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Le blog de Bernard SARLANDIE

Légende de la savane.

8 Juillet 2021, 09:21am

Publié par Bernardoc

Une autrice africaine disait : « Ce n'est pas toujours vous qui allez vers les livres, parfois c'est un livre qui vient vers vous ».

C'est le cas du livre ci-dessus, Prix d'excellence que j'ai reçu en quittant l’École Maternelle de la rue St Luc à Paris 18°, il y a...bien longtemps.

A la lecture de ce livre, je me suis dit qu'il faudrait que j'aille voir en Afrique, ce lieu qui m'avait ébloui. C'est ce que j'ai fait lorsque je suis parti au Ghana comme VSNA (Volontaire au Service National Actif) en 1975.

Je pense que ce qui m'avait d'abord séduit étaient les belles illustrations de Jean ACHE (même si je savais déjà lire).

La légende de Matar et Coumba se transmet de père en fils depuis des générations, et elle nous est contée, traduite, par André DEMAISON (1883 - 1956), un Bordelais, grand spécialiste de l'Afrique occidentale.

Le récit commence par une description de ce couple et de ses relations avec les animaux, domestiques ou sauvages. Tout se passe en bonne entente jusqu'à l'arrivée de cavaliers maures armés qui emmènent nos deux héros vers la cour du roi. Ce dernier leur impose des épreuves qu'ils parviendront à surmonter grâce à l'aide des animaux sauvages qu'ils avaient aidés, jusqu'à sauver le fils du roi qui les libèrera et les couvrira de cadeaux.

Mac semaine dernière, j'ai lu un conte gascon à une classe de CP : c'était exactement le même thème...universel.

Ce livre, devenu collector je pense, a été publié en septembre 1954 aux Editions BIAS, Paris, dans la collection « Jeunes années ».

Et ce n'est pas fini...

 

 

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Quelle affiche !

7 Juillet 2021, 09:02am

Publié par Bernardoc

Ça avait quand même une autre gueule que "Les Enfoirés".

Et ce n'est pas fini...

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Saint Emilion

6 Juillet 2021, 09:28am

Publié par Bernardoc

Quelques photos au hasard d'une belle journée.

Et ce n'est pas fini...

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Intéressant

5 Juillet 2021, 09:41am

Publié par Bernardoc

Extrait du bulletin municipal de Périgueux (ville de gauche, mais j'avais fait la même réflexion concernant Hyères, ville de droite) : chacune, comme Bordeaux, la métropole bordelaise ou ma ville font référence à la même loi concernant la démocratie de proximité, mais chacune l'interprète à sa façon : certaines attribuent la même surface à chaque groupe représenté, quelle que soit son importance numérique ; d'autres leur accordent une importance visuelle proportionnelle, et enfin, Périgueux, considère que sur les 32 pages du bulletin municipal, la majorité a 31 pages pour s'exprimer et donc n'a pas besoin d'un espace supplémentaire ; la totalité de la page consacrée à l'expression libre est donc réservée à l'opposition.

A méditer.

Et ce n'est pas fini... 

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Musée Carnavalet.

4 Juillet 2021, 18:17pm

Publié par Bernardoc

C'est le musée de l'histoire de Paris. Ma dernière visite remontait à plusieurs décennies ; il vient de rouvrir après une restructuration.

J'avais réservé à l'ouverture à 10 heures, et il y avait du monde. L'entrée était gratuite, mais pas l'exposition temporaire consacrée à Cartier-Bresson vers laquelle je me suis précipité : excellente rétrospective, à voir absolument.

Ensuite, je me suis dirigé vers les collections permanentes. J'ai trouvé qu'il n'était pas évident de suivre une progression chronologique, mais peut-être aurais-je dû regarder le plan avec davantage d'attention.

La visite fut agréable, mais je fus un peu déçu (c'est un euphémisme) par le peu d'intérêt manifesté pour la Commune, surtout en ce 150ème anniversaire. La Révolution française en revanche était bien représentée.

Des casiers gratuits sont à disposition pour se délester des sacs ou pièces de vêtement ; quant à la gratuité de la visite, je me demande si c'est dû à l'ouverture ou si cela va être pérenne. En tous cas profitez-en vite !

Et ce n'est pas fini...

Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.
Musée Carnavalet.

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Ouf !

2 Juillet 2021, 17:34pm

Publié par Bernardoc

Il y a eu un gros bug : mon blog avait disparu et je n'ai rien pu publier depuis le22 juin. C'est réparé, je vais pouvoir à nouveau vous faire profiter de mes trouvailles et de mes réflexions.

A très bientôt.

Et ce n'est pas fini...

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Dans la solitude des champs de coton.

22 Juin 2021, 09:11am

Publié par Bernardoc

C'est la première fois que j'allais dans ce théâtre de la porte de Vanves, qui s'ouvre sur un jardin dans lequel on nous déploie des chaises longues pour attendre le début du spectacle. Salle pleine ici aussi, avec les distances barrières règlementaires.

Je ne connaissais ni l'auteur, ni la pièce, mais je pensais y retrouver des souvenirs à une pièce que nous avions jouée en espéranto il y a quelques années, dont une partie se déroulait dans les champs de coton. Eh bien, pas du tout !

La photo rend bien compte de l'atmosphère étouffante de cette pièce, par ailleurs magnifiquement interprétée.

La pièce de Bernard-Marie KOLTES fut écrite en 1985. Comme la plupart de ses œuvres, cette pièce met en scène la perpétuelle et vaine tentative de communication entre les hommes.

Souvent, quand je vais à Paris (c'était la première fois depuis 18 mois) je vais voir des spectacles distrayants ; ce ne fut pas le cas. Alors, surtout, n'allez pas voir ce spectacle si vous avez le blues, car vous en sortirez encore plus déprimé.

Bravo à Mata GABIN et Charles BERLING de porter ce dialogue éprouvant avec talent !

Et ce n'est pas fini...

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Atelier des Lumières.

21 Juin 2021, 10:20am

Publié par Bernardoc

Mardi, pendant mon assemblée générale, je reçois un SMS : « Coucou Bernard, j'ai un billet pour l'atelier des lumières mercredi à 17 heures ; impossible de l'annuler ; veux-tu en profiter ? »

C'était une belle surprise, et en plus compatible avec ma soirée théâtrale du soir.

Ayant vu Klee et Klimt aux Bassins de lumières à Bordeaux il y a quelques jours, je voulais aller voir un spectacle de lumières dans un autre lieu. Celui-ci concernait Gaùdi et Dali.

Lorsque j'ai pénétré dans l'enceinte, je me suis retrouvé au milieu des tours de la Sagrada Familia, c'était assez impressionnant. Puis je me suis assis et n'ai plus bougé jusqu'à la fin du spectacle. Mais comme aux Bassins de lumières, on se demande toujours si on n'en loupe pas une partie.

Et on prenait soin des spectateurs, puisque le lieu était climatisé, ce qui était appréciable avec les 35° à l'extérieur.

Et ce n'est pas fini...

Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.
Atelier des Lumières.

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L'un de nous deux.

20 Juin 2021, 11:54am

Publié par Bernardoc

Ouf ! La séance n'avait pas été annulée, contrairement à ce qui m'était arrivé la veille. Rue de la Gaîté, quartier Montparnasse, pièce historique avec un duo comprenant Christophe BARBIER (oui, l'homme à l'écharpe rouge, qui est passé devant moi avec cette écharpe, malgré les 35°!).

Le théâtre était presque plein (avec les distances réglementaires, les masques et l'obligation de gel, même si je venais de le faire dans un bar à dix mètres).

L'action (?) se déroule à Buchenwald où Léon BLUM avait déjà été déporté. Nous assistons à un dialogue entre Georges MANDEL, ancien ministre de droite proche de Clémenceau et l'admirateur de Jaurès. Ayant malgré tout une estime réciproque, ces deux politiciens passent leur temps à se chicaner devant les fenêtres de leur prison concentrationnaire. Heureuse mise en scène qui permet de voir et d'entendre les évènements qui mettent le camp en émoi.

Leur geôlier leur annonce l'assassinat de Philippe HENRIOT, ministre de l'information de Pétain et leur laisse présager la loi du talion : un des deux sera exécuté.

La dernière partie de la pièce sera une réflexion entre les deux hommes pour essayer de prévoir quelle sera la victime choisie par l'Allemagne nazie. Ce sera Mandel, qui refuse les remerciements de Blum.

Excellent spectacle, avec des acteurs qui se sont fait des têtes ressemblantes (alors que dans ma mémoire j'avais Jacques VILLERET interprétant Mandel) et qui ont pris plaisir à jouer ensemble comme en témoigne leur accolade finale pendant le salut (vous avez dit gestes barrières?).

Et enfin, je me suis rendu compte de la grande confusion mémorielle qui régnait dans ma tête : je ne me souvenais plus que Blum avait été déporté (et pourtant j'ai visité le camp de Buchenwald) et je pensais que Mandel avait été assassiné dans le Médoc, dont il avait été député pendant plus de seize ans.

Et ce n'est pas fini...

 

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De la Tour Eiffel aux Invalides.

19 Juin 2021, 19:32pm

Publié par Bernardoc

Mardi, après mon assemblée générale, c'est avec le guide Paris buissonnier (« promenades de charme pour traverser la capitale hors des sentiers battus ») que j'allais profiter de cette fin d'après-midi ensoleillée. C'est une partie de la balade décrite et en plus à l'envers, ce qui implique de réfléchir pas mal pour suivre l'itinéraire.

Première surprise : on ne peut plus passer sous la Tour Eiffel, à moins de payer. En effet une palissade de verre d'environ 2,5 mètres de haut entoure le monument à une distance certaine. De toutes façons la Tour était fermée jusqu'à mi-juillet m'a dit un gardien.

Ensuite le Champ de Mars était coupé en deux par des tribunes destinées à accueillir un concours de sauts à cheval.

Après avoir fait un détour, je découvre le Grand Palais éphémère, construit pour abriter les évènements pendant les années de réhabilitation du Grand Palais en bas des Champs Elysées.

En le contournant, je passe devant l'école militaire pour arriver aux Invalides, entourée de douves, et « défendue » par de nombreuses statues de militaires, dont celle de Lyautey, à côté de laquelle se dresse une stèle rappelant l'appel du roi du Maroc Mohamed V à défendre la « mère patrie » lors de la deuxième guerre mondiale.

Puis, je pris le métro vers Montparnasse, en espérant que la pièce de théâtre que j'avais à mon agenda ne serait pas annulée comme l'avait été celle de la veille.

Et ce n'est pas fini...

De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.
De la Tour Eiffel aux Invalides.

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