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Le blog de Bernard SARLANDIE

Toujours mobilisés.

16 Janvier 2021, 19:11pm

Publié par Bernardoc

Sud ouest parle de 4 000 manifestants ; on peut donc penser qu'on était un peu plus nombreux...même s'il en manquait pour que nous noircissions les Quinconces. Mais ce n'était pas le but puisque après un puissant discours du délégué régional de la LDH nous nous sommes ébranlés le long des quais, pour remonter le cours Victor Hugo et terminer place de la République après un passage par la Victoire.

C'était un défilé à la fois mélangé et unitaire et il n'y avait pas vraiment d'ordre protocolaire. En revanche l'immense majorité des manifestants était masquée.Les marcheurs répondaient bien aux slogans. Les flics étaient très discrets au départ, j'ai vu une petite voiture sur le pont de pierre et la démonstration de force a commencé devant le musée d'Aquitaine.

Tout au long du parcours une équipe de jeunes femmes s'arrêtait un moment pour afficher des slogans féministes, y compris des conneries telles « Ni dieu, ni maître, ni mari ».

Le cortège se terminait par un nombre imposant de jeunes, alors que devant eux c'étaient plutôt des retraités. Bref, comme souvent, hélas, il manquait les quadras...Macron a encore de beaux jours devant lui.

Lorsque j'ai quitté la manif place de la République, tout le monde était arrivé et à ma connaissance il n'y avait eu aucun incident.

Et ce n'est pas fini...

Toujours mobilisés.
Toujours mobilisés.
Toujours mobilisés.
Toujours mobilisés.
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Jamais contents ces vieux !

15 Janvier 2021, 15:53pm

Publié par Bernardoc

Communiqué de 7 organisations syndicales et associatives de retraités

Pandémie et démocratie

Les organisations nationales de retraités soussignées tiennent à manifester leur inquiétude devant les restrictions apportées à l’expression des revendications sociales, en particulier en ce qui concerne la situation des personnes âgées.

Les retraités sont les principales victimes du démantèlement du système de santé et de la crise sanitaire et économique. Alors que les EHPAD ont été en première ligne dès la « première vague » et que près de 50 % des victimes sont des résidents très âgés, il est nécessaire que les pouvoirs publics répondent aux inquiétudes de nos organisations.

Pour cela, il est notamment indispensable que les droits civiques puissent s’exercer librement. Nos organisations constatent que la crise sanitaire sert trop souvent de prétexte à la limitation du droit à manifester, du droit à circuler, etc. Trois décrets votés discrètement permettent un fichage massif des populations avec des éléments sur la santé, les activités sur les réseaux sociaux, les opinions politiques et syndicales.

Comme l’écrit la Ligue des Droits de l’Homme (communiqué du 27 octobre 2020), le projet de loi visant à prolonger l’état d’urgence jusqu’au 16 février 2021 « reconduit des mesures qui portent atteinte aux droits et libertés fondamentaux », « altère l’état de droit », « dégrade la démocratie » et, ajouterons-nous, entrave l’action syndicale et démocratique. Cette Loi suscite aussi de « sérieuses préoccupations » du Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme de l’ONU qui craint « des atteintes importantes aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales ».

Le pouvoir cherche à décourager les salariés, les retraités. Il n’y arrivera pas. Les retraités et les personnes âgées, avec nos organisations, continueront d’exprimer leurs revendications, au besoin par des manifestations sur la voie publique. Nous n’avons pas vocation à être confinés ni assignés à résidence dans les foyers ou les maisons de retraite.

Paris, le 13 janvier 2021

J'espère que nous serons très nombreux dans les rues demain après-midi.

A Bordeaux, 14 heures aux Quinconces

Et ce n'est pas fini...

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On vous attend !

14 Janvier 2021, 14:52pm

Publié par Bernardoc

Samedi 16 janvier 2021 à 14h30

Manifestation

POUR LA DÉMOCRATIE ET LES LIBERTÉS,

RETRAIT DES TEXTES LIBERTICIDES !

Rassemblement 14h00 place des Quinconces, Bordeaux

Nous appelons à une nouvelle Marche pour la démocratie et les libertés, samedi 16 janvier, à Bordeaux. Cette manifestation vise à demander le retrait des articles 21, 22 et 24 de la proposition de loi dite « Sécurité globale », le retrait du Schéma national du maintien de l’ordre (SNMO) et de toute autre disposition élargissant la surveillance de masse ou faisant reculer le droit à l’information. 

Dans le cadre de la mobilisation nationale initiée par la coordination #StopLoiSécuritéGlobale, les organisations de défense des droits et des libertés signataires (associations de défense des droits et de l’environnement, syndicats de journalistes et de salariés, mouvements de lutte contre les violences policières…) continueront d’informer sur les conséquences délétères de ces textes. 

Malgré une mobilisation de très grande ampleur le 28 novembre, déployée dans un contexte d’état d’urgence sanitaire et de confinement, le gouvernement et les parlementaires se sont contentés d’effets d’annonce s’agissant de la réécriture de l’article 24 de la proposition de loi « Sécurité globale ». Texte que le Sénat semble vouloir fusionner avec l’article 18 du projet de loi « confortant le respect des principes de la République », précédemment nommée loi « contre le séparatisme ». Ni la commission Delarue sur les rapports entre journalistes et forces de l’ordre ni le « Beauvau de la sécurité » ne sauront nous détourner de notre objectif.

Par ailleurs, notre opposition aux dispositifs de surveillance généralisée instaurés par les drones et les caméras piétons, ou à la sélection des journalistes instaurée par le nouveau SNMO n’a pas été entendue. Des décrets parus le 4 décembre dernier étendent les possibilités de fichage aux groupements et notamment aux opinions politiques ou syndicales, aux comportements et habitudes de vie…

Les pressions politiques de policiers se présentant en uniforme et en plein couvre-feu devant les domiciles d’élu·e·s ou devant des tribunaux confirment nos craintes quant à l’instauration d’un véritable État de police par la combinaison du SNMO, de la proposition de loi « Sécurité globale » et du projet de loi « confortant le respect des principes de la République ».

SIGNATAIRES :

Ligue des Droits de l’Homme – Section de Bordeaux et Fédération de Gironde, Fédération de la Gironde de la Libre Pensée, FSU33 , UD CGT 33, UD FO 33, Union Solidaires 33, Club de la Presse de Bordeaux-Nouvelle-Aquitaine, Réseau Education Sans Frontières, Greenpeace Groupe local Bordeaux, Bienvenue, Union revolte bordeaux, AREVE, UJFP, Palestine 33, Darwin Climax Coalitions, SOS Racisme, Il est encore temps – Bordeaux, Extinction Rebellion Bordeaux, ANV Cop 21 Gironde, Oxfam Groupe local Bordeaux, Macadam Press, AC! Gironde, ASTI, Tchernoblaye, ARTS,La Clé des Ondes.

Et ce n'est pas fini...

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Le droit au travail, un droit universel pour toutes et tous !

13 Janvier 2021, 11:27am

Publié par Bernardoc

Revendications syndicales

L’année 2020 a été marquée par une grave crise sanitaire liée au virus de la Covid-19, qui a aggravé la crise économique, sociale et envi­ronnementale que nous vivons depuis plusieurs décennies.

Elle est pour de très nombreuses entreprises, notamment les plus grandes, le prétexte pour effectuer des restructurations avec des dizaines de milliers de suppressions d’emplois à la clé. Sans compter les dizaines de milliers de contrats d’emplois précaires (CDD, intérim, sai­sonniers…) qui sont stoppés ou non renouvelés.

Cette situation dramatique frappe en particu­lier les plus jeunes : ceux qui comptaient sur ces emplois pour financer difficilement leurs études ainsi que ceux qui sont en quête d’un premier job et d’une première expérience professionnelle.

Cette situation a des conséquences graves sur la vie quotidienne de nombreux citoyens, la pauvreté se développe et les associations cari­tatives voient exploser les demandes d’aide alimentaire.

Des milliards d’euros d’argent public pour supprimer des emplois : c’est inacceptable !

Chacune et chacun a pu constater la capacité du gouvernement et de l’Union européenne à mobi­liser de l’argent en cas d’urgence. Cela change des discours traditionnels consistant à déclarer qu’il n’y a pas d’« argent magique ». À ce jour, plus de 100 milliards d’euros ont été dégagés en quelques semaines, s’ajoutant aux centaines de milliards du premier plan de soutien « Covid ». Mais à quoi et à qui va servir cet argent public ?

Tous les grands groupes qui en ont bénéficié ont annoncé des suppressions d’emplois, et toutes les catégories professionnelles sont aujourd’hui touchées. La grande majorité des entreprises a saisi l’opportunité d’une baisse temporaire d’activité pour restructurer et accroître le niveau de productivité au moment de la reprise.

Dans la grande distribution – dont le chiffre d’af­faires a augmenté ces derniers mois – le patro­nat cumule licenciements et aides publiques avec le recours au chômage partiel. Et que dire des entreprises du numérique, les tristement célèbres Gafam !

Beaucoup de très petites entreprises, quant à elles, subissent en cascade les décisions bud­gétaires de leurs « donneurs d’ordres », qui sont totalement déresponsabilisés de quelque obligation que ce soit envers elles et leurs salariés.

Il n’y a pas de fatalité au chômage, à la pré­carité. Tout est une question de choix, avant tout des choix politiques et gouvernementaux. C’est pourquoi la CGT propose des solutions concrètes et immédiates, notamment :

  1. - la suspension de tous les plans de suppres­sions d’emploi en cours ou survenus durant l’année 2020 ;

  1. - la conditionnalité de toutes les aides publiques au maintien ou à la création d’em­plois et leur contrôle ;

  2. - la suppression des dividendes versés aux actionnaires des grands groupes pour l’an­née 2020, soit l’équivalent de 60 milliards d’euros qui doivent être réorientés pour le social, l’économie, l’environnement ;

  3. - le développement des services publics sur l’ensemble du territoire par la création de 500 000 emplois dans la Fonction publique, dont près de la moitié dans la santé et l’ac­tion sociale ;

  4. - la réduction du temps de travail à 32 heures sans perte de salaire pour travailler moins, mieux, toutes et tous.

  5. - une autre réforme de l’assurance chômage avec l’ouverture de droits à toutes et tous, y compris pour les jeunes en recherche du premier emploi ;

  6. - une sécurité sociale professionnelle per­mettant un déroulement de carrière pro­gressif quels que soient les aléas de la vie au travail.

Pour une politique de l’emploi conjuguée à une autre politique salariale

Les premiers de corvée, les deuxièmes lignes, salués par le président de la République et ses ministres pendant le premier confinement, ont de quoi être comblés… le Smic va augmenter de 0,99 % !

Le gouvernement suit ainsi les recommanda­tions d’un groupe d’experts (pas payés au Smic) qui n’a même pas eu la décence d’arrondir le savant calcul à 1 %.

Nos gouvernants et le patronat viendront ensuite se plaindre d’avoir des métiers en tension, des problèmes de motivation, d’attractivité, des diffi­cultés pour recruter ou garder des salariés, etc.

La CGT considère que les salaires ne sont pas l’ennemi de l’emploi, bien au contraire, et pro­pose une revalorisation de tous les salaires sur la base d’un Smic à 1 800 euros brut.

Augmenter les salaires, c’est bon pour le pou­voir d’achat. Mais c’est aussi bon pour notre quo­tidien tout au long de la vie, car cela renforce nos cotisations sociales, pilier de notre Sécurité sociale : c’est-à-dire notre santé, nos retraites…

Pour toutes ces raisons, la CGT refuse toute rési­gnation quels que soient la période et le contexte. Elle propose à toutes et à tous de se mobiliser afin de se faire entendre autour de revendica­tions concrètes avec un temps fort unitaire le 4 février 2021.

Et ce n'est pas fini...

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"Covid-19 : les Français champions de la défiance"

12 Janvier 2021, 11:42am

Publié par Bernardoc

« Les Français sont parmi les plus sévères avec leurs dirigeants. Même si les polémiques existent aussi ailleurs.

Les Français affichent leur scepticisme face à la gestion de la crise sanitaire. Selon un sondage Ifop pour le JDD, seuls 38% font confiance au gouvernement pour "faire face efficacement au coronavirus" et 37% pour mener à bien la vaccination. Il n’y a guère que les mesures de soutien à l’économie qui trouvent grâce à leurs yeux, à 48%. »

Je ne suis pas abonné au JDD, donc je ne sais pas quelles explications il apporte pour expliquer cette défiance. Cela me paraît clair.

Si bon nombre d'électeurs ou d'élus majoritaires sont revenus de leur enthousiasme de 2016/2017, c'est qu'ils ont été déçus par la politique mise en œuvre. Les premiers à se manifester furent les gilets jaunes, même si bien peu d'entre eux avaient voté, à fortiori pour Macron.

Puis vint le virus, limité à la Chine, qui avait fort peu de chances de se répandre en Europe selon une parole ministérielle. Virus qui n'était d'ailleurs qu'une grippette selon les « spécialistes » bien en cours.

Moment des élections municipales : « Allez voter, vous ne craignez rien pour votre santé ». Je me suis laissé dire qu'un certain nombre de participants avaient attrapé la covid lors de cet épisode.

Deux jours plus tard : confinement strict, interdit de sortir, le virus est meurtrier. On commence à parler de masques, absolument inutiles, voire dangereux, tant que la pénurie, qui officiellement n'existe pas, persiste. Quand les machines à coudre auront bien fonctionné, le masque deviendra obligatoire sous peine de l'amende forfaitaire de 135 €.

Enfin, voici les vaccins. Aucun problème, tout s'enchaîne parfaitement bien et on arrive à 130 vaccinés en 3 jours (de mémoire). Rappelons que nous sommes 67 millions. Au bout de quinze jours, quand même, sur une radio de service public, une des responsables avoue que nous n'avons pas assez de vaccins. Alors, on nous montre les élus en train de se faire vacciner, en dépit de toutes les règles édictées.

Avec mes 71 ans, j'ignore quand je pourrais être vacciné : dans trois ans et demi lorsque j'aurai 75 balais ?

Etonnez-vous après que ce gouvernement n'inspire pas la confiance !

Et ce n'est pas fini...

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ÉCOLES-USINES : DÉTRUIRE LES PEUPLES AUTOCHTONES AU NOM DE L’ÉDUCATION

11 Janvier 2021, 11:55am

Publié par Bernardoc

Extrait d'un article de survivalinternational.fr ; j'ignorais l'existence de ces « écoles-usines ».

Aujourd’hui, environ deux millions d’enfants autochtones dans le monde étudient dans des « écoles-usines », où ils sont dépouillés de leur identité autochtone et endoctrinés pour se fondre dans la société dominante.

Les écoles-usines prétendent qu’elles donnent aux enfants autochtones les moyens de « réussir » dans la société dominante, mais l’histoire montre que les écoles-usines détruisent des vies, traumatisant et dévastant les enfants, leurs familles et leurs communautés pour des générations.

Au XIXème et XXème siècles, les écoles-usines au Canada, en Australie et aux États-Unis étaient connues sous le nom de pensionnats autochtones ou écoles résidentielles. Rien qu’au Canada, plus de 6.000 enfants sont morts dans ces écoles – soit un enfant sur 25 les ayant fréquentées.

Le traumatisme inimaginable causé par ce système a laissé un héritage douloureux dans de nombreuses communautés, dont les taux de dépression, de suicide et de dépendance à l’alcool et à la drogue sont élevés.

Il paraît inconcevable que de telles écoles continuent d’exister. Pourtant il en existe actuellement des milliers en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud.

Dans ces écoles, les enfants sont coupés de leur foyer, de leur famille, de leur langue et de leur culture ; ils subissent souvent des abus moraux, physiques ou sexuels. Rien que dans l’État indien du Maharashtra par exemple, près de 1.500 enfants autochtones sont morts dans des écoles-usines entre 2001 et 2016, dont environ 30 par suicide.

Ces pensionnats d’assimilation enseignent aux enfants que les croyances et le savoir de leur propre peuple sont « arriérés », inférieurs ou mauvais.

Des millions d’enfants autochtones sont dissuadés ou se voient interdire de parler leur langue maternelle à l’école. Cela menace la survie des langues autochtones. La principale cause expliquant l’extinction des langues est le fait que les enfants ne parlent plus la langue de leurs parents. C’est une catastrophe car les langues autochtones sont fondamentales pour comprendre le monde dans lequel nous vivons, qui nous sommes vraiment.

En cette Année internationale des langues autochtones, Survival dénonce les écoles-usines, ou pensionnats d’assimilation, comme l’une des menaces les plus importantes pour les langues en danger.

Les industries extractives en Inde et au Mexique soutiennent des écoles qui enseignent aux enfants de se réjouir de l’exploitation minière et de rejeter comme « primitif » le lien qu’ont leurs peuples à la terre.

Les États utilisent l’éducation comme un moyen d’inculquer le patriotisme et d’étouffer les mouvements d’indépendance, comme en Papouasie occidentale, où le gouvernement indonésien tente d’« indonésianiser » les autochtones papous et réprime violemment les dissidents.

La conversion religieuse est un autre motif. Au Bangladesh et en Indonésie, le prosélytisme islamique sous-tend la majorité de l’éducation autochtone ; en Amérique du Sud, différentes églises chrétiennes dirigent des pensionnats. Les fondamentalistes hindous en Inde ciblent les enfants autochtones pour une conversion à travers l’éducation.

Ce mépris pour la connaissance et la culture autochtones finit par détruire les peuples autochtones et leurs cultures, ainsi que leurs connaissances uniques.

Chez eux, les enfants autochtones acquièrent des compétences et des connaissances complexes et sophistiquées, qui leur permettent de s’épanouir sur leurs terres et de les entretenir pour l’avenir. Bien que ces modes de transmission du savoir aient survécu pendant des centaines de générations, une seule est suffisante pour les réduire à néant.

L’instruction des peuples autochtones et tribaux doit être sous leur contrôle. Elle doit être enracinée dans les terres, la langue et la culture de ces peuples, de même qu’elle doit donner aux enfants à la fois une éducation solide.

Faisons de cela une réalité pour tous les enfants autochtones – avant qu’il ne soit trop tard.

Et ce n'est pas fini...

 

 

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Pénurie européenne

10 Janvier 2021, 14:50pm

Publié par Bernardoc

L’Union européenne a commandé 160 millions de doses Moderna sur l’ensemble de l’année 2021 (contre 300 millions pour le vaccin Pfizer-BionNTech). 15% de ce total doit être distribué à la France.

Mais Moderna ne réglera pas, à court terme, le problème de pénurie au niveau européen. En Allemagne notamment, la polémique s'accentue, y compris jusqu'au sein du gouvernement. Chaque semaine, la France reçoit 500.000 doses du vaccin Pfizer-BioNTech et en détient pour le moment un million.

Moderna est en capacité de fournir 500.000 doses par mois. Or, pour vacciner en masse toutes ses personnes fragiles préconisées par la Haute autorité de santé, la France a besoin d’au minimum 30 millions de doses.

Voilà, tout est dit ; mais contrairement aux masques que nous n'avions pas, on ne nous dit pas que le vaccin est inutile, voire dangereux (à part un certain nombre de complotistes qui se réclament plus ou moins de l'écologie).

Et ce n'est pas fini...

 

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Bon appétit !

9 Janvier 2021, 17:31pm

Publié par Bernardoc

Quelques chiffres tirés du dernier numéro de Valeurs Mutualistes ;

    • 1 décès sur 5 dans le monde est lié à une mauvaise alimentation (bien plus que les morts du tabagisme) ;

    • En 4 ans la part des Français qui ont mangé bio au moins une fois par semaine est passée de 37 à 47% (certains grâce aux repas scolaires) ;

    • En 2018 plus des 2/3 des consommateurs s'intéressaient à l'impact de leur alimentation sur leur santé, 61% à son impact sur l'environnement ;

    • 45% des gens achètent du bio pour préserver l'environnement, 59% pour leur santé ;

    • Une augmentation des aliments ultra-transformés augmente d'autant le risque de cancer, du sein en particulier ;

    • 1/3 des Français sont en surpoids ;

    • Mais surtout, dans notre riche pays, ¼ de la population limite ses repas pour passer la fin du mois.

Vous voyez, mes camarades mutualistes que ça vaut le coup de sortir notre revue de l'enveloppe !

Et ce n'est pas fini...

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Mémoire.

8 Janvier 2021, 09:23am

Publié par Bernardoc

C'était au début du siècle, ma mère avait 81 ans, je lui avais souhaité son anniversaire le matin au téléphone, faute de pouvoir le faire en « présentiel » (le mot n'existait pas à l'époque). L'après-midi nous étions allés chercher Maeva à l'Itep car elle avait rendez-vous chez le psychiatre. En repassant devant le collège Paul Langevin que je dirigeais à l'époque, elle se mit dans une de ces colères dont elle avait le secret. Pourquoi ce souvenir me reste-t-il précisément en mémoire ? Il y avait une émission spéciale que j'écoutais sur l'autoradio : nous étions le 11 septembre 2001.

2015, c'était la grande époque du Front de Gauche ; j'étais candidat PG pour les élections départementales et nous étions en négociation au siège de la Fédération du PCF pour établir les têtes de liste. A la fin de la discussion, Sébastien, le secrétaire fédéral voit une annonce sur son téléphone : « Il y a eu une fusillade à Charlie, ça a fait mal ». Je n'ai pas lâché mon téléphone dans le bus qui me ramenait à la maison : nous étions le 7 janvier 2015.

Deux dates qui viennent s'ajouter, outre les anniversaires, aux dates de mes 17 déménagements pour me permettre de me repérer sans trop d'hésitations sur le cours de ma vie.

Et ce n'est pas fini...

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Les aéroports les plus dangereux au monde !

7 Janvier 2021, 15:31pm

Publié par Bernardoc

D'après un article de Tribunal du net qui m'abreuve chaque jour de ses publications jamais sollicitées.

    • Courchevel (France) ;

    • Toncontin international airport (Honduras) ;

    • Agatti Aerodrome, Lakshadweep (Inde) ;

    • Gibraltar ;

    • Gisborne (Nouvelle Zélande) ;

    • Cleveland Hopkins International, Ohio (USA) ;

    • Kansai international airport (Japon) ;

    • Wellington international airport (Nouvelle Zélande) ;

    • Savannah Hilton Head international airport, Caroline du sud (USA) ;

    • Qamdo (Tibet) ;

    • Princess Juliana (St Martin) ;

    • Paro (Bhoutan) ;

    • Lukla airport (Népal) ;

    • Madeira ;

    • Los Angeles (USA) ;

    • Antarctique ;

    • Kai-tak airport (Hong Kong) ;

    • Gustaf III airport (St Barthélémy).

J'y ajouterai Ua Pou, aux Marquises, en Polynésie : piste qui monte, qui descend, qui tourne et sur laquelle il faut faire fuir les chevaux sauvages pour permettre au petit avion d'atterrir. A l'époque on pesait les bagages ET les passagers avant d'embarquer.

Bon voyage quand même !

Et ce n'est pas fini...

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