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Le blog de Bernard SARLANDIE

La bête immonde.

8 Décembre 2022, 15:48pm

Publié par Bernardoc

Il y a quelques semaines, une horde de délinquants masqués et armés déboulait dans le quartier St Michel de Bordeaux ; leur but : casser du bougnoule.

Hier, à l'université Bordeaux-Montaigne, les mêmes dangereux fascistes ont tenté d'interdire de paroles deux députés, c'est à dire des représentants du peuple. Leur tort : c'étaient des députés insoumis, et en plus, circonstance agravante comme dirait le député que les Médocons sont fiers d'avoir élu, l'un était noir !

Ces dangereux abrutis ont remis ça un peu plus tard en essayant d'interrompre une représentation théâtrale.

Ces deux fois la police a dû intervenir.

Et ce matin, à la radio, on interrogeait un professeur nouvellement nommé au Collège de France sur la chaire de l'histoire des Lumières. Visiblement, certains sont toujours dans les ténèbres.

Cela me rappelle les années pré-68 où c'était le genre de dialogue qu'entretenait le groupuscule Occident, avant que ses membres ne fassent carrière au RPR et à tous les avatars qui ont suivi.

Entre les partisans du wokisme qui n'ont pas bien assimilé l'histoire mondiale de la France et les violentes attaques fascistes qui prônent les autodafés, il est absolument nécessaire de se mobiliser si nous voulons sauver notre République.

Et ce n'est pas fini...

 

 

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Quelques titres dans la presse d'aujourd'hui.

7 Décembre 2022, 15:58pm

Publié par Bernardoc

Retraites : faut-il craindre une grève générale en janvier ? La Tribune


 

La crainte des grèves « gilets jaunes »

Retraites : le rendez-vous des syndicats dans la rue en janvier. Les Echos


 

Le chaos et la hausse du Navigo

La France compte près de 5 millions de pauvres. L'Humanité


 

En France, un tiers des pauvres sont des enfants. Libération


 

Des ouvriers sans papiers sur les chantiers olympiques Le Monde

A part ça, tout va bien !

Et ce n'est pas fini...


 

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Faut-il passer à la « semaine de quatre jours » ?

6 Décembre 2022, 17:34pm

Publié par Bernardoc

Jean-Emmanuel RAY in Les Echos du 6 décembre 2022

Intéressant article qui fait bien le tour de la question. Pour nous, à la CGT qui demandons les 32 heures, l'exemple espagnol (ministre du travail communiste) devrait nous convenir.

Ardente obligation d'une transition énergétique rapide, chauffage de vastes bureaux presque vides, souhait de collaborateurs - pas tous en télétravail - d'un meilleur équilibre vie privée-vie professionnelle, la « semaine de quatre jours » est très officiellement expérimentée en Grande-Bretagne, en Espagne (4 × 8 heures), au Portugal (4 × 9) et en Belgique (4 × 9 h 30). Elle recueille nombre de satisfecit : marges de manoeuvre et donc réduction d'un absentéisme croissant, puissant moyen d'attractivité et, surtout, de fidélisation des salariés. Mais elle constitue aussi un véritable défi organisationnel pour les entreprises, en particulier pour les PME et dans les secteurs travaillant nécessairement du lundi au samedi. De quoi s'agit-il exactement ?

Avec ou sans réduction de la durée du travail antérieure ? Dans la plupart des cas, il ne s'agit pas de réduction du temps de travail, mais d'une nouvelle répartition. Avec une concentration des tâches, certes propice à une meilleure organisation des réunions et à moins de présentéisme contemplatif postprandial, mais aussi à des déjeuners de dix minutes devant son ordinateur et à la raréfaction des pauses pourtant nécessaires à la vie d'une collectivité de travail, où se règle en trois minutes ce qui aurait nécessité vingt-trois courriels.

Avec, ou sans réduction de la rémunération ? Au-delà de la protection sociale ou de la retraite, cette question est déterminante, surtout en nos temps d'inflation. Mais la semaine de quatre jours peut aussi constituer une alternative à une forte augmentation des salaires côté entreprise avec la possibilité de rétablir un minimum d'équité entre les populations télétravaillant depuis deux ans et celles devant toujours venir sur place.

Semaine de quatre jours… de travail ou de bureau ? C'est la nouveauté de fin 2022 : certaines sociétés y voient l'occasion de fermer le vendredi des immeubles désertés, avec de substantielles économies de chauffage avec ce week-end de trois jours. Mais les prestataires ne devront pas être oubliés : les salariés devant alors télétravailler de chez eux réclameront une indemnisation adéquate.

Du côté du droit, un accord de branche ou d'entreprise peut permettre ce passage ; côté employeur tenu à une obligation de sécurité, ces horaires quotidiens à rallonge peuvent devenir problématiques : il faut donc suivre de près le taux d'accidents de travail et l'évolution des risques psychosociaux.

Pour les cadres en forfait jours, il est possible de prévoir, avec leur accord, 175 jours annuels au lieu de 218, avec abattement salarial proportionnel.

Mais les encadrants pourront-ils vraiment rester trois jours sans consulter leurs mails professionnels ? Sans parler de leur doute à l'égard de leurs troupes restées au travail quand eux sont en journée « off ».

En cas de nécessaire continuité du lundi au samedi (par exemple, dans les grands magasins), il faut prévoir des équipes distinctes avec des binômes polyvalents, ou des salariés d'astreinte pour parer à d'éventuels problèmes, ce qui se révèle compliqué sur le plan de l'organisation.

Les entreprises signeront donc un accord expérimental à durée déterminée d'un an. Sans ignorer l'effet cliquet prévisible s'agissant des (meilleurs) salariés habitués à ce nouveau rythme, et qui ne souhaiteront pas revenir à l'ancien.

Au-delà des vertigineux problèmes de financement qui nous attendent, cette nouvelle « semaine des quatre jeudis » au bilan énergétique à préciser, s'additionnant parfois à un ou deux jours de télétravail, est-elle raisonnable en termes de vie collective, et pour chaque équipe de travail ?

Et ce n'est pas fini...

 

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Avec « 20 départs tous les mois », l’hôpital souffre du manque d’effectifs

5 Décembre 2022, 20:01pm

Publié par Bernardoc

D'après Le Parisien du 5 décembre 2022

L'article suivant reflète la situation d'un centre hospitalier d'Ile-de-France. Malheureusement, il faut bien reconnaître que cette triste réalité reflète bien l'état général de l'hôpital en France.

Plus d’un mois avant les élections professionnelles, qui se déroulent en ce moment, les syndicats CGT, Sud et FO ont déposé fin octobre une alerte de danger grave et imminent (DGI) concernant l’hôpital dans sa globalité.

Ils évoquent des personnels « de plus en plus en souffrance, épuisés physiquement et moralement », des « effectifs de tous les services revus à la baisse », et des conditions de travail « de plus en plus précaires ». Les syndicats demandent à la direction « d’agir dans les plus brefs délais pour la sécurité des agents ». Un mois après, ils attendent toujours qu’un plan d’action leur soit proposé par la direction.

« Tous les mois, on constate entre 16 et 20 départs, hors retraites ! s’alarme-t-on à la CGT. Quatorze en septembre, 18 en octobre, 18 en novembre. Certes il y a des arrivées mais on n’est jamais au complet. » Quid de ces départs ? « Certains nous quittent car ils sont mutés ailleurs, d’autres prennent une disponibilité ou démissionnent. Face au salaire insuffisant, à l’épuisement, au manque de reconnaissance et à la culpabilité en cas de problèmes, certaines infirmières préfèrent l’intérim », explique Nicolas Charpentier, délégué CGT.

Selon la CGT, le manque de personnel se répercute forcément sur les malades. Sur leur sécurité d’abord. « Aux urgences, en zone d’attente couchée, on a dix patients maximum. Mais on ne peut pas les surveiller, en raison du manque de soignants. Il peut arriver une chute, un arrêt cardiaque… » Le confort des patients en pâtit aussi. « On ne respecte pas le rythme de ceux qui dorment. Les prélèvements sanguins commencent dès 5 heures du matin car les infirmières courent tellement… »

« Je vois des infirmières et aides-soignantes pleurer car elles ont mal fait leur boulot. »

Il y a depuis fin 2021 un « vrai problème de recrutement d’infirmiers » : en novembre 2022, les postes vacants représentent 4,6 % du total. »

Et ce n'est pas fini...


 

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SOD 4 décembre 2022

4 Décembre 2022, 14:28pm

Publié par Bernardoc

Et profitez-en pour goûter d'autres pains : il y en a tant qui sont meilleurs que les baguettes !

Et ce n'est pas fini...

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Info

3 Décembre 2022, 13:29pm

Publié par Bernardoc

Pas le temps d'écrire aujourd'hui.

Pensez à donner au Sidaction.

Et ce n'est pas fini...

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C'est pas gagné.

2 Décembre 2022, 09:45am

Publié par Bernardoc

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/en-toute-subjectivite/en-toute-subjectivite-du-vendredi-02-decembre-2022-7847060

Et ce n'est pas fini...

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Le CDCA n'existe pas !

1 Décembre 2022, 19:13pm

Publié par Bernardoc

Aujourd'hui j'ai participé à un colloque au conseil départemental, dans l'amphithéâtre Badinter. C'est la première fois que je remarquais que l'amphi avait été inauguré deux ans avant le bâtiment. Avait-il été construit en premier et le bâtiment Gironde autour après ? Je l'ignore.

Des chercheurs de haut niveau avaient été invités pour apporter leurs savoirs et leurs compétences à cette journée consacrée à L'archéologie du handicap.

Le thème n'avait pas été choisi au hasard, mais avait été inspiré par la villa gallo romaine de Plassac (il faudra bien qu'on aille y faire un tour) qui est accessible aux PMR (Personnes à Mobilité Réduite) et a mis en place des ateliers artistiques en direction des personnes autistes.

Le buffet qui nous attendait à midi manquait de résilience, et avant de reprendre les travaux de l'après-midi nous avons eu droit à un concert offert par l'orchestre jazz du collège de Monségur, l'orchestre du collège d'Ambarès et celui du centre Peyrelongue (mal-voyants).

L'après-midi nous furent présentés deux services du conseil départemental : le Groupe Actions Handicap Gironde et la Mission Diversité Égalité. Le premier est une « entité dotée d'une charte, d'une identité visuelle, d'une lettre de mission pour chaque membre », ce que nous avions demandé en vain pendant trois ans lorsque je siégeais au Conseil Départemental de la Citoyenneté et de l'Autonomie (CDCA). Ce dernier, qui est antérieur au GAHG et qui apparemment est positionné sur le même thème n'a jamais été cité de toute la journée. Mais je suppose que ce groupe vient faire part de ses travaux au CDCA et lui demande de les approuver, si le mode de fonctionnement n'a pas changé.

J'aurais bien voulu rappeler l'existence du CDCA, mais, contrairement au matin, la parole n'a pas été donnée à la salle l'après-midi. Dommage.

Et ce n'est pas fini...

 

Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !
Le CDCA n'existe pas !

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