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Le blog de Bernard SARLANDIE

regards sur le monde

Comment retrouver un téléphone perdu ou volé ?

12 Janvier 2022, 15:10pm

Publié par Bernardoc

In radins.com

Oublier son téléphone sur un banc ou dans un bar, le faire tomber sans s’en rendre compte ou se le faire subtiliser alors qu’on l’avait dans sa poche de jean ou dans son sac : cela se produit tous les jours. Mais lorsqu’une telle mésaventure nous arrive à nous, rapidement, un vent de panique nous envahit !

Grâce à la technologie, il est heureusement possible de le retrouver in extremis. 3 conditions doivent, toutefois, être réunies :

  1. Votre téléphone doit être allumé.

  2. Il doit être lié :

  • à un compte Google s’il s’agit d’un smartphone ;

  1. Vous devez avoir activé la localisation sur votre appareil.

À noter : comment activer la localisation ?

Sous Android, allez dans les paramètres de votre téléphone, rubrique « Sécurité » puis « Localiser mon appareil ».

À partir de là, vous allez pouvoir passer à l’action.

Pour les téléphones avec système Android :

Depuis un support numérique (ordinateur, tablette, téléphone secondaire…), rendez-vous à l’adresse suivante : google.com/android/find. Ensuite, entrez vos identifiants Google. Une fois connecté à votre compte, sélectionnez votre téléphone perdu ou volé dans le menu de gauche. Vous pourrez alors directement le localiser sur une carte. Selon sa position et les circonstances dans lesquelles vous l’avez perdu, vous avez le choix entre plusieurs options :

  • Faire sonner votre téléphone : il sonnera alors durant 5 minutes, même si vous l’aviez mis en mode silencieux ;

  • Sécuriser votre téléphone ; ici, deux possibilités :

    • le verrouiller et le déconnecter de votre compte Google ;

    • afficher une notification sur l’écran de verrouillage pour communiquer vos coordonnées ;

  • Effacer les données de votre téléphone : cela aura pour effet de protéger votre vie privée, mais vous ne pourrez ensuite plus localiser votre appareil (réfléchissez-y donc à deux fois).

Ces fonctionnalités, certes providentielles, ne vous dispensent pas de sécuriser l’accès à votre appareil. D’autant qu’outre le vol et la perte, votre téléphone peut être simplement victime d’une application malveillante. À tout instant, vous courez donc le risque de vous faire hacker.

Voici donc 3 bons conseils à suivre pour protéger les données personnelles et confidentielles stockées sur votre appareil.

Laisser son code PIN activé

Par peur de l’oublier ou pour gagner du temps, certains sont tentés de désactiver le code PIN de leur téléphone. Oui, c’est possible. Cela reste cependant une très mauvaise idée. Ce code constitue une première barrière de sécurité. Sans lui, allumer votre téléphone est un jeu d’enfant…

À noter : modifiez bien le code PIN par défaut

Vous savez, le fameux 0000 propre à tous les nouveaux téléphones ! C’est le premier code que taperont des personnes malintentionnées… Oubliez aussi les codes en lien avec votre date de naissance ou les suites de chiffres (ex. : 4567).

Activer un code de verrouillage

Le code de verrouillage vient renforcer la sécurité de votre téléphone : il vous est demandé après chaque mise en veille. À ce propos, pensez aussi à activer le verrouillage automatique, surtout si vous avez tendance à oublier de mettre votre appareil en veille. Si possible, choisissez un code de verrouillage long composé de chiffres et de lettres plutôt qu’un simple code à 4 chiffres.

Conserver le code IMEI de votre téléphone

Ce code, composé de 15 à 17 chiffres, n’est autre que le numéro de série de votre appareil. Il a dû vous être fourni en même temps que ce dernier. Grâce au code IMEI, vous avez la possibilité de bloquer votre téléphone perdu ou volé. Il deviendra ainsi inutilisable. Gardez-le donc en lieu sûr, au cas où !

À noter : l’astuce pour retrouver son code IMEI

Si vous l’avez égaré – et avant d’égarer votre téléphone lui-même, – il vous suffit de taper *#06# sur votre clavier téléphonique. Votre code IMEI s’affiche alors instantanément !

Vous voilà devenu un as de l’investigation et de la sécurisation ! À présent, plus de raison (ou presque) de vous inquiéter en cas de vol ou de perte de votre téléphone.

Et ce n'est pas fini...

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Tradition

1 Janvier 2022, 09:23am

Publié par Bernardoc

Bona annada !

Feliĉan novjaron, pacon kaj sanon !

Et ce n'est pas fini...

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A moitié

27 Décembre 2021, 16:45pm

Publié par Bernardoc

C'est (un peu) mieux que l'an dernier : nous avons pu fêter Noël en famille (en mode restreint). En revanche, il n'en sera pas de même pour le réveillon du 31 où nous serons tous les trois avec Maeva. restons prudents, nous ne sommes pas encore sortis des ronces.

Et ce n'est pas fini...

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Mourir pour des idées.

22 Décembre 2021, 09:37am

Publié par Bernardoc

Ils seront allés jusqu'au bout. La radio vient de nous apprendre que deux leaders syndicalistes martiniquais, farouches opposants à la vaccination, viennent d'être emportés par le covid. Tous leurs adeptes doivent être fiers d'eux et sûrement certains se bousculent pour leur succéder.

Quoi ? La science pourrait aider à sauver des vies ? Balivernes que tout cela, c'est encore la propagande des illuminati (ou du gouvernement colonialiste) qui veulent injecter un poison dans nos corps. Restons sains et battons-nous avec nos armes, tisanes ou hydroxychloroquine, si le virus voulait s'en prendre à nous. Nos chefs nous ont montré le chemin, restons dignes d'eux, et refusons la vaccination jusqu'à la mort !

Peut-être pourrons-nous quand même bénéficier de l'hôpital public et de ses soignants dévoués mais épuisés ? Peut-être priverons-nous un malade grave ou accidenté d'un lit nécessaire ? Ce ne sera pas notre faute, il n'y avait qu'à pas supprimer des lits et recruter davantage de personnel.

Faut-il déplorer ces morts ou les citer en exemple ? Je vous laisse seuls juges, moi j'ai mes trois doses.

Pour ceux qui auraient des doutes, il y a pas mal de deuxième degré dans mon propos.

Et ce n'est pas fini...

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Baromètre « Confiance & Bien-être des Français » 2021

20 Décembre 2021, 14:45pm

Publié par Bernardoc

Quel est le moral des Français en 2021 ? Pour la sixième année consécutive, les mutuelles MGEN et Solidaris, avec l’aide d’OpinionWay, sondent les Français sur leur rapport à la société, au travail et à la santé, et publient le baromètre « confiance et bien-être ».

Etabli sur une échelle de 0 à 100, l’indice global de confiance et bien-être des Français progresse à 56,9 en 2021, soit +2,5% de plus qu’en 2020. La majorité des indices le composant augmentent en 2021 à l’exception de la santé mentale, au plus bas depuis 2016, et le rapport de confiance envers la société reste contrasté.

  • Le moral des femmes progresse lui aussi de 2,6% (54,7 en 2021 contre 53,3 en 2020), mais reste en-deçà de l’indice global. Sur cinq des six indicateurs clés (exceptée la qualité du relationnel), les femmes ont des scores de bien-être systématiquement inférieurs à ceux des hommes et leur santé mentale enregistre le plus bas niveau depuis 2016 : 56,1 contre 59,2 en 2020 et 61,4 en 2016.

  • Le rapport de confiance varie selon les générations : il est en hausse chez les populations les plus jeunes et les seniors, à 59,6 chez les moins de 40 ans (+3,6%) et 57,8 chez les plus de 60 ans (+4,8%). À contrario, l’indice global recule d’1,5% pour la tranche des 40-59 ans (52,3 en 2021).

En 2021, le rapport de confiance dans les institutions reste très bas et interroge, dans la période électorale qui s’amorce. Moins d’un Français sur trois pense que la démocratie fonctionne très bien en France (30,9%), c’est six points de moins en un an. Moins d’un Français sur deux (43,9%) pense que le monde politique a encore les moyens de faire bouger les choses et seuls 23% ont confiance dans leurs gouvernants politiques pour tenter d’améliorer leur qualité de vie.

19,2% des Français ont le sentiment que les grandes banques et compagnies d’assurance agissent pour améliorer leur quotidien ; 24% pour la presse et les journalistes (c’est le chiffre le plus bas depuis six ans) ; 27,2% pour les institutions religieuses (représentants des églises, mosquées, synagogues…); 28,4% pour les syndicats ; 29% pour les grandes entreprises. Les Français croient davantage en leur système de santé, à 41,1% pour les mutuelles et à 56% pour la Sécurité sociale. Un rapport de confiance envers les organismes de santé qui reste stable par rapport à l’année passée.

Enfin, 61,6% des Français estiment avoir accès à de l’information de qualité (par internet, par les médias classiques – journaux, télévision, radio), en recul de 4,2 points par rapport à 2020.

L’an passé, la sphère du travail était mieux vécue par les Français avec une cadence et un stress au travail en diminution. En 2021, après une crise sanitaire ayant favorisé le télétravail, le travail peut être vécu comme difficile. Certains indicateurs se dégradent : 51,2% des Français évoquent une cadence élevée au travail (+7 points vs.2020) ; ils sont moins nombreux à avoir suffisamment de temps en dehors de leur travail (51,1% en 2021 contre 56,8% en 2020), et 41,8% indiquent ressentir du stress (+5,5 points vs. 2020). Pour autant, le rapport des Français à leur travail est en amélioration quant à son utilité sociale, répondant à une certaine quête de sens : 61,3% jugent leur travail utile (contre 57,6% en 2020) et plus d’un Français sur deux (51,4%) considèrent que leur travail constitue une source de bien-être (47,8% en 2020). 39% d’entre eux évoquent même des possibilités de promotion (au plus haut niveau depuis 2016). Enfin, les Français craignent moins le chômage de longue durée (37,8% soit -7,8 points en un an).

Sur le report de soins, 17,1% des Français ont renoncé à aller chez un médecin généraliste pour raisons financières (-7 points en 1 an), 68,4% trouvent le délai d’attente trop long pour un spécialiste et 48,9% jugent le délai d’attente trop long pour être admis à l’hôpital (hors urgences et maternité).
Les Français voient plus positivement l’accès aux soins : 69,7% estiment que leur médecin généraliste contribue à améliorer leur vie (+2 points en 1 an) et 61,1% des Français indiquent qu’il y a suffisamment de structures hospitalières dans leurs régions, même si les professionnels de santé manquent pour plus d’un Français sur deux dans leur région (taux stabilisé à 52,9% sur un an).

67,9% jugent le système de santé français d’excellente qualité. A noter, une corrélation entre la perception de notre système de santé et l’âge : les plus de 60 ans sont 72,9% à le considérer de qualité et les moins de 40 ans sont 68,6%, tandis que les 40-59 ans sont plus sévères avec 62% d’opinions favorables.
L’inquiétude face au coût des médicaments et à leur pénurie recule mais ne revient pas à son niveau d’avant-crise : 18,2% ont renoncé à l’achat de médicaments prescrits pour raisons financières au cours des 12 derniers mois (contre 23,5% en 2020, et 16,9% en 2019) et 20,9% des Français ont dû renoncer à des médicaments en raison de leur indisponibilité.
Enfin, la santé mentale des Français est au plus bas depuis six années d’enquête. Sur l’échelle de CANTRIL, un tiers des Français (32,6%) évalue leur vie négativement, avec 19,9 % d’entre eux indiquant ressentir une dépression sévère à modérée et 21,1% se disant souvent voire très souvent anxieux.

 

Focus sur la santé mentale des Français

  • 1 Français sur 5 renonce à aller chez un professionnel de santé mentale pour des raisons financières (indicateur stable ces trois dernières années)

  • 36,6% personnes sont évaluées en stress élevé (42% des femmes contre 30,5% des hommes)

  • 11,3% des Français ont eu des idées noires au point de penser à se suicider

  • Solitude : 17,6% des Français déclarent se sentir seuls souvent et très souvent (13,6% des hommes et 21,3% des femmes)

  • Les femmes : l’indice de santé mentale au plus bas 56,1 contre 59,2 en 2020 et 61,4 en 2016. 24,9% des femmes déclarent une anxiété fréquente contre 17% des hommes

    Et ce n'est pas fini...

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Aucune pitié pour les assassins.

13 Décembre 2021, 14:06pm

Publié par Bernardoc

Lu dans la lettre-info du Monde aujourd'hui.

Quatre cents enquêtes ont été ouvertes pour démanteler des réseaux de faux passes sanitaires, dont « plusieurs milliers » ont été détectés en France par les forces de l’ordre, a déclaré dimanche Gérald Darmanin. « Nous avons à peu près 400 enquêtes (…) sur des réseaux de faux passes sanitaires, parfois malheureusement en lien avec des professionnels de santé », a fait savoir le ministre de l’intérieur.

M. Darmanin a précisé qu’il y avait déjà eu des « interpellations » dans le cadre de ces enquêtes sans en préciser le nombre et rappelé que les peines encourues étaient « extrêmement fortes, cinq ans de prison » pour les organisateurs de ces réseaux.

Fin novembre, un médecin du Val-de-Marne soupçonné d’avoir vendu au moins 220 faux passes sanitaires a été mis en examen et placé en détention provisoire. Une femme de 57 ans qui s’était procuré un faux certificat de vaccination est morte du Covid-19 à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, dans les Hauts-de-Seine, a indiqué vendredi le chef du service de réanimation de l’établissement.

Comment peut-on qualifier ceux qui se sont rendus coupables de tels actes ? Pour moi , qui ne suis pas juriste, je ne vois qu'un mot : MEURTRIER.

Alors que l'on vient de célébrer le quarantième anniversaire de l'abolition de la peine de mort, on trouve encore des personnes qui vont jusqu'à se rendre complices de provocation de décès non-demandés (ce n'est pas ce qu'on appelle « mourir dans la dignité »). Et en plus quand il s'agit de personnel médical, ils ont perdu toute éthique. Ils doivent être lourdement condamnés et en fonction de circonstances aggravantes.

Et ce n'est pas fini...


 

 

 

 

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Visionnaire, hélas !

26 Novembre 2021, 15:46pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Un avenir meilleur pour chaque enfant

20 Novembre 2021, 09:19am

Publié par Bernardoc

La Journée mondiale de l'enfance a été créée en 1954 et est célébrée chaque année le 20 novembre afin de promouvoir le respect et les droits des enfants.

Le 20 novembre marque le jour de l’adoption par l’Assemblée de la Déclaration des droits de l’enfant, en 1959, et de la Convention relative aux droits de l’enfant, signée en 1989. 

Depuis 1990, la Journée mondiale de l’enfance marque également l'anniversaire de l'adoption la Déclaration et de la Convention relative aux droits de l'enfant.

Les mères et les pères, les enseignants, les infirmières et les médecins, les dirigeants ou les militants de la société civile, les chefs religieux ou de communautés, les chefs d’entreprises et les professionnels des médias, de même que les jeunes et les enfants eux-mêmes, peuvent jouer un rôle important et faire de cette Journée mondiale de l'enfance un événement à part dans leur société, pour leur communauté ou pour leur pays.

La Journée mondiale de l’enfance offre à chacun et chacune d’entre nous une occasion unique de sensibiliser le public aux droits de l’enfant, de promouvoir et de mettre en lumière ceux-ci, mais aussi de transformer cette date en actes concrets en faveur des enfants partout dans le monde.

Et ce n'est pas fini...

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Fonctionnaires : hausse des arrêts maladie en dépit du jour de carence

13 Septembre 2021, 10:44am

Publié par Bernardoc

« En cinq ans, le nombre de jours d'arrêt a crû de 21 % dans les trois fonctions publiques, selon un rapport de la Cour des comptes publié jeudi. »

Des fainéants les fonctionnaires ? Si l'on en croit le rapport de la Cour des comptes, c'est loin d'être le cas ; mais ça, on le savait déjà. Si l'on accepte de passer des concours qui, à diplôme égal, mènent à une carrière bien moins rémunérée que dans le privé, c'est que nous avons le sens du service public et d'oeuvrer au bien-être de nos concitoyens.

Nos gouvernants, qui n'ont qu'un but, obéir aux directives européennes (sauf pour l'armée !) de destruction de services publics dont nous avions tout lieu d'être fiers, par une mise en concurrence « libre et non faussée » (tu parles!) se plaisent à dévaloriser les fonctionnaires.

La mise en place du jour de carence (jamais pris en charge par l'administration, contrairement à ce qu'il se passe dans certaines entreprises) était censée favoriser la présence au travail, même en cas de maladie. C'est raté ! Lorsqu'ils sont malades et qu'ils n'en peuvent plus, les fonctionnaires préfèrent s'arrêter, quittes à perdre un jour de salaire, plutôt que de produire un service de mauvaise qualité. Et si le nombre d'arrêts maladie a augmenté à ce point, il n'est pas difficile d'en trouver la cause : la charge de travail a augmenté (avec le point d'indice gelé depuis des années) du fait de la suppression de postes, d'où une fatigue supplémentaire.

Mais peut-être cette réflexion est-elle trop inspirée par le syndicalisme pour n'être pas combattue par ceux qui sont encore pour quelques mois au gouvernement.

Et ce n'est pas fini...

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Quel est le coupable ?

9 Septembre 2021, 14:08pm

Publié par Bernardoc

Depuis quelque temps, je suis agressé sur mon téléphone mobile pour au moins deux choses : mutuelle et énergie. Avant ce n'était que sur le téléphone fixe que je ne décroche plus maintenant ; je me contente de faire le 3103 après pour voir s'il y a un message, auquel cas je rappelle immédiatement. Mais bien souvent cet appel ne laisse aucune trace ; il y a pourtant un numéro qui s'affiche ; comment se fait-ce ? Comme il existe un « dark internet », existe-t-il une « dark téléphonie » ? Mystère.

Donc concernant la mutuelle, certains connaissent le milieu dont ils parlent, et lorsque je dis que je suis adhérent de la Mgen depuis 1969, ils me félicitent et raccrochent. D'autres n'y connaissent rien et essaient de se raccrocher à leur fiche pour me débiter leur salade, mais on n'est pas sur le même plan : ils me parlent gros sous et je leur parle solidarité. Finalement je les envoie paître sans être sûr qu'ils m'aient compris.

Hier, c'était une offre concernant l'électricité : je lui parle des Jours heureux, du Conseil National de la Résistance, du ministre communiste Marcel PAUL, de la nécessité de renationaliser (je ne dis pas sans indemnité ni rachat car elle n'aurait pas compris) et comme nous parlions tous les deux en même temps, elle en lisant son papier (je ne sais pas dans quel pays) et moi en argumentant, j'ai fini par raccrocher en disant que je bloquais son numéro. Donc, un importun en moins.

J'en reviens donc à ma question, qui a vendu mon numéro de mobile à des entreprises commerciales sans m'en avoir demandé l'autorisation ?

Et bloctel est d'une totale inefficacité sur l'une ou l'autre ligne.

Et ce n'est pas fini...

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