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Le blog de Bernard SARLANDIE

Cousseau

8 Mai 2022, 17:50pm

Publié par Bernardoc

Vendredi dernier, le comité de jumelage avec Kalambaka proposait une sortie à l'étang du Cousseau, du côté de Lacanau. Le temps était superbe, les 8 km ont semblé longs à certains, mais le repas à La bicyclette jaune nous a tous revigoré, et le plaisir de se retrouver ensemble après ces longs mois de pandémie avait encouragé les adhérents à venir directement au repas.

Le prochain rendez-vous sera pour une conférence à La Sablière, mais en attendant, quelques images de cette balade.

Et ce n'est pas fini....

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Macron réélu = 5 bonnes raisons de continuer la lutte !

6 Mai 2022, 17:18pm

Publié par Bernardoc

  Si le programme écologique délirant de l’extrême droite a été évincé le 17 avril dernier, la victoire d’Emmanuel Macron n’augure rien de bon tant son programme sur le nucléaire est effrayant sur les plans démocratique, écologique, sécuritaire ainsi qu’en terme de gestion de nos finances publiques ou de sûreté de la population. Le quinquennat qui s’annonce semble bien sombre pour l’écologie… mais tout espoir n’est pas perdu ! Voici 5 raisons qui doivent nous motiver à continuer la lutte.

Raison 1 : Pour la première fois, le nucléaire a été au cœur des Présidentielles
Raison 2 : Les discours fallacieux des candidats pro-nucléaires ont été réfutés

Raison 3 : Des engagements fermes pour la sortie du nucléaire ont été pris pendant la campagne

Raison 4 : La lutte s’organise pour contrer les projets de construction de nouveaux réacteurs
Raison 5 : Les Parlementaires peuvent changer la donne !

Et ce n'est pas fini...


 

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Révisionnisme ?

5 Mai 2022, 13:28pm

Publié par Bernardoc

Et je ne parle pas de "Mesdames les Présidents"...

Et ce n'est pas fini...

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Comment les smartphones et véhicules électriques transforment 40.000 enfants en esclaves

4 Mai 2022, 17:17pm

Publié par Bernardoc

Article d'Annaëlle LUCINA

Le lithium est un métal essentiel pour la production des piles et batteries rechargeables.

L’Australie, la Bolivie, le Chili et l’Argentine sont les pays qui concentrent l’essentiel des réserves mondiales de lithium. Un élément chimique à la base des technologies de batteries pour les véhicules électriques, les smartphones et d’autres objets électroniques.

Dans les régions productrices, l’utilisation massive d’eau pour la production de cet élément chimique provoque des conflits d’usages avec les populations locales. Et ce, au point de compromettre leur survie, alerte l’ADEME.

À l’horizon de 2040, les deux géants du pétrole ExxonMobil et BP misent sur 150 millions de véhicules électriques vendus. Un objectif qui devrait faire exploser la demande de lithium, un composant essentiel à la fabrication des batteries. Ainsi, d’après la Commission européenne, la demande de lithium sera multipliée par 18 d’ici 2030. Et 60 fois plus en 2050. Tout en sachant que, jusqu’à récemment, seuls 50 % du lithium contenu dans les batteries pouvaient être réutilisés en raison de processus de recyclage insuffisants et dangereux.

Dans ce contexte, depuis le 1er janvier 2021, un règlement européen est entré en vigueur dans toute l’Union européenne. Il tend à encadrer l’extraction des minerais nécessaires à la fabrication des smartphones et batteries. En plus de l’impact environnemental, le règlement estime que cette activité serait une source de conflits armés et de travail forcé.

D’un côté, le lithium garantit qu’une batterie puisse se recharger. De l’autre, grâce à sa densité énergétique élevée, le cobalt apporte un effet “boostant” à la batterie. Pour se faire une idée du problème, près de 60 % de ce métal rare est extrait en République démocratique du Congo. Autrement dit, le sud du Congo recèle une quantité de cobalt estimée à 3,4 millions de tonnes métriques, soit, près de la moitié des réserves mondiales connues. Tout en sachant que, dans cette région, la réglementation de cette industrie est pratiquement inexistante.

Les Portugais ont commencé à exploiter les gisements miniers du Congo à partir du XVe siècle, les Belges ont ensuite pris le relais à partir de 1885. Ainsi, dans le pays, on estime que plus de 40 000 enfants esclaves travaillent dans des mines, selon un rapport d’Amnesty International et Afrewatch qui date de 2016. L’organisation se base sur des chiffres rapportés par l’UNICEF en 2014. Plus précisément, une majorité travaillerait dans des mines de cobalt et de coltan, deux métaux particulièrement recherchés dans la fabrication des batteries Li-ion, les moteurs électriques, les générateurs des centrales électriques ou encore des éoliennes.

Suite à l’explosion de la demande, ce métal pourrait devenir une source de revenu considérable pour des groupes armés… Et forcer de plus en plus d’enfants à travailler dans des mines, dans des conditions déplorables.

Environ 70 à 80% des ressources globales en lithium se trouvent au-dessous des plaines salées de l’Argentine, de la Bolivie et du Chili. Dans ces régions, les machines à extraction et les nouvelles montagnes d’argile et de terre ont progressivement redessiné le paysage.

En Argentine et en Bolivie, la production du lithium a déjà engendré plusieurs conflits sociaux entre les populations locales et les agents d’extraction. En effet, la plupart du temps, les communautés “indigènes” résidant autour des zones d’extraction n’ont pas de voix lors des consultations sur les activités minières. Et ce, alors qu’elles ont déjà été témoins d’un passé d’esclavage brutal dans les mines coloniales. Autre source de conflit, d‘après le Pentagone, l’Afghanistan possèderait un des plus gros gisements de lithium.

La saumure est une eau contenant une très forte concentration de sel. C’est elle qui contient le chlorure de lithium, essentiel à la fabrication des batteries lithium-ion. Ces réserves se trouvent entre 1,5 et 60 mètres de profondeur, sous les salars. Pour rappel, les salars sont des déserts de sel. Autrement dit, des étendues naturelles ou superficielles de sel. Par exemple, les dizaines de bassins d’évaporation du salar de Uyuni, en Bolivie, servent à l’extraction du lithium. Ainsi, 17 % du lithium planétaire gît sous le plus vaste désert de sel du monde.

Lors de processus d’extraction du lithium, les saumures, donc les dépôts d’eau souterrains, sont pompées et déversées en surface dans des bassins d’évaporation. Le chlorure de lithium y est ensuite progressivement concentré puis récolté. Autrement dit, le lithium est extrait des sels séchés qui restent à la surface. Et ce, grâce à une méthode similaire à celle utilisée pour produire du sel dans les marais salants. C’est cette technique que certains accusent de consommer une quantité astronomique d’eau.

Ainsi, d’après de nombreuses études, l’extraction du lithium serait donc énergivore en eau, engendrait une pollution des sols et serait à l’origine de conflits locaux. D’autres, comme le site révolution énergétique, considèrent “que le procès fait aux batteries et aux véhicules électriques à cause de l’empreinte écologique du lithium est tout-à-fait scandaleux”. Pour aller plus lois, dans un article du journal Le Monde de 2019, Didier Julienne, expert du négoce et de l’industrie minière, avance que “la guerre du lithium n’aura pas lieu”.

Des alternatives aux batteries lithium-ion moins toxiques et fabriquées à partir de métaux plus accessibles sont en cours d’exploration. Par exemple, les batteries sodium-ion et les batteries à flux.

Le sodium est un métal dont les sels sont très abondants dans la nature. Plus précisément, le chlorure de sodium, se trouve dans l’eau de mer et est accessible facilement, partout dans le monde. De leur côté, les batteries à flux se composent de deux substances différentes. Elles sont dissoutes dans des liquides puis séparées et pompées à travers une membrane. Grâce à une série de réactions de réduction et d’oxydation cette énergie chimique est convertie en énergie électrique. C’est d’ailleurs de ce processus que vient le nom red-ox. En chimie, la “réduction” définit la réaction chimique par laquelle un atome d’une molécule ou d’un ion gagne un ou plusieurs électrons.

À noter tout de même qu’en terme de stockage de l’énergie, des développements supplémentaires seront nécessaires pour les rendre aussi efficaces que le lithium. Par exemple, un ion sodium étant environ 50 % plus volumineux qu’un ion lithium, les matériaux de la cathode sont électrochimiquement moins stables. Pour rappel, la cathode représente l’électrode sur laquelle se produit une réaction qui consomme des électrons. Enfin, les batteries à flux sont les fruits d’un processus de fabrication très complexe.

Et ce n'est pas fini...

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TRAVAILLEURS SANS PAPIERS SUR LES CHANTIERS DES JEUX OLYMPIQUES : L’OLYMPISME À L’ÉPREUVE !

3 Mai 2022, 16:02pm

Publié par Bernardoc

Douze salariés sans papiers, qui travaillaient sur le chantier du futur village Olympique, se sont rapprochés de la CGT pour faire valoir leurs droits.
Ils étaient employés, déclarés ou non, par des sociétés sous-traitantes de l’entreprise GCC, sur le chantier du village Olympique.
Malgré la complexité de l’habillage, le fond de cette affaire reste habituellement banal dans le BTP. Des entrepreneurs peu scrupuleux utilisent la précarité de travailleurs pour les surexploiter, et au passage éluder les cotisations sociales, leurs obligations conventionnelles (notamment les salaires, les indemnités de petit déplacement, le paiement des heures supplémentaires, etc.) en s’appuyant sur les failles de la législation et l’organisation du travail bien souvent à l’œuvre dans la branche.
La précarité endémique, la sous-traitance en cascade favorisent le moins disant social et créent les conditions de la surexploitation des travailleurs, la dégradation des conditions de travail et le dumping social.
La CGT a immédiatement saisi les autorités compétentes pour exiger que ces travailleurs bénéficient de l’égalité des droits et sortent de cette précarité administrative. Nous avons aussi fourni tous les éléments qui nous avaient été communiqués aux administrations de contrôle afin que les responsabilités de ces entreprises soient établies.

Les douze salariés ont obtenu mercredi 20 avril leurs titres de séjour. Pour la CGT, la deuxième étape consiste à obtenir leur embauche directe par le donneur d’ordre GCC.

Cependant la CGT reste d’une extrême vigilance sur la situation des chantiers des J.O. Nous continuerons à œuvrer pour faire respecter l’égalité des droits. Par ailleurs, nous revendiquons la présence syndicale au cœur des chantiers, ce qui ne doit pas se limiter aux entreprises principales, aux maîtres d’ouvrages. La CGT exige cette présence syndicale pour veiller au respect des droits de tous les travailleurs qu’ils soient de la sous-traitance, de l’intérim, ou détachés. En effet, ce sont plusieurs milliers de salariés qui seront bientôt en activité sur le site dont certains sans organisation syndicales ou de représentants du personnel.

Ces travailleurs ont besoin du syndicat, les patrons doivent lever cette obstruction !

Dans le cadre des Jeux olympique et paralympique 2024, les autorités, les organisations patronales avec les organisations syndicales, ont pris des engagements dans le cadre d’une charte sociale. Pour la CGT c’est celle-ci qui doit s’appliquer et nous ne lâcherons rien pour qu’elle le soit !

La situation des travailleurs sans papiers, participant à la construction des infrastructures des JO, ne doit pas faire oublier la réalité quotidienne que connaissent des milliers de travailleurs sans papiers de la construction, singulièrement en Ile de France. Pour ces raisons la CGT revendique leur régularisation sur la simple relation de travail et indépendamment de la décision de l’entreprise.

Nous exigeons aussi le renforcement des moyens de l’inspection du travail, particulièrement en Seine-Saint-Denis, où près de 30% des postes sont vacants.


Montreuil le 2 mai 2022

Et ce n'est pas fini...


 

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Guerre en Ukraine : résolution de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH)

2 Mai 2022, 17:36pm

Publié par Bernardoc

Toutes les guerres violent les droits humains. C’est aussi ce qui ressort de la récente invasion de l’Ukraine par la Russie. En temps de guerre, les États ne protègent pas leurs citoyens et le droit international humanitaire et le droit international des droits humains sont violés. Les crimes commis à l’occasion de la guerre en Ukraine doivent faire l’objet d’une enquête approfondie, mettant en évidence la responsabilité individuelle et celle de l’État dans leur exécution.

La FIDH ne peut rester indifférente et se tient solidaire de ceux qui appellent universellement à la fin de la guerre et au respect des droits humains dans des conditions difficiles partout dans le monde.

Ainsi la FIDH exhorte le Gouvernement de la Fédération de Russie à :
 cesser immédiatement les hostilités et rechercher la paix ;

 établir des couloirs de passage sûrs et dégagés et autoriser, sans restriction, l’accès à l’aide humanitaire indépendante et au monitoring des droits humains ;

 fournir une assistance humanitaire aux civil.e.s touchés par le conflit et une protection aux civils en danger ;

 retirer ses troupes et les groupes armés appuyés par elle de l’ensemble du territoire ukrainien internationalement reconnu ;

 mettre immédiatement fin à toute violation des droits humains internationaux et du droit humanitaire en Ukraine ;

 mettre immédiatement fin au harcèlement, y compris judiciaire, contre les journalistes et défenseur.e.s des droits humains et procéder à la libération immédiate de celles et ceux arbitrairement détenus ;

- garantir, en toutes circonstances, les droits à la liberté d’expression, de réunion et d’association, tels qu’ils sont consacrés par le droit international relatif aux droits humains, et notamment par les articles 19, 21 et 22 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

La FIDH appelle le Gouvernement ukrainien à :

- ratifier le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI) et mettre son droit interne en conformité avec le droit international pénal, en finalisant la procédure d’adoption de la loi no. 1164-IX ;

 respecter le droit international humanitaire et le droit international relatif aux droits humains.

La FIDH appelle tous les États à :

 appliquer le droit international relatif aux droits humains et le droit international humanitaire en toutes circonstances ;

 faciliter un passage sûr et sans entrave vers des destinations à l’intérieur et à l’extérieur de l’Ukraine et l’accès à la protection internationale pour toutes les personnes fuyant le conflit, sans distinction ni discrimination fondée sur la nationalité, l’origine ethnique, la religion, la langue, le genre ou encore de la couleur de leur peau ;

 ouvrir des enquêtes en vue de poursuivre les auteurs de crimes internationaux devant les tribunaux nationaux sur la base de la compétence universelle - aux États qui n’ont pas de compétence universelle, à modifier leur droit pénal pour y inclure cette possibilité - ;

- soutenir, tant politiquement que financièrement, les libertés des organisations de la société civile et des défenseur.e.s des droits humains en Ukraine, en Russie, au Bélarus et dans les pays touchés par le conflit, afin de leur garantir l’accès aux ressources nécessaires pour faire face à l’urgence humanitaire, notamment en contournant les administrations nationales qui sont responsables des violations, qui ne travaillent pas pour prévenir et punir ces violations ou qui ne gèrent pas la crise ;

La FIDH appelle les États parties au Statut de Rome de la Cour pénale internationale, à coopérer avec la CPI et à la soutenir financièrement pour toutes les situations de crimes internationaux, en contribuant à son budget général plutôt qu’en lui allouant des fonds pour des situations spécifiques.

Et ce n'est pas fini...

 

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1er mai 2022.

1 Mai 2022, 16:44pm

Publié par Bernardoc

Petite manif bon enfant à Bordeaux : un peu moins de 5 000personnes ai-je entendu. Mais je n'ai pas beaucoup navigué vu que j'avais été réquisitionné pour tenir la banderole des 32 heures.

Banderole intersyndicale en tête (CGT, UNSA, FSU, FSE), mais présence de FO dans le cortège. J'ai vu des militants de Sud, mais je n'ai pas vu de camion de cette OS. Peu de politiques visibles, c'était vraiment un défilé syndical avec, comme d'hab, les plus gros bataillons fournis par la CGT. Un bataillon de femmes s'est joint au défilé, et bien entendu les Kurdes étaient présents, comme, hélas, les camarades qui réclament la libération de Georges Ibrahim Abdallah, le plus vieux prisonnier politique de France, libérable depuis 1999 !

Nous avons également croisé les quatre espérantistes ukrainiennes que nous avions rencontré il y a huit jours.

Cela s'est terminé place de la Bourse (du commerce), puis devant la Bourse du travail pour un moment festif. Mais la mairie ayant mis du temps avant de donner les autorisations nécessaires pour occuper la rue, il n'y avait pas de repas chaud, mais que des sandwiches.

Mais j'ai trouvé que l'orchestre, Popshaker, était meilleur que ceux des années précédentes et leur répertoire me convenait, des Beatles aux Bee Gees en passant par les Beach Boys : l'époque des boomers, quoi !

Et ce n'est pas fini...

1er mai 2022.
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