…du moins à l’Education nationale (ou ce qu’il en reste !).
Aujourd’hui avait lieu la journée d’accueil des nouveaux nommés dans l’académie de Bordeaux. Après un accueil dans trois lycées différents le matin, l’après-midi les entrants en Gironde étaient reçus à l’ENSEIRB de Pessac, où le recteur, l’inspecteur d’académie, le secrétaire général et un inspecteur pédagogique devaient informer les entrants sur la manière de fonctionner du département.
Cette réunion existe maintenant depuis plusieurs années, et c’est une bonne chose ; moi je n’y ai jamais eu droit sauf lorsque j’ai été nommé personnel de direction, quand l’IA d’alors, l’empathique M. LAUREAU nous réunit en petit comité pour nous souhaiter la bienvenue et concrétiser l’entrée dans la deuxième partie, en situation cette fois, de notre formation.
Les interventions hiérarchiques et pédagogiques, prévues à 14h30, débutèrent avec du retard (la demi-heure girondine ?), alors que les nouveaux mutés étaient invités (pas de convocation, pas de remboursement de frais !) à partir de 14 heures. Mais à partir de 11h30, les syndicats et différentes associations qui gravitent autour de l’école étaient présentes.
J’y étais au titre de la Mgen, et nous étions beaucoup, mais pas de trop. Certains collègues venaient directement vers nous, car nous étions bien visibles avec nos badges ; d’autres, plus timides, nous répondaient avec bienveillance et n’hésitaient pas à aller consulter nos conseillers mutualistes pour des renseignements plus précis. Une fois de plus nous avons pu constater l’image positive de la mutuelle auprès des personnels de l’Education nationale.
J’en ai également profité pour discuter avec les militants syndicaux, et pas seulement de la CGT ; les seuls avec lesquels je n’ai pas cherché à entrer en contact étaient ceux du Snetaa-FO, moi qui avait milité pendant 19 ans au Snetaa-FEN, je n’aurais pas eu grand-chose à leur dire.
Maintenant, je remets cela après-demain à l’Iufm de Mérignac.
Et ce n’est pas fini…