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Le blog de Bernard SARLANDIE

voyages

Réouverture du mobile-home.

18 Avril 2017, 07:48am

Publié par Bernardoc

Nous avions choisi le week-end de Pâques, avec Maeva, pour venir remettre en route notre « résidence secondaire ». Il faisait beaucoup moins chaud que la fin de semaine précédente. Dommage !

Changement dès l'entrée : les nouveaux badges sont faits en direct avec prise de photo pour tout le monde.

Tandis que Rose s'occupait de l'intérieur, avec Maeva nous nous sommes occupés du « jardin ». Maeva s'est chargée de ramasser toutes les pignes qui jonchaient le sol, tandis que, dans un premier temps j'évacuais toutes les branches accumulées suite aux coups de vent de l'hiver. Ensuite, ce fut l'usage du râteau pour débarrasser le sol de toutes les aiguilles de pin qui le tapissaient. Et ce fut suffisant pour notre première après-midi, après un repas à La boîte à sardines, toujours aussi bon et avec un accueil toujours aussi chaleureux. Avant nous nous étions arrêtés à la boulangerie où nous avons pu constater que le « médocain » avait subi une augmentation de 20% ; le prix des noix de cajou a flambé paraît-il.

En sortant du restau, nous tombons sur une affiche annonçant une représentation théâtrale pour le soir. Soirée conviviale dans une salle comble ; si l'on pouvait avoir au moins la moitié du nombre de spectateurs le 25 juin, nous serions heureux.

Nous n'avons pas eu froid la nuit et c'est le matin que j'ai passé la tondeuse. Le résultat n'est pas mal comme vous pouvez le voir sur la photo.

L'après-midi, nous sommes partis à pied vers la plage, mais nous avons vite fait demi-tour pour venir nous habiller : si le soleil était chaud, le vent était très froid.

Au retour nous avons découvert l'occupation traditionnelle du dimanche de Pâques : la brocante, qui occupait toute la place centrale.

Nous avons quand même bien profité de ces deux jours complets, car avec toutes les obligations dominicales d'ici fin juin, nous n'aurons pas l'occasion d'y revenir beaucoup.

Et ce n'est pas fini...

Réouverture du mobile-home.
Réouverture du mobile-home.
Réouverture du mobile-home.
Réouverture du mobile-home.
Réouverture du mobile-home.
Réouverture du mobile-home.
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Catacombes.

21 Mars 2017, 12:57pm

Publié par Bernardoc

Assez effrayante cette entrée, non ? Et ça me rappelle un peu quelque chose. J'avais déjà essayé de les visiter il y a quelques années, mais j'avais dû renoncer vu la queue impressionnante qui s'étirait devant la porte. Mercredi dernier je me pointe à Denfert Rochereau une demi-heure avant l'ouverture et il y avait déjà plusieurs dizaines de personnes devant moi, mais j'ai quand même tenté le coup (j'avais de la lecture pour attendre le début de la visite).

Comme dans tous les musées parisiens, il n'y a pas de réduction pour les vieux, et après m'être acquitté du droit d'entrée, j'entamai ma descente vers le sous-sol parisien. Un avertissement : si vous êtes claustrophobe, surtout ne tentez pas l'expérience.

Un peu d'histoire (tiré du guide de visite) : «L'ossuaire est créé à la fin du XVIII° siècle dans des carrières souterraines désaffectées datant du XV° siècle, au lieu-dit Tombe-Issoire. Les premiers ossements transférés proviennent du cimetière des Saints-Innocents, aux Halles, alors le plus important de Paris. Celui-ci ferme en 1780, à la demande de la municipalité, pour des raisons de salubrité publique».

Plus récemment, les catacombes furent utilisées par la Résistance, sous la direction du colonel Rol-Tanguy pour préparer la libération de Paris.

Impressionnants, ces crânes alternant avec des os longs et parfaitement rangés dans quantité de niches, parfois agrémentées de citation, bibliques ou autres. Je n'ai pas la réponse concernant les plaques en italien.

Et au bout d'un kilomètre et demi, le même nombre de marches nous ramène à la surface, tout prêt d'Alésia.

Et ce n'est pas fini...

Catacombes.Catacombes.
Catacombes.
Catacombes.
Catacombes.
Catacombes.
Catacombes.
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Catacombes.
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Même les meilleures choses ont une fin.

27 Octobre 2016, 12:15pm

Publié par Bernardoc

Ce fut vraiment une belle semaine ; tous ceux qui y ont participé étaient ravis. Reste à trouver la destination de notre prochaine découverte.

Et je vais conclure par une citation (en anglais !) d'un ancien premier ministre britannique (deux fois) du XIX° siècle, Benjamin DISRAELI :

« Like all great travellers, I have seen more than I remember, and remember more than I have seen. »

Et ce n'est pas fini...

Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
Même les meilleures choses ont une fin.
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Braga.

26 Octobre 2016, 11:06am

Publié par Bernardoc

Capitale historique, économique, universitaire et religieuse du Minho (province du nord du Portugal), on l'appelle la Rome portugaise, vu le nombre d'églises qui s'y dressent. Rappelez-vous : « Quand Lisbonne s'amuse, Coimbra étudie, Porto travaille et Braga prie ». Mais la courte visite que nous y fîmes nous épargna d'entrer dans ces lieux de culte, d'autant que c'était payant. Nous avons arpenté le centre historique piétonnier, traversant l'Arc de la Nouvelle Porte jusqu'à la Praça da República, la place de l'hôtel de ville et les jardins de Santa Bárbara, qui effectivement sont somptueux.

Le beau temps nous a incités à prendre un café en terrasse pour profiter de cette dernière après-midi lusitanienne.

Mais comme un bon dessin vaut mieux qu'un long discours, il en est de même pour les photos, derrière lesquelles je vais m'effacer.

Quant à notre dernière soirée sur le bateau, ce fut une soirée folklorique fort agréable et appréciée. Peut-être un jour si j'y arrive, je posterai quelques vidéos.

Et ce n'est pas fini...

Braga.
Braga.
Braga.
Braga.
Braga.
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Guimãraes.

25 Octobre 2016, 07:10am

Publié par Bernardoc

Notre première escale de l'après-midi dans le Minho a été capitale européenne de la culture en 2012. La visite se fit à pied, depuis la colline où nous avait déposés l'autocar. C'est là que se dresse le château massif qui domine la ville fortifiée, château qui vit naître le premier roi du Portugal. Aujourd'hui elle compte plus de 150 000 habitants, mais nous n'avons vu que la partie historique, qui parfois, vu l'abondance du grès utilisé, nous a parfois fait penser à certains villages bretons.

Comme vous pouvez le constater sur une photo, le voyage tirait à sa fin et des voyageurs avaient vraiment besoin de récupérer !

Nous avons visité (à la course, car nous avions fort peu de temps) le château, découvert les collections d'armes anciennes et avons entamé notre descente par des petites ruelles et des places sympa et animées, entourées d'anciennes maisons (là, j'ai pensé à Rennes). Mais nous étions quand même fort loin de la Bretagne comme le montrent les constructions baroques qui jalonnaient notre parcours. C'est tout cet ensemble qui l'a fait classer il y a quinze ans au patrimoine mondial de l'humanité.

Après ces deux petites heures de visite et un dernier regard sur ce qu'il restait de la muraille originelle, nous nous dirigeons vers Braga, à travers le vignoble du vino verde, dont la configuration n'a rien à voir avec le vignoble de la vallée du Douro qui produit le porto.

Donc, encore un article (au moins!) et des photos pour cette dernière ville.

Et ce n'est pas fini...

Guimãraes.
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Porto dernière matinée.

24 Octobre 2016, 15:21pm

Publié par Bernardoc

 Nous quittons le quai de Quebrantões en « rabelo », bateau qui rappellent un peu nos gabarres et qui servaient à l'origine à transporter des barriques. Après un quart d'heure de navigation, nous arrivons au quai de Ribeira, sur la rive opposée. Nous étions libres jusqu'à 11h30. Nous choisissons d'utiliser le tramway pour aller jusqu'à l'embouchure du fleuve, car l'arrivée de nuit en bateau ne nous avait pas permis d'apprécier le paysage. Nous nous rendons donc au terminus de la ligne 1, au pied de l'église Sao Francisco, visitée lors de notre arrivée.

Je ne sais pas si le tramway est aussi classé au patrimoine mondial de l'Unesco, mais sans aucun doute il le mériterait. Passant au ras des maisons, s'arrêtant et klaxonnant lorsque des voitures sont stationnées à cheval sur les rails, il ne fait pas demi-tour arrivé au bout : c'est le conducteur qui descend pour orienter la perche électrique dans l'autre sens, puis il change l'orientation des dossiers de sièges avant de repartir sur la même voie en sens inverse. Il y a un (deux?) passages où les trams peuvent se croiser.

Nous arrivons au terminus et marchons le long de la jetée occupée par de nombreux pêcheurs et un bon nombre de coureurs (du dimanche?). La végétation sur la pointe est quasi subtropicale, nous nous sentons vraiment très dépaysés d'autant que la brume du matin a laissé place à un soleil éclatant.

Nous nous sommes mis sur la pointe des pieds mais n'avons pas réussi à apercevoir l'Amérique. Nous étions tellement bien que nous avons failli laisser repartir le tram sans nous. Vraiment une expérience à ne pas manquer.

Et ce n'est pas fini...

Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
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Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.
Porto dernière matinée.

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Retour à Porto.

20 Octobre 2016, 08:49am

Publié par Bernardoc

Dernière demi journée de navigation, avec passage de deux écluses : Carrapatelo et Crestuma, avec invitation à visiter la cabine de pilotage (sans barre!), et pour finir soirée fado, que j'ai bien mieux apprécié que la soirée flamenco au retour de Salamanque.

Mais il y aura encore des photos de Porto dans les jours à venir.

Et ce n'est pas fini...

Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
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Retour à Porto.
Retour à Porto.
Retour à Porto.
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Lamego.

19 Octobre 2016, 07:23am

Publié par Bernardoc

Originalité du jour : une demi-heure de navigation au moment du petit-déjeuner, qui nous amène jusqu'à Tavora, où nous retrouvons notre moyen de transport terrestre qui nous conduira jusqu'à la ville historique de Lamego, célèbre, entre autres, par son fameux Santuário Nossa Senhora dos Remédios. Les pèlerins grimpent les 688 marches, parfois sur les genoux. Mais nous, en bons touristes (mécréants?) nous nous sommes contentés de les redescendre : c'est le car qui nous avait déposés sur le parvis. De style baroque, l'église domine donc la ville ; malheureusement, les photos n'étaient pas autorisées à l'intérieur. Revivez donc avec nous la descente, pas trop fatigante, vers le cœur de bourg avec la Sé (cathédrale), construite entre le XIII° et le XVI° siècles. Deux statues se font face de part et d'autre de la nef : Fatima et Bernadette. Après temps libre, ça permet toujours aux guides de souffler un peu et aux touristes de vaquer individuellement. Nous choisirons le musée, qui d'après Le Routard est le lieu le plus intéressant de la ville. Une exposition temporaire « Faces » nous accueille, puis nous passons aux collections permanentes, avec notamment de grandes tapisseries, des statues de vierges enceintes du XIV° siècle (après ce fut interdit par l’Église de les représenter ainsi, comme allaitant), et, non pas à l'extérieur, mais bien à l'intérieur : des azulejos !

Bref, une ville qui mérite le détour.

Et ce n'est pas fini...

Lamego.
Lamego.
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La gare de Pinhão.

18 Octobre 2016, 14:02pm

Publié par Bernardoc

Vous avez vu plus haut un reportage sur la gare de São Bento à Porto, avec les azulejos qui retraçaient les grands faits de l'histoire du Portugal. La gare de Pinhão, à 2h30 de São Bento, est beaucoup plus modeste, mais tout aussi décorée, avec le thème de la vie à la campagne. Pour ceux qui n'auront pas eu comme nous la chance de faire une croisière, la voie de chemin de fer longe le fleuve pendant très longtemps. Ce doit sûrement être un beau voyage en train, ou une excursion à la journée.

Mais jugez plutôt en regardant les photos.

Et ce n'est pas fini...

 

La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
La gare de Pinhão.
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La gare de Pinhão.
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La gare de Pinhão.
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La gare de Pinhão.
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La gare de Pinhão.
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La route des vins.

16 Octobre 2016, 13:35pm

Publié par Bernardoc

C'est le premier jour où l'excursion se déroule l'après-midi, après avoir navigué le matin de Barca d'Alva jusqu'à Ferradosa. Nous grimpons donc le long de routes sinueuses jusqu'à un belvédère, São Salvador do Mundo, lieu de pèlerinage où sept petites chapelles, visibles uniquement de l'extérieur, jalonnent un parcours au milieu d'une végétation « méditerranéenne », et d'où nous surplombons la vallée de « notre » fleuve et l'écluse de Valeira.

De là nous poursuivons jusqu'au petit village de São João da Pesqueira (Virginia francisait son nom, mais c'est suffisamment transparent pour que je vous laisse le soin de le faire vous-même) où nous attendait des commerçants sur la place de la République, avec les production typiques lusitaniennes : le linge brodé et les objets en liège, qui ont vu une remarquable extension depuis 2011, au moment où la troïka essayait de mettre le pays à genoux. De belles images, notamment une empreinte stylisée de pied d'éléphant, souvenir d'une ancienne histoire locale.

Il était temps de redescendre vers la vallée, au milieu du vignoble, remarquable par l'implantation des ceps, le long des courbes de niveau, et non pas perpendiculaires à celles-ci comme dans la plupart des terroirs chez nous. Et en chemin, nous nous arrêtons pour notre deuxième visite dégustation de porto, à la Quinta do Tedo, rachetée depuis quelques années par un viticulteur bourguignon. Cette visite était différente de celle de chez Ferreira : ici nous étions tout près du traitement du raisin après la vendange, et non dans les chais de vieillissement.

C'était maintenant l'heure de retourner vers notre bateau, qui nous attendait à Pinhão. Mais avant de rembarquer, nous avons passé un moment dans la gare de cette ville, dont vous verrez le reportage photo après-demain.

Et ce n'est pas fini...

 

La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
La route des vins.
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