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Le blog de Bernard SARLANDIE

Heureux enfants !

15 Février 2025, 16:07pm

Publié par Bernardoc

J’étais invité ce matin à l’inauguration de la nouvelle école maternelle de Tresses, baptisée Pauline RECLUS KERGOMARD. Le choix du nom est fort judicieux puisque cette native de Ste Foy la Grande, pédagogue émérite, fut à l’origine de la création des écoles maternelles.

Il y avait foule à cette inauguration. Outre les personnalités et les élus, se pressaient les parents et les grand-parents (vu la couleur des cheveux!), les enfants bien entendu, le conseil municipal des enfants,…J’ai pris plaisir à rencontrer mon ami Jacques DESBORDES, dont j’avais été vice-président lorsqu’il présidait les PEP33.

 Après un accueil avec café et viennoiseries, pendant une heure nous avons pu déambuler librement dans les différents locaux et la belle cour aménagée, visite égayée par quatre artistes circassiens remarquables.

Puis ce fut la découverte de la plaque par les jeunes élus accompagnés par Najat VALLAUD BELKACEM, l’ancienne ministre de l’Éducation nationale. Grosse surprise pour moi qui n’était pas au courant de sa venue.

Les discours officiels, en commençant par celui du maire Christian SOUBIE, qui salua la présence du Président « honoraire » des Palmes académiques de Gironde, se succédèrent, incluant même un discours impromptu de l’ancienne ministre (à la place de celui de la sénatrice). Le sous-préfet déclara qu’il s’agissait sans doute de la plus belle école du département, inscrite dans la transition écologique. Personnellement, c’est la première fois que j’entendais parler de fenêtre à triple vitrage.

Comme toute inauguration qui se respecte, elle se termina par l’apéritif de l’amitié.

Et ce n'est pas fini...

Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
Heureux enfants !
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Triste état de l'enseignement élémentaire à Paris

12 Février 2025, 10:06am

Publié par Bernardoc

In l’Humatinale du 12 février 2025 (extraits)

À la rentrée prochaine, Paris supporterait 110 suppressions de poste et près de 200 fermetures de classe en primaire. Avec la dégradation des conditions d’exercice des directeurs d’école, ces annonces suscitent la colère.

Quand certains mettent en avant les 4 000 suppressions de poste prévues au projet de budget 2025 pour l’Éducation nationale et finalement évitées, la réalité du terrain vient rappeler que cela ne suffira pas pour que l’école remonte la pente.

Le 11 février, 60 % des enseignants parisiens étaient en grève, et 170 écoles fermées.

Les syndicats et les organisations de parents d’élèves demandent instamment la révision de la « carte scolaire », qui, pour la rentrée 2025, prévoit de faire payer un lourd tribut aux élèves parisiens : sur 470 suppressions de poste sur le plan national, la capitale en subirait à elle seule 110, soit près du quart.

Sortie sous les huées d’une école du 11e arrondissement qu’elle avait prévu de visiter le même jour, la ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, tentait de justifier ces coupes par « une baisse démographique importante à Paris ».

De fait, la capitale paie son tribut aux prix de l’immobilier devenus fous, qui poussent les familles – même aisées – à s’éloigner quand les naissances les obligent à trouver un logement plus grand. Selon le rectorat, elle a perdu plus de 33 000 élèves sur les quinze dernières années, et les prévisions pour la rentrée prochaine font état d’une nouvelle perte de 3 200 élèves. Selon la ministre, il est donc logique que cela se reflète sur « l’allocation des moyens » d’enseignement.

La logique des familles et des enseignants n’est évidemment pas la même. Sous une pancarte aux couleurs de l’association de parents d’élèves du 20e arrondissement, qu’il copréside, Julien Pamart prend un exemple : « L’année dernière, l’école Pelleport a subi une fermeture de classe. Depuis, cela ne fonctionne plus : on se retrouve avec des classes à double niveau en déséquilibre complet, avec 5 élèves de CP et 21 élèves de CE1. »

Un cas loin d’être isolé aujourd’hui, et que les près de 200 fermetures annoncées ne feraient qu’aggraver. Tout comme les situations de classes de maternelle à 27 élèves, dont certains porteurs de handicap nécessitent une prise en charge particulière : « On manque déjà d’AESH pour aider les enfants les plus fragiles, reprend Julien Pamart, mais dans ces conditions on ne pourra pas demander aux enseignants de leur apporter l’accompagnement nécessaire. »

Comme si cela ne suffisait pas, à toutes ces difficultés vient s’ajouter la décision de mettre fin au dispositif spécial de décharge d’enseignement pour les directrices et directeurs d’école. Depuis 1982, elles et ils bénéficient d’une décharge complète dès lors que l’école compte au moins cinq classes – alors que, dans le reste du pays, il faut une école à 12 classes pour en bénéficier.

Pourtant, la Mairie de Paris propose de reprendre à sa charge le coût (estimé à 116 millions d’euros l’an dernier) de ces décharges supplémentaires. « Les directeurs d’école font un travail administratif très lourd, qu’ils ne pourraient pas faire dans les mêmes conditions s’ils n’étaient pas déchargés », a argué la maire de paris, Anne Hidalgo.

« Un travail énorme et épuisant qui semble échapper au ministère », ironise tristement, devant le rectorat, Damien, enseignant à l’école élémentaire toute proche Rampal, en rappelant que c’est précisément ce que dénonçait en 2019 Christine Renon, directrice à Pantin (Seine-Saint-Denis), dans la lettre laissée derrière elle après son suicide dans le hall de son école.

Et ce n’est pas fini...

 

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20 ans de la loi handicap

11 Février 2025, 10:44am

Publié par Bernardoc

Ce mardi 11 février marque le vingtième anniversaire de la grande loi française sur le handicap. Un texte qui fait date pour avoir affiché des ambitions fortes en matière d’accessibilité, de compensation humaine et financière, ou d’accès à l’école. Et qui nourrit des déceptions à la hauteur des espoirs suscités à l’époque. Pour l’occasion, nombre d’organismes dressent leur bilan de loi, à l’image du Conseil économique, social et environnemental.
«Sur l’accessibilité, on est complètement en dehors des clous»

Moins de la moitié des établissements recevant du public sont à ce jour accessibles, malgré une obligation inscrite dans la loi depuis 2005. Le gouvernement n’est toujours pas décidé à passer aux sanctions.

A l’État de faire appliquer la loi, mais à chacun de nous d’assumer l’altérité comme une richesse

École inclusive : «Plutôt que de mettre des rustines, tout le système doit changer»

Et ce n’est pas fini...


 

 

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La mairie RN de Beaucaire condamnée pour atteinte à la laïcité

10 Février 2025, 09:37am

Publié par Bernardoc

in l'Humatinale du 10 février 2025

Cette fois, l’atteinte à la laïcité va coûter cher. Le tribunal administratif de Nîmes a ordonné le paiement de l’amende de 122 000 euros à laquelle la municipalité de Beaucaire (Gard), aux mains du Rassemblement national, a été condamnée pour avoir refusé de manière « délibérée » de retirer la crèche de Noël installée devant la mairie.

Le 20 décembre 2024, le tribunal avait ordonné son démontage dans les 48 heures sous peine d’astreinte de 1 000 euros par jour. Devant le refus du maire d’extrême droite de respecter la loi et de se plier à cette décision, une première condamnation à 19 000 euros d’amende a été prononcée le 13 janvier et le montant de l’astreinte a été porté à 5 000 euros par jour. La crèche a été finalement démontée le 2 février.

« Cette décision va dans le bon sens », a expliqué à l’AFP Francis Labbe, de la Ligue des droits de l’homme de Beaucaire, car la municipalité, qui bafoue le principe de laïcité depuis 2014, n’avait été jusqu’à présent que peu sanctionnée.

Et ce n’est pas fini...

 

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Budget : la CGT dénonce un nouveau passage en force au détriment des salariés

9 Février 2025, 11:30am

Publié par Bernardoc

Les projets de loi de finances 2025 et de financement de la sécurité sociale du gouvernement Bayrou ont été adoptés ce jour via l’utilisation de l’article 49 alinéa 3. Ce sont les 25eme et 26eme 49.3 depuis le début du septennat d’Emmanuel Macron. La CGT dénonce, une fois encore, l’utilisation d’un passage en force pour contourner la démocratie.

Malgré les désaveux et les défaites électorales du camp Macron, sanctionné par les urnes, le nouveau Premier ministre tente de poursuivre la même politique de l'offre que ces prédécesseurs. Dans la continuité des gouvernements précédents, les efforts se font sur le dos des salariés, et ce sont elles et eux qui vont de nouveau payer l’addition. Pour la première fois depuis 25 ans un gouvernement réduit les dépenses de l’Etat de 2% en prévoyant une baisse de 32 Mds des dépenses publiques, attaquant notamment les budgets alloués :

Au travail et à l’emploi avec une baisse massive de -3,104 Mds. C’est la coupe la plus importante;

A l’écologie avec une baisse de -2,579 Mds ;

A l’aide publique au développement avec une baisse de -1,674 milliard € ;
• A la recherche et à l’enseignement supérieur avec une baisse de -1,566 milliard €.

Ainsi, tandis que des coupes sont opérées sur des secteurs sociaux et publics, des mesures de maintien ou d'assouplissement sont appliquées lorsqu'il s'agit du patronat, illustrant un traitement inégal des différents acteurs économiques et sociaux. :

La fonction publique où le gouvernement répond à la crise par la baisse du taux d’indemnisation des jours d’arrêt maladie, par le gel du point d'indice et par de vastes coupes dans les dotations aux collectivités ;

L’aide Médicale d’Etat, le Premier ministre fait le choix de tendre la main au Rassemblement national en adoptant une réduction des crédits dédiés à l’AME.
• Le maintien de la contribution exceptionnelle sur les grandes entreprises a vu son application réduite d’un an sous la pression du patronat.

Ces coupes ont déjà des conséquences directes et se traduisent par des plans d’austérité comme les baisses des budgets dédiés à la culture, au sport et au secteur associatif dans plusieurs départements et régions. A l’inverse, la remise en cause des cadeaux exorbitants aux entreprises n’est toujours pas à l’ordre du jour : pas question de toucher aux 100 Mds de dividendes versés en 2024.

Cependant, la mobilisation des salariés et la censure ont forcé le gouvernement à revoir leur copie à la marge. La CGT se félicite notamment de l’abandon des 4000 suppressions de postes dans l’Éducation nationale, des 500 postes à France Travail, et des 3 jours de carence en cas d’arrêt maladie ; tous à mettre au crédit de la très forte mobilisation du 5 décembre dernier à l'appel de l'intersyndicale de la fonction publique.

Un autre budget et une vraie sécurité sociale sont possibles.

Pour la CGT, il faut un investissement massif dans nos services publics et nos infrastructures pour préparer l’avenir. Le budget est un outil qui doit être mis au service d’un plan stratégique de réindustrialisation du pays.

Pour le financer, la CGT défend une réforme fiscale qui permettrait plus de justice fiscale avec notamment le rétablissement des impôts pour les entreprises (impôt sur les sociétés et CVAE), ou la conditionnalité des 175 milliards d’aides publiques annuelles aux entreprises.

Concernant la sécurité sociale, pour cesser le déshabillage, il est urgent de repartir des fondamentaux : la CGT revendique une sécurité sociale qui réponde intégralement aux besoins et dont les recettes soient assurées par des cotisations. Plutôt que d’empêcher de se soigner ou pénaliser les retraités et pour éviter un déficit artificiellement construit, il est possible de revoir les 80 milliards d’exonérations de cotisations, augmentés de 20 milliards depuis l’arrivée d’Emmanuel MACRON.

La CGT rappelle son opposition à la réforme des retraites et à toute mesure remettant en cause les droits des salarié.es, leur protection sociale et leur niveau de vie. A l’image du semestre dernier, la CGT appelle à multiplier les luttes pour inverser le rapport de force et pousser le gouvernement à renoncer à ses projets néfastes.

Et ce n’est pas fini...
 

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Les sanctions contre Cuba tuent des enfants

8 Février 2025, 16:19pm

Publié par Bernardoc

In Cuba Coopération France du 4 février 2025

Chaque année, près de 400 enfants cubains doivent lutter contre le cancer. Seule la moitié d’entre eux est capable de vaincre la maladie. Alors que Cuba forme énormément de médecins et dʼinfirmières – qui vont aider des malades aux quatre coins du monde, y compris en Europe, depuis plus de 60 ans – lʼÉtat ne peut faire face aux conséquences des sanctions économiques décidées par les États-Unis dans ses propres hôpitaux.

« Le cancer est devenu la principale cause de décès chez les enfants cubains âgés de 1 à 4 ans et la deuxième chez ceux âgés de 5 à 19 ans. En raison des sanctions économiques de Washington, les médicaments vitaux des grandes entreprises pharmaceutiques sont souvent inaccessibles. Pour de nombreux parents, ces restrictions rendent une bataille déjà très compliquée encore plus difficile à supporter », note le média américain Break Through News.

Cuba nʼest pas un « sponsor du terrorisme » comme le maintient le président américain. Cuba « sponsorise » lʼaide internationale lors de catastrophes (envoi dʼéquipes médicales après les tremblements de terre en Haïti ou au Népal, lors de la crise du covid en Italie, etc.), « sponsorise » lʼéducation (éducation gratuite et de qualité de la maternelle à lʼuniversité, taux dʼalphabétisation parmi les plus hauts du monde, etc.), « sponsorise » la culture, « sponsorise » la protection de lʼenvironnement…

Cuba nʼest pas un « sponsor du terrorisme » comme le maintient le président américain. Cuba « sponsorise » lʼéducation (éducation gratuite et de qualité de la maternelle à lʼuniversité, taux dʼalphabétisation parmi les plus hauts du monde, etc.), entre autres.

Les priorités de lʼîle socialiste dans tous ces domaines, et le soutien grandissant des pays du Sud à ces politiques, dérangent forcément les dirigeants du voisin américain dont le projet de société est à lʼopposé. Il faut donc mener une guerre économique, diplomatique, politique contre Cuba. Quitte à laisser mourir des enfants au nom de la « démocratie ».

Un blocus décidé par les États-Unis En vigueur depuis 1962 combattu par le monde (presque) entier empêche le développement du pays. « Pour la seule période de mars 2023 à février 2024, le ministère des Affaires étrangères cubain estime que le blocus a causé à Cuba des pertes matérielles évaluées à 5 056 800 000 dollars, soit une augmentation de 189 millions de dollars par rapport à l’année précédente, avec des conséquences dévastatrices pour la population », explique lʼHumanité.

Chaque année, à lʼONU, tous les pays votent une résolution pour lever complètement ce blocus. Tous ? Non, pas exactement : les États-Unis et Israël sʼy opposaient encore en octobre de lʼannée dernière, contre la volonté de… 187 pays. La levée de ce blocus illégitime sauvera des vies. Comme le dit la mère citée au début, « ce n’est juste pour personne de maintenir un blocus qui empêche lʼacquisition des médicaments, de nourriture... Depuis l’administration précédente de Donald Trump, le blocus s’est intensifié et de nombreuses choses n’ont pas pu entrer dans le pays, même le financement pour acheter des médicaments pour les enfants n’a pas pu être fait... »

Sa conclusion ? « La levée du blocus permettrait à nos enfants de lutter contre la maladie. L’amour et les soins sont là, il ne manque que les ressources. »

Et ce n’est pas fini...

 

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Beaubourg.

7 Février 2025, 13:37pm

Publié par Bernardoc

Avant l’ouverture du centre Pompidou, déambulation dans le quartier et quelques photos de la collection permanente où le nombre d’étrangers était très important.

Et ce n’est pas fini...

Beaubourg.
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Beaubourg.
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Beaubourg.
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Suzanne VALADON.

6 Février 2025, 09:04am

Publié par Bernardoc

Le Centre Pompidou va fermer pour cinq ans afin d’être rénové, et pour clôturer cette première partie de vie il organise une vaste exposition consacrée à Suzanne VALADON (la mère de Maurice UTRILLO).

Il y a plusieurs mois je voulais voir une expo et je n’avais pas pu entrer, alors cette fois-ci j’avais réservé un billet à l’avance. Il y avait queue pour la première entrée à 11 heures, mais lorsque je suis ressorti, elle avait disparu.

Comme j’étais en avance, j’en ai profité pour entrer dans l’église St Merri, qui accueille des SDF venus s’y réchauffer.

Comme je n’ai pas beaucoup de culture artistique,, je pensais que l’artiste appartenait au XIX° siècle, mais en fait elle est morte en 1938, et ses tableaux sont résolument modernes.

Quelques citations indiquant comment elle considère son art :

« Peindre pour la joie de peindre », « Rester soi-même, tâcher de traduire les multiples et changeants aspects de la vie, de la lumière, des formes, c’est pour l’artiste la seule loi », « Il faut avoir le courage de regarder le modèle en face si l’on veut atteindre l’âme. Ne m’amenez jamais pour peindre une femme qui cherche l’aimable ou le joli, je la décevrais tout de suite », « Il faut peindre dans la vérité avec amour ».

L’expo dure jusqu’au 26 mai.

Et ce n’est pas fini...

 

Suzanne VALADON.
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Orgueil et préjugés...ou presque.

5 Février 2025, 11:02am

Publié par Bernardoc

Pride and prejudice, Jane AUSTEN, souvenirs d’étudiants à Nice, en amphi avec M. Séjourné...Qu’est-ce qu’Isobel McArthur avait pu en faire ? J’allais découvrir cela du premier rang du balcon du théâtre St Georges, que je découvrais.

D’abord sur scène arrive une jeune femme avec une guitare électrique : c’est elle qui allait sonoriser l’ensemble de la pièce, la plupart du temps dans une loge la plus près de la scène.

Puis arrivent de la salle les comédiennes habillées en servantes délurées. La pièce a été transformée en comédie musicale, faisant alterner dialogues chantés ou parlés. Les comédiennes campent tous les personnages, y compris masculins, et nous racontent avec fantaisie et drôleries les péripéties de ces 5 sœurs et de leur mère, prête à tout pour les marier. La folie, l’humour ont infusé les situations, les personnages pour donner vie à un spectacle décapant, férocement drôle.

J’ai passé un excellent moment.

Et ce n’est pas fini...

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Dérapage.

4 Février 2025, 08:55am

Publié par Bernardoc

Comme chaque soir à Paris, je m’offre un spectacle vivant, à des prix largement inférieurs à ceux qui sont pratiqués en province (il paraît qu’il faut dire « en région »). J’avais choisi ce spectacle, qui se déroulait à La Scala, à quelques pas de mon hôtel. Je n’avais jamais entendu parle de cette troupe, et pourtant : Depuis 20 ans, Les Sea Girls enchantent le public avec leurs revues musicales savoureuses et irrévérencieuses. Aujourd'hui, elles décident de déraper un peu et de nous montrer l'envers du décor, le stress sous les strass. Avec la complicité de Pierre Guillois à la mise en scène, le joyeux trio vous invite dans son intimité à grands coups de plumes, paillettes et crises de nerfs.

Être une Sea Girl ? C’est être une femme. Autour de cinquante ans. C’est double peine ça, non ? Donc des femmes de cinquante ans, artistes de Music-Hall. Le boulot que ça demande ! La pression sur nos corps publics exposés ! Puis quelle visibilité il nous reste, au milieu d’un courant renouvelé, flamboyant : le code, on a intérêt à retrousser nos manches, pour continuer à le porter avec panache. C’est aussi de la sueur, du rire et des larmes. Une vie en communauté, une traversée : on chante, on pleure, on rit, on rote, on pète, on danse, on se moque, on s’admire, on se ratatine, on s’encense et on s’engueule, c’est ça notre quotidien ! C’est une joyeuse épreuve.

J’ai assisté à un spectacle complètement déjanté, avec trois filles qui multipliaient les personnages, interagissaient avec le public (nombreux) et rendaient un bel hommage aux techniciens, intermittents de spectacle sans qui rien ne serait possible.

Un seul bémol : je me suis trompé d’heure, et au lieu d’être trois quarts d’heure en avance, j’avais un quart d’heure de retard. Les ouvreuses ont été sympa et m’ont laissé entrer vers une place bien située et où j’ai pu m’installer sans déranger les autres spectateurs.

Et ce n’est pas fini...

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