Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Bernard SARLANDIE

Bourgueil, Ussé, Chinon.

8 Novembre 2011, 07:59am

Publié par Bernardoc

         Premier jour complet en Anjou : nous avions choisi un itinéraire tiré du livre de Sélection du Reader’s Digest : La France des routes tranquilles. Cet itinéraire « Aux environs de Saumur » mesurait 116 kilomètres. Notre première étape fut Bourgueil : quelques photos de l’ancien Hôtel de Ville, de la halle et de l’église avant de nous diriger vers la cave touristique et son musée, dont la visite se termina par une dégustation à la suite de laquelle nous choisîmes trois bouteilles : deux de Bourgueil (Marie Dupin et Domaine de Guion) et une de St Nicolas de Bourgueil (Guy Hersard). A la vôtre !

         Après le repas : direction le château d’Ussé, surnommé le « Château de la Belle au Bois dormant » à cause des reconstitutions dans plusieurs salles mettant en scène différentes parties du conte de Perrault. Très beau château, avec possibilité de voir la charpente (ce qui aurait sûrement intéressé mon grand-père), mais aussi magnifique jardin au bord de l’Indre.

         Nous avons terminé par la forteresse de Chinon qui nous a déçus. Dans les salles vides, de nombreux écran étaient à notre disposition pour que nous puissions nous confronter à l’histoire, mais difficile de se caler pour arriver pile au départ du film ou de faire la queue pour avoir accès à un écran informatique. De belles photos malgré tout, et malgré la pluie sur l’objectif pour certaines. En sortant nous étions trop fatigués pour aller visiter la vieille ville que nous pouvions admirer depuis la cour du château et qui certainement aurait mérité que nous y consacrions quelques longues minutes. Next time maybe.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/BourgueilUsseChinon?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNPWjfvPp8T7Vg&feat=directlink

 

Et ce n’est pas fini…

Voir les commentaires

Dimanche choral(e?).

7 Novembre 2011, 09:19am

Publié par Bernardoc

         Depuis la rentrée où les répétitions chorales ont remplacé les entraînements d’aïkido, je viens de participer hier à mon premier dimanchanté.

         Nous sommes accueillis à la Maison de la musique par un café puis nous vocalisons ensemble sous la direction d’Henri. Lorsque nos voix sont prêtes (enfin, plus ou moins !), nous nous séparons : les hommes d’un côté, les femmes de l’autre. Aujourd’hui, c’est Henri qui est resté avec les hommes : 4 basses et 3 ténors qui, selon les morceaux, se retrouvaient 2. Objectif de la matinée : mettre en place les quatre œuvres que nous allons interpréter pour le téléthon. Ce sera ma seule participation, et en plus cette année ce ne sera pas moi qui donnerais les sous, qui, entre nous, auraient pu être pris sur les crédits afghans ou libyens.

         Après cette matinée, changement de lieu : direction la salle Colindres pour un repas convivial pour lequel chacun s’était chargé de fournir une partie des victuailles. C’était l’occasion de faire participer l’ensemble des familles de choristes à nos joyeuses agapes.

         Après avoir remis la salle en état de propreté – une image en témoigne – nous voilà rassemblés pour la mise en commun de nos efforts de la matinée. Agréable surprise : des morceaux sur lesquels nous avions buté le matin avaient mûri (certains ont remercié le punch de Régis !) et sortaient de façon beaucoup plus fluide de nos organes vocaux. Laëtitia est venue nous accompagner à la flûte l’espace d’un chant murmuré, qui me pose beaucoup de problèmes de respiration. Allons, ça viendra avec l’entraînement…

         16h30 : fin de la journée. Nous avons hâte d’être à demain soir pour commencer Ma France de Jean FERRAT.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20111106DimancheChoral?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLrMiMeU1dX0wgE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini… 

 

Voir les commentaires

St Martin de la place.

6 Novembre 2011, 07:37am

Publié par Bernardoc

         Ce fut notre base, fin octobre, pour visiter l’Anjou. Pourquoi ce choix ? Nous avions acheté (il s’agissait d’un vendeur obstiné qui avait réussi à nous embobiner) un coffret Daydreams. Le concept est sensiblement différent de celui des Smartbox que nous avions testé plusieurs fois. Ici, pour 89 € nous avons deux bons de trois nuits « gratuites » dans l’hôtel de notre choix. Seule condition : prendre les repas du soir et le petit déjeuner.

         Notre choix s’est porté sur le Domaine de la Blairie,  hôtel deux étoiles à quelques dizaines de mètres des bords de Loire. Ce choix était motivé par notre participation surprise aux 40 ans de Virginie, à quelques kilomètres de là.

         L’accueil fut fort agréable, la chambre spacieuse et le repas d’une fort bonne qualité. Nous avions une carte fixe avec trois plats différents pour entrée, plat et dessert, ce qui permet de passer trois jours avec des mets différents ; de plus on pouvait choisir dans « le menu du marché », qui lui variait chaque jour. Nous avons toujours mangé dans la même salle à manger, mais il existe aussi une salle dressée dans une ancienne chapelle, qui s’est donc maintenant tournée vers les nourritures terrestres, mais certaines !

         En arrivant, nous sommes allés nous promener sur le bord de la Loire, et nous avons bien fait de le faire à ce moment, car les autres jours un brouillard épais bouchait tout le paysage, ce qui nous privait des chaudes couleurs de l’automne. Les jours suivants nous ont donc permis de partager nos découvertes entre châteaux, caves, et espaces troglodytiques.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/StMartinDeLaPlace?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNzg4KW9psKoQQ&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

Voir les commentaires

Fred ZELLER.

5 Novembre 2011, 15:23pm

Publié par Bernardoc

         Il était dit que je ne participerais pas à la vente militante de L’Humain d’abord, le livre-programme du Front de Gauche pour l’élection présidentielle. En effet, ce matin j’ai participé à la Maison des associations de Mérignac à la moitié d’un colloque concernant toutes les facettes de ce peintre, cet après-midi, j’irai à la remise des trophées de la ville pour les animateurs bénévoles et les sportifs méritants des associations de la ville, et demain journée chorale avec Chœurs et musique.

         Mais pour en revenir à Fred ZELLER, tout a commencé hier soir par le vernissage d’une exposition à la vieille église de Mérignac. Cette exposition, qui durera jusqu’au 14 décembre, est organisée par « Les amis de Fred Zeller », association présidée par Marc BLONDEL, avec le soutien de la municipalité (pour la deuxième fois), du conseil général et du conseil régional qui ont tous contribué à l’édition d’un livre-catalogue, proposé par les éditions confluences au prix de 14 €.

         J’avais entendu parler de Fred ZELLER en tant que collaborateur de Trotski - certains le qualifiaient même de secrétaire du « Vieux » - de son passage à la tête du Grand Orient De France, mais j’ignorais tout de sa peinture. Ce militant, exclu des Jeunesses socialistes avant-guerre, a commencé à peindre très tôt, puisque sa première toile a été réalisée lorsqu’il avait quinze ans. Son style a évolué tout au long de sa vie créative, passant de représentations qui peuvent apparaître naïves de scènes de l’histoire de France telle qu’elle nous était enseignée, certaines sur parchemin, jusqu’à des paysages de Dordogne vers la fin de sa vie qui se rapprocheraient de l’ultra réalisme.

         Entre temps il a créé de nombreuses œuvres symboliques qui bousculent, voire transgressent, les conventions et qui nous obligent à réfléchir.

         En faisant le tour de cette exposition, on peut voir aussi certaines ébauches, dessins puis petit tableau avant d’arriver à la forme accomplie définitive, ce qui donne une idée de la démarche artistique du peintre.

         Précipitez-vous vers cette exposition, vous ne serez pas déçus !

Et ce n’est pas fini…

Voir les commentaires

Jusqu'à quand ?

4 Novembre 2011, 17:02pm

Publié par Bernardoc

         Un peu en décalage, mais je tiens à assurer le peuple palestinien de mon total soutien dans ses démarches de reconnaissance auprès des peuples du monde. En fait non pas des peuples, là je pense que c’est fait, mais auprès des états. Et pour le cas je dois dire que je ne suis pas fier d’être européen. Pour une fois la France n’a pas été à la remorque de l’Allemagne, qui a sûrement encore à se faire pardonner la Shoah, et c’est pour cela qu’elle soutient la démarche réactionnaire de l’état d’Israël. Non, la France a pris la bonne décision en soutenant l’admission de la Palestine à l’Unesco. Que n’avait-elle fait de même à l’Onu, au lieu de proposer une demi-mesure hésitante ?

         Mais en face, Obama vient de révéler son vrai visage : « Yes, he can ! ». Mais he can quoi ? He can étrangler cet organisme international pour l’éducation et la culture en le privant d’un cinquième de ses revenus en refusant de continuer à verser la cotisation solidaire qui lui est demandée.

         S’en prendre à l’éducation et à la culture ? Quoi de plus mesquin et de plus dangereux ? Est-ce pour compenser les dépenses engagées sur les terrains militaires du monde entier ? Pour commencer à alimenter les caisses pour le futur soutien à Israël si ce dernier met à exécution son plan vis-à-vis de l’Iran ? Mais jusqu’à quand la communauté internationale va-t-elle se laisser impressionner par ce pays en déclin qui continue à se prendre pour le maître du monde ?

         Dans un an les Etats unis d’Amérique auront changé (ou renouvelé) leur président. Le camp républicain aligne des candidats tous plus réactionnaires, pour ne pas dire tordus, les uns que les autres. Mais souvenons-nous tout de même que c’est un président républicain, Richard NIXON, qui a mis un terme à la guerre du Vietnam dans laquelle s’étaient embourbés ses deux prédécesseurs démocrates, Kennedy et Johnson. Alors faut-il souhaiter la chute d’Obama ou son remplacement par un autre démocrate, noir ou blanc, mais adepte de la paix et capable de tenir ses engagements ? La réponse est presque dans la question.

Et ce n’est pas fini…

Voir les commentaires

Les joies des transports en commun.

3 Novembre 2011, 18:45pm

Publié par Bernardoc

         En attendant un éventuel retour de ma voiture, indispensable pour me rendre à Mérignac et prendre un tram direct, j’ai testé TBC pour rentrer de Bordeaux à la maison. D’après Mappy  le trajet mesure 11 km et 18 minutes sont nécessaires à ce voyage.

         Mon expérience « écolo-citoyenne » dura presque une heure de plus. 3 mn de marche pour me rendre jusqu’à l’arrêt de bus, qui y arrivait en même temps que moi. 3 mn de bus jusqu’à La Victoire, où j’attendis 3 mn avant  un trajet de 10 mn en tramway. Au bout de 7 mn arriva le bus de la liane « 3+ » qui, en 29 mn m’amena jusqu’à la mairie du Haillan. Il ne me restait plus que 18 mn de marche pour terminer mon voyage. Il tombait juste une fine bruine et je n’avais pas de bagage, mais j’ai trouvé le voyage long malgré tout.

         En revenant à la maison, j’ai vérifié les suggestions de TBC : pas mieux !

  • 1 - Marcher rue de Belfort sur 60 mètres
  • Tourner à droite : rue du Tondu sur 170 mètres
  • Tourner à gauche : cours d'Albret sur 150 mètres

2- Bus (Lianes 16) 7 min 16:15 16:22 Bus À l'arrêt République, prenez la Lianes 16 direction Mérignac Centre (René Coty) Descendez à l'arrêt Gambetta Correspondance 4 min

3 - Bus (Lianes 3) 27 min 16:27 16:54 Bus À l'arrêt Gambetta, prenez la Lianes 3 direction Villepreux Descendez à l'arrêt Ruet Correspondance 13 min

4 - Bus (Ligne 30) 3 min 17:07 17:10 Bus À l'arrêt Ruet, prenez la Ligne 30 direction Lycée Sud Médoc Descendez à l'arrêt Capella

5 - Marche à pied 12 min

  • Marcher avenue de la République sur 160 mètres
  • Tourner à droite : rue de Venteille sur 210 mètres
  • Tourner à droite : rue de Venteille sur 140 mètres
  • Tourner à droite : rue des Bosquets de Venteille sur 160 mètres

Et ce n’est pas fini…

 

Voir les commentaires

Le Haillan en débat.

2 Novembre 2011, 17:23pm

Publié par Bernardoc

Invitation au Débat Public

La CRISE et la DETTE ?

Mercredi 9 novembre de 20h-22h

Salle Colindres

à l’initiative des élus et militants

du Front de Gauche (PCF-PG-GU-FASE-C&A-R&S) du NPA, d’Europe-Ecologie-les Verts

La catastrophe écologique, l’explosion des inégalités, de la précarité

et de la pauvreté, les violations répétées de la démocratie, le refus

de rapports humains fondés sur la solidarité et la coopération, tout ceci

a une cause dont l’action humaine peut venir à bout.

Tous ces maux trouvent leur commune origine dans la

caractéristique essentielle de notre époque :

la domination sans partage du capital

financier sur le monde.

Or cette domination en apparence inébranlable est en réalité

d’une grande fragilité car elle dépend tout entière de

choix politiques que les peuples peuvent inverser. Affrontons

la finance et nous retrouverons rapidement un avenir.

Mais pour cela, il nous faut comprendre comment fonctionnent

les mécanismes des politiques néolibérales, comprendre la

crise actuelle, les crises successives et ce que représente la

dette. 

Cette soirée permettra certainement à celles et ceux qui en

ont assez d’entendre toujours les mêmes donner des leçons

sur notre système économique, de découvrir d’autres

explications, d’autres pistes pour résoudre durablement

le problème de la crise et de la dette.

Cette soirée sera animée par

Amaury LEBRETON,

étudiant en 5ième année d’un master d’économie à la faculté

de Bordeaux.

Et ce n’est pas fini…

Voir les commentaires

Tradition.

1 Novembre 2011, 08:47am

Publié par Bernardoc

         Voilà, c’est la Toussaint et je m’en vais fleurir « mes » tombes. Pendant des décennies, j’ai essayé de faire comprendre à ma mère que la Toussaint était un jour de fête et que c’était le lendemain, le 2 novembre, « jour des morts », que l’on devait honorer nos disparus. Ce qui n’était pas évident pour les gens en activité, puisque la plupart des gens, y compris dans l’éducation nationale, étaient au boulot dès le 2. Eh bien, maintenant que je continue d’être en retraite, je suis complètement dans le moule, et je vais faire comme tout le monde.

         Trois cimetières de Dordogne limousine dans lesquels reposent la plupart de mes ancêtres, avec certaines tombes de plus en plus délaissées…Il est vrai que ce n’est pas dans les cimetières que l’on perpétue nos aïeux, mais dans le souvenir qu’ils ont laissé, l’œuvre qu’ils ont accomplie…

         C’est peut-être pour cela que je suis rarement triste dans les cimetières, sauf aux moments des enterrements. Je prends d’ailleurs un plaisir certain à flâner dans les allées, source de découvertes qui aident à construire une perspective historique. Mais pour ce genre de visites, point n’est besoin d’attendre la Toussaint, et une belle journée printanière, moment de résurrection de la nature, est tout aussi agréable.

Et ce n’est pas fini…

Voir les commentaires

<< < 1 2 3