Klaus Schwab, né le 30 mars 1938 à Ravensbourg en Allemagne, est un ingénieur et économiste allemand. Il fonde en 1971 le Symposium européen du management1, organisé à Davos en Suisse, qui deviendra en 1987 le Forum économique mondial.
Il est principalement connu comme président, depuis sa création, du forum économique mondial (World Economic Forum), fondation à but non lucratif dont le siège est à Genève.
Ce forum est célèbre par sa réunion annuelle à Davos, en Suisse, qui attire des dirigeants d’entreprise, des chefs d'État et des hommes politiques du monde entier, ainsi que des intellectuels et des journalistes, afin de débattre des problèmes les plus urgents de la planète, y compris dans les domaines de la santé et de l’environnement.
Son avis sur l'utilisation de la crise sanitaire
:
Klaus Schwab, le cerveau de la « Grande Réinitialisation » suggère un certain nombre de mesures draconiennes pour contrôler la population sous l’égide de la « 4e révolution industrielle », y compris l’évaluation du risque des scintigraphies cérébrales pour franchir les frontières et des puces implantables pour lire les pensées des gens.
Le fondateur du Forum économique mondial, M. Schwab, a souligné à maintes reprises la nécessité pour les technocrates de tirer parti de la pandémie de coronavirus pour mettre en œuvre « The Great Reset », un sentiment qui a été repris par le premier ministre du Canada, M. Justin Trudeau, lors d’une récente vidéoconférence des Nations Unies.
Mais la « grande réinitialisation » ne consiste pas seulement à restructurer le système économique, à mettre en œuvre un « nouveau pacte vert », à rendre plus d’emplois entièrement automatisés et à réduire la consommation d’énergie et le niveau de vie, il y a aussi un aspect policier à l’ordre du jour.
Ce programme est explicitement détaillé dans les trois ouvrages de Schwab, The Fourth Industrial Revolution, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World et Covid-19 : The Great Reset.
Schwab souligne que l’utilisation de cette technologie pour effectuer une surveillance de masse et le suivi de la population « va à l’encontre de sociétés saines et ouvertes », mais il la présente quand même sous un jour positif.
« À mesure que les capacités dans ce domaine s’amélioreront, la tentation pour les organismes d’application de la loi et les tribunaux d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’activités criminelles, d’évaluer la culpabilité ou même de récupérer des souvenirs directement dans le cerveau des gens augmentera. » il écrit, suggérant Minority Report-style précrime programmes.
Le mondialiste va également au-delà du simple fait d’exiger des certificats de vaccination pour voyager, laissant entendre que « même le passage d’une frontière nationale pourrait un jour nécessiter une analyse cérébrale détaillée pour évaluer le risque pour la sécurité d’une personne ».
Il précise également que les micropuces implantables seront la pierre angulaire d’un agenda transhumaniste qui fusionnera l’homme avec la machine.
« Les dispositifs externes d’aujourd’hui – des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle – deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau », écrit-il.
« Les micropuces implantables actives qui brisent la barrière cutanée de notre corps » vont « changer la façon dont nous interagissons avec le monde » et nous forcer « à remettre en question ce que signifie être humain », selon Schwab.
Une telle technologie pourrait également faciliter l’expression de « pensées ou humeurs potentiellement inexplorées en lisant des ondes cérébrales et d’autres signaux », selon M. Schwab.
Schwab suggère que la population pourrait être encouragée à adopter des puces de lecture de cerveau dans le cadre d’un modèle d’affaires qui implique que quelqu’un « échange l’accès à ses pensées pour l’option de gain de temps de taper un message sur les médias sociaux par la pensée seule ».
Un résumé volumineux et effrayant de tout ce que Schwab et d’autres technocrates mondialistes réclament est contenu dans cet excellent article publié par Winter Oak.
Et ce n'est pas fini...