La santé en danger.
Un peu de lecture avant quelques jours de silence.
Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Un peu de lecture avant quelques jours de silence.
Et ce n'est pas fini...
Mais non, c’est une plaisanterie…hélas !
Comme chaque année, la MGEN réunit ses adhérents pour une assemblée départementale afin de discuter les différents rapports concernant la vie de notre mutuelle au cours de l’année précédente. C’est également au cours de cette assemblée que seront désignés les participants à l’assemblée générale annuelle, qui aura lieu cette année à Besançon.
Cette AD, dont la date a été modifiée, ce qui peut avoir accru le taux de non-participation, les adhérents ayant d’abord bloqué une autre date, a cependant reçu une publicité importante : pas moins de mille courriels d’invitation à la salle du Galet, au lycée Pape Clément de Pessac, ont été envoyés. Les photos sont éloquentes…
En revanche, contrairement à certaines années, les interventions furent pertinentes, sans être agressives. Les râleurs habituels faisaient partie des absents. Ceux qui prirent la parole manifestèrent une réelle volonté de contribuer au débat concernant la vie de notre mutuelle, même s’ils n’étaient pas « dans la ligne ». Mais n’est-ce pas justement ce qui permet de faire avancer les choses ?
J’étais assis devant un fidèle couple de retraités de la CGT, habitués à participer à toutes les AD, et fidèles défenseurs de toutes les œuvres bâties par nos prédécesseurs de l’éducation nationale. Ce couple se lamentait devant l’absence de nos collègues actifs. Comment peut-on espérer défendre, devant les attaques gouvernementales, notre sécu, si l’on ne s’intéresse pas à la mutuelle qui la gère ? C’était aussi le sens de la motion que j’avais réussi à faire voter, non sans mal, lors d’un congrès syndical.
Enfin, les présents m’ont élu (unanimité moins une abstention) avec l’ensemble de la délégation pour représenter la section girondine à Besançon. C’est mon avant-dernière participation, et c’est la première fois que je ne vais pas à Paris.
Et ce n’est pas fini…
"Mon" panneau.
Entrepôt (recouvert par Zavatta au bout de quelques jours).
N'oublions pas que les porte-paroles du NPA ont signé la pétition !
A défaut de panneau municipal, nous sommes accueillis par France Télécom.
Trois panneaux de Mérignac ont été décorés, mais ils n'ont pas duré plus de trois jours, bedaùrinde.
Pour ceux qui ne l'auraient pas encore signée, voici le lien vers la pétition :
www.esperanto-au-bac.fr
Et ce n'est pas fini...
Enfin, le 23 mai, nous avons pu remettre en utilisation notre "résidence mobile de loisirs", comme on dit en bon français. C'est la première fois que nous l'ouvrons si tard depuis sept ans. Le robinet du lavabo fuyait l'automne dernier lorsque nous l'avons mis en hivernage, et il fut particulièrement difficile de trouver un plombier pour venir faire la réparation : ces artisans sont débordés et ne répondent pas aux messages laissés sur leur répondeur. Enfin, le troisième fut le bon ! Et nous étions convenus d'un rendez-vous hier.
Comme à chaque fois, nous sommes émerveillés par la pousse des arbres qui l'entourent. Quelques photos pour montrer l'évolution :
C'est toujours triste de voir le camping vide.
Le village de toile, sur le chemin de la piscine.
Les sanitaires ; je ne suis pas sûr que la convivialité y ait gagné avec la réfection. A juger !
Et ce n'est pas fini...
En 2009, au festival du rire de Montreux, Laurent GERRA qualifiait DSK de « queutard du FMI », FMI voulant dire « Fourre-Moi Immédiatement ».
En 2010, le chroniqueur humoriste Stéphane GUILLON fut viré de France Inter après avoir fait référence aux penchants de DSK, qui l’avait d’ailleurs très mal pris.
En 2011, arrive l’histoire que tout le monde connaît, et, comme un seul homme, la classe politique s’apitoie sur le sort de celui qui souhaitait incarner la gauche de droite lors des élections présidentielles à venir. Entre un homme immensément riche et puissant et une bonne dans un hôtel, comment pouvait-il y avoir l’ombre d’un problème ? Il s’agissait à coup sûr d’un complot. Après tout, comme l’ont dit certains de nos grands penseurs, il ne s’agissait que d’un troussage domestique qui n’avait pas entraîné mort d’homme.
Et il a fallu attendre que les mouvements féministes se mobilisent pour qu’on voit les dirigeants du parti qui aspire au pouvoir émettre du bout des lèvres que, s’il y avait un accusé présumé innocent, il devait y avoir aussi une victime (présumée coupable ?).
Maintenant vient de se mettre en branle la justice américaine. Depuis deux jours, on nous rebat les oreilles sur la fortune que doit dépenser mensuellement l’accusé pour ne plus dormir en prison. Et également le prix à payer pour mettre en doute le témoignage de l’accusatrice. Les défenseurs de cette dernière disposeront-ils des mêmes moyens pour alimenter le débat dans l’autre direction ? Qu’il me soit permis d’en douter. Reste une solution, Mesdames, les témoignages spontanés et bénévoles. Certains viennent d’être révélés ; sont-ce les seuls ?
Attendons le procès. Si le résultat apparaît indépendant des sommes investies par les protagonistes, je dirai « Chapeau ! » pour la justice américaine. Wait and see.
Et ce n’est pas fini…
Comme chaque année, le peuple de gauche se rassemble autour du Parti Communiste Français lors de la fête en soutien au journal L'Humanité à Villenave d'Ornon. Lorsque l'on arrive sur le site, on est impressionné par le nombre de chapiteaux, de stands, la diversité des exposants et la variété des animations.
Bien entendu, il s'agit d'une fête politique et des débats divers et variés accueillent les militants : autour de l'énergie, sur les printemps arabes,...
Comme l'an dernier, j'ai assuré samedi après-midi une permanence sur le stand de l'IHS 33 (Institut d'Histoire Sociale de la CGT), sans, hélas, beaucoup de visiteurs. J'y ai quand même récolté une vingtaine de signatures pour la pétition "L'Esperanto au bac".
Nouveauté depuis les dernières élections européennes, le stand du Front de gauche, "habité" par ses trois composantes (en attendant plus ? ce qui serait un formidable pas vers une alternative tant attendue.
Lorsque je partais, après un excellent repas au restaurant La rivière Espérance, une nouvelle catégorie de gens arrivait pour assister aux différents concerts qui devaient animer la soirée.
Et ce n'est pas fini...
En ce samedi matin, le Maire avait invité dans la salle du conseil municipal, sous les symboles de la République, les jeunes majeurs afin de leur remettre leur première carte d'électeur. Plus d'une centaine avaient été contactés, mais seuls seize avaient répondu "présent", ce qui est considéré comme une bonne réponse dans ce genre de démarche, mais qui est quand même faible au regard des enjeux. Espérons que lors des prochaines échéances électorales ils seront plus nombreux à se mobiliser. A noter, mais est-ce une surprise ? l'absence des élus de l'opposition.
L'ensemble des récipiendaires
Le Maire, ceint de son écharpe, et Madeleine, l'adjointe en charge de ces manifestations.
Une jeune fille recevant ses documents...
...suivie par un garçon (ils étaient en minorité).
L'ensemble du groupe à la fin de la remise.
Et ce n'est pas fini...
Dernier album mis en ligne après notre séjour en Polynésie : notre excursion sur l'île soeur : Moorea. Prochain récit de voyage : notre croisière à venir en Méditerranée.
Et ce n'est pas fini...
Pendant notre semaine tahitienne nous étions à Faa'a, chez Richard et Suzy. Nous en avons profité pour nous promener dans les environs. Voir le nouvel album mis en ligne.
Et ce n'est pas fini...
Nouvel album de 25 photos : nous avons fait de nouvelles découvertes en faisant le tour de Tahiti : le fenua devient de plus en plus accueillant et semble prêt à mettre en valeur le patrimoine.
Et ce n'est pas fini...