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Le blog de Bernard SARLANDIE

esperanto

Angkor Vat.

24 Septembre 2012, 09:39am

Publié par Bernardoc

         C’est le troisième site que nous avons visité autour de Siem Reap, et peut-être le plus connu. C’est du moins ce que j’ai pensé en le découvrant : c’est comme sur les photos !

         Datant de la même époque que les précédents, il fut conçu comme un temple funéraire dédié à Vishnou par l’empereur Suryavarman.

         Une succession de cours, de galeries, toutes plus richement ornées les unes que les autres – je ne parle pas des pictogrammes indiquant les conduites à tenir -, conduisent jusqu’au sanctuaire central. Certains membres du groupe avaient abandonné avant d’atteindre ce point : la fatigue du voyage commençait à se faire sentir ; d’autres ont reculé devant la dernière ascension et les escaliers dont l’inclinaison était équivalente à celle d’une échelle.

         Au pied de ce monument nous avons à nouveau croisé nos camarades japonais qui profitaient eux-aussi des excursions post-congrès. Estelle leur a emprunté leur drapeau pour immortaliser la présence espérantiste en ce lieu.

         Il était temps de retourner à l’hôtel : nous en avons profité pour tester les massages khmers, très rudes et habillés, en commençant par les pieds et allongé sur le dos, mais qui débouchent sur un bien-être immédiat qui nous a surpris.

         Nous étions prêts à apprécier le dîner, mais il a fallu quand même attendre plus d’une demi-heure des voyageurs qui avaient oublié qu’ils étaient en groupe.

         Restaurant tenu par un Français au cours duquel nous avons assisté à un spectacle typique apsara, mais difficile à comprendre quand on ne possédait pas les clés, ce qui était notre cas.

         Les photos de cet après-midi sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Cambodge3?authuser=0&authkey=Gv1sRgCK63y_PUorajPw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Ta Prohm.

23 Septembre 2012, 13:06pm

Publié par Bernardoc

         Ce monastère accueillait à la fin du XII° siècle environ 12 000 personnes. Quelques bâtiments sont bien conservés, mais ce qui est frappant, c’est la façon dont les fromagers ont envahi et descellé ou, selon les endroits, conforté la cohésion des bâtiments. Pourtant, le fromager a été nommé ainsi parce que son bois servait à faire les boîtes à camemberts, qui ne sont pas particulièrement résistantes.

Parfois, j’avais l’impression de me retrouver au sein d’un film de science-fiction avec cette masse végétale et souple qui se déversait et absorbait toutes les créations humaines.

Mais je vous laisse regarder les images, car plusieurs membres du groupe n’ont pas osé s’aventurer au sein de ce site.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Cambodge2?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLnlv7TyvY35qQE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Arrivée au Cambodge.

22 Septembre 2012, 17:11pm

Publié par Bernardoc

 

         A l’heure où nous avons atterri, il n’y avait que le temps de se rendre à l’hôtel puis de repartir au restaurant.

         Ce qui frappe en descendant de l’avion, c’est l’écriture khmère dont l’alphabet ne comporte pas moins de 68 lettres ! Il paraît que c’est la langue qui se rapproche le plus du sanscrit. Mais rassurez-vous, comme le dollar est la monnaie quasi officielle du pays, la plupart des documents sont en anglais, le français étant encore moins présent qu’au Vietnam. Le restaurant valait le détour : bon dîner, bel environnement, et même une galerie d’art !

         Le lendemain, nous abandonnons provisoirement notre car, non pas pour des « tuk-tuks », ces taxis-motos typiques du pays, mais pour des mini voitures électriques (chinoises) qui vont nous conduire jusqu’à notre visite de la matinée : la ville d’Angkor Thom, cité fortifiée édifiée à la fin du XII° siècle ; douze kilomètres de remparts hauts de huit mètres encerclent cette ville de 10 km² défendue également par un cordon de douves. Seules cinq portes ouvragées donnaient accès à cette grande ville. Une route bordée de statues monumentales qui portaient un naja y conduisait.

         Mais avant d’y arriver nous étions passés par la séquence photo qui allait déclencher l’impression d’un badge qui nous accompagnera toute la journée.

         Le travail de la pierre est fantastique, et heureusement les Khmers rouges n’ont pas eu le temps de tout détruire : ç’aurait été un crime envers l’humanité.

         Il est possible de faire des balades à dos d’éléphant (nous ne l’avons pas fait), mais nous avons pu voir la façon dont le cornac dirigeait sa monture grâce à ses gros orteils qui agissaient sur une corde placée autour du garrot.

         Mais place aux images :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/CambodgeDebut?authuser=0&authkey=Gv1sRgCOawmd_S1uvHrAE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Derniers jours au Vietnam.

21 Septembre 2012, 07:52am

Publié par Bernardoc

         Vite, vite, il est temps de prendre les dernières photos que l’on se disait qu’on aurait toujours le temps de prendre : les filles en amazone sur les motos, l’occupation des trottoirs, les charges sur motos ou sur épaules,la voie de chemin de fer au ras des maisons en pleine ville,…

         Dernières réunions dans le grand salon de l’hôtel Mélia : avec les athées, au concert de la chorale internationale qui avait répété toute la semaine, à la vente aux enchères d’« esperantaĵojn » destinée à alimenter des fonds de solidarité,…

         Puis vient le temps des spectacles internationaux, pour remercier notamment le spectacle proposé à l’ouverture par le pays d’accueil : les espérantistes ont du talent !

         Et pour conclure, la fermeture officielle avec les remerciements aux organisateurs et la transmission du drapeau à l’Islande, pays organisateur du prochain congrès universel.

         C’est maintenant le temps de se rendre à l’aéroport en découvrant au passage un des symboles de l’évolution du nouveau Vietnam : la bourse ! Et pour aller prendre l’avion la différence des bus pour les VIPs et les passagers ordinaires que nous étions.

         En vol pour Siem Reap, au Cambodge.

         Les photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/KongresoFino?authuser=0&authkey=Gv1sRgCP6z_OW-0peiBg&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Mai Chau : montara tribo.

11 Septembre 2012, 09:17am

Publié par Bernardoc

         Mai Chau était le nom de cette tribu montagnarde du nord du Vietnam : il s’agissait de Thaïs. Nous devions partir tôt le matin, si bien que les motos n’étaient pas encore garées sur le trottoir (on voit les bandes blanches qui délimitent le lieu de stationnement). Nous avons ensuite rencontré le dense trafic de Ha noi, apercevant au loin les gratte-ciel et les nombreuses constructions en cours.

         Les soixante nationalités n’étaient pas représentées dans notre autocar, mais je pense qu’il y avait les cinq continents. A l’arrêt café, nous fûmes abordés par des Sarrois curieux de voir qui portait « ce beau nom ». C’est une question récurrente lorsque je croise des Allemands en congrès.

         Sans doute à cause de la route, j’ai trouvé que notre chauffeur était plus prudent que celui que nous avions eu en arrivant au nord ; il valait mieux d’ailleurs, comme en témoigne ce camion croisé en mauvaise posture, mais c’est le seul accident que nous ayons vu.

         Le long de la route, devant les maisons, des aires étaient aménagées pour le séchage du maïs, des arachides ou d’autres produits. Nous découvrons aussi une nouvelle façon de cultiver le riz : en terrasses ; dans cette région du Vietnam, où il neige en moyenne une fois tous les deux ans, on ne fait qu’une récolte annuelle.

         Après cet arrêt, notre guide nous a avertis que le spectacle de danse, habituellement proposé par les villageois, n’était pas inclus dans le prix de l’excursion ; mouvements divers dans le car : normalement, dans les excursions qui se déroulent pendant le congrès, on ne doit rien débourser de plus. Finalement, la majorité des participants acceptera de voir le spectacle.

         Nous partageons un bon repas avec nos amis sarrois et une Italienne qui voulait tenter de parler anglais, ce qui était très mal vu à notre table ! A la fin du repas, nous passons à l’étage pour assister, et à la fin participer, au spectacle de danse qui se conclura par l’absorption, à la paille, d’alcool de riz.

         L’après-midi se prolonge par la visite de deux villages où des produits artisanaux ( ?) nous sont proposés. Nous y croisons Binh, qui était là avec un autre groupe de Français, à qui il faisait de la propagande pour l’Esperanto : nous l’avions séduit !

         Au retour nous nous arrêtons en haut du col où se tient un mini marché : cela permit de constater l’étrange façon d’emballer volailles et porcelets.

         Arrêt au même café qu’à l’aller où des pipes attendaient les amateurs ainsi que des bocaux d’alcool de riz dans lesquels marinaient toutes sortes de reptiles.

         Les photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/MaiChauMontaraTribo?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIOsgM-_gcD5Gw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Mardon, la 31an de Julio, posttagmeze.

10 Septembre 2012, 07:06am

Publié par Bernardoc

         En allant de notre hôtel au congrès, nous avions remarqué un bâtiment officiel : le musée des femmes vietnamiennes. Et comme souvent dans ces édifices culturels, les inscriptions et les commentaires étaient trilingues : vietnamien, anglais, français. Nous y sommes allés lors d’un trou dans nos occupations congressales ( ?).

         La première exposition concerne des scènes de vie, notamment de mariage, de naissance et de vie quotidienne, avec tous les outils et rituels y afférant.

         Une exposition temporaire était consacrée à la vénération d’une divinité, féminine bien entendu, avec tous les objets de papier, qui représentaient des heures de travail pour leur fabrication, destinés à être brûlés lors des prières.

         Enfin, et c’est sans doute la partie qui provoquait le plus d’émotions, tout un étage était consacré à la glorification des femmes combattantes et à leur implication pour la libération du pays. Mais y sont honorées également les épouses ou les mères qui ont perdu mari ou fils durant ces sombres années.

         Enfin, pour alléger à nouveau l’atmosphère, une exposition consacrée aux costumes traditionnels des 54 ethnies du Vietnam, d’hier à aujourd’hui.

         Un très beau musée-hommage à ne rater sous aucun prétexte.

         Le soir, après un film d’horreur qui se voulait parodique mais que j’ai trouvé très mauvais, nous assistâmes à un monologue déclamé par Amarilio Hévia de Carvalho, vieil espérantiste brésilien à tête de Christ qui nous raconta la tragique épopée de Tiradentes, premier Brésilien à s’être soulevé contre l’occupation portugaise de la reine Marie 1ère. Il a terminé sa prestation par un hommage vibrant à Ho Chi Minh, qu’il situait dans la droite ligne de ce martyr.

         Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Kongreso4?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNf15OfjqfDyxQE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Deuxième visite guidée de Ha noi : la matinée.

8 Septembre 2012, 09:28am

Publié par Bernardoc

         Le départ avait toujours lieu du lieu du congrès ; donc, le matin, nous assistions au petit-déjeuner des Vietnamiens qui allaient au travail.

         Cette matinée allait être consacrée à la visite du mausolée de Ho Chi Minh, puis de sa maison, très simple et sur pilotis a-t-on beaucoup insisté, et c’est vrai : l’oncle Ho avait refusé un palais digne d’un président et préféré une simple maison de bois dans laquelle apparemment ne figuraient ni cuisine, ni salle de bains, mais située au milieu d’un parc fort agréable avec son petit lac. Quant au mausolée, édifié malgré les dernières volontés de Ho Chi Minh, Binh avait émis des doutes. Nous sommes donc rentrés dans le mausolée, tout à fait dans les conditions décrites par les guides, et j’en ai même oublié de rechausser mes lunettes que j’avais enlevées à cause de la pluie, si bien que ce que j’ai vu pouvait être naturel ou pas, mais l’important est que le père de la nation guide toujours les destinées du pays. Si un jour je vais à Moscou, il faudra que j’aille voir le tombeau de Lénine.

         L’excursion se prolongeait pour se terminer par la visite du Temple de la Littérature. Datant de 1070, il est construit selon le plan traditionnel avec une succession de cinq cours, toutes différentes et avec autant de symbolismes différents. Je reste perplexe quant au nom de ce temple, si ce n’est que ce fut la première université du Vietnam, et ce jusqu’en 1802, ceci expliquant vraisemblablement cela. Sinon, comme le montrent les dernières photos (à voir sous le lien), l’enseignement était placé sous la haute autorité de Confucius.

         La dernière photo représente une autre vue de l’hôtel du congrès.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Kongreso3?authuser=0&authkey=Gv1sRgCPDMx4yAwIuaxwE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Villages artisanaux.

7 Septembre 2012, 07:56am

Publié par Bernardoc

         Lundi matin fut la seule excursion que nous ne fîmes pas en compagnie de Ĝojo, mais avec une autre jeune étudiante qui apprenait l’esperanto depuis deux mois seulement. Comme le jour précédent, le guide nous prenait pour des Etatsuniens et il a fallu le mettre au pli.

         Nous quittons Ha noi, découvrant au passage les nombreuses constructions qui s’élèvent, longeons la voie ferrée bordée de très près par des habitations, découvrons le quartier des marchands de bois avant d’arriver au village de Chuong  ou l’on fabrique des chapeaux coniques. Nous en avions déjà acheté à Hué, puisque c’est ce qu’indiquent les guides. En fait de village typique, nous n’avons vu qu’une ferme dans laquelle ces chapeaux étaient fabriqués. Notre « helpantino » avait compris que les prix étaient de 25 000 ndongs, ce qui paraissait normal (nous avions payé le nôtre 30 000 chez un revendeur) ; en réalité c’était 55 000 : bien trop cher selon moi ! Il a failli y avoir embrouille, mais ce fut fort bien géré par cette jeune fille.

         Ensuite, le car n’ayant pas trouvé le moyen de faire demi-tour, nous avons eu tout loisir pour faire le tour de ce village dans lequel nous causions des embouteillages ! Un coiffeur fort occupé à dormir sur un des sièges du salon, le réparateur de motos (ru’a xe), le dentiste qui tient boutique, le fleuriste marchand d’objets funéraires, le vélo-portefaix, la voiture garée dans la boutique, le vendeur d’essence, de charbon furent quelques images que nous avons eu tout loisir d’emmagasiner.

         La destination suivante se trouvait plus proche de Ha noi : c’était le village Van Phuc, village de la soie. Là aussi nous n’avons vu qu’un atelier en fonctionnement, le reste étant des magasins. Nous avons donc dépensé des sous – il y avait le choix ! -, mais la Visa a refusé de fonctionner, ce qui nous a donc aidé dans notre marchandage. Mais avant cela nous, pardon JE, ai goûté de l’alcool dans lequel étaient conservés les vers à soie, c’est-à-dire les chenilles.

         En retournant vers le lieu du congrès, nous avons vu un immense panneau vert l’annonçant (derrière la ronde des drapeaux rouges).

         Nous avons terminé notre matinée au restaurant Sonata, qui avait fait l’effort de mettre un panneau en esperanto sur sa devanture et qui avait fait traduire ses menus.

         Les photos de cette matinée sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/VillagesArtisanaux?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNSovoDcl9PqPA&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Hanojo posttagmeze.

6 Septembre 2012, 09:30am

Publié par Bernardoc

         Après l’inauguration, nous nous étions inscrits pour une excursion d’une demi-journée, afin de découvrir Ha noi l’après-midi. C’est lors de cette première sortie que nous fîmes connaissance de Ĝojo, jeune étudiante en anglais et qui, au bout d’une seule année d’esperanto maîtrise déjà remarquablement la langue. Si elle continue sur cette voie, elle fera une espérantiste de haut niveau d’ici quelques années.

         En revanche, et c’était une des faiblesses du Vietnam par rapport à Cuba, il n’y avait pas de guide espérantiste. Tous ceux que nous aurons s’escrimaient à parler dans la langue majoritaire (pour le moment) des Etats-Unis d’Amérique (du nord). A chaque fois, il fallait mettre le holà et leur demander d’expliquer à Ĝojo dans leur langue, et notre accompagnatrice nous ferait la traduction universelle.

         Première visite : le musée ethnographique du Vietnam, en partie financé par la France et inauguré par Chirac en 1997, ce qui fait qu’il est possible de faire la visite en français. Musée très agréable, et qui aurait bien mérité une demi-heure de plus. Mais nous étions attendus pour une balade en cyclo-pousse dans les rues marchandes du vieil Ha noi. En chemin nous passons devant un des nombreux parkings à moto, que l’on quitte en se masquant. Nous voyons aussi une scène typique : le coiffeur installé sur le trottoir, et beaucoup sur le même trottoir, spécialisé dans ce genre de commerce.

         Ce fut une agréable balade, qui a donné lieu à plusieurs mini-films, et qui permettait de prendre suffisamment de photos : Legend beer, est le café où nous avions assisté à l’orage la veille, nous repassons devant le marchand chez qui Estelle avait acheté son sac à dos, nous découvrons un hôtel qui affiche l’étoile espérantiste, passons devant l’AJ (Auberge de Jeunesse) et le car nous entraîne ensuite devant Ga Ha noi qui, comme son nom l’indique, est la gare de Ha noi. Nous arrivons enfin vers un autre théâtre de marionnettes sur l’eau, qui fort heureusement n’est pas le même que la veille. Honnêtement, je dois dire que nous avons préféré le premier ; effet de surprise ? Mais ce dernier se laissait voir avec plaisir.

         Quelques photos de cet après-midi sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/HaNoiPm?authuser=0&authkey=Gv1sRgCOT8jZeY4ea9cA&feat=directlink

         La journée se termina par la nacia vespero au cours de laquelle nos amis vietnamiens nous ont présenté un spectacle de toute beauté, dont quelques films restitueront l’ambiance…un jour.

Et ce n’est pas fini…

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Solena inaùguro.

1 Septembre 2012, 08:53am

Publié par Bernardoc

         Comme toujours, l’ouverture solennelle se déroule dans la salle Zamenhof, celui qui a créé l’esperanto il y a maintenant 125 ans. Pour trouver une salle suffisamment grande pour accueillir les 800 et quelques congressistes, les organisateurs vietnamiens avaient choisi une salle de l’université des sciences et technologies. En nous y rendant en car, nous pouvons constater le long du chemin de nombreux kakemonos permettant de faire savoir à tous les habitants la présence du congrès.

         En arrivant, surprise : le tapis rouge nous attend. En fait, nous le verrons plus tard, de nombreuses « huiles » sont attendues, notamment la vice-présidente de la République, la maire-adjointe de Ha noi, l’ambassadeur d’Australie, plusieurs responsables des représentations diplomatiques, parmi lesquelles nous avons pu noter l’absence remarquée de la France : une honte pour notre pays ! La France du nord a proposé sa candidature pour l’organisation du 100ème congrès en 2015 : nos dirigeants en seront-ils autant absents ?

         Nous étions en avance, et nous avons donc pu assister à la répétition finale du ballet de bienvenue, dont je filmerai des passages plus tard.

         Puis les élus de l’association s’installèrent à la tribune, avec la vice-présidente. Et nous eûmes droit à la succession des discours traditionnels avec les remerciements attendus et le discours de bienvenue de la vice-présidente, qui s’est exprimée en vietnamien, mais dont le discours était sous-titré en esperanto. Vinrent ensuite la présentation du congrès, puis les salutations des représentants de chaque délégation, avant de terminer, debout, par La Espero, l’hymne écrit et composé par Zamenhof. 

         Les choses sérieuses pouvaient maintenant commencer.

         Quelques photos de cette séance inaugurale sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/SolenaMalfermo?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKKcrYr777C5jAE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…        

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