IFEF Kongreso : kvina komuniko.
De quoi vont discuter ces 230 personnes venant de 17 pays ? Eh bien, ils vont discuter d’histoires de cheminots.
Dès l’inauguration officielle, à laquelle sont invités plusieurs vice-présidents du conseil général, et après la traditionnelle photo de congrès, se déroulera la première réunion consacrée, notamment, au vocabulaire espérantiste des chemins de fer ; en effet, les techniques évoluant sans arrêt, il est important de faire évoluer le vocabulaire spécifique. Et l’espéranto, créé en 1887, évolue comme le fait n’importe quelle langue, tout en conservant la simplicité de ses seize règles grammaticales sans aucune exception.
Immédiatement après, le congrès fera une place aux « nouvelles ferroviaires », et ils auront sûrement beaucoup à se dire venant de tant de pays différents. Une visite intéressante sera également proposée : non pas les ateliers de la gare St Jean, mais l’atelier d’entretien du tramway.
Le prochain congrès aura lieu l’an prochain en Italie, et il est coutume de présenter aux participants le congrès suivant : les cheminots italiens le feront donc mercredi après-midi.
Nul doute que les conférences sur le rôle des chemins de fer dans le monde moderne (mercredi), les trains japonais et le syndicat des cheminots de Sibérie (jeudi) attireront du monde.
Le vendredi, il y aura aussi, comme dans tout congrès des examens, qui font maintenant partie du cadre européen des langues.
Et ce n'est pas fini...