Rester vigilant.
« La seule façon d’affaiblir les fascistes est de pourvoir aux besoins des peuples »
Cette citation d’un professeur d’économie à l’université de Londres me paraît tout à fait pertinente, et elle se veut donc universelle.
Un des premiers besoins après la santé et l’alimentation est bien évidemment l’éducation, et je ne crois pas émettre une opinion biaisée, malgré mon expérience professionnelle. C’est ce que réclament les Afghanes victimes du joug des talibans, c’est ce que réclamait la jeune Malala (elle n’avait que 17 ans) en recevant le prix Nobel de la paix en 2014, et avant elle Nelson MANDELA.
Pour le moment nous sommes sous anesthésie olympique, mais bientôt il va falloir à nouveau songer à la politique française, et le président désavoué se gardera bien de rétablir une justice sociale ; il ne va quand même pas supprimer les privilèges (maintenant que le 4 août est passé) de ceux qui l’ont fait roi. Son refus de nommer au poste de Première ministre la personnalité choisie par le camp arrivé en tête lors des législatives laisse augurer d’une rentrée chaude. En effet, le peuple qui aspire à une augmentation des salaires et des pensions et à l’abandon de la dernière attaque contre les retraites ne sera pas prêt à abdiquer. Ruffin nous a donné rendez-vous le 31 août ; allons-nous attendre jusque là si notre voix est bafouée .
Et ce n’est pas fini...