Message de saison
Qui que tu sois mon frère...
PAX HOMINIBUS
Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Qui que tu sois mon frère...
PAX HOMINIBUS
Et ce n'est pas fini...
Comme tous les mois je suis allé acheter mon mensuel préféré chez mon marchand de journaux habituel. Plus ça va, plus j'apprécie ce magazine engagé dont la profondeur des analyses contribue beaucoup à l'éducation populaire. Contrairement à ce que vous pouvez lire sur le bandeau, les dessins ne sont pas là seulement pour se détendre, mais certains sont de véritables éditos.
Outre les chroniqueurs habituels, il y a des invités et ce mois-ci, c'est Christophe, prof qui termine sa chronique ainsi : "On n'en veut pas de votre Légion d'honneur, on aimerait juste faire notre boulot sans se faire buter!"
Et ce n'est pas fini...
Hier, message de contact sur le blog. Je me réjouissais car cela faisait un moment que je n'avais pas été utile. Je vais donc voir et découvre un message en anglais : c'était un couple de lesbiennes roumaines de 25 ans qui avaient besoin d'un homme.
Devrais-je en être flatté ? Mais ça ne m'intéresse pas vraiment.
Grosse erreur algorithmique de spam, absolument impardonnable : j'espère que le programmateur incompétent sera sanctionné.
Bon voilà, ce message quotidien change un peu des précédents : c'est à mi-chemin entre le coup de gueule et le sourire amusé.
Et ce n'est pas fini...
Et ce n'est pas fini...
In franceinfo
Santé publique France publiera à l'automne un bilan approfondi de l'impact sanitaire des différentes canicules.
Presque 400 décès de plus que la normale ont été recensés en France pendant la canicule qui a frappé 52 départements du 11 au 26 août, selon les estimations de Santé publique France, publiées mercredi 13 septembre. "Près de 400 décès en excès toutes causes confondues (+5,4%) ont été estimés durant cette canicule dans les départements concernés", a exposé dans un communiqué l'agence sanitaire. Elle précise que les personnes âgées d'au moins 75 ans constituent la classe d'âge la plus touchée.
Les impacts sur la mortalité sont hétérogènes selon les départements, du fait notamment de la durée (nombre de jours en canicule) et de l'intensité (températures) de l'épisode, mais aussi de la période de survenue et du type de population touchée. Les régions concernées par les augmentations les plus importantes sont Auvergne-Rhône-Alpes avec 169 décès en excès (+7,3%) et Nouvelle-Aquitaine avec 120 décès en excès (+ 9,5%).
Ces estimations sont encore préliminaires à plusieurs titres. Elles se basent, par exemple, sur des données de mortalité qui ne sont pas encore complètes. S'il est prouvé que ce phénomène de surmortalité est amplifié par le réchauffement climatique, ces premiers chiffres n'évaluent pas exactement les morts directement dues aux canicules. Ils ne permettent, pour l'heure, que d'indiquer à quel point l'ensemble des décès a dépassé la normale pendant cette période. Santé publique France publiera à l'automne un bilan consolidé de l'impact sanitaire des différentes canicules.
Et ce n'est pas fini...
Quel impact du dérèglement climatique sur la santé au travail ?
Enquête du CESE printemps 2023
80 % de la population interrogée se sent concernée à titre personnel.
35 % constatent que ces sujets sont à l’ordre du jour dans leur entreprise ou administration.
5 % ne se sentent pas concernés.
Sur les impacts du climat sur le travail, l’ensemble des personnes interrogées citent en premier lieu les effets sur la santé, en deuxième lieu sur les conditions de travail et en troisième lieu sur les déplacements, mais des différences existent selon les catégories socioprofessionnelles.
70% des répondants considèrent que le dérèglement climatique et plus généralement la dégradation de l’environnement peut affecter la santé des salariés et des agents
40,6 % des agents publics et 16 % des dirigeants d’entreprise ressentent de l’anxiété face aux changements environnementaux dans le cadre du travail.
Interrogés sur les moyens qui permettraient de réduire l’anxiété liée aux dérèglements climatiques, les personnes interrogées ont majoritairement apporté deux types de réponses : celles qui relèvent de l’adaptation au changement climatique (notamment le télétravail) et celles qui mettent plutôt l’accent sur des mesures d’atténuation (performance énergétique des bâtiments, amélioration du cadre de travail, sobriété, mobilités douces et incitation à prendre les transports en commun).
Et ce n'est pas fini...
Et encore, pas tous : le plus jeune avait 18 ans. Ils avaient rejoint ce maquis du nord Dordogne, dans un cadre bucolique, au bord de l'Auvézère, dans un moulin. Et par ce froid matin du 16 février 1944, leur repaire a été encerclé par une colonne allemande : une partie arrivait par la Corrèze, une autre par la Dordogne et la troisième par la Haute-Vienne.
Après une vaillante résistance, submergés par le nombre, ils furent contraints de se rendre. 34 furent fusillés sur place et 13 envoyés en déportation. Seuls 7 revinrent des camps de la mort.
Comment ce massacre a-t-il pu se produire ? Ce ne put être que par dénonciation. Mais qui ? Le propriétaire du moulin ? Deux traîtres ayant infiltré le maquis ou bien Sœur Philomène par dépit amoureux ? Cela demeure toujours une énigme.
Une foule nombreuse était hier présente comme chaque année (avec l'exception du covid) pour honorer ces martyrs : représentant de l’État, élus nationaux, départementaux ou locaux, et personnes venant non seulement des trois départements mais de Saintes (libérée par les maquisards du nord Dordogne - brigade RAC et bataillon Violette), du village martyr d'Oradour sur glane, de Bordeaux,...Parmi les 70 porte-drapeaux, deux ont fait un malaise et ont été secourus par la protection civile.
Après le dépôt des gerbes et l'appel des morts (Morts pour la France), le maire (LR) de Beyssenac, commune où se situe le moulin, président de l'association du Moulin de la Résistance, a fait un discours historique très humaniste.
La cérémonie s'est terminée par la prestation d'une chorale d'hommes en béret (Chœur de Loup, de Lubersac) qui nous a interprété Le chant des partisans, Le chant des marais et La Marseillaise.
Je pense que l'année prochaine, pour le 80ème anniversaire, la participation sera encore plus nombreuse. En tous cas, moi j'y serai.
Et ce n'est pas fini...
Ils ne savent plus comment alimenter leurs caisses : j'avais rendez-vous à la radio à 10 heures, donc je venais d'arriver et je me suis pris une amende (il paraît qu'il ne faut plus utiliser ce mot) de 30 € le temps que j'aille alimenter le parcmètre. Je suis outré, mais je me demande si je vais contester : quel poids aurai-je, moi simple citoyen retraité face à un agent "assermenté" ? Ras le bol !
Et ce n'est pas fini...
In planet.fr
C’est un fait : les Français vivent aujourd’hui plus longtemps qu’il y a 50 ans. Néanmoins, une fois cette donnée établie, il est essentiel de rappeler que cela est une moyenne. En effet, cette espérance de vie varie en fonction du genre, de la profession, du milieu social, mais aussi de la région dans laquelle on vit.
Alors que le débat fait rage autour de la réforme des retraites - le gouvernement entend reporter l’âge légal de départ à la retraite à 64 ou 65 ans contre 62 ans actuellement - certains d’entre nous se questionnent quant à leur propre espérance de vie.
Celle-ci est en tout cas en progression ininterrompue depuis le siècle dernier. Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), en moyenne, une femme née en 2021 pourra vivre jusqu’à 85,4 ans, contre 79,3 ans pour un homme. Par ailleurs, depuis 1950, toujours d’après l’Insee, les Françaises et les Français ont gagné près de 15 ans d’espérance de vie.
L’espérance de vie seule n’est cependant pas un indicateur suffisant pour estimer le bien-être de la population : les instituts statistiques calculent également l’espérance de vie en bonne santé, soit la longévité sans problème de santé handicapant. “En 2020, l’espérance de vie sans incapacité à la naissance atteint 64,4 ans pour les hommes et 65,9 ans pour les femmes”, indique Eurostat, l’agence de la Communauté européenne spécialisée dans l’information statistique.
“Depuis 2008, cet indicateur a progressé de 1 an et 11 mois pour les hommes et de 2 ans et 1 mois pour les femmes, traduisant un recul de l’âge d’entrée en incapacité pour les personnes ayant atteint 65 ans”, précise Eurostat.
Quelles sont les régions de France où l’on vit le plus longtemps ? La moyenne pour nous en Aquitaine est de 83,4 ans.
Et ce n'est pas fini...
Et ce n'est pas fini...