Spectacle camarguais.

Les organisateurs du congrès de La Grande Motte avaient bien fait les choses en prévoyant pour nous une soirée en Camargue. Nous nous attendions à une soirée musicale et dansante, mais pas à une démonstrations proposée par les gardian(ne)s dans une arène qui ne servit non pas à une corrida mais à un exercice de conduite des chevaux et des taureaux, séparés ou ensemble. Le spectacle s'est achevé alors que les premières gouttes de pluie commençaient à tomber.
Et c'est alors, en nous dirigeant vers l'apéro, que nous eûmes droit à un accueil musical gipsy.
Le repas était effectivement dansant, mais la plupart des congressistes se précipitèrent vers le premier car qui rentrait aux hôtels : le lendemain à 9 heures commençait l'assemblée générale.
Cet article, chronologiquement, aurait dû se situer avant Béziers. Mea culpa.
Et ce n'est pas fini...