Quelques portes de Marrakech.
Fascinantes !
Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Fascinantes !
Et ce n'est pas fini...
Et ce n'est pas fini...
Bien sûr, vous m'avez reconnu ! Il n'y a qu'un homme !!
Et ce n'est pas fini...
Demain, c'est l'anniversaire de Rose, tout le monde sera là. Mais le 31 octobre, c'était notre anniversaire de mariage. 43 ans : nous faisons partie des exceptions ! Ce soir là nous avions Maeva avec nous et nous sommes allés dîner au restaurant Qu'on se le dise ! au Haillan. Ce n'était pas la première fois, et comme les fois précédentes excellent accueil et excellente cuisine...mais avec une surprise en plus : la bougie sur nos desserts à Rose et moi et au moment de l'addition je découvre que l'apéro nous est offert par la maison. Sympa, non ? On y reviendra !
Et ce n'est pas fini...
Impossible cette année de trouver une date proche du solstice d'été pour notre 8ème repas des voisins ; nous avons fini par trouver une date fin août et les invitations sont parties avant les vacances. Un changement cette année : Jean-François avait proposé de nous préparer une paella, sous réserve qu'on lui fournisse une poêle assez grande. Rien de plus facile ! Donc chacun a payé sa quote part et a fourni apéro et dessert.
J'étais sur l'autoroute vers Marmande sous un déluge grêlant et je me faisais du souci. Coup de téléphone à Rose qui me dit qu'on avait trouvé une solution de retrait. En arrivant, sous le soleil, je la trouve en train de balayer l'impasse pour éliminer l'eau car nous avions décidé de faire confiance à la météo, et bien nous en a prit ; nous n'avons même pas paniqué aux quelques timides gouttes pendant l'apéro et nous nous sommes régalés.
Je me souviens du premier repas : nous étions restés ensemble jusqu'au-delà de une heure du matin, mais hier soir nous avons fini plus tôt : aujourd'hui, lundi, certains devaient être au boulot dès 5 heures.
Du coup, on a même parlé d'un autre repas d'hiver sous chapiteau chauffé. J'en doute un peu, mais on verra bien !
Et ce n'est pas fini...
Visite hier : beaucoup de dégâts, surtout des arbres, mais pas que : des commerces et des habitations ont souffert, mais les équipes étaient au boulot pour dégager les arbres tombés.
A Montalivet, c'était pareil.
Et ce n'est pas fini...
Lorsque nous avions acheté notre maison, elle apparaissait comme possédant un jardin luxuriant. De fait trente ans plus tôt, lors de sa construction, le propriétaire avait planté force arbres, en ne pensant pas qu'ils allaient pousser et occuper tant de place.
Lors de la première AG du lotissement, des voisins qui allaient partir me suggéraient de couper un arbre car ils avaient peur qu'en cas de tempête il tombe sur leur toit. Je les avais rassurés en disant qu'il était doublement haubané. Nous étions cependant régulièrement démarchés par des gens qui voulaient élaguer nos arbres.
Et puis Guy, le frère de Rose, dont la connaissance des arbres (entre autres) était le métier nous a avertis du danger que représentait cet arbre, blessé par l'acier qui l'encerclait. Décision fut donc prise de le faire abattre, lui et deux autres, l'un qui était en train de mourir peu à peu et l'autre, piquant, qui prenait chaque jour davantage de volume.
Voilà, c'est fait ; nous aurons du bois pour l'hiver prochain. Et ci-dessous un reportage photo : avant, pendant et après : on voit la différence !
Et ce n'est pas fini...