Marseille, décembre 2016.
Quatre mois plus tard, encore le vieux port de Marseille et le MUCEM sous un soleil éclatant, mais avec nettement moins de chaleur : les gens sont couverts et le bateau des calanques est resté à quai.
Nous sommes entrés au MUCEM par une autre entrée : je sonnais de partout, mais comme il y avait la queue, ce fut juste un contrôle oral. Je souhaitais faire ce que nous n'avions pu faire en août dernier : visiter l'exposition permanente du MUCEM (avec la carte culture MGEN qui a fonctionné pour le tarif réduit). Mais arrivé là, je découvre deux expos temporaires : « Après Babel, traduire » et « Café in ». Babel nous parle beaucoup à nous autres espérantistes (n'oublions pas que Zamenhof fut L'homme qui a défié Babel, selon le livre de Henri MASSON) et l'expo, qui se termine le 20 mars, ne m'a pas déçu.
Quant à l'expo sur le café (qui sera terminée dans trois semaines) quelqu’un comme moi qui boit quelques tasses de café (et même un peu plus) tous les jours, je n'allais pas louper ça. Et après, et bien j'étais fatigué et je me suis dit qu'en août prochain je pourrai toujours prendre le temps d'aller visiter l'exposition permanente.
Et ce n'est pas fini...