Marie-José Cameleyre et Marie-Claude Bergouignan
Et ce n'est pas fini...
...on vous mène en bateau !
Et ce n'est pas fini...
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Et ce n'est pas fini...