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Le blog de Bernard SARLANDIE

esperanto

IFEF Kongreso : kvara komuniko.

24 Avril 2013, 01:07am

Publié par Bernardoc

Artigues-près-Bordeaux 4 – 11 mai 2013

65ème congrès international des cheminots espérantistes

Programme culturel

 

Samedi 4 mai : 20.30 – 22.00 : rencontres ludiques et musicales.

Dimanche 5 mai : 14 – 17 : film de présentation de l’espéranto à             destination du grand public.

                                  17.30 – 22.00 : Soirée occitane avec initiation aux danses gasconnes.

Lundi 6 mai : 14 – 17 : visites culturelles.

                       20.30 – 22.00 : soirée lyrique et représentation théâtrale par la troupe d’Espéranto Gironde : La Kompanoj.

Mardi 7 mai : Journée d’excursions.

Mercredi 8 mai : 19.00 – 24.00 : banquet : soirée dansante.

Jeudi 9 mai : 20.30 – 22.00 : Concert de Kajto, groupe néerlandais, qui n’en est pas à sa première visite en gironde.

Vendredi 10 mai : 14.30 – 16.00 : Carmen de Bizet, revisitée en Espéranto.

 20.30 – 22.00 : soirée animée par les participants des différents pays.

Samedi 11 mai : dernière excursion : l’estuaire avec le groupe Kajto.

Et ce n'est pas fini...

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IFEF Kongreso : tria komuniko.

21 Avril 2013, 11:46am

Publié par Bernardoc

Artigues-près-Bordeaux 4 – 11 mai 2013

65ème congrès international des cheminots espérantistes

Aperçu du programme.

 

Samedi 4 mai : 14.30 – 16.00 : conférence de presse.

Dimanche 5 mai : 9.45 – 11.30 : ouverture solennelle.

14 – 17 : film de présentation de l’espéranto à destination du grand public.

Lundi 6 mai : réunion des instances de l’association.

Mardi 7 mai : Journée d’excursions.

Mercredi 8 mai : 17.30 – 19.00 : conférence : « Rôle du chemin de fer dans le monde moderne ».

Jeudi 9 mai : 14 – 16 : Les trains japonais.

Vendredi 10 mai : 16 – 17.30 : fermeture solennelle.

Samedi 11 mai : dernières excursions : Arcachon et l’estuaire.

Et ce n’est pas fini…

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IFEF Kongreso : dua komuniko.

1 Avril 2013, 08:28am

Publié par Bernardoc

Cheminots sans barrières linguistiques : le

 Congrès international des cheminots espérantistes

à  Artigues-près-Bordeaux

 

En liaison avec Espéranto-France, le congrès international des cheminots espérantistes aura lieu du 4 au 11 mai 2013 à Artigues-près-Bordeaux à la Maison de la Promotion Sociale. Les 300 participants venant de 20 pays d’Europe et d’Asie vont tenir leurs débats en communiquant dans une langue équitable, non hégémonique mais appartenant à chacun d’entre nous, l’espéranto. Langue construite, proposée en 1887 par un médecin polonais,  le docteur Zamenhof, elle permet de faciliter la communication entre tous ceux qui n’ont pas la même langue maternelle. Les cheminots l’utilisent à la fois pour leurs contacts professionnels et plus généralement pour leurs relations personnelles.

Le thème du congrès : Le rôle de la voie ferrée dans le développement du monde moderne.

Au programme : des conférences sur le mode d’alimentation du tram de Bordeaux suivie d’une visite de l’installation ferroviaire, sur le syndicalisme chez les cheminots en Sibérie, sur l’évolution des trains au Japon …

L’une des tâches spécifiques est la mise à jour constante d’un dictionnaire de terminologie ferroviaire en espéranto. En liaison avec l’Union Internationale des Chemins de fer, la commission technique espérantiste reçoit chaque année les nouvelles dénominations et en assure la traduction.

Au cours de cette semaine à Artigues-près-Bordeaux les congressistes auront tout le loisir d’apprécier les activités culturelles, techniques, musicales en partie organisées par le groupe Espéranto-Gironde.

Seront au programme culturel les groupes : La Kompanoj, Kajto, Interkant’ …

 

Groupe des cheminots : www.ifef.net

Groupe national UFE : http://esperanto-france.org/

Et ce n'est pas fini...

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Al Sabine.

26 Mars 2013, 08:59am

Publié par Bernardoc

         Lastan fojon, kiam mi aŭdis la voĉon de Sabine estis la 22an de decembro 2012. Mi certas pri la dato, ĉar nis estis survoje al Torino, kaj la poŝtelefono sonoris dum nia paŭzo sur la aŭtovojo, proksime al Clermont-Ferrand. Nia interparolado estis ege malfacila, ĉar ŝajnis, ke Sabine ne bone aŭdis kion mi diris al ŝi.

         Ŝi rakontis al mi kiel lacega ŝi sin sentis. Ŝi ankaŭ petis de mi, ke mi sendu al ŝi la tekston, kiun mi legis okaze de la festo por ŝia 80a datreveno. Tiutempe, mi ne plu memoris pri tio, sed subite, kiam ni revenis hejmen post la Julfesto, mi pensis kaj retrovis la tekston.

         Post nia konversacio, mi diris al Rose : « Sabine estas adiaŭanta ; verŝajne ni ne plu vidos ŝin ».

         Do, dum nia unua kunveno en Januaro, mi insistis por ke ni sendu poŝtkarton al ŝi, kun la teksto kiun mi fotokopiis. Espereble ŝi ricevis ilin, ĉar ni ne sciis pri ŝia restado en maljunulejo.

         Ni ĉiam memoros pri ŝiaj gustumaj vinberoj kaj vinbersuko, kun kiuj ŝi regalis nin dum niaj oftaj ĝeneralaj asembleoj ĉe ŝi. Ankaŭ niaj komunaj spektakloj kun La Kompanoj estos neforgeseblaj.

         Ve, turniĝas la rado, sed mi sugestas, ke ni dediĉos nian venontan spektaklon al nia amikino.

Et ce n'est pas fini...
 

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IFEF Kongreso : unua komuniko.

6 Mars 2013, 16:50pm

Publié par Bernardoc

Madame, Monsieur,

                                   Esperanto-Gironde co-organise cette année le congrès international des cheminots espérantistes. Il se déroulera à Artigues-près-Bordeaux (Maison de la Promotion Sociale) du 4 au 11 mai 2013.

            Déjà plus d’une centaine de congressistes se sont inscrits, venant de treize pays différents, de la Russie à la Belgique, en passant par le Danemark et la Croatie.

            Une conférence de presse se tiendra (en français !) à la Maison de la Promotion Sociale le 4 mai 2013 de 14h30 à 16 heures. Si vous pensez qu’un tel évènement international puisse intéresser vos lecteurs, auditeurs ou spectateurs, je vous suggère de noter cette date sur votre agenda. Bien entendu vous serez les bienvenus tout au long de cette semaine (un traducteur sera à votre disposition).

            Vous recevrez en temps voulu des compléments d’information, mais je me tiens à votre disposition pour toute question éventuelle.

Bernard P. SARLANDIE,

Président,

Esperanto-Gironde


Et ce n'est pas fini... 

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L'Esperanto à Créon.

24 Février 2013, 18:54pm

Publié par Bernardoc

         A l’invitation de Jean-Marie DARMIAN, le maire de Créon, Esperanto-Gironde organisait une conférence de présentation de la langue universelle dans la salle citoyenne de la mairie. Le conférencier, qui nous arrivait d’Oloron-Sainte-Marie, était Guy CAMY, une des chevilles ouvrières de la pétition pour l’esperanto au bac. Il expliqua pourquoi il préférait qualifier la langue d’«internationale » plutôt que d’«universelle ».

         Sa présentation, fort bien structurée et abondamment fournie en documents tant iconographiques qu’oraux, m’a même appris à moi certains détails que j’ignorais ; mais c’est le cas chaque fois qu’une présentation est faite par quelqu’un de différent. Ainsi la dernière fois que j’avais présenté la langue, certains espérantistes présents avaient aussi appris de nouvelles précisions.

         Donc, construction charpentée se déroulant en trois temps : naissance et histoire de la langue, fonctionnement et enfin avantages socio-économiques possibles si son usage était généralisé, ne serait-ce qu’au niveau de l’Europe.

         Malheureusement, malgré l’annonce faite en belle place dans le bulletin hebdomadaire municipal, un article qui a dû paraître dans Sud Ouest et une exposition la semaine précédente dans la bibliothèque municipale, seul un public très clairsemé est venu s’informer. Mais ceux qui étaient présents ont été très intéressés puisqu’ils ont manifesté la volonté de se mettre à l’étude : du boulot en perspective pour Esperanto-Gironde ! Quant au maire, qui avait inscrit la date à son agenda, il s’est excusé pendant la conférence : des soucis familiaux l’ont empêché de rejoindre sa mairie cet après-midi.

         Trois photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20130224ECreon?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLGXs5D78NuaMg&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Morgaù ni festos Zamenhof en Cenon.

1 Décembre 2012, 08:54am

Publié par Bernardoc

Syndicalisme et espéranto

 

Motion de la Confédération Générale du Travail CGT votée le 10 octobre 1906 à Amiens lors de son quatrième congrès : “Il nous suffira d’en appeler à la mémoire de tous les congressistes qui ont assisté à des Congrès Internationaux pour montrer l’extrême difficulté qu’entraînent les sept ou huit langues qu’on y est, à l’heure présente obligé de parler et l’énorme économie de temps qui résulterait de l’emploi d’une seule langue dans ces Congrès où la traduction plus ou moins fidèle absorbe le plus clair du temps des congressistes.

Nous croyons donc que le Congrès Confédéral ferait besogne des plus utiles en s’associant aux voeux émis en faveur de l’Espéranto, dans les congrès corporatifs des peintres, des employés, des chapeliers, des céramistes, etc... et de plus, en votant l’ordre du jour suivant que nous avons l’honneur de lui proposer

Le Congrès :

        Considérant que l’émancipation intégrale des travailleurs ne peut s’opérer qu’internationalement mais que les différences de langage sont une entrave matérielle et presque insurmontable à l’entente des prolétaires de tous les pays : Constatant l’extrême facilité d’apprentissage de la langue Espéranto et les éminents services qu’elle est appelée à rendre à la classe ouvrière organisée nationalement et internationalement : Pour ces motifs : Le IVème Congrès Confédéral invite les secrétaires de Fédérations Nationales, de Bourses du Travail, de syndicats ouvriers et les militants desdites organisations, à faire la plus active propagande pour l’étude, la pratique et l’extension de la langue internationale Espéranto et à créer, partout où ce sera possible, des cours du soir pour tous les travailleurs. Pour la Fédération Nationale des syndicats de peinture et parties assimilées. Le délégué : Léon ROBERT à Bousquet, Sellier, (employés), Marie, Janvion, P. Hervier (Bourges), Bornet (bûcherons), Ch Dooghe (Reims), Gouly (Toulouse), Yvetot, David (peinture), Tabard, Robert et Ferrier (Grenoble), Peyron, à Montagne (Inscrits maritimes du Havre. Intourville (alimentation).“ Le rapport et l’ordre du jour en faveur de l’Espéranto sont adoptés à l’UNANIMITÉ.

Du camarade Jouhaux, de la C.G.T. :

                                             “Je crois nécessaire, indispensable, la diffusion dans les rapports entre prolétaires de langues diverses, d’une langue auxiliaire, intermédiaire commune. Si cela était acquis, les discussions internationales deviendraient moins fastidieuses, plus claires et plus précises. C’est un progrès à réaliser, aussi j’applaudis des deux mains à tout ce qui pourra être tenté dans ce sens. La création du Travailleur Espérantiste étant un pas de fait en cette voie, je ne puis qu’apporter avec mes souhaits de réussite, tous mes encouragements aux militants qui se sont voués à cette tâche.“

Du camarade Marie, secrétaire de l’Union des Syndicats :

                                                                               “Voici l’opinion d’un bien involontaire profane de l’Espéranto. Sur la langue elle-même, je pèche coupablement par ignorance. C’est, hélas ! le cas de nombreux militants que les préoccupations, le travail et le temps fiévreusement employé, absorbent au point qu’ils souffrent de ne pouvoir posséder d’autres sciences. C’est ce qui fait que je suis espérantiste de coeur. C’est peu, mais cela indique que ma préférence morale va vers la langue internationale que vous préconisez. Voici pourquoi : D’abord, c’est de l’Espéranto que j’ai entendu parlé en premier ; c’est cette langue que j’ai préconisée moi-même à cause du but qu’elle se promettait ; c’est encore cette langue qui eut la vogue dans les U.P. ; c’est l’Espéranto qu’approuvèrent les Congrès confédéraux ; c’est l’Espéranto dont l’Union des Syndicats de la Seine subventionne modestement un cours organisé par le Syndicat des Peintres de la Seine. A cette préférence vient s’ajouter une appréhension cruelle. L’Espéranto, né en 1887, était l’unique langue devant favoriser nos relations internationales et saper la confusion des langues nationales. C’était franc et clair. Depuis, ont surgi d’autres langues : Ido, Solrésol [remarque H.M. : erreur, le Solrésol a été proposé avant l’espéranto, en 1866], etc., lesquelles, avec l’Espéranto, compliquent encore cette confusion de langues nationales. Nous tombons dans une profonde erreur. En voulant déblayer la route, nous l’encombrons davantage [1]. Maintenant, c’est affaire de propagande pour chaque école de s’arracher des adeptes. Situation bien pénible qui entache l’âme qui se donne une bien plus haute portée. Il faut pourtant bien que l’une triomphe de l’autre, car alors, mieux vaudrait apprendre trois ou quatre langues nationales que d’être obligé demain d’apprendre quinze langues internationales.

Salut syndicaliste."

1. Depuis l’Ido, une dizaine de projets ont vu le jour. C’est pour cette raison que l’Espéranto seul doit nous intéresser si nous voulons voir notre rêve se réaliser.

Le Travailleur Espérantiste”, janvier 1912

  Et ce n'est pas fini...

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Dernière demi-journée en Asie.

27 Septembre 2012, 02:08am

Publié par Bernardoc

         Après le repas, visite de la boutique Senteurs d’Angkor où nous avons pu observer des Cambodgiennes en train de se livrer à différents travaux artisanaux : tressage, teinture, fabrication de savons,…

         Située au milieu d’un jardin odorant, agrémenté bien entendu d’un autel des ancêtres, cette boutique-atelier portait bien son nom et les prix m’ont semblé tout à fait corrects : derniers achats pour combler les petits trous qui restaient dans nos bagages…

         Après avoir goûté un café parfumé, mais il n’en restait plus parfumé à la citronnelle, réembarquement direction le musée national d’Angkor qui nous a fait revivre en raccourci les temples que nous avions visités la veille. Mais avant il nous fallait traverser la salle des mille bouddhas, et d’après notre guide il n’y en avait pas un de moins. Je ne les ai pas comptés, et comme il était interdit de photographier, nous devons lui faire confiance. Et c’est vrai que c’était impressionnant : depuis les statuettes qui faisaient une vingtaine de centimètres jusqu’aux statues plus grandes que la taille humaine, c’était sûrement une salle unique au monde.

         Le programme disait : « Fin d’après-midi libre pour profiter du marché local, ou se reposer au bord de la piscine » ; mais comme nous étions à la bourre, nous eûmes juste le temps de passer à l’hôtel récupérer nos bagages pour nous envoler vers Ha noi, dernière étape avant Paris, ou plutôt Roissy car il y avait un TGV direct pour Bordeaux.

         Ni ĝuis belan kaj agrablan vojaĝon.

         Jen la lastaj fotoj :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/CambodgeFin?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLz1prmTzpGU1QE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Artisans d'Angkor.

26 Septembre 2012, 06:42am

Publié par Bernardoc

         Après notre balade en bateau, arrêt sur la route du retour à un atelier de soie. Ce centre fait partie de l’aide à la reconstruction du pays suite au calamiteux génocide orchestré par les Khmers rouges de 1975 à 1979. Très largement subventionnée ou aidée par de nombreux organismes français (dont la Ligue de l’enseignement), cette entreprise se veut un modèle de gestion économique et d’insertion. Et les formations sont suffisamment diversifiées puisqu’il n’y a pas moins de six options différentes. En fait, cela me rappelle un peu les ambitions des CETAD de Polynésie.

         Nous fûmes accueillis par un guide francophone que nous avons vivement encouragé à poursuivre dans cette voie. La visite commençait par l’élevage des vers à soie dans des salles isolées des fourmis par des cuvettes d’eau dans lesquels reposent les pilotis de la salle. De nombreux panneaux informatifs trilingues (khmer, français, anglais) remplissent un utile rôle pédagogique.

         Nous sommes arrivés au moment de la pause méridienne et donc l’atelier travaillait au ralenti : il y avait à peu près un acteur par poste. Mais nous avons pu assister au chemin complet de la feuille de mûrier grignotée par les chenilles jusqu’au krama, l’écharpe typique et multi-usages du pays.

         Comme la plupart du temps, la sortie se fait en passant par la boutique (prix touristiques !), mais nous nous sommes quand même laissé tenter par quelques souvenirs en étoffe.

         Le restaurant  Champey, dans le vieux Siem Reap, autour du marché, nous régala avec ses originales spécialités khmères. Les photos seront plus parlantes :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/ArtisansDAngkor?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNa3rfmUxc6u9wE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Sur le Tonlé Sap.

25 Septembre 2012, 14:03pm

Publié par Bernardoc

         Ce fleuve-lac au centre du Cambodge rythme la vie des habitants, au gré de ses crues ou basses eaux. Nous avons quitté la route asphaltée et ses tuk-tuks pour emprunter une piste en latérite qui doit être reconstruite chaque année à la fin des crues. Comme au Vietnam, nous croisons des buffles au milieu des rizières et nous remarquons les maisons sur pilotis, à la fois comme protection contre les bêtes sauvages et contre les inondations. En chemin nous rencontrons un marchand de poissons qui trimballe sa marchandise sur sa moto, alors que nous doublons un pêcheur qui se dirige vers le fleuve avec son bateau attelé à un motoculteur.

         Nous arrivons enfin à l’embarcadère actuel, qui n’est pas le même que celui du mois d’avant ni du mois d’après, ce qui explique le caractère précaire et éphémère des « habitations ». Juste à côté : un troupeau de zébus, parmi les plus « gras » que nous ayons vus. Nous embarquons immédiatement à la suite de Manyl, notre guide, après avoir été pris en photo par une jeune fille en descendant du car, pour une bonne heure de croisière sur une eau boueuse envahie d’herbes aquatiques. Bien protégé par des digues, un monastère se cache derrière des arbres.

         Moins occupé que le Mékong, le Tonlé Sap est cependant une voie navigable largement utilisée ; ici le bateau remplace la moto et les maisons sur les berges ne sont pas sur pilotis, mais carrément flottantes. Comparée aux maisons des villages, l’école des sœurs de la miséricorde apparaît comme extrêmement luxueuse. Est-ce qu’un jumelage ou une correspondance ont jamais effleuré l’esprit des maîtres ? Nous ne nous sommes pas arrêtés pour leur demander. La situation du poste d’entretien de l’antenne donne une idée de la différence de niveau attendue lors des crues.

         Lors de notre retour la jeune femme du début nous proposait un objet avec notre photo incrustée : elle n’avait pas perdu de temps !

         Comme d’habitude, les photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/TonleSap?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKX6iLf4zO_2lQE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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