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Le blog de Bernard SARLANDIE

voyages

Big brother is watching me !

8 Février 2020, 11:11am

Publié par Bernardoc

C'est la deuxième fois que Google m'envoie un message : « Google maps timeline ». Qu'ès acquo ? C'est un résumé de tous mes déplacements du mois.

En janvier, j'ai donc marché pendant 9 heures sur une distance de 41 km. J'ai seulement fait une heure de vélo, soit 22km, et utilisé divers modes de transports qui m'ont permis de couvrir 1 100 km.

Google a repéré qu'à Paris j'étais allé au théâtre Montorgueil (photo d'icelui à l'appui, mais sans moi quand même !), que je m'étais rendu à Montreuil à la CGT, que j'avais visité le Buffalo grill de Mérignac, que je m'étais rendu à St Médard en Jalles et que j'avais dîné au Xaintrailles à Bordeaux.

Et je n'ai pas cherché plus loin : c'est juste ce qui est mis en avant par l'application espionne.

EFFRAYANT !

Et ce n'est pas fini...

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Humour.

2 Février 2020, 15:06pm

Publié par Bernardoc

Article tiré de 20minutes.fr

Au moins 20 personnes sont mortes piétinées samedi après-midi en Tanzanie dans une bousculade lors d’un service religieux évangélique en plein air dans le nord du pays, ont indiqué dimanche un responsable gouvernemental et des témoins. La bousculade s’est produite lorsque le prédicateur a versé de « l’huile sainte » sur le sol. Les fidèles se sont ensuite précipités pour la toucher dans l’espoir d’être guéris de leur maladie, ont déclaré des témoins.

« Jusqu’à présent, nous avons dénombré 20 morts mais le nombre pourrait augmenter car il y a eu des blessés », a déclaré Kippi Wariobia, commissaire de district de Moshi, dans le nord du pays, joint au téléphone depuis Nairobi. La foule rassemblée dans la ville de Moshi assistait à une cérémonie de prières dirigée par Boniface Mwamposa, qui se surnomme « l’apôtre » et dirige un mouvement évangélique appelé « Lève-toi et brille Tanzanie ».

« C’était horrible, les gens ont été piétinés sans merci », a déclaré un témoin, Peter Kilewo. « C’était comme si le prédicateur avait jeté des liasses de dollars » et « puis il y a eu tous ces morts… », a-t-il ajouté.

Et ce n'est pas fini...

 

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L’usage des trottinettes désormais encadré par le code de la route

26 Octobre 2019, 09:26am

Publié par Bernardoc

Cette « nouvelle catégorie de véhicule » devra rester sur les pistes cyclables.

Le code de la route a fixé que les « engins de déplacement personnel » ne pouvaient accueillir qu’un seul passager.

Les trottinettes sont maintenant des moyens de transport à part entière et soumises à ce titre à des règles. Vendredi 25 octobre, un décret a été publié au Journal officiel pour encadrer leur usage, ainsi que ceux des autres « engins de déplacement personnels » (EPDM) comme les gyroroues et les hoverboards.

Le texte, appelé à entrer en vigueur en partie dès samedi (une autre partie concernant les aspects technologiques entrera en vigueur le 1er juillet 2020), modifie le code de la route et s’adresse aux usagers, aux collectivités territoriales et aux forces de l’ordre.

Il vise à « définir les caractéristiques techniques et les conditions de circulation des engins de déplacement personnel », motorisés ou non motorisés, présentés comme de « nouvelles catégories de véhicules ».

  • Trottoirs interdits.

  • Un seul conducteur « âgé d’au moins douze ans ».

  • Vitesse limitée à 25 km/h.

  • Equipements obligatoires la nuit : soit un gilet de haute visibilité, soit un équipement rétro-réfléchissant.

  • Feux et freins obligatoires.

    Et ce n'est pas fini...

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Pollution de l'air : la France condamnée pour dépassement "systématique et persistant" des limites depuis 2010

24 Octobre 2019, 14:19pm

Publié par Bernardoc

Sur franceinfo.fr aujourd'hui.

Depuis 2010, le seuil limite de dioxyde d'azote a été régulièrement franchi. Ce gaz polluant issu des moteurs de voiture est pourtant responsable de 9 300 morts prématurées par an en France.

La justice européenne a estimé que la France a dépassé "de manière systématique et persistante" le seuil limite de dioxyde d'azote depuis 2010, gaz polluant issu des moteurs de voiture qui étouffe de nombreuses agglomérations, selon un jugement rendu jeudi 24 octobre.

La période de ce dépassement qui concerne douze agglomérations et zones de qualité de l'air françaises aurait dû être la plus courte possible.La Cour de justice de l'Union européenne dans son jugement

"Si le manquement est constaté par la Cour de justice, l'Etat membre concerné doit se conformer à l'arrêt dans les meilleurs délais", rappelle la CJUE. "Lorsque la Commission estime que l'Etat membre ne s'est pas conformé à l'arrêt, elle peut introduire un nouveau recours demandant des sanctions pécuniaires."

En mai 2018, la Commission européenne avait saisi la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) après plus d'une décennie de mises en garde. La France fait partie de plusieurs Etats membres, dont l'Allemagne et le Royaume-Uni, contre lesquels Bruxelles avait décidé d'agir face à un problème persistant dans l'UE.

Selon l'Agence européenne de l'environnement, la pollution aux particules fines est responsable de près de 400 000 décès prématurés par an, dont 35 000 en France. Pour le dioxyde d'azote, les morts prématurées sont estimées à 75 000 par an en Europe.

Surtout éviter toute référence aux cars macron !

Et ce n'est pas fini...

 

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Marrant.

14 Octobre 2019, 10:48am

Publié par Bernardoc

 LCI : Huit ans de cavale et 1000 signalements infructueux : toutes ces fois où Xavier Dupont de Ligonnès avaient été "repéré"

INSAISISSABLE - Depuis le début de sa cavale, en avril 2011, Xavier Dupont de Ligonnès a fait l'objet de près de 1000 signalements.. tous infructueux.

FIN DE CAVALE - C'est un signalement qui - selon les premiers éléments - aurait permis l'arrestation de Xavier Dupont de Ligonnès à l'aéroport de Glasgow vendredi. Il était en possession d'un faux passeport mais ses empreintes digitales l'ont confondu.

 

 Franceinfo : Arrestation de Xavier Dupont de Ligonnès : "Le suicide n'a jamais été dans son plan", assure le psychiatre et criminologue Pierre LAMOTHE.

"Quand on veut se suicider, on le fait sans aller enterrer les corps sous une terrasse avec de la chaux, ce qui représente un travail énorme et qui signe clairement qu'il va y avoir une fuite", analyse le Dr Lamothe.

 

A Rouen, tout va bien !

Et ce n'est pas fini...

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Information aux retraités qui utilisent la SNCF pour des voyages divers

10 Septembre 2019, 09:27am

Publié par Bernardoc

J'ai reçu ça et je vous en fait profiter car personnellement je n'en avais jamais entendu parler.

La SNCF a un service intitulé Accès plus pour aider les personnes à mobilité plus ou moins réduite à circuler dans les gares, à monter dans les wagons, à vous conduire à votre place, à porter votre bagage (15 kg maximum). A la descente ils peuvent vous conduire à une station de taxis existant dans les grandes gares

L'été dernier j'ai utilisé et apprécié ce service pour aller en Bretagne de Paris à Guingamp.

L'ensemble de ce service est gratuit (pour l'instant !)
Modalités très simples :

1 - Acheter son billet avec la réservation au moins 15 jours à l'avance
2 - Appeler par téléphone Accès plus au n°3635 #45 (ouvert de 7h à 22h - 7jours sur 7)

Ils vous demandent le numéro figurant sur le billet qui leur indique le n° du train donc le jour, l'heure, le numéro de la voiture et de la place
Ils s'informent aussi sur le degrés de mobilité (des chariots peuvent être utilisés)
3 - Environ 3 jours après vous recevrez le récapitulatif du voyage permettant de vérifier l'exactitude

Ce système permet de rester autonome sans avoir recours ou déranger un ami ou votre famille.

Et ce n'est pas fini...


 

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Mole game reserve.

21 Août 2019, 22:14pm

Publié par Bernardoc

Toujours dans la région du nord, pas très loin de Tamale, nous avons passé quelques jours avec Fanny et Daniel (le couple qui était programmé pour Mampong) dans cette réserve de faune sauvage qui est maintenant devenu un des parcs nationaux.

Le site était super, avec les habitations sur le haut d'un promontoire, qui dominaient un réservoir dans lequel les animaux pouvaient venir s'abreuver en toute sécurité.

Nous sommes partis dans un 4x4 avec un guide en quête d'animaux à photographier. Ce fut assez infructueux et le soir, surprise, une famille d'éléphants était juste sous nos fenêtres, et donc les téléobjectifs ont fonctionné. Mais cela était néanmoins moins impressionant que le troupeau d'éléphants qui a traversé la route devant notre 4L à un autre moment en Haute Volta. Là, on se sentait vraiment petits, mais ils ont fait comme si on n'existait pas, et il a mieux valu. Il faut maintenant que je remette la main sur ces photos.

Et ce n'est pas fini...

Mole game reserve.
Mole game reserve.
Mole game reserve.
Mole game reserve.
Mole game reserve.
Mole game reserve.
Mole game reserve.
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Mole game reserve.

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Deux anniversaires inoubliables !

20 Août 2019, 17:07pm

Publié par Marie-Jo, Marie-Claude

Les faits tels qu’ils se sont produits :

Ce lundi 19 août 2019, nous étions invitées par notre ami Bernard Sarlandie et sa famille à fêter son anniversaire sur le bâtiment de promenade fluviale le Burdigala II.

Une fois tous les convives installés dans la salle de réception du pont médian fermé du bateau, déjà installé pour le lunch, nous avons quitté le quai de Queyries quelques minutes après 12 heures. Notre ami Bernard a commencé à accueillir ses invités (environ 90 personnes), rappelant les circonstances de ses rencontres avec l’un ou l’autre. L’ambiance était joyeuse.

Nous trouvant assises à l’avant du bateau et habituées à naviguer, nous avons constaté qu’après avoir doublé de très près la balise de tribord rouge, le Burdigala avançait à vive allure, trop vive, le long des quais des Chartrons. Nous nous en sommes fait la remarque. Sans plus, mettant ce constat sur le compte de la force du courant du fleuve jointe à celle de la marée descendante. Quelques minutes plus tard, la présentation des invités étant encore en cours, nous avons constaté à voix haute (nos voisins immédiats l’ont entendu) que nous abordions bizarrement le pont Chaban-Delmas. Anormalement, le bâtiment dérivait vers la pile bâbord du pont et seul un vigoureux coup de barre pouvait éviter de la heurter…Ce qui n’a pas été le cas. Le bateau ne paraissait pas (plus) être manœuvrant. Seuls les passagers de l’avant étaient conscients de ce qui allait se passer. Inéluctablement, l’avant bâbord du Burdigala est venu heurter violemment la pile du pont. Ce premier choc s’est produit à 12h28 : il a provoqué de nombreuses chutes de matériels et de personnes et a été suivi d’un second choc, à l’arrière du bâtiment. Des hurlements de peur et de douleur s’en sont suivis, compte tenu de la violence de ces deux impacts successifs et rapprochés.

Nous avons alors constaté que le navire poursuivait sa route sans être manœuvré. Nous foncions à très vive allure à tribord vers les vieilles piles en béton du quai de Brazza. Le troisième choc que nous qualifierions d’abordage non maîtrisé s’est produit à 12h33 et a été d’une violence inouïe. Nous avons alors constaté que de nombreuses personnes étaient allongées, blessées et souffraient énormément. Après un amarrage de fortune, effectué par le commandant de bord seul, les passagers valides ont rejoint le pont supérieur, effarés et hébétés dans l’attente des secours.

Les pompiers sont arrivés très rapidement sur place.

Attitude de l’équipage :

Apparemment 4 personnes pour 90 passagers. Aucune consigne de sécurité avant le départ. Aucune consigne donnée par le commandant de bord pendant l’accident. Après les deux chocs sur la pile du pont et avant le troisième choc, un « aide marin » est venu nous demander de « monter sur le pont supérieur du bateau ». Cette consigne ne devait en aucun cas être exécutée compte tenu de l’imminence du troisième choc. Le bon sens aurait voulu que la seule consigne soit de tous s’allonger par terre. Heureusement, cette consigne de sécurisation est venue d’une passagère, ce qui a permis d’éviter de nouveaux accidents lors du troisième choc quai de Brazza. Pas un mot du commandant de bord avant, pendant et après l’accident. Seule l’agente d’accueil s’est excusée pour « cet incident »…

Compte-rendu de presse :

Le journal Sud-Ouest dans son édition du 20 août parle à tort d’un « accostage quai de Brazza » alors qu’il s’agit d’un abordage non maîtrisé, de plein fouet, et de front, contre des piles de béton armé… D’où un impact d’une extrême brutalité qui a entraîné la plupart des traumatismes et des blessures parmi les passagers.

Témoignage de Marie-José Cameleyre et Marie-Claude Bergouignan

Et ce n'est pas fini...

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Boateng.

7 Août 2019, 10:17am

Publié par Bernardoc

Un jour Lucy, la seule femme parmi les 4 Peace corps étatsuniens qui enseignaient à l'école, nous propose d'aller dans un petit village au nord de Mampong pour assister aux transes d'un sorcier. Nous étions vraiment au sein de l'Afrique profonde et nous devons nous éloigner du village pour trouver le lieu des « réjouissances ». Assez impressionnant la façon dont cet homme se laisse emporter au son des tambours, et, curieusement (?), lorsqu'il est en transe, c'est en anglais – incohérent – qu'il s'exprime et non dans sa langue maternelle, le twi. Et à la fin, il est tellement épuisé qu'il doit être soutenu par des spectateurs, qui étaient assez nombreux. Mais c'est quelque chose qui nous a frappés : la savane semble être déserte mais il suffit d'un événement pour que du monde surgisse de nulle part pour voir ce qu'il se passe.

A plus de 40 ans de distance, peut-être certaines photos ne sont-elles pas de ce village, mais nous avons croisé de multiples exemples de ces cimetières et surtout des tombes de chefs, toujours abrités sous leur parasol.

Comme vous avez pu le voir sur la photo du haut, nous avons emprunté avec notre 4L un sentier piétonnier. Mal nous en a pris, car au milieu se trouvait une souche cachée par les herbes et nous y avons laissé notre crémaillère de direction. Je ne me souviens plus comment nous avons rapatrié la voiture à Mampong, mais à l'agence Renault de Kumasi ils n'avaient pas la pièce de rechange. Je me suis donc tourné vers les mécaniciens locaux, les « fitters », qui faisaient des merveilles (un peu comme les Cubains qui maintiennent les vieilles Américaines depuis plus d'un demi-siècle). La réparation a tenu jusqu'à la vente de la voiture à l'Etat (condition pour être payé en devises) plus d'un an plus tard, mais nous avons eu une grosse frayeur cependant quelques mois après. Après quelques dizaines de kilomètres sur la tôle ondulée, au moment de rejoindre la sinueuse route goudronnée qui redescendait vers Mampong, le volant m'est resté entre les mains : les vibrations avaient complètement desserré la colonne de direction. Après, systématiquement, je vérifiais si l'écrou était bien serré.

Et ce n'est pas fini...

Boateng.
Boateng.
Boateng.
Boateng.
Boateng.
Boateng.
Boateng.
Boateng.
Boateng.
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Afrique.

5 Août 2019, 12:10pm

Publié par Bernardoc

Lorsque j'étais à l'école primaire, j'ai reçu comme prix un livre intitulé Légendes de la savane. Il était remarquablement illustré et je m'étais dit, du haut de mes 9 ans : « Quand tu seras grand, tu iras voir ça pour de vrai en Afrique ».

Les années passèrent, à 18 ans je fus convoqué à Tarascon pour mes « trois jours ». On me proposa les TAP (troupes aéroportées) et les EOR (élèves officiers de réserve). Je déclinais, bien entendu, il fallait que je termine mes études (j'étais en deuxième année de fac). Ma licence acquise, je fis une demande de résiliation conditionnelle de sursis pour partir en coopération ; pas de poste. Deux ans plus tard, fin du sursis, j'étais marié et prof stagiaire. Pour la troisième fois je visite une caserne (du côté de Nantes cette fois) ; toujours pareil : TAP ? Non ; EOR ? Non. Demande de poste de VSNA ; dans l'ordre : Afrique du nord, Afrique noire francophone, reste du monde. Vu l'énorme piston dont je disposais, je fus affecté dans le reste du monde, mais en Afrique noire anglophone, au Ghana, pays ceinturé par d'anciennes colonies françaises, la Côte d'ivoire, la Haute-Volta (maintenant Burkina faso) et le Togo.

Naïvement, je pensais que c'était grâce à mes études et à ma formation de PLP Lettres-anglais que j'étais affecté dans ce pays pour enseigner le français à des anglophones. Que nenni : il y avait des instits, des profs de français, d'italien,...Donc, le hasard ?

Je reçois mon passeport de service avec comme adresse mon affectation à Suhun, une école secondaire pas très loin d'Accra, où nous sommes conduits après la réception offerte par le centre culturel français et notre découverte des papayes (mais pourquoi donc ont-ils mis des lentilles dans le melon ? fut la question qui me vint d'abord à l'esprit avant d'avoir goûté ce fruit exotique). A notre arrivée, douche froide, on n'avait pas besoin de nous, l'ambassade avait été prévenue, soi-disant...Retour à l'hôtel.

Le surlendemain, nous allons dans la région de la Volta, frontalière du Togo, où nous sommes accueillis à bras ouverts et où l'on nous propose une maison neuve. Nous étions ravis, mais le collègue qui nous accompagnait nous a dit que sans eau (la seule alimentation était deux fûts sur le toit) nous aurions beaucoup de mal. Encore deux jours et nous voilà affectés à Mampong-Ashanti où le poste double avait été transformé en poste simple et les collègues prévus, qui avaient pris contact avec les prédécesseurs, étaient réaffectés ailleurs.

Donc, en fonction de l'actualité, par petits bouts, je vais vous faire revivre, avec les photos d'époque, nos deux ans de vie africaine, comme je l'avais annoncé lors de l'enlèvement de deux touristes au Bénin en début d'année.

Et ce n'est pas fini...

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