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Le blog de Bernard SARLANDIE

voyages

Lefkada.

27 Octobre 2012, 06:43am

Publié par Bernardoc

         C’est la seule île marine que nous avons visitée lors de notre voyage, sans prendre le bateau car, à l’instar de Ré ou Oléron, elle est reliée au continent par un pont. Mais juste avant de traverser nous nous arrêtons au bord d’une plage, que nous avions pratiquement pour nous tout seuls, pour profiter d’un agréable bain automnal en méditerranée, ou plutôt en mer ionienne.

         Lorsque nous traversons le port de Lefkada, à voir les bateaux dans le port, on se dit que, décidément, en Grèce, la « crise » n’est pas pour tout le monde. Puis nous gravissons par des routes étroites et sinueuses les collines couvertes d’oliviers pour arriver au petit village de Karya où nous déjeunons, en plein air, abrités par d’imposants platanes. Nous avons un moment d’hésitation lorsqu’on nous apporte le plat sur la table, à charge pour nous de le découper ; mais nous l’avons néanmoins apprécié.

         Après quelques déambulations et achats dans les rues du village, il était temps de retrouver notre autocar pour amorcer notre descente. Nous ferons une brève halte sur le port, histoire d’acheter quelques cartes postales. Puis nous longeons à nouveau les murs de la citadelle Sainte Maure, construite par les Vénitiens vers 1 300, avant de retrouver notre hôtel pour la dernière nuit que nous passerons en Grèce.

         Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Lefkada?authuser=0&authkey=Gv1sRgCI39meiZ4qjrpQE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Autour de Préveza.

24 Octobre 2012, 00:38am

Publié par Bernardoc

         Nous quittons notre hôtel sans avoir pu profiter de la piscine (faute de temps) et nous nous rendons six kilomètres au nord, sur le premier site occupé par les romano-byzantins : Nicopolis d’Epire, que ses habitants ont plus tard abandonné pour fonder Préveza.

         Comme les autres sites visités, celui-ci ne déroge pas à la règle et des travaux étaient en cours pour sa maintenance. Et ça le mérite car certaines parties sont remarquablement bien conservées malgré les siècles. L’Union européenne l’a d’ailleurs primé, même si l’urgence actuelle pour les Grecs se porte sur des besoins plus vitaux. Ces constructions, qui mêlent rangées de briques et élévations de pierres, ne sont pas sans me rappeler certains aspects de l’architecture que l’on trouve en Lot-et-Garonne. Les sols en mosaïque qui ont été révélés sont maintenant protégés et entretenus, témoignages révélateurs des croyances antiques. L’épaisseur de certaines fortifications indique que cet ancien port devait bien se protéger contre les envahisseurs.

         Puis nous nous dirigeons vers le site de Kassopé, d’où nous apercevons les gigantesques statues rendant hommage à ces femmes qui ont préféré se jeter en dansant de la falaise, plutôt que de succomber aux envahisseurs. C’est sur une autre falaise que Kassopé  fut construite en damier. Mais l’effondrement de cette falaise a provoqué la disparition d’une grande partie de cette cité. Ici aussi, le site est magnifique : les anciens ne s’installaient pas n’importe où, et l’on peut remarquer les différents bâtiments qui participaient à la vie urbaine : agora, « parlement », auberge,…Les rues, tracées au cordeau, abritent un système d’égouts bien préservé. Nous remarquons également la façon dont les pierres sont taillées de façon à bien s’encastrer et de rester solidement unies même sans ciment.

         Notre journée allait se poursuivre sur l’île de Leucade. En attendant, les photos de cette matinée sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/NicopolisEtKassope?authuser=0&authkey=Gv1sRgCODMz-WozMfLYg&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Parga.

23 Octobre 2012, 07:33am

Publié par Bernardoc

         Ultime étape avant d’arriver à Préveza : la station balnéaire de Parga, qui m’est apparu comme une sorte de St Tropez local, avec quand même un peu de monde en cette arrière-saison.

         Mais d’abord, trois quarts d’heure après avoir quitté Igoumenitsa, arrêt au bord de la route, malheureusement à un endroit éloigné de la mer : un des voyageurs avait oublié ses papiers à l’hôtel et nous avons donc dû attendre le taxi qui les lui apportait.

         Arrivée au bord d’une plage tentante, on se serait vraiment cru sur la Côte d’azur, mais ce n’est pas là que le bain était prévu. Après quelques emplettes nous décidons donc de monter à l’assaut de la colline à travers les petites rues pittoresques et juste assez larges pour des scooters. Efforts récompensés par la découverte d’un superbe paysage que nous admirons en longeant le chemin des douaniers ( ?). Quel plaisir d’avoir retrouvé le soleil, son absence aurait gâché notre promenade. En redescendant nous jetons un œil à l’intérieur d’une église, très sobre : on aurait presque pu se croire chez les protestants ; pourtant l’iconostase témoignait bien de son orthodoxie.

         Nous longeons ensuite une plaine côtière qui ressemble à une tourbière, alors qu’il s’agit probablement d’un marécage.

         Nous arrivons enfin à notre hôtel, le Margarona, le seul dans lequel nous allions rester deux nuits. Certains décident d’aller dans une taverne voisine, d’autres n’ont pas faim, un autre groupe choisit de tester la nourriture du restaurant de l’hôtel. Ils ont bien mangé, mais au moment de payer c’était du niveau de L’addition, le sketch de Muriel ROBIN.

         Des photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Parga?authuser=0&authkey=Gv1sRgCJ2_77yEjY7sKw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…  

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Dodone.

22 Octobre 2012, 09:25am

Publié par Bernardoc

         En route pour Préveza, nous nous arrêtons sur le site de Dodone, sanctuaire d’abord dédié à Zeus, puis siège d’une basilique chrétienne. Etonnant que les popes n’y aient pas fait construire de monastère puisque le lieu semblait propice à la proximité divine. Nous avons définitivement retrouvé le soleil qui ne nous quittera plus jusqu’à la fin du voyage.

         Le site qui nous accueille est gigantesque, et ce qui nous frappe en arrivant est l’immense amphithéâtre, relativement bien conservé et qu’on est en train de réhabiliter. Peut-être, d’ici quelques années, des voix d’acteurs ou de chanteurs y résonneront-elles à nouveau ? En effet, contrairement à ce qui semble se passer en Italie, où le site de Pompéi notamment est en train de se dégrader à toute allure, partout où nous sommes passés visiter des ruines, fort nombreuses en Grèce ! des travaux de conservation s’y déroulaient, apparemment la plupart du temps en lien avec les facultés d’archéologie. Il est bon que malgré ce que la finance européenne fait subir à leur pays, la protection du patrimoine n’ait pas été abandonnée.

         Zeus, Dionée, Héraclès, Aphrodite, avaient chacun leur temple dédié sur ce lieu. Et c’est sous le chêne sacré- il existe toujours, mais c’en est un autre -, que les prêtre(sse)s interprétaient la parole divine par l’intermédiaire du vent dans les feuilles : c’était l’oracle au sens premier.

         Nous poursuivons ensuite, par l’autoroute, notre chemin jusqu’à Igoumenitsa, port en pleine expansion depuis l’ouverture de cette autoroute, car débarcadère des ferries venant d’Italie. Nous revoyons donc la mer, mais ne ferons qu’une halte-déjeuner dans cette ville.

         Photos de Dodone :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Dodone?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKSZvMCdg_aYhQE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Fin de visite à Ioannina.

21 Octobre 2012, 21:55pm

Publié par Bernardoc

         De bon matin, après avoir chargé nos bagages dans le car, nous descendons à pied à travers les rues tranquilles jusqu’à l’embarcadère puisque nous allions prendre le bateau jusqu’à une île, au nom original de « l’île du lac » ! Le but avoué était de visiter le monastère de Filanthropinon, monastère du XIII° siècle mais déserté actuellement et gardé par une vieille dont il faut vérifier si elle est toujours vivante avant d’entamer la visite.

         Très courte traversée sur des eaux vertes (très !) et sous un ciel encore gris jusqu’à un village protégé du fait de son insularité, mais apparemment ravi et équipé pour accueillir les touristes. Les fresques post-byzantines du monastère resteront dans nos mémoires visuelles car il était interdit de prendre des photos et une lampe électrique était nécessaire pour en voir les détails.

         En sortant du monastère nous parcourons les rue du village : c’est fou ce qu’on trouve comme katanas dans les boutiques grecques (et pas que là), objet typiquement grec s’il en est ! Nous croisons l’église du village et nous y pénétrons : elle semblait à peine assez grande pour contenir toutes les richesses que les paroissiens avaient voulu y entasser pour se faire bien voir par le pope dieu. 

         Retour sur le « continent », sous un ciel qui commence à ressembler davantage à un ciel grec, avec pour but la visite de la citadelle et de la mosquée qui entourent la tombe d’Ali Pacha. Superbe endroit d’où l’histoire transpire de chaque pierre, belle mosquée transformée en musée qui mêle en son sein des témoignages des trois religions monothéistes, et beau point de vue sur le lac et les environs.

         Et c’est sous le soleil que nous quittons Ioannina pour nous diriger vers la côte occidentale de la Grèce.

         Les photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/IoaninaFin?authuser=0&authkey=Gv1sRgCP6K9vP77-GtPg&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Les ponts de Zagori.

20 Octobre 2012, 09:01am

Publié par Bernardoc

         Petit détour en quittant Monodendri dans un paysage toujours aussi grandiose, pour découvrir ces merveilles architecturales vieilles de trois siècles, qu’on ne peut qu’admirer…Avant le retour à l’hôtel et le lien renoué avec le monde grâce à internet !

         Les photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/LesPonts?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIf9lofAqZLP8AE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Les gorges de Vikos.

19 Octobre 2012, 08:03am

Publié par Bernardoc

         Ce fut notre promenade digestive après le déjeuner chez Dionysos. Quelques-uns décidèrent de rester à la taverne, d’autres s’arrêtèrent en chemin. Mais pour ceux qui sont allés au bout, cela en valait vraiment la peine.

         En quittant la rue principale, nous passons devant une (ancienne ?) école primaire, plusieurs églises et la place du village, ou plutôt d’un quartier. Nous choisissons alors le chemin qui va vers les gorges, qui figurent sur le livre Guinness des records grâce à leur profondeur et leur largeur au sommet.

         Le chemin était magnifique, les couleurs de l’automne donnant une parure chatoyante à tous les feuillus qui le bordaient. Nous arrivons à un autre hameau, blotti autour d’une chapelle surplombant les gorges, que nous devons traverser pour avoir une vue encore meilleure. Sur ce chemin étroit, parfois glissant, nous croisons un groupe de franco-grecs qui apparemment jonglaient naturellement d’une langue à l’autre.

         Profondeur impressionnante, et nous n’irons pas plus loin que la limite fixée par Andreas qui tenait à ramener la totalité de son groupe !

         Retour à Monodentri avant de voir sur la route du retour vers Ioannina quelques curiosités du pays des Zagoris.

La suite au prochain numéro, mais en attendant quelques photos de ce site et de cette balade sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Vikos?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLH7yq6c_sGaSg&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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De Kalambaka à Ioannina.

18 Octobre 2012, 11:59am

Publié par Bernardoc

         Dimanche matin, personne n’était en retard pour embarquer vers notre voyage-découverte de l’Epire. Chacun avait le cœur serré : nous aurions tellement voulu communiquer avec nos hôtes, et c’était tellement difficile à cause du problème de langues. Quelle différence avec Ha noi quelques semaines plus tôt, où les 800 congressistes venant de 60 pays différents pouvaient avoir toutes sortes de discussions sans interprète, grâce à l’esperanto.

         Quelques dizaines de minutes plus tard, après avoir franchi des cols auxquels nous menaient des routes étroites et sinueuses, nous arrivions au village de Metsovo, à la sortie de la messe. Nous avons pu y croiser des gens endimanchés, et notamment quelques femmes en habit traditionnel. Nous profitons de notre halte dans cette station de sports d’hiver pour faire quelques emplettes, y compris un fromage fumé qui ressemble à un saucisson, et que nous venons de finir la semaine dernière.

         C’est par l’autoroute que nous arrivons à Ioannina et commençons par visiter la citadelle, le « Kastro » (KAƩTPO). Passé la porte de la muraille, nous sommes accompagnés par un chien qui nous protège et en empêche un autre de nous ennuyer. Dans ce vaste espace, sur lequel se dresse une mosquée désaffectée, vestige témoin de l’occupation byzantine, nous visitons le musée, remarquable pour sa collection de peintures inspirées de diverses écoles, dont l’italienne. Nous redécouvrons la grande culture de notre guide Andreas qui arrive à nous passionner sur un sujet que sans doute la majorité d’entre nous ne privilégie pas en temps ordinaire. De ce Kastro nous avons une belle vue sur le lac de Ioannina sur lequel nous voguerons le lendemain.

         Nous repartons vers le nord et la frontière albanaise, le pays des Zagoris, jusqu’au village de Monodendri, dont la taverne Dionysos nous accueillera pour le déjeuner.

         Les photos de cette matinée sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/DeKalambakaAIoanina?authuser=0&authkey=Gv1sRgCILW28uxiZHtgAE&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Découverte de la Thessalie.

17 Octobre 2012, 07:17am

Publié par Bernardoc

         Nos jumeaux avaient organisé une visite au sud de Kalambaka, autour du lac artificiel de Plastira. Il n’y avait pas une place de libre dans le car, nos hôtes, s’ils étaient libres, étant bien entendu du voyage.

         Mais le matin, avant de nous embarquer nous sommes passés déposer nos valises chez Ilias et Cryssa, ce qui semblait contenter tout le monde et permettait à Grigorio et Eleni de se rendre à Athènes pour le baptême de leur petite fille.

         Nous prenons la route de Trikala et poursuivons encore plus au sud, jusqu’à ce que nous atteignions les gorges de la rivière Tavropos sur laquelle se dresse le barrage qui porte le nom de son initiateur, le général Nikolaos PLASTIRA, qui en eût l’idée dès 1925. Mais il fallut que le projet mûrisse, puisque la construction effective date de 1959.

         Surprise lorsque nous arrivons sur le barrage : nous devons descendre du car, la route étant trop étroite et fragile pour un véhicule en pleine charge. Et bien entendu, c’est ce moment que choisit le temps pour faire des siennes et je ne vous dis pas le nombre de parapluies retournés le temps de cette traversée !

         Ensuite, ce fut une succession de paysages magnifiques qui n’avaient rien à voir avec l’image qu’on se fait traditionnellement de la Grèce ; cela se rapprochait plutôt des paysages nordiques découpés par les eaux, et en plus avec un ciel similaire.

         Une halte était prévue dans un chai, mais nous nous sommes trompés de route et Georges, notre chauffeur s’est livré à des manœuvres très délicates : c’était décidément un as de la marche arrière !

         Après la cave, déjeuner dans un restaurant géré par une municipalité, puis retour en face de la gare de Kalambaka, où nous allions passer notre dernière nuit.

         Un saut chez Stefanos et Manuela et il était temps d’aller partager le dernier repas, agrémenté de danses grecques que chacun pouvait partager s’il en avait envie. On devrait mettre gigues ou bourrées au programme pour leur prochaine visite !

         Quelques photos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/LExcursion?authuser=0&authkey=Gv1sRgCP2Z6rbsyPzNOw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Première journée à Kalambaka.

16 Octobre 2012, 19:38pm

Publié par Bernardoc

         Sous un ciel peu clément, nous partîmes ce matin-là vers une grotte récemment ouverte au public, et dans laquelle des restes humains attestent de l’occupation des lieux aux temps préhistoriques. Les outils des « fouilleurs », les échelles, les ossements retrouvés laissent présager de nouvelles découvertes qui seront probablement mises à jour lors de notre prochaine visite.

De là nous nous dirigeâmes vers les Météores, avec comme objectif la visite du monastère de St Stéphane, un monastère réservé aux femmes. L’habillage était censé être très strict (un peu comme pour le mausolée de Ho Chi Minh à Ha noi – comparaison qui ne va sûrement pas plaire à tout le monde), mais j’ai été étonné de remarquer qu’il semblait y avoir du « laisser-aller » par rapport à notre première visite à la toussaint 2004. Ce sont des nonnes chrétiennes orthodoxes, et la façon dont elles sont voilées montre que, quelle que soit la religion, les femmes ne sont décidément pas à la fête. Mais du haut de ce rocher, nous avions une superbe vue sur Kalambaka et la plaine alentour.

Le soir, Grigori nous proposa de retourner faire le tour des autres monastères ; nous pûmes alors remarquer nombre de câbles de téléphériques, qui ont vocation à remplacer les filets remontés par les treuils jusqu’aux monastères.

Le soir, c’était la fête patronale, célébrée en grande pompe avec une multitude de barbus en noir. Grâce au mauvais temps, il nous fut épargné la procession dans les rues de la ville derrière quatre évêques et au moins dix fois plus de popes ! Dieu devait être avec nous !

Nous rejoignîmes donc une taverne pour le dîner, point d’orgue du jumelage, qui en fait se borne à un échange de vins français contre vins grecs, échange de médailles et de discours, mais de projets communs et collectifs, point. Une chose positive quand même : nos jumeaux étaient contents de nous voir ; en ces temps où l’Europe multiplie les tentatives de mettre ce peuple à genoux en lui imposant toute une succession de plans d’austérité (encouragée par le TSCG que viennent de signer nos représentants), notre visite leur a prouvé que nous ne les abandonnions pas et que notre soutien était réel.

La dernière photo de l’album me montre serrant la main du président du conseil municipal ; j’appris plus tard qu’il militait à Syriza.

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/Vendredi14912?authuser=0&authkey=Gv1sRgCJGf3a3J54rYGw&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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