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Le blog de Bernard SARLANDIE

Athènes.

27 Juin 2017, 13:37pm

Publié par Bernardoc

J'avais protesté lors du précédent voyage contre le fait qu'une (courte) visite de la capitale ne soit pas organisée. Mais on le fait chaque fois, me fut-il répondu. Donc cette fois-ci c'était une de mes demandes et je pense que nous fûmes la majorité à apprécier cette visite. Avant d'y arriver, je pris soin de lire, comme je le fais souvent, le texte d'un grand auteur concernant la ville. En l'occurrence il s'agissait de Lamartine, dont la prose (je dois avouer que je connaissais surtout ses poèmes) m'a séduit. Je le situe au même niveau que Victor HUGO. Jugez plutôt : « Je passe des heures délicieuses couché à l'ombre des propylées, les yeux attachés sur le fronton croulant du Parthénon ; je sens l'antiquité tout entière dans ce qu'elle a produit de plus divin ; le reste ne vaut pas la parole qui le décrit ! L'aspect du Parthénon fait apparaître, plus que l'histoire, la grandeur colossale d'un peuple. »

Le groupe s'est scindé en deux : la moitié se dirigea vers l'Acropole, l'autre moitié éclatait de son côté, chaque petit groupe vaquant à ses occupations.

Ce fut donc la fin d'une frustration pour moi, depuis que certains de mes élèves de Langevin avaient visité ces monuments.

Nous partîmes donc de l'hôtel sous une pluie d'orage ; j'abandonnais donc casquette et lunettes de soleil au profit de l'imperméable et arrivés au pied de l'Acropole (deux stations de métro plus loin), le soleil était à nouveau éclatant sous le ciel bleu.

Après la citation du poète (tiré de la collection « Heureux qui comme... », publié chez Magellan & Cie, je me contente de vous faire profiter des nombreuses photos que j'ai prises à l'occasion (peut-être un jour si j'arrive à les importer !)

.

En redescendant, du plateau, après m'être acheté une casquette grecque, halte dans un café sur la place du parlement en attendant la relève de la garde, un spectacle à ne pas manquer, et sans trop de spectateurs puisqu'il se produit toutes les heures.

Et ce n'est pas fini...

Athènes.

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Problème.

26 Juin 2017, 23:56pm

Publié par Bernardoc

Difficultés à importer des images. On verra demain.

Et ce n'est pas fini...

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Skiathos.

25 Juin 2017, 07:17am

Publié par Bernardoc

Une visite en Grèce ne se conçoit pas sans une excursion dans au moins une île. Cette année, c'était Skiathos, la plus petite île des Sporades. Elle possède un aérodrome sur lequel atterrissent des avions raisonnablement gros, mais nous y sommes allés au moyen d'un ferry confortable, par une mer d'huile et sous un soleil qui nous a permis de profiter du pont supérieur, à l'ombre de bâches bienvenues.

Un peu plus de deux heures de traversée et le groupe éclate. Chacun part de son côté, qui à pied, qui en bus, à la découverte des beautés de cette île.

Nous commençons par grimper par de petites ruelles en escalier jusqu'à l'église St Nicolas (si je ne m'abuse), d'où nous avons une belle vue sur la ville. En redescendant nous tentons de visiter la maison natale de l'écrivain Alexandros PAPADIAMANDIS (mort en 1911). Elle était ouverte, mais personne pour nous vendre les billets. Nous avons donc poursuivi notre chemin jusqu'à la petite presqu'île de Bourtzy sur laquelle se dresse un musée, fermé à l'heure à laquelle nous nous sommes présentés.

Nous décidons donc de partir à la plage, ce qui nous a obligés à regrimper dans de petites ruelles fort agréables pour redescendre, après avoir visité un cimetière classé, sur une petite plage familiale. Ce jour-là, je n'avais pas oublié mon maillot !

De retour, nous tombons sur Jean, Monique et Florence attablés dans un restaurant (avec vue!) et nous nous joignons à eux. Nous poursuivrons notre descente avec eux jusqu'à un café qui nous permis d'attendre l'heure de départ du ferry. J'en profitais aussi pour acheter un bouquin de Papadiamandis traduit en français : Une femme à la mer, un recueil de nouvelles dont je vous parlerai sans doute un jour. De retour au quai, tout le monde était là : quelle discipline !

Il m'arrive de passer trois jours sans que mon téléphone ne sonne ; eh bien, pendant ces quelques heures sur l'île, il n'a pas sonné moins de sept fois ! Heureusement que c'est maintenant le même tarif partout en Europe !

Et ce n'est pas fini...

Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
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Skiathos.
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Skiathos.
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Skiathos.
Skiathos.
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Skiathos.
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Skiathos.
Skiathos.
Skiathos.
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Le Pélion.

24 Juin 2017, 09:14am

Publié par Bernardoc

La journée commence sur un très copieux et varié petit déjeuner dans un cadre que l'on serait malvenu de ne pas apprécier.

Le Pélion, presqu'île montagneuse de 44 km sur 25 est un lieu de vacances pour les habitants de Volos (que nous eûmes le loisir d'admirer tantôt à droite, tantôt à gauche de la route – en fonction des lacets) et même d'Athènes, tant en été (magnifiques plages) qu'en hiver (pistes de ski).

Première étape : Makrinista, que nous avions vu il y a cinq ans en route pour Athènes. C'est un village qui ne vit que par et pour le tourisme comme en témoignent les nombreuse boutiques vendant des herbes ou des souvenirs ainsi que les tavernes qui entourent la place, célèbre par son platane au tronc creux. De belles maisons aux toits de lauzes ornent les flancs de la colline. Il était trop tôt pour visiter le musée des arts et traditions populaires.

Nous redescendons ensuite vers Portaria, où nous avions déjeuné la dernière fois. Nous avons apprécié les environs verdoyants et bucoliques.

Puis nous remontons vers le col de Chania, à 1 200 mètres, et une courte halte a permis à ceux qui le souhaitaient d'acheter quelques pots de miel des montagnes.

Dernière étape avant de rejoindre la côte : Zagora, plus gros bourg du Pelion avec ses 3 000 habitants. Nous allons jeter un œil à l'église St Georges (photos interdites), qui se dresse au bord d'une jolie place ombragée. En redescendant vers le car, nous remarquons la mairie : un très grand édifice pour un village de cette taille.

Et nous finissons cette matinée en plongeant vers la mer Egée, pour déjeuner en bord de la plage de Chorefto chez Petros o Dogambros. Je m'en suis voulu de ne pas avoir remarqué cela et de n'avoir pas pris mon maillot de bain...et visiblement la plage n'était pas naturiste.

Retour à l'hôtel et dîner sur les quais où élèves et étudiants fêtaient le début des vacances.

Et ce n'est pas fini...

Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
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Le Pélion.
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Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
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Le Pélion.
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Le Pélion.
Le Pélion.
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Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
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Le Pélion.
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Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
Le Pélion.
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Kalambaka – Volos.

23 Juin 2017, 07:53am

Publié par Bernardoc

Avant le rassemblement, café grec dans un café qui nous a paru typique, avec le maire et Stefanos et Soula. Apparemment le maire avait entendu parler de l'espéranto, et ce n'est pas moi qui ait mis cela sur le tapis cette fois-ci.

Départ pas trop tôt le matin depuis le parking d'un hôtel où étaient logés certains voyageurs ; mais contrairement à ce qui nous était arrivé à Colindres, ils n'étaient pas abandonnés et le propriétaire était membre du comité. Des bises, des pleurs, encore des pleurs, beaucoup de pleurs...et nous nous arrachâmes des Météores.

Le chauffeur n'était pas très pressé puisqu'il fallait attendre que nos chambres soient prêtes à l'hôtel Xenia Volos City Resort, 4* en bord de mer : une sensation d'être riches en découvrant le site et les locaux.

Nous nous sommes baladés l'après-midi dans les rues piétonnes, qui étaient d'une tristesse sans nom avec la quasi-totalité des magasins fermés ; pour certains, le mardi après-midi était jour de fermeture, mais d'autres n'ouvraient qu'en fin d'après-midi. Nous avons également marché le long du quai jusqu'à la sculpture de l'Argos, le bateau de Jason, que j'imaginais beaucoup plus grand. Ensuite, retour et ploufou dans la mer (d'autres avaient choisi la piscine), et révision de mon texte comme chaque jour du voyage.

Repas de midi et du soir au bord de mer, proche d'une église, et nous fûmes surpris du nombre de parents qui venaient avec leurs jeunes enfants se restaurer tard le soir.

Demain, en route vers la station de ski !

Et ce n'est pas fini...

Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
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Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.
Kalambaka – Volos.

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Kalambaka 2017, J2.

22 Juin 2017, 09:08am

Publié par Bernardoc

8 heures place de la mairie, départ vers le nord (la Macédoine), mais au bout d'une heure, arrêt à Milia, pour visiter le musée des mammouths. Il s'agit d'un petit musée composé d'une seule salle dans laquelle reposent plusieurs défenses de mammouth, d'environ trois mètres de long chacune, découvertes pétrifiées lors de fouilles dans la région. Il y a aussi d'autres éléments moins imposants. Ce petit musée envisage de s'agrandir, c'est pour cela qu'il a besoin de nombreux visiteurs. Nous en profitons pour partager une collation préparée par nos hôtes, et nous repartons pour une heure de car qui va nous amener à Kastoria, la capitale de la fourrure, très visitée par les riches Russes apparemment.

Mais ce ne sont pas les nombreuses pelleteries qui vont nous attirer, mais la Grotte du dragon. Il s'agit en fait d'une grotte comme il en existe tant , ornée de colonnes, drapés, stalactites et stalagmites. Les photos étaient interdites, mais j'ai craqué à la fin vu que le guide ne disait rien aux nombreux visiteurs qui mitraillaient ce très beau spectacle. Ensuite, petite balade à pied le long du lac jusqu'à...une église et retour vers le centre ville où il a fallu négocier âprement pour pouvoir déjeuner au bord de l'eau.

Le soir, bien sûr, repas dansant dans un lieu proche de Kalambaka, auquel ont participé également Eleni et Grigori, qui nous avaient accueillis aussi la dernière fois. Nous avons appris qu'ils étaient venus au Haillan mais nous ne l'avons pas su. J'en conclus que nous devions être absents.

Demain, départ pour Volos.

Et ce n'est pas fini...

 

Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
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Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
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Kalambaka 2017, J2.
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Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.
Kalambaka 2017, J2.

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Notre première soirée à Kalambaka.

21 Juin 2017, 12:38pm

Publié par Bernardoc

Quatre moments importants l'ont rythmée : la visite à la vieille église byzantine du XII° siècle, sur les hauteurs de la ville, qui était à l'époque le centre du bourg. Toujours pas de photos à l'intérieur ; j'ai donc acheté un dépliant de cartes postales.

Visite au tout nouveau musée d'histoire naturelle qui comporte deux salles bien spécifiques : une sur la faune locale et mondiale, l'autre consacrée aux champignons. C'est une belle réussite et je pense que les enseignants doivent avoir plaisir à y emmener leurs classes. Un musée, c'est quelque chose qui manque au Haillan, et pourtant il me semble qu'il y aurait moyen de démarrer quelque chose, tant du point de vue historique qu'artistique. Mais à part Cheminade, qui a parlé de musées et de chorales lors des dernières présidentielles. (Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : je n'ai pas voté pour lui !)

Troisième moment : la réception à la mairie et l'échange de cadeaux dont le référent du comité de jumelage était porteur.

Enfin, dîner dans une taverne en présence du maire qui a posé avec Rose, la seule élue présente lors de ce voyage. C'est plus tard que j'apprendrai que le maire doit avoir l'onction popale (pas d'erreur) pour espérer pouvoir être élu.

Et comme toujours en Grèce, la soirée se termina par des danses.

Et ce n'est pas fini...

Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.
Notre première soirée à Kalambaka.

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Premier jour à Kalambaka.

20 Juin 2017, 06:40am

Publié par Bernardoc

Stefanos, que nous avions connu lors de sa venue au Haillan, et que nous avions emmené à Arcachon avec nos hôtes et les Dupouy, nous avait proposé un programme spécial. Nous ne retrouverions le groupe que le soir.

Donc, le matin, visite d'un monastère que nous ne connaissions pas encore, celui de Ste Barbe, qui impliquait une grimpette par des escaliers de marbre. Nous arrivions à la fin d'un service et eûmes même droit à la collation normalement réservée aux fidèles. J'avais oublié la dévotion grecque, avec les gens qui se signent sans arrêt et qui vont embrasser les icônes habillant les églises. En revanche, je me souvenais parfaitement des gens qui naviguaient dans et hors l'église selon un rituel que j'ai du mal à comprendre. Lorsque nous redescendions, c'était tout un car de Chinois qui débarquaient ; sûrement ce n'allait pas être la même ambiance pour eux.

Les photos montrent bien la façon dont les monastères sont perchés, voire troglodytiques, et la difficulté de les atteindre (voir les échelles rustiques qui pendent le long des murs).

Ensuite, une vingtaine de kilomètres au sud, Trikala où, malgré des pluies diluviennes, nous avons pu visiter les vestiges de l'occupation ottomane. D'abord, les bains turcs, bien mis en valeur dans un bâtiment qui a servi de prison pendant des décennies. Faute de grec, j'ai inscrit un commentaire en espéranto, bien sûr. Dans le même lieu, une exposition sur un très fameux chanteur grec, dont, je dois avouer humblement, je n'avais jamais entendu parler.

A quelques pas une mosquée désaffectée et transformée elle aussi en lieu culturel.

Un café frappé plus ou moins à l'abri et retour à la maison pour un repas pantagruélique avec les enfants et petits enfants.

Sieste avant de retrouver le reste du groupe pour les activités « officielles ».

Et ce n'est pas fini...

Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.
Premier jour à Kalambaka.

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A quand les prochaines primaires ?

19 Juin 2017, 10:10am

Publié par Bernardoc

Devant l'abstention massive certains commentateurs commencent à remettre en cause cette copie américaine qui a conduit au désastre la droite, le PS et les écolos. Il est temps de s'apercevoir qu'effectivement il vaudrait mieux une proportionnelle (sans dose, mais intégrale) pour ramener (peut-être?) les gens à penser que voter sert vraiment à quelque chose.

Preuve en est que, quelles que soient les casseroles que certain(e)s se trimballent, ils arrivent malgré tout à gagner une immunité parlementaire.

Alors quels enseignements tirer à chaud ?

Le parti communiste vient de gagner une députée européenne grâce à Mélenchon (c'était du temps où le Front de Gauche fonctionnait ailleurs qu'au Haillan). J'espère que JLM n'en profitera pas pour faire une déclaration assassine dont il a le secret.

Chez nous, il vient d'être mis fin au cumul dans le temps et dans le territoire, de la député sortante : elle va pouvoir maintenant se consacrer à temps plein à son mandat municipal. L'aggravation de la loi El Khomri se fera sans elle. Je n'ai pas entendu de prise de position de son ancien suppléant qui avait pour dircab le nouveau député. Ce dernier avait abandonné à temps et fort opportunément le pédalo socialiste pour rejoindre le vaisseau marchant. Peut-être ce nouvel élu ne me tournera-t-il pas, lui, le dos pour éviter de me saluer ? Et si je lui envoie une requête ou une invitation, peut-être accusera-t-il réception ?

A part ça, comme je n'avais pas été voter au premier tour pour manifester ma colère devant la désunion, il me restait les deux bulletins de gauche. J'ai donc mis un bulletin PCF et un bulletin FI dans la même enveloppe puisque, s'il y avait eu unité, ils auraient été au second tour. Et comme je l'ai dit plus haut, marre de voter blanc tant que ces bulletins ne seront pas comptabilisés. Geste vain, et même si la présence au second tour ne suffit pas puisque sur les 9 neo aquitains FI, un seul a été élu.

FI : 20% des voix au 1er tour de la présidentielle ; 75 candidats au second tour des législatives (13%) ; 17 élus : moins de 3%.

Proportionnelle, vous avez dit proportionnelle ?

Et ce n'est pas fini...

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Bordeaux – Kalambaka.

18 Juin 2017, 09:14am

Publié par Bernardoc

C'est la troisième fois que nous allions à Kalambaka, mais la deuxième fois avec le comité de jumelage et c'était une occasion exceptionnelle puisque c'était le 25ème anniversaire du dit jumelage. Il ne restait que deux vétérans qui avaient participé à tous les échanges.

Comme toujours, quelques photos du départ, de l'arrivée en Grèce et de la gare de Kalambaka où se faisait la réception par les familles, même si nous n'avions pas pris un des deux trains quotidiens qui relient Athènes à cette ville. Cinq heures de route en car sont quand même nécessaires pour accomplir le trajet. Nous n'avions que la route à traverser pour rejoindre Ilias et Soula, nos hôtes. L'accueil fut absolument chaleureux, comme lors de la fois précédente, et les deux jours complets furent absolument bien remplis.

Mais ça, c'est une autre chronique !

Et ce n'est pas fini...

Bordeaux – Kalambaka.
Bordeaux – Kalambaka.
Bordeaux – Kalambaka.
Bordeaux – Kalambaka.
Bordeaux – Kalambaka.
Bordeaux – Kalambaka.
Bordeaux – Kalambaka.
Bordeaux – Kalambaka.

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