Pourquoi le 25 novembre ?
Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Et ce n'est pas fini...
Je le pense depuis toujours, mais en ces périodes électorales qui n'en finissent pas et qui s'éternisent avec des primaires qui monopolisent les médias, cela devient absolument insupportable. On cherche à nous faire croire que c'est un progrès pour la démocratie, comme si c'était quelque chose de constitutionnel. Or, l’article 4 de la Constitution dispose : "Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage". Donc, et en attendant de passer à la VI° République, ce qui se passe au sein des partis, on n'en a rien à cirer ! C'est leur cuisine, ils ont des adhérents et ce doit être eux qui décident, sans avoir besoin de payer autre chose que leur cotisation.
Je m'étais fait remarquer il y a cinq ans en étant le seul élu de la majorité municipale à ne pas participer à la primaire socialiste. Quand on se rappelle les résultats, on voit bien que quelle que soit l'extrême nullité reconnue de certains candidats, cela ne les a pas empêchés de devenir ministres, y compris premier.
Et quand on aura fini de nous bassiner avec les primaires de droite, ce sera le tour des primaires du PS. Et là, j'ai quand même des doutes sur le résultat à venir, si le président pour lequel j'ai voté était candidat : je suis prêt à parier qu'on ne lui réservera pas le sort de Sarkozy, et que tout le petit monde de « râleurs » qu'on entend depuis 4 ans se mettra en ordre de marche derrière le sortant dans l'espoir d'obtenir un maroquin.
Et en face de ces chevaux de retour, il n'y a qu'un parti qui met des têtes nouvelles, n'hésitant pas à faire confiance aux jeunes et qui prétend agir « au nom du peuple », mot délaissé par la plupart des gens « de gauche ».
Heureusement que les trotskistes nous épargnent ce cirque.
Tiens, au fait, il y a eu des « primaires » vertes : vous en avez entendu parler ? Moi non plus, car cela s'est fait dans la discrétion et par internet.
Alors, même si je ne me considère pas vraiment insoumis, même si j'ai été choqué de la façon dont JLM est parti en campagne, même si je ne milite plus vraiment, je ne vois que ce candidat pour porter une voix de gauche, au premier comme au deuxième tour. Si par malheur il ne passait pas le cap du premier tour, comme le vote blanc n'est pas compté parmi les votes exprimés (s'il y a 30% de votes blancs, on les retire et on partage le reste des voix comme si elles représentaient 100%) autant voter nul. Mais j'espère bien ne pas avoir à le faire.
Et ce n'est pas fini...
Nous n'avions pas pu aller fleurir nos tombes de Dordogne à la Toussaint, et nous nous y sommes donc rendus ce week-end. Je n'ai pu que constater que nous sommes les seuls à continuer d'honorer nos arrière-grand-parents maternels. Mais dans un autre cimetière, où nous fleurissions jusqu'à présent huit tombes, j'ai découvert, par hasard, celle de Anna ANDREAU, épouse LACHAUD, morte le 3 novembre 1952. Cette personne n'était autre que ma "Mémé Anna", celle qui, dit-on, m'avait encouragé à marcher en m'envoyant chercher sa canne. C'était la grand-mère maternelle de mon père. Pourtant, je ne me souviens pas d'avoir vu ma famille aller l'honorer. Pourquoi ? Mystère. Mais cet oubli sera réparé dès l'an prochain, je lui dois bien ça.
Et ce n'est pas fini...
Défendons les Services Publics !
L’utilité des services publics est avérée pour toute la population, ils sont incontournables dans un projet de société de progrès basé sur la satisfaction des besoins des citoyens et le principe d’égalité d’accès. Leur proximité est un atout pour les usagers, facteur de lien social.
Les agents de la Fonction Publique sont déjà confrontés aux conditions de travail dégradées, baisse de moyens, sous-effectifs, aux attaques incessantes du Statut général des fonctionnaires qui mettent en danger les missions de services publics.
Les projets de lois de finances et de financement de la Sécurité Sociale 2017 portent un coup sévère aux Services Publics. Notre bien commun est en danger !
Le démantèlement ou la suppression de services publics justifiée par des contraintes budgétaires est inadmissible.
L’UGFF-CGT appelle les retraités de la Fonction Publique de l’Etat à riposter massivement le 29 novembre 2016 en participant aux actions prévues dans les territoires à l’initiative de l’intersyndicale CGT (trois versants de la Fonction Publique) – FSU – Solidaires et FAFP.
Exigeons des lois de finances et de financement de la Sécurité Sociale en rupture avec la logique d’austérité.
La défense et le développement des missions publiques, cela passe par :
- La fin de la suppression d’emplois et la création d’emplois publics pour répondre aux besoins ;
- Le renforcement du Statut général des fonctionnaires et du Code des pensions ;
- L’arrêt de la réforme territoriale et la reconquête sur l’ensemble du territoire de Services Publics de proximité de plein exercice ;
Exigeons également :
- La fin du gel des pensions et retraites ;
- La reconnaissance de l'évolution de la qualification du grade auquel appartenait le retraité par le rétablissement de la péréquation supprimée par la loi Fillon ;
- La proratisation du Salaire Annuel Moyen (SAM) pour les poly-pensionnés ;
- Un suivi médical post-professionnel annuel adapté au risque lié à l'activité professionnelle.
Le 29 novembre, refusons la politique d’austérité !
Et ce n'est pas fini...
Avez-vous regardé ce documentaire diffusé il y a trois jours sur F5 ? Il décrivait une des conséquences abominables (une de plus) de l'ère Thatcher à cause du Children act de 1989. Quel était le but de cette loi ? Protéger l'enfance. Fort bien, mais elle a été complètement outrepassée dans ses conséquences. Ainsi, un premier enfant peut être déclaré en danger, avant même sa naissance, parce que ses parents sont pauvres ! Et dans ce cas, que se passe-t-il ? C'est très simple : l'enfant est retiré à ses parents dès sa naissance et proposé à l'adoption sur catalogue et/ou sur internet : révoltant !
Mais il y a d'autres cas : un enfant blessé à cause d'une maladie osseuse, sera retiré de sa famille, ainsi que son frère et sa sœur, pour lesquels aucun problème n'avait jamais été décelé.
Et dans tous les cas on interdit aux parents de faire d'autres enfants, sans aller cependant jusqu'à les stériliser. Si des familles passent outre, la mère est contrainte d'aller accoucher à l'étranger et ne reviendra en Angleterre qu'après négociation pour garder son bébé. On a vu l'exemple d'une famille dont les trois aînés avaient été proposés à l'adoption, reconstruire une famille avec deux autres enfants, sans être inquiétés, d'autant que leurs enfants leur avaient été retirés sous faux témoignage.
Mais le pire, c'est que, comme la police chez nous, les travailleurs sociaux britanniques doivent faire du chiffre également et atteindre un taux conséquent de « mise à l'abri » des enfants.
Cette loi, dénoncée par certains députés et des travailleurs sociaux, est toujours en vigueur 27 ans après malgré ses méfaits. Un véritable scandale humain !
Et ce n'est pas fini...
Hier soir, les Haillanais avaient le choix entre regarder Macron à la télé ou pour la modique somme de 5 € venir à L'Entrepôt pour découvrir La naissance d'un jongleur de mots, un spectacle proposé par le CTL, et notamment sa section théâtre, dans le cadre des « mercredis du Haillan ». Certains avaient déjà pu prendre une leçon de théâtre l'an dernier en venant voir Philippe DUBUCQ, et ils n'auront pas été déçus en découvrant ce nouveau spectacle, pour lequel il n'était pas seul mais accompagné par une musicienne multi-instrumentiste, Shekinah RODZ.
La prestation s'articulait autour de trois fabliaux, bibliques ou moyenâgeux, mais très actuels dans le rendu qu'en a donné Philippe. Le premier voyait un pauvre paysan qui, sauvé de la mort par trois apôtres-mendiants, se rebellait contre les oppresseurs qui l'avaient conduit à cette extrémité et partait prêcher la révolution de par le monde. Le second revisitait le sacrifice d'Abraham et donnait l'occasion à Philippe de se transformer un temps en marionnettiste, lorsqu'il faisait dialoguer dieu et le diable. Enfin, le troisième mettait en scène un berger simplet manipulé par un curé lubrique afin que ce dernier puisse continuer à bénéficier en toute impunité des charmes d'une charmante jeune fille du village. Ce dernier fabliau a donné à Philippe l'occasion d'une dépense physique qui a dû lui faire perdre quelques centaines de grammes !
Tout au long du spectacle, Shekinah intervenait musicalement, et Philippe n'hésitait pas à lui faire répéter autant de fois que nécessaire ses accompagnements. La musicienne, dont l'éclatant sourire a constamment illuminé la partie droite de la scène, montrait une vraie complicité avec l'acteur : il était évident que tous deux prenaient un immense plaisir à jouer ensemble, et cela devait sans doute remonter à très longtemps. Eh bien, pas du tout ! Philippe nous a révélé à la fin que la rencontre remontait à moins de deux semaines. Chapeau les artistes !
Et ce n'est pas fini...
Et ce n'est pas fini...
FÉDÉRATION NATIONALE DE LA LIBRE PENSÉE
– COMMUNIQUÉ DE PRESSE –
Gendarmerie :
Un jour de repos institutionnalisé pour participer à la Sainte Geneviève.
On dit merci qui ? Patronne ou patron ?
La presse titre : « Un jour de congé octroyé aux gendarmes pour célébrer la Sainte-Geneviève suscite la colère des policiers » (20 Minutes 4.11.16) et : « Congés à la gendarmerie : merci patronne ». (Le Parisien (5.11.16). Ces deux journaux indiquent que : « A l’annonce de la nouvelle, les policiers du Syndicat des cadres de la sécurité intérieure (SCSI, affilié à la CFDT) se sont étranglés. En effet, les gendarmes bénéficieront désormais d’un jour de repos exceptionnel, le 26 novembre. Un jour choisi en souvenir de leur patronne : Sainte-Geneviève. ». On dit merci qui ? Patronne ou patron ? Comme nous allons le découvrir plus loin « les deux mon général ! »
Une fois n’est pas coutume, saluons ce syndicat CFDT, qui ajoute, à juste titre, que : « …les policiers s’étonnent que l’administration octroie un tel avantage aux gendarmes, destiné à « honorer une sainte dans un pays où la laïcité est quotidiennement au centre de tous les débats ». Et revendiquent par la même occasion une « journée de repos exceptionnelle », républicaine… ». Bien vu et bien joué !
La Direction générale de la gendarmerie, dont le nouveau directeur est le général Richard Lizurey, a donc décidé d’institutionnaliser l’octroi d’un jour de repos à cette date (ndlr : autour du 26 novembre, voir renvoi 1) « qui n’a rien à voir avec la religion », assure-t-elle sans rire.
Dorénavant, si nous résumons bien la situation, tous les gendarmes auront un « repos » pour participer à une manifestation organisée par leur hiérarchie afin d’honorer Sainte-Geneviève. Hier, ce « repos » n’était pas « institutionnalisé », pourtant, dans les faits, les gendarmes devaient assister de la même manière à la messe célébrant Sainte-Geneviève. Il n’y aurait donc rien de changé sous le soleil « gendarmesque ». A y regarder de plus près si, car, au travers de cet « octroi », la célébration de la Sainte-Geneviève en sort renforcée pour mieux renforcer, « dans un souci de cohésion », le pouvoir de la hiérarchie militaire et son cléricalisme avéré.
Par ces temps de grogne dans les rangs des services de police, n’y a-t-il pas eu, pour le moins, un vent d’inquiétude qui aurait justifié d’entreprendre de resserrer les rangs au nom de la « tradition » en lieu et place du respect des principes républicains ? Car la « tradition », fondée sur la décision du Pape Jean XXIII, du 18 mai 1962, de désigner : « Sainte-Geneviève Patronne céleste principale auprès de dieu des Gendarmes Français gardiens de l’ordre public », ne coute pas chère, il ne suffit que d’y croire.
Quoi qu’il en soit, le « repos » octroyé aux gendarmes n’en est pas un, puisqu’ils ne peuvent pas l’utiliser à d’autres fins que la célébration de la Sainte-Geneviève. Pas de farniente, pas de promenade avec les enfants, pas de théâtre, pas de lèche-vitrine, pas de pêche à la ligne, mais la messe pour gagner le salut éternel. Quid pour les gendarmes non croyants, agnostiques, juifs, protestants, musulmans, bouddhistes ?
La réponse est dans le respect, en particulier, de l’article L.4121-2 du Code de la Défense « Les opinions ou croyances, notamment philosophiques, religieuses ou politiques, sont libres. Elles ne peuvent cependant être exprimées qu’en dehors du service et avec la réserve exigée par l’état militaire. Cette règle s’applique à tous les moyens d’expression… ».
Ainsi que de remplacer la célébration de la Sainte-Geneviève par une cérémonie républicaine, le 16 févier de chaque année, pour rappeler la date de la constitution de la Gendarmerie nationale par la Constituante le 16 février 1791.
Ainsi soit-il !
Paris, le 12 novembres 2016
Lire : http://federations.fnlp.fr/IMG/pdf/Sainte_Genevieve_point_2013.pdf
[1] Au calendrier de l'Eglise, la fête de sainte-Geneviève figure au 3 janvier qui correspond à la date de sa mort, c'est-à-dire de sa naissance au ciel. Cependant, cette date n'étant pas favorable au rassemblement des gendarmes requis par cette célébration, elle est célébrée par la gendarmerie au 26 novembre, qui correspond à la fête de Sainte-Geneviève–des-Ardents, institué par le pape Innocent II pour le diocèse de Paris en l'honneur des miracles de guérison de la peste opérés à l'invocation de la suite en cette ville en l'an 1130. La gendarmerie étant une unité dont les origines sont liées à l'histoire de la ville de Paris, cette date paraît particulièrement bien convenir. Source : aumônerie catholique de la gendarmerie.
Et ce n'est pas fini...
Allons Bernard, tu es encore en train de dénigrer les efforts faits par le gouvernement, enfin les efforts que l'austérité impose aux ménages et aux collectivités territoriales. On reconnaît bien là ton anti-socialisme primaire, viscéral et maladif.
Que nenni ! Cette constatation a été faite au Canada, qui espère peut-être que grâce au CETA il pourra améliorer cela.
Tout le monde le sait bien, depuis que Balkany l'a dit dans une interview à l'étranger, il n'y a pas de pauvres en France, et ceux qui prétendent le contraire ne sont que des désinformateurs que les mairies d'extrême droite mettent au pas.
La banque alimentaire ? Qu'est-ce que c'est ? C'est normal que les banquiers puissent se nourrir en travaillant.
Les restos du cœur ? Des organisateurs de spectacles enfoirés.
Le secours populaire ? Une officine issue du parti communiste.
ATD-Quart-monde ? Fondée par un curé pour ramener des ouailles dans les églises.
Non, vraiment, cet affreux constat canadien ne pourrait être fait en France, pays dirigé par des millionnaires et dont la classe active, le patronat , a vu sa richesse s'accroître avec un taux à deux chiffres.
N'est-ce pas un argument suffisant pour refuser le CETA ?
Et ce n'est pas fini...
Tiré de planet.fr
Jean Mercier, 88 ans, jugé en appel à Lyon pour avoir aidé sa femme dépressive à mourir en 2011, a été relaxé jeudi.
C'est la fin d'un long épisode judiciaire pour Jean Mercier. L'octogénaire, jugé en appel à Lyon pour avoir aidé sa femme dépressive à mourir en 2011, a été relaxé jeudi. L'homme de 88 ans n'était pas présent au rendu du délibéré de la cour d'appel.
«Ca me fait plus que plaisir», a-t-il toutefois réagi lors d'une conversation téléphonique avec le président de son comité de soutien, Henri DUCHEZ. «J'attendais sereinement, je suis excité comme une puce», a-t-il ajouté, en précisant s'être préparé à une «peine symbolique».
Une «peine de principe» d'un an de prison avec sursis, comme en première instance le 27 octobre 2015 devant le tribunal correctionnel de Saint-Étienne, avait été requise à son encontre, le 8 septembre. Plus de 200 militants de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), dont son président Jean-Luc ROMERO, étaient venus apporter leur soutien au prévenu, et réclamer une «vraie loi pour la fin de vie». Une quinzaine de membres du comité de soutien étaient présents à la cour d'appel jeudi.
Il est interdit de commenter une décision de justice, mais la fin de l'acharnement ne peut qu'être salué. Et, au sein de l'ADMD, nous continuerons notre combat pour notre « dernière liberté ».
Et ce n'est pas fini