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Le blog de Bernard SARLANDIE
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Le château de Ste Barbe.

20 Septembre 2014, 10:18am

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Publié par Bernardoc

El castillo de Santa Barbara

Les origines du château datent du IXe siècle au moment de la domination musulmane de la péninsule ibérique.

Le 4 décembre 1248, jour de la Ste Barbe, le château a été capturé par les forces castillanes dirigé par Alphonse de Castille, le futur roi Alphonse X.

Perché au sommet du mont Benacantil, à 166 mètres de hauteur, il offre une vue sans pareille sur la baie d’Alicante ainsi que sur la ville. Il s’agit de l’une des plus grandes forteresses médiévales d’Espagne.

Il compte trois enceintes, à différentes hauteurs, datant de trois époques bien distinctes :

  • La plus élevée (« La Torreta »), à hauteur du donjon, renferme les plus anciens vestiges de la forteresse, datant pour la plupart du XIVe siècle.

Celle du milieu compte les plus grandes dépendances, construites au XVIe siècle, dont

  • La salle Salón Philippe II
  • Le Cuerpo de Guardia (Corps de Garde)
  • Le Patio de Armas (Cour d’Armes)
  • Le Baluarte de la Reina (Bastion de la Reine)

 

  • Enfin, l’enceinte du bas, construite au XVIIIe siècle, comprend le ravelin, dénommé « Revellín del Bon Repós ».

Depuis une cinquantaine d’années que le château a été ouvert au public, les améliorations sont visibles d’année en année. Des maquettes d’armes moyenâgeuses (bélier, catapulte,…) ainsi que des sculptures métalliques de guerriers maures ou chrétiens témoignent des rudes combats qui eurent lieu autour de la ville que le château protégeait. Mais les visiteurs sont gâtés depuis l’installation d’un ascenseur dans la colline, que l’on atteint par un tunnel depuis la plage Postiguet.

Nous y étions en fin d’après-midi, mais les visiteurs étaient encore fort nombreux, preuve de l’attrait offert par ce monument.

     Les photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6061061480190969793?authkey=CK7EzZzv4aGE8wE

Et ce n’est pas fini…

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Benidorm et Altea.

19 Septembre 2014, 07:24am

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Publié par Bernardoc

         Depuis l’autoroute, en descendant vers Alicante, nous découvrons soudain une forêt de gratte-ciel, et l’on devine que les architectes ont voulu se faire plaisir. Nous nous promettons d’y revenir voir de plus près et nous choisissons le tram pour faire ce voyage. Mais nous ne nous sommes pas arrêtés à la bonne gare, et à pied, depuis le centre-ville de Benidorm, cela nous paraissait un peu loin. Nous sommes donc allés jusqu’à la plage, que Josiane et Didier ont jugée bien peu peuplée, comparée à certaines fois. Vous jugerez sur les photos.

         Mais Benidorm ne présentant à nos yeux peu d’intérêts majeurs, nous revoilà partis en tram vers Altea. Nous avons déjeuné en terrasse au bord de mer avec une agréable bise qui nous permettait de supporter agréablement les 35° indiqués par les thermomètres.

         Puis nous partîmes à l’assaut du vieux village d’Altea, lieu où les arts étaient présents autour de la place de l’église, et, n’en doutons pas, qui sera beaucoup plus animée le soir.

         Nous n’avons pas pu pousser jusqu’à Calpe, le tram, tout en traversant de superbes paysages, n’est pas très rapide, et notre journée devait se terminer par la visite du château d’Alacant.

         Photos de cette excursion sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6060514504043131793?authkey=CJW_0uO1h_GzaA

Et ce n’est pas fini…

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Vernissage à la Bourse.

18 Septembre 2014, 07:58am

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Publié par Bernardoc

         L’association de plasticiens « point-barre », qui se revendique socialement engagée, présentait ce soir le résultat de ses travaux après huit mois de travail dans la Bourse du Travail et avec ses occupants. Le bureau de l’IHS les avait rencontrés il y a plusieurs mois pour une présentation de leurs objectifs.

         Le hall de la Bourse restera donc occupé pendant plusieurs jours par plusieurs échafaudages, qui ont été utilisés par des artistes avec des instruments de musique, pour faire du bruit.

         C’est d’ailleurs cette troupe théâtrale qui a occupé la majeure partie de la soirée pour faire son happening qui commençait par la descente de deux femmes nues par les escaliers d’honneur. Elles avaient une très belle voix et revendiquaient que la Bourse du Travail devienne un lieu naturiste. La prestation s’est terminée par un leader haranguant les camarades, cul nu.

         Il va y avoir des tables rondes, des ateliers jusqu’à la fin de la semaine prochaine, mais j’ai eu la nette impression qu’il y avait davantage de spectateurs du milieu artistique que du milieu syndicaliste. La réaction de ces derniers semblait d’ailleurs très mitigée.

         Promis, lorsque nous interviendrons pour rendre hommage aux fusillés de Souge lundi prochain, nous resterons habillés !

         Quelques photos, d’un flou artistique, sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6060139541502953745?authkey=CPTD3YvUgJzF3gE

Et ce n’est pas fini…

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Premiers musées à Alacant.

17 Septembre 2014, 14:15pm

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Publié par Bernardoc

 

Le choix s’est opéré en fonction des heures d’ouverture qui sont pour le moins…surprenantes. Nous avons donc commencé par le musée de Las Hogueras.  

Les fêtes de Las Hogueras (feux de joie) ont eu lieu pour la première fois il y a plusieurs siècles lors de la fête solsticiale païenne du 21 juin, marquant le jour le plus long de l'année. Les habitants d'Alacant faisaient alors comme un ménage de printemps et empilaient tous leurs anciens meubles et autres affaires qu’ils faisaient brûler pour alimenter ces feux. L'aspect religieux de la fête de San Juan n'est apparu que plus tard lorsque la monarchie ultra catholique espagnole n'accepta pas vraiment les origines païennes de cet événement annuel. Toutefois, lorsqu’on découvre les copies en réduction des œuvres kitchissimes qui ont été brûlées au cours des décennies précédentes, on se dit que la religion est quand même assez distante. Vous en jugerez par vous-même.

Deuxième musée (sans photo) : le MACA, musée d’art contemporain, perché sur une colline et qui mérite absolument le détour. C’est en redescendant que les dernières photos ont été prises, avec notamment l’étonnante terrasse constituée de deux sièges et du rebord de fenêtre d’un magasin. Puis retour en tram, dont les quatre lignes utilisent à cet endroit la même voie : attention à ne pas se tromper !

Les photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6060007934617491985?authkey=CN6G74avsuOv0AE

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Dans la place en 2014.

16 Septembre 2014, 08:51am

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Publié par Bernardoc

         L’an dernier nous partions pour Poitiers sous des trombes d’eau qui avaient motivé, à juste titre, l’annulation de la fête de rentrée du Haillan. Mais cette année, le soleil, la chaleur et les gens étaient au rendez-vous. L’uniforme était de rigueur et pour la première fois depuis que je suis haillanais, on avait rajouté des foulards…bleus : on n’est pas à Bayonne que diable ! Quoique, si j’en juge par les consommations de boissons, alcoolisées bien sûr, on essaie de s’en approcher. Je ne veux choquer personne puisque je m’inclus dans les consommateurs. D’ailleurs quelqu’un qui s’activait sur un stand m’a demandé si la mairie avait prévu des conteneurs à verre aux abords de la fête afin de se débarrasser des bouteilles vides.

         J’ai donc acheté mon foulard à une conseillère municipale, au profit du conseil municipal des enfants. Après tout j’en avais bien vendu un certain nombre pour payer mon voyage de retraité CGT à Paris le 3 juin dernier (si, si, il y a eu une manif pour protester contre les attaques frontales violentes que nous subissons depuis 2012, mais vous n’en avez pas entendu parler, les médias sont aux ordres). Donc peut-être cela les aidera-t-il à financer leur voyage de fin de mandat au conseil général tant qu’il existe encore.

         Nous sommes arrivés dans la place bien après le début, après le cocktail du mariage, si bien que nous n’avons pas mangé. Mais je pense que les associations qui tenaient boutique de bouffe ont dû faire leur beurre si j’en juge par la longueur des queues devant chaque stand.

         J’ai eu l’impression que les attractions pour les enfants ont duré plus longtemps que d’habitude et le feu d’artifice a, comme les années précédentes, sonné l’heure de notre retour à la maison.

         Quelques photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6059409460518649313?authkey=CPvzw5XP46zTQA

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Le premier mariage de Rose.

15 Septembre 2014, 17:15pm

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Publié par Bernardoc

         C’était avant-hier, celui de Sandrine et Sébastien, la fille de nos charmants voisins. Rose a demandé à Nicole de l’assister, à la fois pour son propre plaisir et pour celui de nos voisins qui étaient ravis de son implication. Avec un trac monstrueux (premier mandat, premier mariage), elle s’en est bien sortie, même si elle a buté pour prononcer le nom de notre rue ! Mais son petit mot chaleureux fut apprécié.

         Après l’avoir prise en photo en train de lire l’acte, je n’ai pu m’empêcher de photographier une fois de plus les magnifiques citations de Montaigne, Montesquieu et Hugo présentant le tryptique républicain « Liberté, Egalité, Fraternité », citations sur lesquelles je ne manquais pas de m’appuyer lorsque j’officiais.

         Puis ce fut le tour du mariage religieux à St Aubin, dont l’église présente un pavé mosaïque ocre et blanc. Il y a bien dix ans que je n’avais assisté à un mariage religieux, et je fus surpris de découvrir,  que parmi les promesses des époux, il y avait celle de donner sa vie pour un ami. La sortie sous une voûte d’acier (armée oblige), était aussi très symbolique.

         Puis, ce fut le tour du cocktail pendant qu’un photographe professionnel prenait les photos officielles.

         Merci à Brigitte et Dominique pour cette invitation.

         Quelques photos sous le lien :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6059312607423680545?authkey=CKqaicPO493vuAE

Et ce n’est pas fini…

 

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La plaza de toros.

14 Septembre 2014, 00:05am

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Publié par Bernardoc

         Pour notre troisième jour, nous n’avons pas utilisé le tramway, mais le bus. L’arrêt se situait à peu près au même endroit, devant le parking de Carrefour Market, si bien que nous n’étions pas dépaysés. La ligne suit à peu près le même trajet, mais nous décidons de nous arrêter avant le marché, à la station des arènes. Aucun d’entre nous n’était un afficionado, mais comme les arènes comportaient un musée gratuit, cela ne nous engageait pas de faire une visite ni de prendre en photo le picador poussant les taureaux vers ‘entrée.

         De l’extérieur, le bâtiment n’en impose pas vraiment, mais en grimpant un escalier nous arrivons dans un musée à la configuration circulaire, exposant au fil des salles dédiées à de célèbres toreros, des trophées, des habits, des tableaux, des sculptures et même des poèmes. C’est ainsi que j’ai appris la grande admiration que Federico Garcia Llorca portait à cette activité. Un regret : ne pas avoir pu pénétrer dans l’arène, que nous découvrirons à travers la maquette.

         En ressortant, nous voyons qu’il existe une école municipale taurine et pas très loin un « Sindicato independiente » qui semble dire « NO », mais sans que cela ait un rapport avec ce qui précède.

         Et enfin une firme « Cope », dont j’ose espérer qu’elle n’a rien à voir avec un nom connu en France, ou alors aïeaïeaïe le patrimoine.

         Les illustrations ci-dessous :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6058677101661482625?authkey=CMD5yP3pgZaN1QE

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Continuons notre découverte.

13 Septembre 2014, 09:06am

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Publié par Bernardoc

         Quittant les abords de la plage, nous nous dirigeons vers l’esplanade, bordée de boutiques touristiques et de palmiers. Mais ce n’est pas tout : nous atteignons l’heure espagnole du déjeuner ; nous nous dirigeons donc de nouveau vers le centre-ville, via une rue aux champignons, pour nous établir sur une place ombragée de caoutchoucs qui auraient fait pâlir celui qui se trouvait à l’aéroport de Faa’a avant son incendie. Au menu pour moi : des encornets dans leur encre : bon !

         Puis un peu de magasinage, l’occasion d’essayer des lunettes marrantes, de prendre quelques photos supplémentaires avant de nous engouffrer dans le tramway, souterrain à cet endroit qui nous ramènera à Sant Vicent. Paysage agréable le long du trajet.

         Le soir, nous sommes invités par les amis au même endroit où nous étions la veille, mais la soirée se termina devant un gigantesque mojito qui n’avait rien à voir avec ceux de Cuba. Cela passait bien, car comme le montrent les images, à 0h11, il faisait encore 30°. La dernière image montre le premier feu tricolore installé à Alacant, mais il ne fonctionne que le jour ; il faut dire qu’il ne sert plus à rien, sinon à faire beau.

         Les photos :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6058279770618770913?authkey=CKfC9Ja6k__qFA

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Découverte d'Alacant.

12 Septembre 2014, 14:13pm

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Publié par Bernardoc

         Lorsque nous avions quitté Le Haillan, il faisait 8° la nuit ; et nous atteignons le sud du Païs Valencia avec 42° le jour et autour de 30° la nuit. Après notre arrivée tardive à Sant Vicent, siège de l’université, nous partons sur une des collines, face au château, pour quelques tapas. Une légère brise rendait l’endroit « climatiquement » supportable, et veste ou gilet n’étaient pas nécessaires. Nous avons eu le plaisir de voir la nuit tomber sur Alacant et le château s’illuminer en face de nous. C’étaient vraiment les vacances !

         Le lendemain, c’est en tram que nous sommes descendus en ville, nous arrêtant au marché central, le temps de sacrifier à la, je suppose, traditionnelle photo sur le banc, puis la découverte d’une originale présentation des bonites transformées en cerfs-volants pour sécher.

         Juste en face du marché, la clinique « Eva » qui traite les problèmes de fertilité.

         Continuant notre promenade, nous arrivons à la mairie où une statue de Dali nous attend et, sous les yeux des maires précédents nous découvrons la luxueuse salle du conseil municipal, après avoir croisé une reproduction de la dame d’Elche.

         Nous terminons par le port dans lequel Icare revient grâce à sa planche de surf et nous jetons un coup d’œil sur la plage, donc en plein centre-ville, mais qui ne nous donnait pas vraiment envie d’aller nous y tremper.

         Après les photos suivantes, d’autres demain…en principe :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6058151888878069153?authkey=CKDltIT61ra5-gE

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Tortosa.

11 Septembre 2014, 14:14pm

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Publié par Bernardoc

         Ce fut notre première étape en Espagne, sur la route d’Alacant.  Nous y arrivâmes assez tard, après avoir flâné en chemin, ménageant même un pèlerinage à Lourdes (pas vraiment volontaire !). Ensuite, nous longeâmes la Garonne dans le Val d’Aran, dont les armoiries font fièrement figurer la croix occitane au milieu de leur drapeau. Paysage montagneux que j’étais content de faire sous le soleil plutôt que sous la neige. Mais comme nous avions pris du retard, nous n’avons pas pu nous y arrêter.

         C’est donc le lendemain matin que nous entreprîmes la visite de Tortosa. Située sur l’Ebre, au sud de la Catalogne, il s’agit d’une ville fortifiée assaillie tour à tour par les Maures et les Chrétiens. Environ 35 000 habitants la peuplent, avec un joyeux kaléidoscope d’origines européennes ou africaines. Le temps était superbe, et Josiane et Didier qui ne l’avaient pas visitée depuis des années ont pu admirer les transformations et la propreté de la ville. On pourrait donc faire le parallèle entre cette évolution et celle de Bordeaux au cours des dernières décennies. Nous sommes montés jusqu’au parador, ces auberges construites sous Franco pour héberger les vacanciers populaires ; c’est maintenant devenu un hôtel de grand luxe, et ce n’étaient pas des petites voitures étrangères qui stationnaient dans la cour !

         Mais les images suivantes vous permettront d’apprécier ce paysage que nous découvrions :

https://plus.google.com/photos/112734244000396611033/albums/6057783759180233313?authkey=CPSimLunuIyZKQ

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