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Le blog de Bernard SARLANDIE

Depuis 1905

11 Juillet 2025, 14:15pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Matisse et Marguerite.

8 Juillet 2025, 14:44pm

Publié par Bernardoc

Deuxième expo de la matinée, changement de siècle et de musée : le MAM (Musée d’Art Moderne de Paris), sis au Palais de Tokyo. En fait je me suis laissé tenter par un billet combiné qui permettait de visiter deux expositions, la seconde étant consacrée à une artiste allemande dont je n’avais jamais entendu parler : Gabriele MÜNTER. C’est d’ailleurs par cette dernière que j’ai commencé. L’artiste, née en 1877, est considérée comme une des plus éminentes représentantes de l’expressionisme allemand. Ce qui m’a frappé , c’est son évolution depuis la photographe des débuts, son premier séjour à Paris où elle reviendra dans les années 1920 après un passage par Munich avant de terminer sa vie à Murnau en 1962.

Je poursuis donc par l’exposition consacrée à la relation forte entre Matisse et sa fille, qui sera un de ses modèles favoris et qu’il représentera régulièrement de 1899 à 1923. A cette date (celle de son mariage), elle deviendra l’agent de son père. Elle ne réapparaîtra sur les tableaux qu’en 1945, après avoir été torturée par les nazis et avoir échappé de peu à la déportation.

J’ai pris quelques photos des œuvres des deux peintres, et n’ai pas revisité la collection permanente, car je voulais visiter une troisième exposition.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et ce n’est pas fini...

Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
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Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.
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Matisse et Marguerite.
Matisse et Marguerite.

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La culture à l’honneur.

7 Juillet 2025, 18:07pm

Publié par Bernardoc

Hier soir, bien que L’Entrepôt soit officiellement fermé depuis deux jours, comme le spécifiaient les affiches collées sur les portes, Les Tamalous (une des deux troupes haillanaises adultes du CTL) présentaient leur création de cette année 2025 : Petit déjeuner compris. Espérons que ce ne soit pas la dernière.

Dans une mise en scène de Philippe DUBUCQ et devant une salle bien remplie, la troupe a donné le meilleur d’elle-même, accompagnée par une remarquable équipe d’intermittents (Hervé, Guillaume et Captain) avec qui nous travaillons avec bonheur depuis des années et qui connaissent la valeur de nos productions. L’accueil discret et bienveillant d’Aurore était un plus apprécié. L’implication du bureau du CTL a également largement contribué à la réussite de la soirée.

Un merci également à Sud ouest et à son correspondant local qui avait annoncé nos spectacles dans un bel article il y a quelques semaines, ainsi qu’à l’agence locale du CMSO qui imprime gracieusement nos affiches que les commerçants locaux ont la gentillesse d’accepter.

Après ce beau succès, imaginons ce qu’il aurait pu être si L’Entrepôt n’avait été déclaré fermé que le 7 juillet et si nous étions reconnus comme acteurs culturels à part entière.

 

 

 

 

 

 

 

Imaginons que nous puissions apparaître au Haillan comme nous le faisons ailleurs, je suis sûr que les sièges sur les côtés de la salle seraient remplis eux aussi.

Enfin, je l’ai fait hier soir, mais je le réitère, merci aux gens d’avoir décalé leur départ en vances pour venir passer un bon moment en notre compagnie.

Et ce n’est pas fini...

 

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Bourse de commerce – Pinault collection.

6 Juillet 2025, 17:02pm

Publié par Bernardoc

Ce n’était pas très loin du théâtre Essaïon (voir plus haut) et j’ai profité du temps que j’avais avant la représentation pour aller visiter ce lieu. Je n’étais pas particulièrement fier d’aller augmenter la fortune du milliardaire, mais après tout j’ai bien visité deux fois le monument historique qu’est la Bourse du commerce de Porto, donc j’avais envie de voir le bâtiment. J’ignore à quoi il ressemblait avant, mais il me semble que la transformation a été réussie en conservant le cachet original datant de la fin du XIX° siècle.

En entrant, je découvre une pièce d’eau recouverte d’assiettes mouvantes : je l’avais déjà vue au Pompidou-Metz il y a bien longtemps. Mais c’est une attraction très populaire, et propice au repos avant (ou après) la visite des différentes galeries. Cette œuvre de Céleste Boursier-Mougenot est en place jusqu’au 21 septembre.

L’exposition “Corps et âmes“ se trouve jusqu’au 25 août dans une galerie qui fait le tour du bâtiment. Elle sonde, à travers les œuvres d’une quarantaine d’artistes, la prégnance du corps dans la pensée contemporaine. Libéré de tout carcan mimétique, le corps qu’il soit photographié, dessiné, sculpté, filmé ou peint ne cesse de se réinventer, conférant à l’art une organicité essentielle lui permettant, tel un cordon ombilical, de prendre le pouls du corps et de l’âme humaine.

Une visite intéressante malgré tout.

Et ce n’est pas fini...

 

Bourse de commerce – Pinault collection.
Bourse de commerce – Pinault collection.
Bourse de commerce – Pinault collection.
Bourse de commerce – Pinault collection.
Bourse de commerce – Pinault collection.
Bourse de commerce – Pinault collection.
Bourse de commerce – Pinault collection.
Bourse de commerce – Pinault collection.
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Petit Palais.

5 Juillet 2025, 09:21am

Publié par Bernardoc

Visite par défaut : je voulais découvrir les expos du Grand Palais, mais même en arrivant une demi-heure avant l’ouverture, il n’y avait de possibilité de visite avant midi, trop tard pour ma dernière journée parisienne. Je traverse donc le boulevard et arrive vers ce musée. Les deux expos ne m’attiraient pas, j’ai donc opté pour la visite (gratuite!) des collections permanentes.

Construit à l'occasion de l'Exposition universelle de 1900 par l'architecte Charles Girault, il abrite le musée des Beaux-Arts de la ville de Paris depuis 1902. Il accueille une collection permanente de l'Antiquité à la fin du XIXe siècle. On y trouve des toiles de Corot, Courbet,...ainsi qu’un grand nombre de sculptures.

Je suis passé en vitesse dans la salle abritant les icônes, n’étant pas trop porté sur ce style, mais j’ai admiré les photos des mairies d’arrondissement datant du début du siècle dernier.

En ce début de matinée, il n’y avait pas trop de monde, ce qui est toujours plus agréable pour profiter des œuvres exposées.

Et ce n’est pas fini...

Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
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Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
Petit Palais.
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Racine par la racine.

4 Juillet 2025, 10:37am

Publié par Bernardoc

Curieusement, ce spectacle ne m’avait jamais attiré l’œil ; il en est pourtant à sa 14ème saison et sa 800ème représentation. Et ce n’était pas la première fois que j’allais au théâtre Essaïon, juste derrière Beaubourg.

Le spectacle va nous faire visiter les onze tragédies de Racine dans un parcours iconoclaste et cocasse d’Alexandre le Grand jusqu’à Athalie tout en incorporant des éléments biographiques. Le décalage est hilarant.

Mais la mise en scène est d’une folle originalité, mêlant des tableaux dans le style du cinéma muet, des interprétations rock n roll, des interviews style Apostrophes,…Autant de trouvailles qui faisaient éclater les alexandrins extraits des pièces qui me replongeaient dans mes années lycée. Mais au fait, lit-on toujours Racine de nos jours ?

Gag involontaire au milieu de la représentation : panne générale de courant ; les comédiens ont assuré en faisant durer la scène le temps que la lumière revienne, éclairés par les téléphones que les spectateurs avaient spontanément sorti de leur poche.

Quelques appréciations tirées de la presse : « Iconoclaste et décapant », « Brillant et décalé », « Drôle et intelligent ».

Donc, vous voyez, je ne suis pas le seul à avoir aimé ; à ne pas manquer si vous avez l’occasion.

Et ce n’est pas fini...

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Brin de folie sur le Tour.

3 Juillet 2025, 09:03am

Publié par Bernardoc

C’était la dernière au Théâtre de la Devise. J’étais au premier rang, comme souvent lorsque je vais au théâtre à Paris, et pour un prix tout à fait modeste.

Sur scène, un camping car et un vélo d’appartement que vont faire vivre Bernard et Arielle, un couple de quinquagénaires accros à la Grande Boucle, campés à 25 km de l'arrivée, comme chaque année depuis un quart de siècle. Leur routine bien huilée va être bouleversée par l'arrivée de Jessica, cyclotouriste belge égarée, et Steven, journaliste novice à l'affût du moindre potin.

Entre coups de théâtre, quiproquos et passion débordante, nous assistons à une ascension comique digne du Mont Ventoux !

C’est effectivement une grosse farce, avec quelques longueurs cependant, mais j’ai passé un bon moment. Ce n’est pas une pièce que nous pourrons reprendre car il n’y a que cinq personnages, pas assez donc pour notre troupe.

Ils seront au « off » d’Avignon d’ici quelques jours, et lorsque la troupe nous l’a annoncé, c’est là que je me suis rendu compte que mes voisins de bar quelques heures auparavant n’étaient autres que les comédiens.

Et ce n’est pas fini...

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Encore une balade hors des sentiers battus.

2 Juillet 2025, 11:35am

Publié par Bernardoc

Ce n’était pas encore la canicule, mais il faisait très chaud. C’était la première fois que j’allais à Paris en short, et j’avais bien fait !

Cette balade commençait Porte de Vincennes et avait pour thème « la flore des vieux murs », mais flore en piteux état vu la sécheresse. On commence par le passage de la Voûte en passant sous un grand chat, hommage à Trénet qui a vécu là. Chat particulièrement intéressant car réalisé par les élèves chaudronniers d’un lycée professionnel parisien.

On continue en traversant des passages étroits (très!), passant au dessus de boulevards pour aboutir au square Charles PEGUY, très fréquenté et qui allie nature presque sauvage et aires de jeux bien aménagées. La balade se termine par une promenade dans la coulée verte René DUMONT (le premier écolo candidat à la présidentielle il y a plus de 50 ans). Comme je suis très doué, je l’ai prise dans le mauvais sens, et au lieu d’aboutir au métro Bel-Air, je me suis retrouvé à Saint Mandé, et j’ai donc pris le tramway pour revenir à mon point de départ.

De là, je suis allé dans le quartier du théâtre que j’allais visiter le soir, et en attendant j’ai bu un coup dans une brasserie juste en face des Folies Bergères.

Il me reste une bonne douzaine de balades référencées, mais il faut en profiter car les paysages urbains changent très vite.

Et ce n’est pas fini...

 

Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
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Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
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Encore une balade hors des sentiers battus.
Encore une balade hors des sentiers battus.
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Napoli.

1 Juillet 2025, 18:28pm

Publié par Bernardoc

Fin de notre périple : dernière journée du voyage et visite de la ville avant de nous réembarquer pour un vol de nuit.

La visite guidée eut lieu le matin, avant nos seules pizzas du séjour, très quelconques selon moi : j’en ai mangé de meilleures à Paris.

L’après-midi nous avions quartier libre et nous avons déambulé le long de rues qui glorifiaient Maradona : difficile de trouver un souvenir qui n’ait pas un rapport avec ce footballeur. Nous avons pris le funiculaire, non pas pour grimper au Vésuve mais pour aller dans la ville haute. Grosse déception : tout le trajet se fait en tunnel et il a fallu qu’on cherche un moment pour trouver un point de vue partiellement dégagé. Nous avons eu tord de prendre un aller-retour car sinon nous aurions pu tester le métro pour redescendre : une station se trouvait à proximité du terminus.

En redescendant, nous nous arrêtons pour manger une glace et soudain panique chez le commerçant. Nous n’avons pas très bien compris pourquoi. C’est en regardant les réseaux sociaux à l’aéroport que nous avons appris qu’il y avait eu un tremblement de terre. Nous n’avons rien ressenti.

Quelle sera notre destination l’an prochain ? Laissons l’efficace équipe du CLAD y travailler et faire des propositions.

Et ce n’est pas fini...

Napoli.
Napoli.
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Napoli.
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Matera.

30 Juin 2025, 20:14pm

Publié par Bernardoc

Nous approchons de la fin du voyage et quittons les Pouilles pour la Basilicate, la région que nous devons traverser en retournant vers Naples. Et la halte obligée se nomme Matera, la troisième plus vieille ville du monde après Alep (et ses pistaches - private memory) et Jericho, victime de la musique(?) si je ne m'abuse.

Après avoir été qualifiée de « vergogna nazionale » dans les années '50, cette ville de 60 000 habitants est au patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1993.

c'est une Agenaise, mariée à un gars du coin qui nous fera visiter la ville et notamment les « sassi », ces quartiers d'habitations troglodytes qu'il a fallu aménager pour les rendre plus salubres. Nous avons pu en visiter une, transformée en musée, qui retrace bien la vie des habitants originels qui partageaient ce trou dans la roche avec leurs animaux.

Il a fallu attendre notre avant-dernier jour de voyages pour déambuler dans une ville très escarpée, et les guibolles de certains commençaient à bien fatiguer. Mais l'espoir était au bout, nous allions bientôt pouvoir nous reposer de nos vacances !

Et ce n'est pas fini...

Matera.
Matera.
Matera.
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