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Le blog de Bernard SARLANDIE

(Ir)Responsable ?

16 Août 2013, 14:28pm

Publié par Bernardoc

         « Rien ne saurait justifier qu'un gouvernement de gauche se laisse entraîner...vers un recul social pour le plus grand nombre.

         ...Nous devons simplement absorber en 2020 le baby-boom des années 1950 à hauteur de 2O milliards d'euros, c'est à dire l'équivalent du crédit d'impôt emploi compétitivité décidé en quarante huit heures à la suite du rapport Gallois...

         ...Les mesures Balladur puis Fillon n'ont...eu pour seule conséquence qu'un recul de 28% de la moyenne des pensions : bel exploit !...

         Le Parti socialiste...a adopté deux textes qui apportent des solutions sans toucher ni aux durées de cotisations ni à l'âge légal. Le gouvernement doit nous entendre sur ce point. »...

         Et non, comme le pensait sûrement le contempteur habituel d'un ancien (grand) ministre de l'enseignement professionnel, le texte ci-dessus n'est pas de Mélenchon, mais d'un secrétaire national du PS, accessoirement (?) vice-président de la région Aquitaine, Stéphane Delpeyrat-Vincent, dans une tribune libre de Sud Ouest de mardi dernier. Il termine son article en montrant bien le peu d'espoir qu'il met dans son intervention par une citation dont l'ironie amère ne vous échappera pas : « Oui notre monsieur, oui notre bon maître », ne touchez pas à nos retraites.

         Nous savons très bien que les gouvernements, quels qu'ils soient, n'ont que mépris pour les électeurs qui leur ont permis d'être là où ils sont, leur seul objectif étant d'apparaître bons élèves aux yeux de la troïka et du patronat.

         Une telle prise de position d'un élu, aussi courageuse et louable soit-elle, ne sera malheureusement qu'un coup d'épée dans l'eau et je crains que LA manisfestation (à ma connaissance il n'y en a pas d'autres prévues) n'aboutisse au même résultat.

         Alors ne serait-il pas mieux d'utiliser nos institutions élues (et donc représentatives) pour faire remonter au gouvernement des motions en ce sens ? D'abord que SDV fasse approuver sa prise de position par le conseil régional d'Aquitaine, dont le président la ferait approuver par l'ARF, les conseils généraux, majoritairement socialistes feraient de même, et les conseils municipaux retrouvant enfin une vraie dimension politique pourraient envoyer le message au gouvernement : ce ne serait pas la rue, mais les élus responsables qui diraient au gouvernement : Fausse route !

Et ce n'est pas fini...

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Lu dans "Marianne".

12 Août 2013, 07:29am

Publié par Bernardoc

         Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce magazine, ce n’est pas une revue gauchiste et elle se laisse parfois aller à du « Mélenchon bashing ». Pourtant, dans les pages du sommaire de son dernier numéro, elle glisse un court article pointé sous l’appellation : « Personne n’en parle », et qui a trait à la politique économique étatsunienne. Il n’y a pas besoin de dessin, tellement les faits sont clairement expliqués.

         Le chapô indique d’abord : Le protectionnisme existe (surtout aux États-Unis). Washington n’accepte que ce qui est bon pour ses intérêts, la preuve dans le conflit entre Apple et Samsung.

         Ceci est complété par un insert : Au pays du copyright roi, Apple, reconnue coupable de contrefaçon, a été sauvée par l’exécutif.

         C’est ainsi que le traité de libre-échange signé avec Séoul en 2007 se révèle avoir été un marché de dupes, digne des promesses électorales qui n’engagent…Vous connaissez la suite.

         Or, que se passe-t-il dans l’indifférence générale, à part bien sûr les critiques et mises en garde du Front de Gauche ? L’Europe négocie un grand marché transatlantique, ce qui favorisera l’arrivée au sein de l’UE d’encore davantage de produits, manufacturés ou non (nos agriculteurs ont du souci à se faire).

         Pourtant l’exemple récent mentionné ci-dessus devrait nous mettre la puce à l’oreille : L’Amérique n’acceptera que ce qu’elle jugera bon pour elle.

         Merci à Marianne pour ce salutaire rappel.

Et ce n’est pas fini…

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Soyons chauvins !

11 Août 2013, 00:45am

Publié par Bernardoc

         Il y a quatre ans (depuis que j’ai pris ma retraite) que je n’avais mis les pieds au stade. Poussés par Guilhem, nous l’avons accompagné hier soir pour le match d’ouverture de la saison : le nouveau promu Monaco contre le vainqueur de la coupe de France. Avec 32 158 spectateurs, le stade était comble et la tribune des visiteurs fort bien remplie. Nous n’étions pas aux places que j’avais fréquentées pendant trois ans à la tribune d’honneur, mais dans le virage nord, avec malgré tout une vue tout à fait correcte.

         Nous n’avons pu gagner nos places que 6 mn après le coup d’envoi tant il y avait de cohue vu que toutes les grilles d’entrée n’étaient pas ouvertes. La première chose qui m’a frappé fut les chaussures fluorescentes jaune ou orange de la majorité des joueurs. Je suppose qu’elles sont censées faire de la pub pour une marque, mais comme je ne sais pas laquelle, cela ne m’a pas dérangé. Dès le départ Carrasso, le gardien de but fit des arrêts remarquables et l’ovation qu’il reçut n’avait rien à envier à celles qui étaient adressées au Rame de la grande époque. J’ai découvert les longues jambes et les pointes de vitesse de Sané ainsi que la grande combattivité de Poundjé. Plašil, très bon capitaine, fut mis à mal par deux fois, lors d’un coup franc direct qu’il reçut en pleine figure et lors d’un tacle bien appuyé qui l’obligea à quitter brièvement le terrain.

         Nous attendions impatiemment le premier but des Girondins dont les dribbles et les constructions furent souvent remarquables. Eh bien la mi-temps survint sur un score vierge, et il fallut attendre les dix dernières minutes pour que Monaco crucifie l’équipe locale en marquant deux buts.

         Vraiment, au vu du match, le FCGB ne méritait pas ça. Souhaitons-leur plus de réussite la semaine prochaine à Toulouse contre le TéFéCé.

         Quatre photos du stade hier soir sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/StadeAout2013?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIS3s7-06rDOBA&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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Ces années-là...

10 Août 2013, 08:19am

Publié par Bernardoc

         Dans le numéro de cette quinzaine (vacances obligent !), L’Huma dimanche produit un intéressant dossier sur les années 60, sous-titré : « années bonheur ? », et effectivement le « ? » est important. Ce furent les années de Gaulle, et le basculement vers une nouvelle société après « les évènements » de mai 68.

         Avec justesse, l’HD date le début des années 60, précisément le 19 octobre 1959, 17 heures, début de la première émission de Salut les copains sur Europe 1. Je n’ai jamais écouté cette émission, mais j’étais un grand fan du journal du même titre, et j’étais imbattable sur les potins des yéyés à l’époque.

         Après une scolarité primaire et un début de lycée de garçons, je découvrais la mixité dans ce qui était alors un petit lycée de province, dans la ville où mon père avait été muté. Si bien que je n’ai pas vécu le début du confort des HLM qui furent construits en masse à cette époque pour offrir des logements décents à la population. Et c’est vrai que les gens y étaient heureux, et cela a duré une bonne vingtaine d’années, puisque nous en avons fait l’expérience entre 1977 et 1983. 

         1964 : premier voyage à Londres en solitaire : les minijupes britanniques faisaient paraître les françaises très longues ! C’était premiers monokinis, si scandaleux, mais tellement émoustillants ! Et à l’époque où les disques des Beatles sortaient en Angleterre, avant d’être repris, en français, de l’autre côté de la Manche.

         Et lorsque le supermarché Casino à ouvert à Hyères, quel synonyme de progrès pour mes parents qui pouvaient faire leurs courses en un seul endroit, et sans tourner pendant de longues minutes pour trouver une place pour la voiture qu’ils venaient d’acquérir.

         Et puis la fac à Nice, mon engagement (modeste) à l’UNEF (nous étions 4 sur 160 dans mon amphi d’anglais !) ; mai 68 : mes parents venant me récupérer et moi préférant rester faire la révolution !...

         Alors, « années bonheur ? » : en tous cas, sûrement meilleures que pour ceux qui avaient vécu leur adolescence dans les années 40.

Et ce n’est pas fini…

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La vie des vieux.

9 Août 2013, 10:14am

Publié par Bernardoc

La ministre en charge des vieux nous invite sur FB à lire le journal La croix, qui consacre un dossier à cette tranche de population. Qu’y apprend-on ?

Sur les 16, 4 millions de retraités, 600 000 reçoivent le minimum vieillesse, soit 787,26 € par mois. 311 000 ont repris une activité professionnelle pour arriver à s’en sortir.

Depuis le gouvernement de gauche de Pierre MAUROY, 60 ans était devenu l’âge de départ à la retraite. En 2011, l’âge moyen de départ était de 61,9 ans, soit pratiquement deux ans de plus. Et pourtant, malgré les gouvernants de la droite officielle des dix dernières années, il me semble que le recul, dû à l’augmentation du nombre de trimestres cotisés, ne devait pas être si rapide.

Le bénévolat dans les associations augmente de 31% à la retraite, mais curieusement la part la plus grande se situe après 65 ans (51% contre 45% entre 50 et 65 ans, mais c’est une période où fort peu sont les retraités. Moi, je pense que je ralentirai encore plus après 65 ans, comme je l’ai fait déjà fait depuis ma retraite. 

Quant à la pension moyenne, elle s’élevait, pour la même année, à 1 256 € ; c’est déjà mieux que le minimum vieillesse, mais c’est encore loin du Smic revalorisé à 1 700 € que nous réclamons. Et quand on pense que les prélèvements sur ces maigres sommes vont augmenter…

Parmi les activités qui sont pratiquées davantage qu’avant, arrive en tête le jardinage et le bricolage et en queue de peloton le cinéma. Tiens, tiens, cela ne serait-il pas en corrélation avec les chiffres ci-dessus : moins de sous, donc impossibilité de faire travailler les artisans (qui trouveront bien assez de travail chez les actifs) et nécessité de restreindre ses sorties culturelles.

 « Les seniors sont le pilier de notre société ! La preuve en chiffres » écrit la ministre. Oui Madame, la preuve en chiffres vous la verrez dans la rue le 10 septembre, notre premier rendez-vous pour éviter la casse de ce que nous avons construit au cours de notre vie d’actifs.

Et ce n’est pas fini…

 

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Narcissiques, machiavéliques et psychopathiques.

8 Août 2013, 09:32am

Publié par Bernardoc

         Narcissique : porté vers l’amour de soi, la contemplation de soi-même.

         Machiavélique : qui emploie la ruse, la mauvaise foi, le mensonge…pour parvenir à ses fins.

         Psychopathique : qui présente une anomalie des instincts et de l’affectivité.

         Vous vous reconnaissez dans cette « triade noire » ? En fait ce sont des traits de caractère que l’on retrouve également chez certains primates de la savane.

A quelle heure vous cou chez-vous ?  Si tard ? Alors ce n’est pas étonnant ! C’est du moins ce que prétend une étude scientifique australienne.

Il n’est pas précisé si ceux qui se couchent tôt sont altruistes, francs et candides ou bien névropathiques.

Lorsque j’étais en activité, je dois dire que je n’ai jamais remarqué ces caractéristiques chez mes élèves : ceux qui se couchaient tard s’endormaient en classe, et lorsqu’on leur supprimait la télévision de leur chambre, ça allait tout de suite beaucoup mieux. Ce qui n’empêchaient pas certains autres, lorsque j’étais en Polynésie, de piquer du nez, mais c’est qu’ils avaient abusé du rhum-rhum-rhum-coca en chemin !

Je ne me suis jamais livré à des études similaires et à la généralisation qui semble en découler, mais il me semble que 263 « cobayes » est un nombre un peu faible pour en tirer de telles conclusions.

Et ce n’est pas fini… 

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Grrrr !...

7 Août 2013, 17:32pm

Publié par Bernardoc

         Putains de vacances ! Cette année, comme il n’y a pas de grand voyage de prévu (à part Madrid quand les actifs auront repris le boulot), nous faisons des escapades au mobil home, soit les fins de semaines avec Maeva, soit la semaine pour nous. Nous étions partis lundi et devions rentrer jeudi soir bien bronzés. Tu parles ! Chassés par la pluie et la température, nous sommes rentrés aujourd’hui en début d’après-midi. Nous n’avions pas prévu d’habits pour une température inférieure à 20°. Heureusement la mer était bonne lundi et mardi.

         A la maison, il ne fait pas plus chaud, il pleut autant, mais nous avons plus de place et nous sommes davantage connectés. Je me demande si le chauffage va se remettre en route ce soir : un vrai temps à faire une dépression saisonnière hors saison !

         J’espère qu’il ne fera pas ce temps-là pour le prochain match !

Et ce n’est pas fini…

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Vacances.

5 Août 2013, 13:50pm

Publié par Bernardoc

         Si vous avez le temps, voici une proposition de tour de France pour vos vacances. Nous allons commencer par Biarritz (jusqu’au 6 octobre : exposition L’art mexicain 1920-1960, éloge du corps). Puis nous vous proposons de continuer dans le sens inverse des aiguilles d’une montre avec une escale à Toulouse (rétrospective Jean-Marie PERIER jusqu’au 25 août). Marseille nous accueillera ensuite dans le cadre des manifestations de la capitale européenne de la culture. Nous longerons ensuite la côte d’azur pour arriver jusqu’à Nice (un été pour Matisse, avec 8 expositions jusqu’au 23 septembre).

         Quittant la Provence, nous remontons vers le nord avec une première étape à Lyon (concert de carillon à l’hôtel de ville, jusqu’au 14 septembre). Escale suivante : Dijon (visite de la magnifique vieille ville) avant d’arriver à Reims (les 16,5 hectares du cimetière paysager).

         Traversant la France (en évitant Paris), nous arrivons à Rouen (exposition L'art et l’enfant : les voies de l’éducation esthétique XIX-XXI siècle • Musée national de l'éducation, jusqu’au 1er septembre). Et comme c’est la ville où l’apéro est le moins cher, nous en profiterons pour visiter l’orangerie du jardin des plantes qui nous propose « Les zones humides, entre terre et eau ».

         Poussant jusqu’en Bretagne, nous visiterons St Malo, cité corsaire, avant de rejoindre la capitale de la province, la cité des ducs de Bretagne, Nantes. Ferons-nous un détour pour apporter notre soutien aux résistants de Notre dame des Landes en chemin ?

         Et nous terminerons notre périple par Limoges, berceau de la CGT et du travail de la porcelaine, toujours bien présente dans la cité.

         Sympa, non, mon tour de France ? Et construit en ne visitant que les villes où l’apéro est le moins cher, ce qui ne gâte rien !

Et ce n’est pas fini…

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Festival 2013 des pays du Sahel.

4 Août 2013, 13:26pm

Publié par Bernardoc

         Il existe depuis de nombreuses années à St Médard en jalles, mais c’est la première fois que j’ai pu le visiter. L’endroit, la gare cycliste, est fort bien choisi et la nuit, on se croirait dans la savane arborée burkinabé. Le public était fort nombreux, venu de tout le quadrant nord- ouest de la CUB et pas seulement de la ville hôte.

         Nous sommes accueillis par un marché artisanal africain avec des fabrications authentiques venant directement des pays avec lesquels fonctionne une coopération décentralisée, comme Foundiougne au Sénégal dont les liens avec Martignas sont bien connus. Il y avait aussi la possibilité de se faire tailler sur mesure un habit dans des chatoyants tissus africains. Et bien entendu une restauration était organisée ; et devinez qui était aux fourneaux ? Safiatou FAURE, la cheville ouvrière de ce festival !

         Après une première visite l’après-midi, nous sommes revenus juste pour le dernier spectacle : le ballet Fambondy de Casamance (qui est en tournée en France cet été), créé par un ancien prof de gym qui nous a expliqué qu’au bout de quinze ans d’enseignement, il s’était rendu compte qu’il pourrait avoir une action plus utile envers les jeunes Sénégalais en les invitant à faire vivre leur culture ancestrale.

         La soirée devait se terminer par un « bal poussière », mais nous sommes partis avant, et nous n’étions pas les seuls, car si l’ambiance était sahélienne, le temps, lui, ne l’était pas, et même si l’harmattan nous a épargnés, il ne faisait pas très chaud après minuit.

         Quelques (mauvaise) photos (comme d’hab ?) pour illustrer mes propos sous le lien :

https://picasaweb.google.com/112734244000396611033/20130804FestivalSahel?authuser=0&authkey=Gv1sRgCJeFj77I34X9ZQ&feat=directlink

Et ce n’est pas fini…

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828 km de bouchons.

3 Août 2013, 19:44pm

Publié par Bernardoc

         Comme chaque année, les Français qui le peuvent (et ils sont de moins en moins) se sont précipités sur les autoroutes pour s’échapper des villes et aller s’entasser sur les bords de la Méditerranée, de l’Atlantique ou outre Pyrénées. Si l’on en croit le dictionnaire, une autoroute est une « large route réservée à la circulation automobile rapide, à deux chaussées de sens contraire séparées par une berme médiane, et libre de tout obstacle, de tout passage ou croisement à niveau ».

         Il semblerait que la définition soit incomplète, à tout le moins devrait-elle être interprétée. C’est vrai qu’en principe la circulation est plus rapide sur une autoroute, mais quel est le gain de temps véritable lorsque nous devons patienter de longues minutes à des péages, toujours à l’entrée, mais même quelques fois à la sortie (nous en avons fait l’expérience à Noël dernier).

         L’autoroute est censée être « libre de tout obstacle » ; mais qu’est-ce donc que les barrières de péage sinon des obstacles destinés à nous faire perdre du temps ? Lorsque la France a commencé à construire des autoroutes, elle a fait le choix de demander aux utilisateurs de les financer : c’était le PPP (Partenariat Public Privé) avant l’heure. Et il était question de supprimer ces obstacles une fois que ces voies auraient été amorties. Et que s’est-il passé ? Une fois qu’elles ont été amorties, l’Etat méprisant, au lieu de nous les rendre, les a vendues à des compagnies qui continuent à nous faire payer. Et comme si ça ne suffisait pas, des voies express dont tous les usagers étaient contents (par exemple entre la Gironde et le pays basque) se voient attribuer le statut d’autoroutes après l’installation de barrières de péage. Où est le sens du service public et d’aménagement du territoire dans une telle réalisation ?

         Pour terminer sur un sourire, une citation de Patrick SEBASTIEN : "C'est un scandale. J'ai pris l'autoroute à contresens, et on ne m'a même pas remboursé."

Et ce n'est pas fini...



 

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