Fête de l'Huma.
Avant de retracer notre voyage en Italie, d'autres actualités.
Je n'étais pas retourné à la Fête depuis des années : j'avais commencé à y aller pour l'IHS, puis au bon temps de l'espoir du front de gauche. Cette année, nous y avons repris pied pour France-Cuba. Les gens venaient pour goûter nos fameux mojitos, mais nous n'avions pas le droit d'en vendre. Nous avons néanmoins fait deux adhésions et vendu livres, tricots et bérets. Une camarade qui brodait a aussi placé quelques marques-pages dont une partie nous a été reversée.
Mais, et c'est ce qui fait la force de la Fête, l'important était les rencontres et l'esprit convivial et fraternel qui régnait tout au long de ce dimanche très ensoleillé. Chacun était content de se retrouver, comme après le covid. Et les discussions allaient bon train.
Ne parlons pas du repas qui a accueilli 700 convives servis par les jeunes du MJCF. Nous avons commencé par quelques huîtres du bassin (hors menu) accompagnées bien sûr d'un verre de blanc.
Nous avons plié nos affaires, non sans avoir chanté L'Internationale (j'étais trop loin pour La Marseillaise) et chanté en choeur des chansons bien connues que Lous Jougadous nous invitaient à reprendre en choeur.
Donc, excellente journée militante à renouveler mais en négociant la possibilité de proposer nos mojitos.
Et ce n'est pas fini...