Visionnaire, hélas !
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Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Et ce n'est pas fini...
La Journée mondiale de l'enfance a été créée en 1954 et est célébrée chaque année le 20 novembre afin de promouvoir le respect et les droits des enfants.
Le 20 novembre marque le jour de l’adoption par l’Assemblée de la Déclaration des droits de l’enfant, en 1959, et de la Convention relative aux droits de l’enfant, signée en 1989.
Depuis 1990, la Journée mondiale de l’enfance marque également l'anniversaire de l'adoption la Déclaration et de la Convention relative aux droits de l'enfant.
Les mères et les pères, les enseignants, les infirmières et les médecins, les dirigeants ou les militants de la société civile, les chefs religieux ou de communautés, les chefs d’entreprises et les professionnels des médias, de même que les jeunes et les enfants eux-mêmes, peuvent jouer un rôle important et faire de cette Journée mondiale de l'enfance un événement à part dans leur société, pour leur communauté ou pour leur pays.
La Journée mondiale de l’enfance offre à chacun et chacune d’entre nous une occasion unique de sensibiliser le public aux droits de l’enfant, de promouvoir et de mettre en lumière ceux-ci, mais aussi de transformer cette date en actes concrets en faveur des enfants partout dans le monde.
Et ce n'est pas fini...
« En cinq ans, le nombre de jours d'arrêt a crû de 21 % dans les trois fonctions publiques, selon un rapport de la Cour des comptes publié jeudi. »
Des fainéants les fonctionnaires ? Si l'on en croit le rapport de la Cour des comptes, c'est loin d'être le cas ; mais ça, on le savait déjà. Si l'on accepte de passer des concours qui, à diplôme égal, mènent à une carrière bien moins rémunérée que dans le privé, c'est que nous avons le sens du service public et d'oeuvrer au bien-être de nos concitoyens.
Nos gouvernants, qui n'ont qu'un but, obéir aux directives européennes (sauf pour l'armée !) de destruction de services publics dont nous avions tout lieu d'être fiers, par une mise en concurrence « libre et non faussée » (tu parles!) se plaisent à dévaloriser les fonctionnaires.
La mise en place du jour de carence (jamais pris en charge par l'administration, contrairement à ce qu'il se passe dans certaines entreprises) était censée favoriser la présence au travail, même en cas de maladie. C'est raté ! Lorsqu'ils sont malades et qu'ils n'en peuvent plus, les fonctionnaires préfèrent s'arrêter, quittes à perdre un jour de salaire, plutôt que de produire un service de mauvaise qualité. Et si le nombre d'arrêts maladie a augmenté à ce point, il n'est pas difficile d'en trouver la cause : la charge de travail a augmenté (avec le point d'indice gelé depuis des années) du fait de la suppression de postes, d'où une fatigue supplémentaire.
Mais peut-être cette réflexion est-elle trop inspirée par le syndicalisme pour n'être pas combattue par ceux qui sont encore pour quelques mois au gouvernement.
Et ce n'est pas fini...
Depuis quelque temps, je suis agressé sur mon téléphone mobile pour au moins deux choses : mutuelle et énergie. Avant ce n'était que sur le téléphone fixe que je ne décroche plus maintenant ; je me contente de faire le 3103 après pour voir s'il y a un message, auquel cas je rappelle immédiatement. Mais bien souvent cet appel ne laisse aucune trace ; il y a pourtant un numéro qui s'affiche ; comment se fait-ce ? Comme il existe un « dark internet », existe-t-il une « dark téléphonie » ? Mystère.
Donc concernant la mutuelle, certains connaissent le milieu dont ils parlent, et lorsque je dis que je suis adhérent de la Mgen depuis 1969, ils me félicitent et raccrochent. D'autres n'y connaissent rien et essaient de se raccrocher à leur fiche pour me débiter leur salade, mais on n'est pas sur le même plan : ils me parlent gros sous et je leur parle solidarité. Finalement je les envoie paître sans être sûr qu'ils m'aient compris.
Hier, c'était une offre concernant l'électricité : je lui parle des Jours heureux, du Conseil National de la Résistance, du ministre communiste Marcel PAUL, de la nécessité de renationaliser (je ne dis pas sans indemnité ni rachat car elle n'aurait pas compris) et comme nous parlions tous les deux en même temps, elle en lisant son papier (je ne sais pas dans quel pays) et moi en argumentant, j'ai fini par raccrocher en disant que je bloquais son numéro. Donc, un importun en moins.
J'en reviens donc à ma question, qui a vendu mon numéro de mobile à des entreprises commerciales sans m'en avoir demandé l'autorisation ?
Et bloctel est d'une totale inefficacité sur l'une ou l'autre ligne.
Et ce n'est pas fini...
Ce projet de "renaturation", baptisé Adapto, est expérimenté dans neuf autres sites en France afin de trouver des solutions fondées sur la nature pour s'adapter au changement climatique, un des thèmes du congrès mondial de l'Union internationale de conservation de la nature (UICN) qui se tient à Marseille jusqu'au 11 septembre.
Dans cette station balnéaire ultra-touristique du Sud-Est de la France connue pour ses joyaux insulaires de Porquerolles et Port-Cros, il n'a pas été simple d'expliquer qu'il vaudrait mieux laisser la mer monter naturellement.
Pourtant le constat était sans appel: ces digues rocheuses construites par l'ancien propriétaire, la Compagnie des salins du midi, n'ont pas empêché les eaux de gagner 30 mètres en 20 ans. Pire, la plage avait totalement disparu. Et à terme, cette mosaïque de bassins de 365 hectares située légèrement sous le niveau de la mer, était menacée.
"A chaque tempête hivernale, le trait de côte reculait. Mais la compagnie avait un réflexe de propriétaire foncier en construisant cette carapace dure pour ne pas perdre de m2", raconte Guirec Queffeulou, responsable de la gestion des milieux aquatiques et zones humides à la métropole de Toulon Provence Méditerranée, qui gère aujourd'hui le site.
Après des années d'études, des milliers de tonnes de rochers ont donc été retirées en 2019 et 2020. "En douceur parce qu'il ne fallait pas abîmer la barrière de protection naturelle d'herbiers de posidonie --une plante méditerranéenne-- à quelques mètres de la côte", raconte Richard Baréty, du Conservatoire du littoral, un organisme public français propriétaire du site depuis 20 ans.
En quelques mois, la nature a repris ses droits: une large plage est réapparue ainsi qu'une petite dune méditerranéenne. Des banquettes de posidonies mortes se sont formées sur le sable. Autant d'outils naturels de lutte contre l'érosion.
Ce site, qui est un réel tampon de régulation climatique entre la mer et les terres, a pourtant failli disparaître, comme celui tout proche de la Presqu'île de Giens, quand la production de sel, remontant au Moyen-Age, a pris fin en 1995. Car l'ex-propriétaire souhaitait le vendre au prix fort et des projets de marina ou maisons sur pilotis étaient dans les cartons. Le Conservatoire du littoral a dû aller jusqu'à l'expropriation pour l'en empêcher.
Au XXe siècle, la moitié des zones humides méditerranéennes a disparu, selon le Réseau Medwet, qui souligne que ces dernières étaient alors "perçues comme des endroits remplis d'insectes porteurs de maladies (...) ou considérées comme sans importance ou comme des terres en jachères" devant être drainées.
Pourtant, avec la "renaturation" des Vieux-Salins d'Hyères, "l'interface entre la zone humide et la plage fait que la biodiversité est décuplée", s'émerveille Richard Baréty.
Plus de 300 espèces d'oiseaux y sont aujourd'hui répertoriées, attirées sur leur route migratoire par la nourriture --invertébrés/poissons-- qui prolifère dans ces eaux très salées, explique Norbert Chardon, responsable de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) dans le Var, en marge d'une balade ornithologique matinale.
Tous espèrent que le rétablissement de cette dynamique sédimentaire ralentisse la montée de la mer: "On remarque déjà que les creux au bord de la plage s'estompent moins vite", assure Guirec Queffeulou.
Des souches de pin d'Alep morts sur la plage témoignent toutefois de la poursuite de la montée de l'eau. La disparition de la pinède littorale est rapide et difficile à accepter pour la population. Les tamaris qui apparaissent et ne craignent pas d'avoir leurs racines dans l'eau salée ne sont pas aussi populaires.
A terme, la mer pourrait aussi ponctuellement passer par-dessus les bassins, venant perturber l'alimentation hydraulique spécifique du site. Si cette hypothèse a longtemps été la principale crainte, certains pensent désormais que cela pourrait amener des nutriments marins, boostant davantage la biodiversité.
Ces Vieux-Salins ont un rôle pédagogique à jouer face au changement climatique, "mais en douceur, sans faire peur aux populations", explique Norbert Chardon. Un défi ambitieux sachant qu'une telle renaturation est impensable sur la plupart du littoral bétonné de la Côte d'Azur où vivent des milliers de personnes qui observent, impuissantes, la mer gagner inéluctablement du terrain.
Une visite s'impose lors de notre prochain séjour.
Et ce n'est pas fini...
Extrait de La matinale du Monde du 24 août 2021
Dans une cinquantaine de départements en partenariat avec la Caisse nationale d’assurance-maladie (CNAM), des dispositifs « aller vers » sont destinés à toucher les personnes les plus éloignées des soins, et donc de la vaccination. Sans papiers, sans domicile fixe, sans emploi, sans carte Vitale, sans numéro de Sécurité sociale… « Nous mettons tout en œuvre pour que l’inégalité d’accès aux soins ne se reproduise pas une nouvelle fois », explique Patrice Douret, le président des Restos du cœur, qui comptent 2 000 centres en France métropolitaine et en Corse. L’homme fait référence aux populations précaires qui ont enregistré des taux de surmortalité supérieurs à la moyenne depuis le début de la pandémie...
« Sans vaccin, je ne suis pas libre », estime pour sa part Chahinez, 33 ans, originaire d’Algérie.
Au moment où l'on annonce la troisième dose pour les gens de ma génération, il est vraiment temps de permettre à tous les résidents de la République de se mettre à l'abri de cette pandémie. Il y a suffisamment de maladies liées à la précarité sans en ajouter une autre, souvent mortelle de surcroît, alors qu'on peut s'en protéger. Il est important que la sécurité sanitaire bénéficie à tout le monde.
Et ce n'est pas fini...
Tahiti, le 12 août 2021 – Les personnes verbalisées pour violation du couvre-feu ou du confinement pourront de nouveau verser un don de 5000 Fcfp à la Croix-Rouge. Si le don efface l’infraction, et évite le règlement d’une amende qui peut aller jusqu’à 89 400 Fcfp, il reste soumis à certaines modalités.
Les personnes verbalisées pour non-respect des mesures de couvre-feu ou de confinement pourront verser un don de minimum 5000 Fcfp à la Croix-Rouge, indique la Direction de la Sécurité Publique (DSP) de Papeete.
Pour ce faire, il suffit de remplir un courrier de transmission à la Croix-Rouge et de le déposer avec la somme en espèce à la délégation qui se situe derrière le stade Pater à Pirae. Il est également possible de joindre à ce courrier un chèque, qui peut être déposé à la Croix-Rouge directement, ou envoyé à leur boîte postale.
C’est en mai 2020, après le premier confinement, que le parquet général près la Cour d’appel de Papeete avait fait le choix de mettre en place cette originale alternative aux poursuites judiciaires, qui visait, selon le procureur général Thomas Pison, à “transformer ce qui était au départ un geste d'incivisme en geste de solidarité.”
Si le versement de cette somme efface l’infraction, c’est au contrevenant de faire lui-même la démarche. Le don n’est donc pas obligatoire, l’amende pouvant être payée de manière classique. Les contraventions pour non-respect du couvre-feu et du confinement le dimanche s’élèvent à 16 100 Fcfp. Une amende de 4ème classe, qui peut monter jusqu’à 89 400 Fcfp suivant certains cas de figure. La récidive dans les 15 jours est quant à elle punie d’une amende de 178 000 Fcfp.
Le don à la Croix-Rouge ne concerne toutefois pas les personnes poursuivies pour le délit de violation habituelle du couvre-feu ou du confinement. Si les forces de l’ordre verbalisent pour la troisième fois en moins de 30 jours une personne qui ne respecterait pas ces mesures, elle encoure une peine d’un an d’emprisonnement et une amende de 450 000 Fcfp.
Et ce n'est pas fini...
Eh oui, ça y est : hier nous avons vendu le bien que nos parents avaient acquis en 1954. La petite maison traditionnelle à une pièce, meublée avec les meubles fabriqués par notre grand-père charpentier, qui a abrité nos vacances d'enfants, avant de s'agrandir de 4 pièces dont deux à l'étage, puis de deux pièces supplémentaires au fur et à mesure que la famille s'agrandissait. L'autre maison, qui a hébergé pendant une vingtaine d'années la mémé Marguerite et le tonton Germain a été transformée en gîte accueillant des vacanciers entre Pâques et la Toussaint, puis quelques locataires de plus longue durée. Jean-Philippe, le dernier, un artiste est là depuis onze ans. Nous avions pensé que ce serait bien qu'il y ait quelqu'un en permanence près de notre mère devenue veuve. Hélas, une rupture de traitement et l'incapacité de retrouver un bon dosage a précipité son décès (voir plus haut). Nous avons négocié pour qu'il ne soit pas mis à la porte lors de la vente.
Nos parents ont bien profité de ce lieu pendant les 35 ans de leur retraite. Je me souviens de Papa disant « Ne le répète pas à ta mère, mais chaque année je cultive un mètre de moins pour laisser pousser l'herbe : c'est plus facile à entretenir ! »
Ce fut un crève-coeur de jeter à la décharge des meubles qui remontaient à notre époque parisienne, mais...c'est la vie.
Nous repasserons par Las Brunhas, ne serait-ce que pour saluer Jean-Christophe et Christine et aussi, c'est le chemin des cimetières que nous fleurissons chaque année.
Et ce n'est pas fini...
in lemonde.fr aujourd'hui
Face à la « nette dégradation des indicateurs épidémiques liée à la prévalence du variant Delta », le Var a opté pour le retour du masque dans l’espace public dans 58 des 153 communes du département. A compter de vendredi et jusqu’au 2 août inclus, le port du masque sera à nouveau requis pour toutes les personnes de 11 ans et plus dans l’ensemble des voies et espaces publics de ces communes, ainsi que le long des promenades et fronts de mer, a précisé le préfet du Var.
Cette obligation ne s’appliquera pas dans les espaces naturels de ces communes – forêts, plages ou secteurs rocheux en bord de mer. De même, il sera possible de ne pas porter le masque pour les utilisateurs de moyens de déplacement individuel (vélo, trottinette…) et pour les personnes pratiquant une activité physique et sportive.
Ca risque de faire de curieuses photos de mariage...à moins que nous enfreignions la loi.
Des masques souvenirs à la place des traditionnelles dragées ?
Et ce n'est pas fini...
Les étatsuniens ont quitté l'Afghanistan, les derniers Français ont été rapatriés le 17 juillet dernier. Les talibans avancent à toute vitesse à la (re)conquête de leur pays, comme il y a 20 ans. Et ils n'ont pas changé, même s'il s'agit, et c'est le plus inquiétant, d'une nouvelle génération de barbares analphabètes. Dès qu'ils arrivent, les femmes doivent être grillagées, interdites d'école, rester à la maison jusqu'à leur mariage à 12 ans, et rester dans la maison de leur mari ensuite.
Les écoles sont détruites ainsi que le matériel informatique, bref, retour au Moyen-âge dans ce qu'il avait de pire.
Les vingt ans d'occupation n'ont rien changé ; au contraire ? L'occupation soviétique était-elle pire pour le bien être des populations ?
Et nous ? Dans le cadre de l'intangible droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, que pouvons-nous faire ? Comment ne pas être révolté dans le pays des Lumières et de l'universalisme ?
Des mouvements clandestins de résistance vont-ils voir le jour ? Auront-ils accès aux nouvelles du monde ?
Je dois dire que je ne suis vraiment pas tranquille pour l'avenir. Espérons que nous n'assistions pas à une réaction semblable à celle d'une chaîne de dominos.
Et ce n'est pas fini...