Lecce.
Cette ville de près de 100 000 habitants est souvent appelée la « Florence baroque » ou la « città chiesa » à cause de ses 23 églises, toutes construites avec cette pierre blonde facile à travailler : le tufeau (un peu comme dans la vallée de la Loire). Nous y avons déambulé tôt le matin, avant que la plupart des magasins soient ouverts. Nous en avons profité pour visiter le théâtre, ce qui n'était pas prévu, avant d'arriver à la Piazza del Duomo, encerclée d'imposants monuments et dominée sur la gauche par un campanile de 5 étages (70 mètres de haut).
La porte de la cathédrale est remarquable avec la lune et le soleil qui laissent passer la lumière lorsqu'on est à l'intérieur.
Ensuite, nous nous dirigeons vers la Piazza Sant'Oronzo, en travaux, ce qui obturait un peu la vue de l'amphithéâtre du II° siècle. Nous sommes néanmoins restés un long moment à écouter un pianiste qui a eu sa sébile bien remplie par les gens du Clad.
De là nous nous dirigeons vers la Basilica Santa Croce (dans laquelle nous ne pourrons pénétrer pour cause de communions), non sans avoir salué un personnage en « cartapesta », un artisanat particulier à Lecce et avoir goûté des biscuits aimablement proposés par des vendeuses d'une pâtisserie proche.
En route vers le restaurant.
Et ce n'est pas fini...