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Le blog de Bernard SARLANDIE
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Hieraŭ ni festis Zamenhof.

16 Décembre 2013, 07:44am

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Publié par Bernardoc

         Comme chaque année le 15 décembre (ou une date proche selon le calendrier), les millions d’espérantistes dans le monde se rassemblent pour fêter l’anniversaire de l’initiateur de l’esperanto, le docteur louis Lazare ZAMENHOF. Hier, c’était le 154ème anniversaire de sa naissance, la langue elle-même ne datant « que » de 1887.

         Pour les Girondins, nous nous sommes réunis au Château Palmer à Cenon, siège social d’Esperanto-Gironde et nous avons eu le plaisir d’y accueillir quatre « novbakitajn », c’est-à-dire des personnes qui viennent de prendre contact avec la langue universelle et qui disposent de 150 heures pour l’apprendre, soit dix fois moins que pour apprendre l’allemand.

         En quelques mots j’ai présenté le symbole puis la façon dont notre groupe essayait de propager l’utilisation de cette langue par ses spectacles chantés ou joués, et ce depuis 1991. Ensuite nous avons fait le point sur le guide de voyage que nous sommes en train de rédiger, qui déborde largement l’aire bordelaise puisqu’il y aura des fiches sur la Charente maritime. Ensuite, pour nous mettre en appétit, nous avons chanté une première chanson, prélude à ce que nous proposerons au congrès universel de Lille en juillet 2015, puisque nous avons été sollicités pour l’animation.

         Après le repas au cours duquel chacun fait profiter de ses préparations, nous avons visionné le très beau film de vulgarisation qui montre que, fort heureusement, l’Esperanto est aussi une affaire de jeunes, et enfin, nous avons terminé par Lili, de Pierre PERRET qui a été traduite il y a de nombreuses années, car il serait dommage de priver les gens du monde entier de cet hymne à la tolérance.

         Trois photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/ZoTago2013?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKzO7YnVosLZLw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Noël continue.

15 Décembre 2013, 19:50pm

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Publié par Bernardoc

         Après les petits l’après-midi, c’était le tour des comités de jumelage le soir à la salle Colindres. Inutile de dire que la moyenne d’âge n’était pas la même !

         Pour la troisième année consécutive si je ne me trompe, c’est le comité de jumelage avec Enderby qui avait pris l’initiative d’inviter les deux autres comités pour fêter Noël autour d’un repas dansant. Contrairement aux années précédentes, chacun n’apportait un petit cadeau qui serait redistribué, mais plus traditionnellement ce serait une bourriche qui serait tirée au sort lors d’une tombola dont les billets étaient vendus sur place.

         Un repas succulent nous attendait ; d’ailleurs le traiteur venu de St Sulpice et Cameyrac fut chaleureusement applaudi, à l’initiative de l’animateur de la soirée. Ce dernier, après avoir testé nos connaissances sur les programmes télé actuels ou passés (ce qui permettait de gagner des billets gratuits pour la bourriche) a su faire danser la quasi-totalité des convives en alternant danses collectives telles le madison ou les éternels succès de Claude FRANCOIS et les danses de couples : nous eûmes même droit à ce qui a disparu chez les jeunes, c’est-à-dire les slows !

         Une soirée fort agréable, même si le mélange entre les différents comités ne m’a pas paru évident. Mais c’est en multipliant ce genre d’initiative et en essayant d’y intégrer des jeunes, qu’une meilleure intercompréhension pourra naître.

         Quelques photos des participants sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20131215ZTago2013?authuser=0&authkey=Gv1sRgCOiAmeqEyYufggE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Noël 2013 au Haillan.

14 Décembre 2013, 18:21pm

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Publié par Bernardoc

         Depuis le noël 2008 au cours duquel j’avais, pour la première fois de ma vie, interprété le Père-Noël, j’ai peut-être loupé une de ces festivités, mais je n’ai jamais vu autant de monde qu’aujourd’hui. Est-ce un résultat de la pauvreté générée par l’avidité des actionnaires du CAC 40 ? Sans vouloir tomber dans le catastrophisme, on peut penser que, les nouveaux imposables, non pas parce qu’ils gagnent plus, mais parce que le gel des barèmes les a conduits à payer non seulement l’impôt sur le revenu, mais aussi la taxe d’habitation et la redevance audiovisuelle, ont renoncé à emmener leurs enfants en ville (c’est-à-dire à Bordeaux) pour voir le dernier Disney, mais plutôt à profiter en masse du film proposé par la municipalité.

         Mais il n’y avait pas que le film ! Une visite en calèche était proposée ainsi qu’un atelier maquillage qui ne désemplissait pas et employait nombre d’animatrices municipales. C’est donc maquillés que les petits pouvaient aller se faire photographier par leurs parents, auprès du père-Noël qui avait dressé sa hutte juste à l’entrée de L’Entrepôt. La photo des tables ci-dessous montre que nos bambins se sont livrés à un véritable festin avant la séance, pendant que d’autres animatrices se livraient à des sculptures de ballons. Une belle journée, d’autant que le temps était très clément ; c’est moins bien qu’un noël blanc (que nous allons chanter dimanche prochain à l’église de Caudéran, à 15 heures), mais infiniment mieux qu’un noël sous la pluie.

         Les photos donc :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20131214Noel2013Haillan?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIyJkaSmk6PWuAE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…  

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Bien vivre sa retraite.

13 Décembre 2013, 17:26pm

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Publié par Bernardoc

         C’est le titre du tract que nous avons distribué ce matin, dans l’unité syndicale (manquaient quand même Sud et FO) devant le hangar 14, à l’occasion du salon Préparer et bien vivre sa retraite, organisé par la CARSAT Aquitaine (Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail), la MSA (Mutualité Sociale Agricole), le RSI (Régime Social des Indépendants) et le CICAS (Centre d’Information Conseil et Accueil des Salariés) qui représentait les retraites complémentaires. Mais ils n’étaient pas seuls puisqu’il n’y avait pas moins de 34 « exposants », aussi divers que la Gym volontaire ou la Maison du Diabète. Au cours de la distribution, et pour me réchauffer un peu, je suis allé rendre visite à l’Ircantec pour faire le point.

         Pour en revenir au tract, il ciblait deux points : la perte d’autonomie et le pouvoir d’achat des retraités qui interdit à un bon tiers des retraités de pouvoir, ne serait-ce qu’en rêve, envisager une fin de vie en EHPAD.

         La ministre des vieux, très tranquille, nous a assuré que tout allait bien et qu’en ponctionnant davantage les retraités, on ne faisait que manifester une solidarité intergénérationnelle ( ? ), car il ne faut pas tout demander aux actifs. A notre question sur la solidarité que pourrait représenter la taxation du capital, elle est restée muette.

         Salon intéressant qui peut vous aider dans vos démarches, et il est ouvert jusqu’à demain soir 19 heures. N’hésitez pas à vous y rendre.

         Les photos de cette matinée sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20131213Carsat02?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIXCkuS724b40wE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…  

 

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L'impensé inouï du salaire.

12 Décembre 2013, 12:13pm

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Publié par Bernardoc

         C’est le titre de la conférence gesticulée de Franck LEPAGE et Gaël TANGUY consacrée à l’histoire du travail et de la protection sociale. Beaucoup de monde, et contrairement aux autres Mercred !s du Haillan, beaucoup de Haillanais, même s’il restait quelques places dans L’Entrepôt.

         La conférence débuta sur une explication : la différence entre le travail subordonné (l’emploi) et le travail libre (le plaisir, mais aussi la maladie, le chômage,…). Des formules choc, comme d’habitude, émaillèrent cette conférence ; En voici une : « trois trotskystes, c’est une scission (ça c’est connu), deux anarchistes, c’est une librairie ».

         Le PS (Presque Sarkozyste) en prit pour son grade lors de la lecture de la fiche de paie qui explique tous nos droits et la façon dont ils sont attaqués, en commençant par les méfaits de Rocard.   

         Vint ensuite un « débat mouvant » sur la phrase : « Les syndicats aujourd’hui sont utiles et efficaces ». Nous étions de part et d’autre de la scène et en fonction des arguments chacun pouvait passer d’un côté à l’autre. Le résultat ne fut pas probant pour les syndicats. Donc, après l’entracte, une histoire du syndicalisme en France fut proposée. Pour les militants, dont je suis, c’était un peu simpl(ist)e, mais après le débat, je pense que cela a pu être très utile à un certain nombre de spectateurs.

         Enfin, la fin de la deuxième partie était fondée sur l’analyse de Bernard FRIOT, et la démonstration de l’enfumage dont nous gratifie ce gouvernement concernant les retraites qui coûtent de moins en moins par rapport au PIB. Le Medef a donc gagné, pour le moment, en l’absence du rapport de force que nous n’avons pas été capables de construire. Ce fut illustré par un texte de Denis KESSLER, passé de la Gauche Prolétarienne à la direction du Medef, qui mettait en cause tous les conquis sociaux issus du CNR. Heureusement, le spectacle se terminait par le texte écrit par les survivants pour les 60 ans du CNR, texte que j’avais affiché à l’époque à Langevin, et qui encourage à la lutte et à la résistance pour continuer de faire vivre ces valeurs fondamentales de notre république sociale.

         Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20131212Lepage2?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNGLo93m087XhgE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…   

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Château Tenet.

11 Décembre 2013, 01:03am

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Publié par Bernardoc

         Enfin, hier soir, en ce jour anniversaire de la loi de 1905 qui organisait la séparation de l’Eglise et de l’Etat, l’association départementale des Pupilles de l’Enseignement Public inaugurait le château Tenet rénové, à Mérignac, en présence de la plupart des administrateurs, de nombreuses organisations laïques amies et quelques élus de Mérignac. J’ai bien rigolé lorsque le vice-président du conseil général a dit au conseiller général de Mérignac I : « Je n’ai pas besoin de te présenter celui-là (en parlant de moi), c’est un emmerdeur que tu connais bien sûr », et l’autre d’acquiescer sans savoir qui j’étais. C’est vrai qu’il m’a superbement ignoré pendant mes six ans à Mérignac, y compris après avoir participé à l’AG d’un club sportif qui se tenait au collège.

         Pourquoi enfin ? Parce que l’achèvement des travaux a pu être réalisé grâce à un legs de Claude PELLIZOTTI, ancien professeur au lycée hôtelier de Talence et que l’association tenait à lui rendre hommage. C’est ce qui fut fait au travers des discours de jacques DESBORDES, le Président et Jean-Marie DARMIAN qui présidait les PEP33 au moment où fut décidée cette réhabilitation.

         La députée et le sénateur Anziani furent les derniers orateurs à rendre hommage au généreux donateur ; la députée abandonna son discours convenu pour laisser parler son cœur, tandis que le sénateur jugeait intéressant de n’avoir pas transformé ce lieu en un musée.

         Ces discours venaient après le dévoilement de la plaque en l’honneur de M. Pellizotti et avant une conférence « La Laïcité, un point c’est tout…et ce n’est pas rien ! » à laquelle nous n’avons pu assister pour cause de répétition. Eh oui, je le répète, nous chantons vendredi soir à St Médard.

         Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20131210InaugTenet?authuser=0&authkey=Gv1sRgCInrpMrA6vGLaQ&feat=directlink

Et ce n’est pas fini… 

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Un bel anniversaire.

10 Décembre 2013, 08:50am

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Publié par Bernardoc

         C’est ce que vient de nous offrir pendant trois jours France inter qui fêtait ses cinquante ans. Un menu de choix nous a été proposé avec d’anciens animateurs, d’anciennes voix, toujours vivants et les enregistrements de ceux qui nous ont quittés.

         Quel changement en un demi-siècle ! Des attitudes guindées héritées de la quatrième République à la convivialité actuelle, il n’y a pas photos. Bien entendu, je n’ai pu suivre les 72 heures d’émissions, mais quel plaisir de réentendre des extraits d’émissions qui dataient de bien avant internet et des podcasts.

Mais il y avait aussi des concerts en direct de différents endroits : celui de Zebda à Toulouse m’a fait découvrir le vaste répertoire de ce groupe, notamment de remarquables reprises, alors que je ne connaissais que leurs « tubes ».

Une surprise, mais n’était-ce pas de la démagogie ? Nous avons pu réentendre la chronique prémonitoire qui avait entraîné le départ de Stéphane GUILLON ; je me demande si Didier PORTE a eu droit au même traitement.

Ces trois jours se sont terminés par un gigantesque concert avec des duos inédits, un des plus déjantés étant celui d’Higelin et Camille ; un des plus émouvant celui de Julien CLERC et Alex BEAUPAIN qui ont tenu à rendre hommage à Renaud qui ne pouvait participer à cette célébration.

Oui, malgré la disparition d’hommes (de femmes) ou d’émission, France inter reste quand même la radio généraliste la plus écoutable du PAF. Et en plus, cet anniversaire nous a permis d’échapper à la quête du téléthon.

Et ce n’est pas fini…

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Travail et convivialité.

9 Décembre 2013, 08:51am

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Publié par Bernardoc

         Comme cela arrive une à deux fois par trimestre, hier c’était un dimanche choral. Selon la tradition, le matin, à la maison de la musique, deux groupes se forment : les hommes d’un côté, les femmes de l’autre. Pas de ségrégationnisme dans cette répartition : ce sont seulement des regroupements par pupitres : soprani et alti (voix féminines), qui ont travaillé avec Henri, le chef de chœur, tandis que ténors et basses (voix masculines) travaillaient avec Frédéric, notre organiste au piano, sous la direction d’Alexandre, un de nos camarades ténors. Et ce travail du matin nous a permis de revoir un chant zoulou et de commencer à travailler trois nouveaux morceaux.

         Le repas, pris en commun à la salle du Forum, est l’occasion d’un moment très sympathique, chacun, selon son pupitre, apportant telle ou telle partie du repas. Et comme d’habitude, c’est Régis qui nous a régalés de son punch.

         L’après-midi nous avons fait un filage de notre concert à venir qui aura lieu :

Vendredi 13 décembre 2013

A 20h30 salle Georges BRASSENS

(près de la piscine de St Médard en Jalles)

Entrée : 8 €

         Le chef de chœur semblait satisfait, donc nous comptons sur vous, et n’hésitez pas à inviter vos proches à vous accompagner.

         Quelques photos de ce dimanche sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20131208Chorale81213?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLfs5ZzP8OOKJw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Concert de Sainte Cécile.

8 Décembre 2013, 08:18am

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Publié par Bernardoc

         Celui auquel nous avons assisté hier soir était un peu décalé par rapport à la date, puisque Cécile est honorée le 22 novembre. Mais pourquoi un concert dédié à cette sainte ? Parce que c’est la patronne des musiciens. Nous nous sommes donc rendus à l’église de Macau, où l’Harmonie de cette ville deux fois plus petite que Le Haillan avait réussi à drainer une population suffisamment nombreuse pour remplir l’édifice religieux.

         Pourtant ce n’était pas de la musique religieuse que nous a dispensés cet orchestre d’instruments à vent puisque ce qui était au programme était de la musique latino qui reprenait des thèmes très connus, ce qu’on appelle des classiques ou des standards tels, pour ne citer que ceux qui peuvent parler même aux néophytes : Tequila et Mambo n°5.

         Chaque morceau était longuement présenté par une flûtiste, de même que le chef, James JESSON,  présentait les instrumentistes au micro, mais nous étions mal placés par rapport au haut-parleur et nous avions du mal à saisir les paroles.

         Alain, mon dernier adjoint, jouait du petit tuba. Nous sommes allés le saluer à la fin du concert et je lui ai dit que, vu la puissance des instruments, ils avaient véritablement pu donner leur pleine mesure lors du concert en plein air qu’il m’avait offert dans la cour du collège lors de mon départ en retraite. Selon moi, une église se prête davantage aux cordes, voire à un seul instrument à vent, plutôt qu’à un tel grand ensemble.

         Une mention spéciale pour le chef qui a accompli une véritable performance sportive, ainsi que pour le batteur dont l’accompagnement apportait un soutien rythmique qui, si nous n’avions pas été dans ce lieu,  nous aurait donné une furieuse envie de bouger sur ces rythmes latins.

         Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20131207Macau?authuser=0&authkey=Gv1sRgCMCln_Lmh8XABw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…     

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Un phare du XX° siècle.

7 Décembre 2013, 07:50am

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Publié par Bernardoc

         Comme je l’ai écrit hier, j’ai appris la mort de Nelson MANDELA en attendant le tram place Pey-Berland après une conférence sur la laïcité. J’avais ironisé sur un numéro de L’Huma dimanche de juin dernier qui avait consacré tout un dossier nécrologique à « Madiba ». Je suppose que maintenant ils vont sortir un numéro spécial qui reprendra les (bons) articles d’il y a six mois.

         Que rajouter à tout ce qu’on entend depuis la nuit dernière ? On ne peut que se sentir extrêmement humble et modeste devant ce géant avec qui le XX° siècle disparaît pour de bon. 27 ans en prison, déclaré terroriste par Reagan et Thatcher (entre autres), et une fois libéré, il refuse toute idée de vengeance, ou même de revanche, mais déploie une volonté d’unifier un peuple, le peuple de son pays avec toutes ses composantes.

         Ce pays, sous le joug brutal de l’apartheid depuis des décennies, avait tous les risques de sombrer dans le chaos. Mais grâce à la force persuasive de son leader, l’ANC a fini par se ranger derrière la charismatique figure de celui qui n’était pas encore prix Nobel de la paix (et rien à voir avec Obama !) pour que la transition s’opère de manière réfléchie…et efficace, contrairement à ce qui s’était passé au Zimbabwe. La maturité politique de Mandela se révéla à nouveau lorsqu’il décida de ne pas se représenter, après avoir mis le pays sur les bons rails. Et je rejoins ici la conférence de jeudi soir : « c’est parce que nous sommes différents que nous devons avoir l’égalité des droits. »

         Maintenant reste à parfaire ce qui est en route en luttant contre la violence sociale qui malheureusement a parfois (souvent ?) remplacé la violence raciale.

         Néanmoins, merci, Monsieur MANDELA, enkosi Madiba.

Et ce n’est pas fini…     

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