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Le blog de Bernard SARLANDIE

regards sur le monde

Comment les smartphones et véhicules électriques transforment 40.000 enfants en esclaves

4 Mai 2022, 17:17pm

Publié par Bernardoc

Article d'Annaëlle LUCINA

Le lithium est un métal essentiel pour la production des piles et batteries rechargeables.

L’Australie, la Bolivie, le Chili et l’Argentine sont les pays qui concentrent l’essentiel des réserves mondiales de lithium. Un élément chimique à la base des technologies de batteries pour les véhicules électriques, les smartphones et d’autres objets électroniques.

Dans les régions productrices, l’utilisation massive d’eau pour la production de cet élément chimique provoque des conflits d’usages avec les populations locales. Et ce, au point de compromettre leur survie, alerte l’ADEME.

À l’horizon de 2040, les deux géants du pétrole ExxonMobil et BP misent sur 150 millions de véhicules électriques vendus. Un objectif qui devrait faire exploser la demande de lithium, un composant essentiel à la fabrication des batteries. Ainsi, d’après la Commission européenne, la demande de lithium sera multipliée par 18 d’ici 2030. Et 60 fois plus en 2050. Tout en sachant que, jusqu’à récemment, seuls 50 % du lithium contenu dans les batteries pouvaient être réutilisés en raison de processus de recyclage insuffisants et dangereux.

Dans ce contexte, depuis le 1er janvier 2021, un règlement européen est entré en vigueur dans toute l’Union européenne. Il tend à encadrer l’extraction des minerais nécessaires à la fabrication des smartphones et batteries. En plus de l’impact environnemental, le règlement estime que cette activité serait une source de conflits armés et de travail forcé.

D’un côté, le lithium garantit qu’une batterie puisse se recharger. De l’autre, grâce à sa densité énergétique élevée, le cobalt apporte un effet “boostant” à la batterie. Pour se faire une idée du problème, près de 60 % de ce métal rare est extrait en République démocratique du Congo. Autrement dit, le sud du Congo recèle une quantité de cobalt estimée à 3,4 millions de tonnes métriques, soit, près de la moitié des réserves mondiales connues. Tout en sachant que, dans cette région, la réglementation de cette industrie est pratiquement inexistante.

Les Portugais ont commencé à exploiter les gisements miniers du Congo à partir du XVe siècle, les Belges ont ensuite pris le relais à partir de 1885. Ainsi, dans le pays, on estime que plus de 40 000 enfants esclaves travaillent dans des mines, selon un rapport d’Amnesty International et Afrewatch qui date de 2016. L’organisation se base sur des chiffres rapportés par l’UNICEF en 2014. Plus précisément, une majorité travaillerait dans des mines de cobalt et de coltan, deux métaux particulièrement recherchés dans la fabrication des batteries Li-ion, les moteurs électriques, les générateurs des centrales électriques ou encore des éoliennes.

Suite à l’explosion de la demande, ce métal pourrait devenir une source de revenu considérable pour des groupes armés… Et forcer de plus en plus d’enfants à travailler dans des mines, dans des conditions déplorables.

Environ 70 à 80% des ressources globales en lithium se trouvent au-dessous des plaines salées de l’Argentine, de la Bolivie et du Chili. Dans ces régions, les machines à extraction et les nouvelles montagnes d’argile et de terre ont progressivement redessiné le paysage.

En Argentine et en Bolivie, la production du lithium a déjà engendré plusieurs conflits sociaux entre les populations locales et les agents d’extraction. En effet, la plupart du temps, les communautés “indigènes” résidant autour des zones d’extraction n’ont pas de voix lors des consultations sur les activités minières. Et ce, alors qu’elles ont déjà été témoins d’un passé d’esclavage brutal dans les mines coloniales. Autre source de conflit, d‘après le Pentagone, l’Afghanistan possèderait un des plus gros gisements de lithium.

La saumure est une eau contenant une très forte concentration de sel. C’est elle qui contient le chlorure de lithium, essentiel à la fabrication des batteries lithium-ion. Ces réserves se trouvent entre 1,5 et 60 mètres de profondeur, sous les salars. Pour rappel, les salars sont des déserts de sel. Autrement dit, des étendues naturelles ou superficielles de sel. Par exemple, les dizaines de bassins d’évaporation du salar de Uyuni, en Bolivie, servent à l’extraction du lithium. Ainsi, 17 % du lithium planétaire gît sous le plus vaste désert de sel du monde.

Lors de processus d’extraction du lithium, les saumures, donc les dépôts d’eau souterrains, sont pompées et déversées en surface dans des bassins d’évaporation. Le chlorure de lithium y est ensuite progressivement concentré puis récolté. Autrement dit, le lithium est extrait des sels séchés qui restent à la surface. Et ce, grâce à une méthode similaire à celle utilisée pour produire du sel dans les marais salants. C’est cette technique que certains accusent de consommer une quantité astronomique d’eau.

Ainsi, d’après de nombreuses études, l’extraction du lithium serait donc énergivore en eau, engendrait une pollution des sols et serait à l’origine de conflits locaux. D’autres, comme le site révolution énergétique, considèrent “que le procès fait aux batteries et aux véhicules électriques à cause de l’empreinte écologique du lithium est tout-à-fait scandaleux”. Pour aller plus lois, dans un article du journal Le Monde de 2019, Didier Julienne, expert du négoce et de l’industrie minière, avance que “la guerre du lithium n’aura pas lieu”.

Des alternatives aux batteries lithium-ion moins toxiques et fabriquées à partir de métaux plus accessibles sont en cours d’exploration. Par exemple, les batteries sodium-ion et les batteries à flux.

Le sodium est un métal dont les sels sont très abondants dans la nature. Plus précisément, le chlorure de sodium, se trouve dans l’eau de mer et est accessible facilement, partout dans le monde. De leur côté, les batteries à flux se composent de deux substances différentes. Elles sont dissoutes dans des liquides puis séparées et pompées à travers une membrane. Grâce à une série de réactions de réduction et d’oxydation cette énergie chimique est convertie en énergie électrique. C’est d’ailleurs de ce processus que vient le nom red-ox. En chimie, la “réduction” définit la réaction chimique par laquelle un atome d’une molécule ou d’un ion gagne un ou plusieurs électrons.

À noter tout de même qu’en terme de stockage de l’énergie, des développements supplémentaires seront nécessaires pour les rendre aussi efficaces que le lithium. Par exemple, un ion sodium étant environ 50 % plus volumineux qu’un ion lithium, les matériaux de la cathode sont électrochimiquement moins stables. Pour rappel, la cathode représente l’électrode sur laquelle se produit une réaction qui consomme des électrons. Enfin, les batteries à flux sont les fruits d’un processus de fabrication très complexe.

Et ce n'est pas fini...

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Le ticket de caisse, c’est bientôt fini.

24 Avril 2022, 14:57pm

Publié par Bernardoc

Je me demande, mais je ne suis pas un spécialiste, s'il n'y a pas d'autres économies à faire. En tous cas, je continuerai de demander mes tickets.

Extrait de radins.com

La loi anti-gaspillage pour une économie circulaire prévoit que le ticket de caisse ne soit plus imprimé d’office.

Il faudra prendre l’habitude de ne pas se voir délivrer de ticket de caisse… sauf si on le demande. C’est en effet au 1er janvier 2023 que la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire fixe la fin de l’impression systématique du ticket de caisse. L’argument du législateur : un hypermarché consomme chaque année 10.600 rouleaux de papier thermique pour l’impression des tickets de caisse. En délivrer moins permettrait donc d’utiliser moins de papier.

Dans leur exposé des motifs pour faire adopter cet amendement, les députés Patricia Mirallès et Gilles Le Gendre et la ministre Barbara Pompili citaient par ailleurs plusieurs études selon lesquelles les bisphénol F et S, qui sont venus remplacer le bisphénol A dans la composition de tickets de caisse, n’étaient pas sans danger. Les deux substances étaient qualifiées de perturbateurs endocriniens par des chercheurs japonais. Pour la même raison, une autre étude recommandait d’éviter de faire manipuler des tickets de caisse à des hôtesses de caisses enceintes.

Peut-on parler de la fin des preuves d’achat ? Pas vraiment. Tout d’abord, le client pourra toujours demander l’impression du ticket de caisse. Ensuite, de nombreux magasins proposant une carte de fidélité ont, sur leur site et application, un « Espace fidélité » où le client peut visualiser l’ensemble de ses tickets de caisse. Le ticket de caisse ne disparaît donc pas, il est aujourd’hui plus durable encore que la traditionnelle facturette papier.Certains enseignes anticipent d’ores et déjà cette nouveauté législative. Carrefour et les magasins U ne délivrent plus de ticket de caisse par défaut depuis avril 2021. « On sait aujourd’hui que les 30 milliards de tickets de caisse imprimés chaque année en France sont à l’origine de l’abattage de 2,5 millions d’arbres et du gaspillage de 950 millions de litres d’eau », mettait en avant Carrefour au moment de la mise en place de cette disposition.

Et ce n'est pas fini...

 

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Qu’est-ce que l’« espérance de vie en bonne santé », indicateur récurrent des débats sur l’âge de départ à la retraite ?

16 Avril 2022, 14:35pm

Publié par Bernardoc

Extrait des Décodeurs du Monde.

Mis en place depuis le milieu des années 2000, cet indicateur de santé publique mesure le nombre d’années que peut espérer vivre une personne sans être limitée dans ses activités quotidiennes par un problème de santé, explique la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), qui dépend du ministère de la santé.

Alors que l’espérance de vie classique remonte aux tables de mortalité établies au XVIIe siècle aux Pays-Bas, le concept d’espérance de vie en bonne santé n’a commencé à germer qu’à partir des années 1960. « Beaucoup d’universitaires ont essayé de mettre au point un indicateur qui soit aussi simple que l’espérance de vie, mais moins quantitatif », explique Jean-Marie Robine, démographe à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et spécialiste du vieillissement de la société.

Concrètement, il mesure l’impact de la santé sur la vie quotidienne et sa prise en charge par la société. « C’est donc une thématique en lien avec le handicap », explique Thomas Deroyon, statisticien et auteur d’une . Plus précisément, il permet de « prendre en compte la dégradation du corps et la qualité de vie aux âges avancés », ajoute l’anthropologue et médecin Didier Fassin, auteur de De l’inégalité des vies (Fayard, 2020).

Qu’elle soit mesurée par la Drees ou par l’organisme européen de statistiques Eurostat, l’espérance de vie en bonne santé se calcule à partir des données exhaustives de mortalité d’un pays, par sexe et par âge. En 2019, l’espérance de vie à la naissance (c’est-à-dire l’âge moyen du décès d’une génération soumise aux conditions de mortalité actuelles) est de 85,6 ans pour les femmes et de 79,7 ans pour les hommes, selon l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).

Cette donnée purement statistique est croisée avec un second facteur, celui de l’existence ou non d’une pathologie perçue comme handicapante dans la durée par la personne qui en souffre. Celle-ci est mesurée par une enquête déclarative très simple, puisqu’elle est composée d’une seule question : « Etes-vous limité(e), depuis au moins six mois, à cause d’un problème de santé, dans les activités que les gens font habituellement ? » Trois réponses sont possibles : non, un peu et fortement.

Actuellement, quelle est l’espérance de vie en bonne santé des Français ?

Selon le dernier rapport de l’Insee basé sur les calculs d’Eurostat, l’espérance de vie sans incapacité était en 2020 de 65,9 ans pour les femmes et de 64,4 ans pour les hommes, ce qui constitue une hausse sensible par rapport au milieu des années 2000.

L'espérance de vie en bonne santé est en légère hausse depuis 2004 : les femmes ont gagné 1,7 ans d'années de bonne santé en moyenne, et les hommes 2,9.

Quelles sont les limites de cet indicateur ?

La première tient à sa méthodologie. Basé sur une enquête déclarative, l’EVSI repose sur une part de subjectivité,

En outre, ces enquêtes sont menées uniquement au sein des ménages, avec un énorme angle mort du côté des Établissements d’hébergements pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), dont les résidents sont, par définition, plus sujets à incapacités.

Enfin, faute de moyens, l’EVSI détaille l’espérance de vie en bonne santé selon le sexe et l’âge, mais pas par catégorie socioprofessionnelle. Or les écarts sont significatifs. Emmanuelle Cambois, chercheuse à l’Institut national d’études démographiques (Ined) et autrice en 2008 d’une étude sur la « double peine » des ouvriers, a pu mesurer ces inégalités : « Les ouvriers ont une espérance de vie plus courte, et au sein de cette espérance de vie plus courte, ils ont également plus d’années à vivre avec des incapacités. » Les carrières hachées, avec une forte précarité, sont également surexposées, rapporte-t-elle.

Une étude de l’Insee montre que l’espérance de vie des ouvriers est plus courte que celle des cadres de six à sept ans, et que les 5 % les plus pauvres meurent en moyenne treize ans plus tôt que les 5 % les plus riches.

Peut-on s’y référer dans le débat sur l’âge du départ à la retraite ?

Oui, même s’il importe de ne pas prendre l’EVSI comme autre chose qu’une moyenne. Or, en cas d’allongement des carrières, les plus fragilisés par la précarité et les pénibilités risquent ne pas pouvoir atteindre l’âge de départ à taux plein. Ce qu’ils ne coûteraient pas en pensions de retraite, ils le coûteraient en indemnités chômage et maladie. En l’étoffant d’enquêtes plus précises sur l’espérance de vie en bonne santé selon les métiers, cet indicateur pourrait justement permettre d’adapter la législation de manière plus fine et plus équitable. « Aujourd’hui les plus pauvres contribuent à payer les retraites des plus riches. L’âge de départ à la retraite devrait être calculé en fonction de l’espérance de vie en bonne santé, ce que la réforme envisagée par le président de la République ne prend pas en considération », remarque Didier Fassin.

Il s’agit même de la principale utilité politique de cet indicateur. « Si on veut une société juste, à défaut de pouvoir agir sur la mort ou la maladie, on peut au moins agir sur l’âge de départ à la retraite », souligne Jean-Marie Robine.

Et ce n'est pas fini...

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Recalé !

15 Avril 2022, 16:22pm

Publié par Bernardoc

Le mois dernier, je lis une annonce dans Sud ouest dimanche : le CHU recherchait des volontaires pour tester un alicament censé améliorer la mémoire. J'appelle le numéro indiqué, et réponds à quelques questions au téléphone. Mon profil cadrait. Rendez-vous est pris au CHU, où je suis interrogé sur des questions qui m'ont semblé anodines : dates, lieux,...Puis un mini test sur tablette où je devais replacer des figures qui étaient apparues dans des cadres. Au bout d'une minute, essai concluant et je suis convoqué à une autre visite (aujourd'hui) pour faire le test dans son entier, c'est à dire aller jusqu'à 8 figures à replacer dans le bon cadre. Eh bien, j'y suis arrivé (pas du premier coup) et ma participation s'arrête là : apparemment je n'ai pas de problème de mémoire (pas mal pour le théâtre, hein ?). J'ai donc reçu 15,10 € comme défraiement pour mes frais de transport...et dans 30 ans je pourrai récupérer les données que je leur ai laissées.

Et ce n'est pas fini...

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Ils n'ont pas des ingénieurs à Bordeaux-Métropole ?

29 Mars 2022, 20:09pm

Publié par Bernardoc

  Il y a quelques mois on nous avait installé deux magnifiques arrêts pour le BHNS place François MITTERRAND au Haillan. Ils étaient très similaires à ceux du tramway (les distributeurs en moins) dont nous avions refusé la présence sur cet axe. Et puis, voici quelques semaines qu'ils ont disparu. Leur positionnement était-il inadéquat ? Ou bien la charrue avait-elle été mise avant les boeufs, et il a fallu les détruire pour défoncer la chaussée, avant, peut-être, de les réinstaller ? Faire et défaire, c'est toujours travailler, mais cela est-il bon pour le bilan carbone ? Et après, il faudra reconstruire la Porte océane, cette fontaine remarquable qui figure sur le guide des promenades métropolitaines. Parfois il m'arrive de me demander si l'argent public est vraiment bien géré, mais c'est sûrement une question qu'un citoyen de base, à l'écart de tout engagement politique, ne peut comprendre.

Et ce n'est pas fini...

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Un bon dessin...

7 Mars 2022, 18:09pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Pour la paix et une solution négociée en Ukraine

25 Février 2022, 09:49am

Publié par Bernardoc

Le président Vladimir POUTINE a pris cette nuit la lourde responsabilité d’ordonner le bombardement de dizaines de sites militaires à travers toute l’Ukraine et aux troupes de l’armée de terre russe de franchir la frontière en plusieurs points du territoire ukrainien. Ces bombardements supposément ciblés ont déjà touché des quartiers d’habitation et ont causé des pertes civiles.
La vie de millions d’Ukrainiens est bouleversée.

Cette décision peut provoquer un embrasement dramatique de la région et conduit déjà les populations civiles de plusieurs grandes villes, en particulier de Kiev, à fuir vers l’ouest, abandonnant en catastrophe leurs logements.
La CGT alerte sur les risques de généralisation du conflit et appelle l’ensemble des dirigeants des parties concernées à ne jouer en aucun cas la carte de l’escalade.

Les armes doivent se taire immédiatement et laisser la place à une solution diplomatique plaçant au cœur l’aspiration des populations à vivre libres et en paix !

La CGT condamne, comme elle l’a toujours fait, les menées impérialistes des grandes puissances, l’irresponsabilité des dirigeants qui font le choix des armes plutôt que du dialogue, les cadres d’alliance militaire dont l’OTAN qui représentent une menace permanente pour la paix.

A l’instar de nombreuses voix en France et dans le monde, la CGT exhorte tous les responsables politiques à arrêter de suivre la logique militaire et à faire prévaloir l’aspiration des peuples à la paix.
Face à une guerre qui une fois encore se traduira par des morts, des destructions et des reculs sociaux, la CGT est aux côtes des travailleuses et travailleurs d’Ukraine, de leurs organisations syndicales. Elle est aussi aux côtés des travailleuses et travailleurs, des organisations syndicales, des pays qui seront rapidement impactés par cette guerre, notamment ceux de Russie et des pays limitrophes de l’Ukraine.

Tous les peuples sans exception – qui sont confrontés à une crise globale (climatique, sanitaire, sociale...) frappant d’abord les plus pauvres, les plus fragiles – n’ont rien à gagner à une nouvelle guerre !

Les priorités pour les peuples et l’avenir de l’humanité se nomment : paix, préservation de l’environnement, justice sociale, réalisation des droits humains, désarmement !

Nous revendiquons :

  1. Un cessez-le-feu en Ukraine et la mise en œuvre des accords existants
    2. L’arrêt des menaces et des livraisons d’armes à toutes les parties
    3. Que les Nations-Unies soient le cadre privilégié d’élaboration des solutions politiques et diplomatiques pour régler la question ukrainienne.

    Avec les organisations du Collectif national des marches pour la paix, la CGT appelle aux initiatives de mobilisation pour la paix et une solution négociée en Ukraine.

    Montreuil, le 24 février 2022

    Et ce n'est pas fini...

     

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Pas envie de parler de l'Ukraine.

24 Février 2022, 09:36am

Publié par Bernardoc

Démarchage téléphonique in planet.fr

Ils font vivre l'enfer à de nombreux Français. Le démarchage téléphonique est de plus en plus courant aussi bien sur téléphone fixe que sur téléphone mobile, ce qui fait que vous n'êtes jamais tranquilles. Si vous arrivez souvent à identifier les numéros, ils en changent régulièrement ou trouvent d'autres ruses pour réussir à vous contacter. Comme l'explique le site du service public, "on parle de démarchage téléphonique abusif lorsque vous recevez des appels téléphoniques commerciaux non désirés". Entreprise de téléphonie, de changement de fenêtres... Parfois, ces appels sont aussi des arnaques, comme c'est le cas pour le CPF. 

Excédés par ces appels incessants, de nombreux Français ont fait le choix de s'inscrire sur le service Bloctel, qui, selon le ministère de l'Economie, "permet de protéger les consommateurs des pratiques abusives du marketing téléphonique". Gratuit, il exige simplement de vous que vous y inscriviez votre numéro ou celui de vos proches. Quelle différence avec la liste rouge ? Bercy explique : "L'inscription sur les listes rouge ou orange permet de ne pas figurer dans les annuaires. Or, les démarcheurs n'utilisent pas uniquement les annuaires téléphoniques pour réaliser des prospections commerciales. Ainsi, donner son ou ses numéros dans le cadre d'une opération commerciale peut conduire à la constitution de listes qui peuvent être revendues".

Ma solution à moi : je ne décroche plus le fixe et compose le 3103 après une sonnerie : il n'y a jamais de message et quelquefois il n'y a même aucune trace d'appel !

Sur le mobile, je décroche, remercie et bloque le numéro.

Et ce n'est pas fini...

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Le classement LinkedIn des métiers en croissance

20 Janvier 2022, 15:32pm

Publié par Bernardoc

1. Responsable des opérations commerciales

Sa mission: Le responsable des opérations commerciales a pour mission d’optimiser les processus et outils de vente (base de données clients, logiciel CRM…) afin de faciliter le travail des commerciaux.

2. Responsable du développement

Sa mission: Le responsable du développement définit et exécute la stratégie commerciale de l’entreprise. Son rôle est notamment de détecter les nouvelles opportunités du marché.

3. Assistant facturation

Sa mission: Généralement intégré au service comptabilité, l’assistant facturation gère l’ensemble des entrées financières de l’entreprise (émission des factures, suivi des paiements, relances…).

4. Conseiller clientèle

Sa mission: Dans la banque et l’assurance, le conseiller clientèle développe et gère un portefeuille de clients à qui il propose des produits et services financiers.

5. Ingénieur en fiabilité de site

Sa mission: L’ingénieur en fiabilité de site s’assure de la stabilité et de la bonne performance d’une solution IT (application, site…). Il peut intervenir à la fois sur la partie matérielle et logicielle du produit.

6. Conseiller en insertion professionnelle

Sa mission: Dans des missions locales, des services municipaux ou des associations, le conseiller en insertion professionnelle aide les personnes éloignées de l’emploi à s’insérer sur le marché du travail.

7. Consultant en télécommunications

Sa mission: Le consultant en télécommunications accompagne des entreprises privées ou des collectivités dans la mise en place et la sécurisation de leur infrastructure télécom.

8. Responsable de compte

Sa mission: Le responsable de compte est chargé d'un ou plusieurs clients stratégiques pour son entreprise. Interlocuteur privilégié de ses clients, il s’assure de leur satisfaction et de leur fidélité.

9. Chargé de recrutement

Sa mission: Le chargé de recrutement met en pratique la politique de recrutement définie par la direction des ressources humaines. Il joue notamment un rôle essentiel dans la rédaction des offres d’emploi, le tri des candidatures, et les premiers entretiens.

10. Responsable douane

Sa mission: Le responsable douane assure le respect des obligations douanières de son entreprise. Ses missions incluent la veille réglementaire douanière ou encore la gestion des relations avec l’administration des douanes, notamment dans le cadre des contentieux.

Et ce n'est pas fini...

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Comment retrouver un téléphone perdu ou volé ?

12 Janvier 2022, 15:10pm

Publié par Bernardoc

In radins.com

Oublier son téléphone sur un banc ou dans un bar, le faire tomber sans s’en rendre compte ou se le faire subtiliser alors qu’on l’avait dans sa poche de jean ou dans son sac : cela se produit tous les jours. Mais lorsqu’une telle mésaventure nous arrive à nous, rapidement, un vent de panique nous envahit !

Grâce à la technologie, il est heureusement possible de le retrouver in extremis. 3 conditions doivent, toutefois, être réunies :

  1. Votre téléphone doit être allumé.

  2. Il doit être lié :

  • à un compte Google s’il s’agit d’un smartphone ;

  1. Vous devez avoir activé la localisation sur votre appareil.

À noter : comment activer la localisation ?

Sous Android, allez dans les paramètres de votre téléphone, rubrique « Sécurité » puis « Localiser mon appareil ».

À partir de là, vous allez pouvoir passer à l’action.

Pour les téléphones avec système Android :

Depuis un support numérique (ordinateur, tablette, téléphone secondaire…), rendez-vous à l’adresse suivante : google.com/android/find. Ensuite, entrez vos identifiants Google. Une fois connecté à votre compte, sélectionnez votre téléphone perdu ou volé dans le menu de gauche. Vous pourrez alors directement le localiser sur une carte. Selon sa position et les circonstances dans lesquelles vous l’avez perdu, vous avez le choix entre plusieurs options :

  • Faire sonner votre téléphone : il sonnera alors durant 5 minutes, même si vous l’aviez mis en mode silencieux ;

  • Sécuriser votre téléphone ; ici, deux possibilités :

    • le verrouiller et le déconnecter de votre compte Google ;

    • afficher une notification sur l’écran de verrouillage pour communiquer vos coordonnées ;

  • Effacer les données de votre téléphone : cela aura pour effet de protéger votre vie privée, mais vous ne pourrez ensuite plus localiser votre appareil (réfléchissez-y donc à deux fois).

Ces fonctionnalités, certes providentielles, ne vous dispensent pas de sécuriser l’accès à votre appareil. D’autant qu’outre le vol et la perte, votre téléphone peut être simplement victime d’une application malveillante. À tout instant, vous courez donc le risque de vous faire hacker.

Voici donc 3 bons conseils à suivre pour protéger les données personnelles et confidentielles stockées sur votre appareil.

Laisser son code PIN activé

Par peur de l’oublier ou pour gagner du temps, certains sont tentés de désactiver le code PIN de leur téléphone. Oui, c’est possible. Cela reste cependant une très mauvaise idée. Ce code constitue une première barrière de sécurité. Sans lui, allumer votre téléphone est un jeu d’enfant…

À noter : modifiez bien le code PIN par défaut

Vous savez, le fameux 0000 propre à tous les nouveaux téléphones ! C’est le premier code que taperont des personnes malintentionnées… Oubliez aussi les codes en lien avec votre date de naissance ou les suites de chiffres (ex. : 4567).

Activer un code de verrouillage

Le code de verrouillage vient renforcer la sécurité de votre téléphone : il vous est demandé après chaque mise en veille. À ce propos, pensez aussi à activer le verrouillage automatique, surtout si vous avez tendance à oublier de mettre votre appareil en veille. Si possible, choisissez un code de verrouillage long composé de chiffres et de lettres plutôt qu’un simple code à 4 chiffres.

Conserver le code IMEI de votre téléphone

Ce code, composé de 15 à 17 chiffres, n’est autre que le numéro de série de votre appareil. Il a dû vous être fourni en même temps que ce dernier. Grâce au code IMEI, vous avez la possibilité de bloquer votre téléphone perdu ou volé. Il deviendra ainsi inutilisable. Gardez-le donc en lieu sûr, au cas où !

À noter : l’astuce pour retrouver son code IMEI

Si vous l’avez égaré – et avant d’égarer votre téléphone lui-même, – il vous suffit de taper *#06# sur votre clavier téléphonique. Votre code IMEI s’affiche alors instantanément !

Vous voilà devenu un as de l’investigation et de la sécurisation ! À présent, plus de raison (ou presque) de vous inquiéter en cas de vol ou de perte de votre téléphone.

Et ce n'est pas fini...

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