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Le blog de Bernard SARLANDIE

Ca se précise...

7 Décembre 2010, 17:02pm

Publié par Bernardoc

         Le premier article du blog, celui de Laurie Bosdecher, se terminait en disant que j’allais peut-être manquer de temps pour continuer de voyager. C’est vrai que ce ne fut pas facile, mais il y eut quand même cette année un voyage autour de Londres pour moi et notre voyage espérantiste à Cuba en juillet.

         Mais nous avons essayé de forcer le calendrier et après notre voyage humanitaire à Koudougou en février (où nous retrouverons des souvenirs créés en janvier 1976), nous ferons un voyage un peu plus long - un peu plus loin - au fenua en nous partageant entre Huahine, BoraBora et Tahiti. J’avais pourtant dit que je ne reviendrai pas en Polynésie, à moins d’avoir gagné le voyage, mais l’occasion fait le larron et les retrouvailles d’amis via internet nous laissent penser que l’accueil reste une tradition du fenua, comme le disait la pub il y a un peu plus de vingt ans quand nous avons réintégré la métropole.

         Et avant l’été une mini-croisière nous entrînera en chansons autour de la Méditerranée.

         Donc, probablement le GCU l’été prochain (nous laisserons tomber le congrès universel d’Esperanto de Copenhague, en nous réservant pour Hanoï en 2012).

         Et enfin, à la rentrée des actifs, voyage à Berlin et Dresde avec l’AMOPA.

         Dans quel état serons-nous les années suivantes ? Nous n’en savons rien et nos pensions auront alors sérieusement décroché des salaires. Alors, profitons-en !

Et ce n’est pas fini…

 

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A propos d'un fait divers dramatique

6 Décembre 2010, 14:01pm

Publié par Bernardoc

         Il y a plusieurs semaines un lycéen s’est immolé par le feu dans un couloir de son établissement. Une telle horreur a traumatisé non seulement les témoins, mais également toute la ville de Bordeaux. Comment un élève, que les journaux disaient sans problème, a-t-il pu arriver à commettre l’irréparable ? Faut-il qu’il se soit senti abandonné, sans porte à laquelle frapper, sans oreille bienveillante pour entendre sa détresse !

         Pourtant, le chef d’établissement a fait état des commissions de suivi régulières censées détecter et suivre les « cas difficiles ». Rien n’y a jamais transpiré concernant la victime.

         Dans les établissements que j’ai dirigés, j’avais mis en place de telles commissions auxquelles participaient régulièrement les  partenaires qui voyaient nos élèves en dehors du collège et dont le témoignage pouvait nous éclairer sur des comportements que nous avions certaines difficultés à analyser. C’est une instance indispensable pour arriver à réguler, canaliser puis éradiquer les dérapages qui pourraient mettre en péril la collectivité.

         Cependant, malgré toutes les procédures mises en place et l’implication de l’ensemble des membres de la communauté éducative, j’ai toujours été angoissé par la possibilité qu’un tel évènement puisse se produire à l’intérieur (ou à l’extérieur) du collège.

         J’ignore si le ministre, qui a fait le déplacement jusqu’à Bordeaux, a proposé des gens en uniforme pour améliorer l’encadrement. Mais ce n’est pas de policiers dont les établissements scolaires ont besoin, mais d’assistants d’éducation (en insistant sur le deuxième terme), de CPE, d’assistantes sociales, de médiateurs formés (tels qu’ils existaient du temps des aide-éducateurs)…C’est en répondant aux besoins en personnels et en multipliant les espaces d’écoute que l’on peut espérer que ce fait divers ne reste qu’une dramatique et triste exception.

Et ce n’est pas fini…

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Mort pour la France ?

5 Décembre 2010, 16:39pm

Publié par Bernardoc

         Aujourd’hui est une des dates retenues pour honorer les morts FRANÇAIS en Algérie. Vous savez, ce qu’on appelait « les évènements », du temps où Robert LACOSTE représentait la France dans cette colonie et où un ministre promis à un bel avenir, François MITTERRAND osait proclamer : « L’Algérie, c’est la France ! ».

         Pourtant, je me souviens - je n’avais pas dix ans à l’époque - les soldats étaient loin de partir la fleur au fusil : personne ne voulait partir pour cette sale guerre et y laisser sa peau et nos cimetières sont encore là pour témoigner du gâchis. Et l’on pouvait même mourir en restant dans l’hexagone et militant pour la paix : rappelez-vous Charonne !

  

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     Peu de monde à cette cérémonie au monument aux morts du Haillan, monument que je trouve belliqueux puisqu’il est dédié « à ses fils vainqueurs ». Personnellement, je préfère le monument de Gentioux dans la Creuse, avec cet écolier en blouse et en sabots qui s’exclame, le poing levé : « Maudite soit la guerre ».

 

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     Curieusement, alors qu’il y a une stèle place Henri Bos avec le nom d’un seul Haillanais mort en Algérie, les gerbes sont cependant déposées au pied du monument dédié aux morts des deux guerres mondiales.

  

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    Le message ministériel faisait référence aux civils tués lors de cette guerre coloniale et Andrea, la première adjointe, a fait remarquer dans son allocution que la proportion entre civils et militaires tués lors d’un conflit s’était inversée depuis le début du siècle dernier : de neuf militaires pour un civil, on en était maintenant rendus à neuf civils pour un militaire.

         Quand nos politiques reprendront-ils le flambeau allumé en 1992 par le sénateur Marc BŒUF et quatre autres courageux sénateurs socialistes qui avaient déposé une proposition de loi pour le désarmement unilatéral de la France, car, comme le disait Paul VALERY : «La guerre est un massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas ».

Et ce n’est pas fini… 

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Gardez-moi de mes amis...

4 Décembre 2010, 11:44am

Publié par Bernardoc

…mes ennemis, je m’en charge !

  

       Hier matin, j’étais invité à une conférence organisée par la FGR sur le thème : « Allongement de la durée de vie : les vrais enjeux. » L’orateur était Pierre DELFAUD, professeur d’économie de l’Université de Bordeaux IV.

  FGR 001 

      Après une introduction par Claude LAVY, le président départemental de la FGR, qui nous a rappelé les éléments dont nous avons débattu depuis le mois de juin, ce fut le tour du conférencier : un discours très bien construit, de plus d’une heure, sans une seule note et dont le message à retenir concernant le financement des retraites était : « Les revenus que l’on peut transférer une année donnée sont liés aux richesses produites cette année-là. »

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    Rien de très nouveau donc pour les gens qui ont réfléchi au problème des retraites, qui n’est pas lié à un problème démographique, mais à un problème de financement.

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     Mais la surprise vint lors de la discussion qui a suivi la conférence, lorsque Pierre DELFAUD a affirmé péremptoirement que l’impôt le plus juste, c’était la TVA ! Il y eut quelques véhémentes protestations dans la salle car c’était, pour beaucoup d’entre nous, militants syndicalistes et consommateurs, la première fois que quelqu’un, économiste de surcroît, osait proférer ce que nous considérions comme une aberration. Qu’un RMIste ou un chômeur en fin de droits soit taxé de la même façon que Madame BETTENCOURT lorsqu’il achète une baguette de pain ou un tube de dentifrice ne me paraît pas un symbole évident de l’égalité républicaine tant que l’impôt sur le revenu ne joue pas son rôle dans la redistribution des richesses de la nation.

         C’est pour cela que la proposition de Jean-Luc MELENCHON d’établir un salaire maximum de 30 000 € est une chose sur laquelle je fonde beaucoup d’espoir pour faire cesser l’indécence affichée par ces parasites étalant leur fortune aux yeux des plus pauvres.

Et ce n’est pas fini…

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Nos voyages en cuisine.

3 Décembre 2010, 21:50pm

Publié par Bernardoc

  

Cuisine médiathèque 001 

      C’est le titre d’un livre qui vient d’être édité en partenariat avec la ville du Haillan, son Espace Socio Culturel et la Caf de la Gironde. Il est le fruit de l’atelier cuisine de l’ESC et était présenté ce vendredi soir à la Médiathèque du Haillan.

 

Cuisine médiathèque 008

         Toutes les cuisinières étaient là pour expliquer la genèse du livre et toutes les découvertes et les relations qu’il avait engendrées. Fabien, le responsable de la Médiathèque nous a dit le plaisir qu’il avait eu à le feuilleter et la surprise de découvrir la façon dont il était agencé, à savoir : quatre parties intitulées : « Les amis débarquent à l’improviste », « Epatez vos convives », « Prévoir et profiter de ses invités » et « Après-midi cuisine entre amis ».

  

Cuisine médiathèque 003       Le titre du livre indique bien que la cuisine présentée nous fait voyager à travers les cinq continents, et s’inscrit donc ainsi dans l’ouverture internationale de la municipalité. D’ailleurs, celle-ci a décidé d’acheter une cinquantaine d’ouvrages qui seront offerts lors des mariages à venir, plus précisément aux maris ! D’ailleurs, nous sommes invités à venir tester nos talents de cuisinier le samedi 15 janvier de 9h30 à 12h30 à l’ESC.

 

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       Comme il se doit, la présentation d’un livre de cuisine se devait de se terminer par une dégustation ; ce fut l’occasion pour tous les présents, fort nombreux – ce qui est réjouissant un soir de Téléthon – de goûter certains mets illustrant quelques unes des 57 recettes créées par nos cuisinières locales et internationales.

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Et ce n’est pas fini…

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Il neige !

2 Décembre 2010, 10:04am

Publié par Bernardoc

Pas beaucoup d'originalité, mais un album en ligne aujourd'hui.

Et ce n'est pas fini...

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Une maladie orpheline : le syndrome de Cornelia de Lange

1 Décembre 2010, 07:27am

Publié par Bernardoc

Le SCDL est un syndrome congénital, cela signifie qu'il est présent à la naissance. Un enfant ne présente pas nécessairement tous les signes ou symptômes.

C'est un syndrome rare, sa fréquence est de l'ordre de 1 pour 20 000 naissances. Il n'existe pas de critère unique pour établir un diagnostic définitif. La variabilité en est telle que seul un généticien expérimenté ou un médecin familiarisé avec le syndrome peuvent l'évoquer.


Y-a-t-il différentes formes d'atteintes ?


  Oui
. De nombreux médecins appellent syndrome Cornelia de Lange "modérée" la forme qui touche les enfants moins sévèrement atteints.

Les personnes touchées par le syndrome de Cornelia de Lange sont habituellement atteintes d'un retard mental, mais il existe une très grande variabilité dans la sévérité de ce handicap intellectuel.
  On trouve généralement un décalage des acquisitions:
retard du développement psychomoteur, position assise, marche,…

retard dans l'acquisition du langage.


Caractères morphologiques associés au SCDL


Traits du visage : petit périmètre crânien (microcéphalie), sourcils bien dessinés se joignant sur le milieu du front, longs cils, nez retroussé, lèvre supérieure longue et fine, bouche aux coins tombants.
Petite stature : à la naissance, les enfants ont habituellement un petit poids et une petite taille. Ils grandissent à leur propre rythme et suivent souvent une courbe de croissance qui a été établie pour le syndrome.
Anomalies des membres : pieds et mains petits, pli palmaire unique.

Excès de pilosité.

  D'autres anomalies liées au SCDL peuvent se rencontrer : anomalies du cœur.
Deux autres problèmes très importants liés au SCDL doivent étre pris en compte :
Reflux gastro-oesophagien : reflux de I'acidité de l'estomac dans l'oesophage, vomissements, régurgitations importantes.
Des problèmes visuels.

         Je n’ai mentionné que ce qui nous concerne. Si vous n’entendez pas parler du syndrome de Cornelia de Lange au cours du Téléthon, vous pouvez toujours consulter le site asso.orpha.net/AFSCDL où vous trouverez une présentation plus complète.

Et ce n’est pas fini…

 

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Le retour du charity business

30 Novembre 2010, 13:31pm

Publié par Bernardoc

         Voila, comme chaque année depuis plus de deux décennies, une fois que les feuilles sont tombées, nous allons devoir subir le Téléthon, avec toutes les pressions malsaines que cela entraîne : et vas-y que je te plume le maximum de pigeons dans le minimum de temps, et vas-y que je te sacrifie mon repos dominical pour aller faire le con applaudi par des badauds ébahis et généreux « parce qu’il faut bien avoir pitié »...

         Mais juste au début de l’automne, ce sont les établissements scolaires que le ministère de l’éducation nationale tente de mettre à contribution pour ELA (avec le soutien de l’intouchable Zizou) et la lutte contre les leucodystrophies.

         Peu de temps après, ce sont les virades de l’espoir, censées apporter des fonds pour lutter contre la mucoviscidose.

         1er décembre : journée mondiale de lutte contre le Sida, et d’ailleurs, l’an dernier, Pierre BERGE avait mis les pieds dans le plat, à juste raison selon moi, en critiquant le traitement de faveur médiatique  dont bénéficie le téléthon.

         Mais c’est aussi, avec l’approche du solstice d’hiver et les célébrations religieuses qui lui sont associées, les appels à la générosité pour la lutte contre le cancer.

         Sans compter les appels tout au long de l’année émanant de l’Unicef, de MSF, de Médecins du Monde, de la Croix Rouge, plus tous ceux qui ne me viennent pas à l’esprit maintenant, et qui nous prennent pour des planches à billets.

         Mais essayez de parler de justice fiscale, de redistribution des richesses, de prélèvements obligatoires accrus, notamment pour financer l’indispensable recherche médicale avec tous ces gens qui se mobilisent, et vous serez étonnés de voir la réaction négative de ces gens qui sont également prêts à réclamer une baisse des impôts tant nationaux que locaux. Et pourtant, il faut bien rémunérer le personnel des services techniques des villes du canton qui ont mis en place les infrastructures exigées par les organisateurs. Et les services publics ne peuvent fonctionner que grâce à l’impôt.

         Tiens, au fait, avez-vous entendu parler du syndrome de Cornelia de Lange ? C’est la maladie orpheline avec laquelle est née il y a plus de vingt cinq ans notre fille Maeva. Je vous en parlerai peut-être demain.

Et ce n’est pas fini…

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L'Aquitaine se réchauffe

29 Novembre 2010, 14:30pm

Publié par Bernardoc

…encore un doute ?


climat 004                                      C’était samedi dernier à l’espace socioculturel, une conférence à laquelle nous étions conviés dans le cadre de l’Agenda21. La salle était bien pleine, et tant la majorité que l’opposition municipales y étaient représentées dans leur diversité. Il faut dire que le conférencier, Hervé LE TREUT, professeur à polytechnique, avait une envergure internationale. C’est sans doute ce qui explique que l’audience dépassait largement le simple cadre haillanais.

 

climat 001

 

        La présentation conjointe par Jean-Alain et Annabelle fut introduite par l’extrait d’un documentaire très saisissant sur la côte médocaine et son recul incessant. Sud Ouest avait d’ailleurs publié il y a quelques années un livre illustrant les possibles modifications dans les années à venir, avec la Bassin d’Arcachon transformé en lac et Soulac se retrouvant sur une île.

 

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        Puis l’invité nous déroula son « power-point », écrit dans la langue de David CAMERON, comme il se doit (le français étant sans doute appelé à disparaître avec la montée des eaux !!), mais qui apparut fort peu didactique aux yeux du béotien que je suis. J’ai d’ailleurs utilisé une des rares diapositives que j’ai comprise, avec des camemberts qui indiquaient que l’influence des hommes représenterait environ 2% par rapport au chiffre du réchauffement naturel. Mon intervention se voulait nettement provocatrice car le professeur avait bien dit qu’il ne fallait surtout pas l’interpréter ainsi.

         Mais enfin, que cela ne vous empêche pas cependant d’utiliser les moyens de circulation doux (les pieds, le vélo, les transports en commun,…), de fermer les portes et d’éteindre les lumières chaque fois que c’est possible !

         Et bravo au Haillan d’avoir fait venir un intervenant de si haut niveau.

Et ce n’est pas fini…

        

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A propos des ERS.

28 Novembre 2010, 17:52pm

Publié par Bernardoc

         Dans un précédent article, j’avais parlé de la mauvaise expérience que j’avais eue avec la classe relais. Et bien, les ERS (Etablissement de Réinsertion Scolaire), c’est la même chose, mais en pire. Alors qu’en classe (ou atelier) relais, les élèves pouvaient continuer à avoir une vie sociale en rentrant chez eux le soir, et que les familles pouvaient être rapidement rencontrées, lorsque l’on délocalise des élèves à plusieurs centaines de kilomètres de chez eux, quelle relation avec les familles est-elle encore possible, et quel degré d’implication peut-on attendre d’elles si loin du lieu de confinement de leur enfant ?

         J’avais dit plus haut l’énormité des moyens mis en œuvre pour soutenir la classe relais, et il a fallu une altercation fort médiatisée pour que l’on apprenne qu’il faudrait un encadrement supplémentaire pour mettre de l’huile, non pas sur le feu, mais dans les rouages des ERS.

         Et pour quel résultat ? Je n’ai jamais vu un élève transformé et  réintégrant son ancien établissement (s’il n’en avait pas été exclu pendant son séjour en classe relais) dans de bonnes conditions. Alors qu’en petit groupe isolé, avec des adultes s’occupant de lui quasiment en relation duelle, l’élève donne l’impression de réfléchir et de vouloir changer, dès qu’il se retrouve plongé au milieu d’une classe de trente élèves, avec des enseignants mécontents de le voir revenir car ils avaient imaginé s’en être débarrassés pour de bon, l’élève a vite fait de retomber dans ses travers antérieurs.

         Au risque de me répéter, je pense que la solution se trouve au sein du collège d’origine, bien entendu avec des moyens en nombre suffisant, ce qui, bien entendu, est inconcevable avant 2012. En effet, parmi l’équipe pédagogique, il y a toujours plusieurs enseignants qui n’ont pas de problème avec un élève particulier (et pour un autre élève, ce sera d’autres enseignants de la même équipe avec qui les relations se passeront bien) ; il serait donc important qu’il puisse continuer son cursus là où ça se passe bien et qu’il puisse être pris en charge par un enseignant-relais au moment des cours qu’il sabote. Ainsi, l’élève ne serait plus pestiféré et il recevrait aussi l’attention dont il aurait besoin.

         Mais je ne suis qu’un simple retraité, après avoir été un pion au sein du système pendant une quarantaine d’années, qui s’est toujours fait remettre à sa place lorsqu’il avait des suggestions à faire, car c’est au ministère qu’il y a des gens pour réfléchir.

Et ce n’est pas fini…

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