Vous l’avez compris, c’est un concert spécial auquel vous allez assister, et peut-être participer.
D’abord, une courte œuvre finlandaise. Il y a un compositeur qui vient à l’esprit lorsqu’on parle de Finlande : c’est Jean SIBELIUS, qui est mort en 1957 à 92 ans. L’extrait que nous allons vous proposer date de 1899 et est extrait de Finlandia, l’hymne officieux de son pays. Les paroles françaises ont été écrites par un poète ch’ti, décédé en 1997 : Jean DAUBY. Voici : Prière.
Et maintenant une œuvre qui comporte plusieurs mouvements : un Stabat mater, c’est-à-dire un poème catholique datant du XIII° siècle. Cependant cette version a été adaptée et composée en 2008 par un compositeur gallois Karl JENKINS, né en 1944, ennobli par la reine, et on doit donc parler de Sir Karl. C’est un compositeur très prolixe, puisque cette année-là il a aussi composé un Te deum et quatre concertos, entre autres. Le chœur alternera avec des solos, que vous pourrez applaudir.
Comme vous le savez sûrement, nous sommes de grands linguistes : aussi allons-nous chanter, non seulement en latin, mais aussi en arabe, en persan, en anglais, en grec, en hébreu. L'auteur nous épargne le gallois, probablement parce que ce n'était pas sa langue maternelle.
Vous entendrez successivement : Cantus lacrimosus, Incantation (solo de Maïté), Vidit Jesum in tormentis, Lament (solo de Gabrielle), Sancta Mater, Now my life is only weeping (Maïté), And the mother did weep, Virgo virginum, Are you lost out in darkness (Gabrielle), Fac, ut portem Christi mortem, Ave verum.
2001 : Le Seigneur des anneaux : sûrement les fanas de science-fiction ont vu et revu ce film. Mais la musique, vous vous en souvenez ? La chanson, composée par Enya et Roma RYAN, deux Irlandais, a reçu de nombreuses récompenses en tant que meilleure chanson originale.
Tous les garçons et les filles de mon âge…Et bien non. On va vous interpréter une autre chanson de Françoise HARDY, qui lui a été proposée par Jean-Max RIVIERE (l’auteur) et Gérard BOURGEOIS (le compositeur) en 1963 : L’amitié.
Et ce n'est pas fini...