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Le blog de Bernard SARLANDIE

Musée Gustave MOREAU.

18 Décembre 2024, 14:17pm

Publié par Bernardoc

Le billet du musée Jean-Jacques HENNER me donnait droit à l’entrée dans les 72 heures au musée national Gustave MOREAU. Ce fut donc ma dernière visite avant de reprendre le train.

Gustave MOREAU né le 6 avril 1826 Paris.

Son père Louis MOREAU, architecte, lui inculque une solide culture classique. Sa mère Pauline entoure de ses soins le jeune garçon de santé fragile.

1836-1840
Études secondaires au collège Rollin (actuel Lycée Jacques Decour). Depuis l'âge de huit ans, le jeune garçon ne cesse de dessiner.

1846 : Il est admis à l’École royale des Beaux-Arts.

1851
Moreau se lie d'amitié avec Théodore CHASSERIAU, ancien élève d'Ingres et il loue un atelier voisin de celui-ci, avenue Frochot, près de la place Pigalle. L'influence de Chassériau sur Moreau est capitale.

1852
Moreau est admis pour la première fois au Salon officiel. Il fréquente le théâtre et l'opéra. Ses parents achètent à son nom une maison particulière au 14 rue de La Rochefoucauld. L'atelier du peintre est aménagé au troisième étage...

1895
Il achève le chef-d'œuvre de sa vieillesse, Jupiter et Sémélé* et fait transformer la maison familiale du 14 rue de La Rochefoucauld pour qu'elle devienne un musée après sa mort. C’est l’architecte Albert LAFON qui transforme la maison familiale en musée. Les appartements du premier étage sont aménagés comme un petit musée sentimental où sont accrochés les portraits de famille et les œuvres offertes par ses amis Théodore CHASSERIAU, Eugène FROMENTIN ou Edgar DEGAS. Les deuxième et troisième étages deviennent de grands ateliers vitrés au nord, conçus pour offrir le plus d'espace possible. Un majestueux escalier à vis les relie entre eux. Plusieurs centaines de peintures et aquarelles ainsi que des milliers de dessins peuvent alors être exposés.

1898

Il meurt le 18 avril. Funérailles à l'église de la Trinité à Paris. Il est enterré au cimetière Montmartre.

Le musée a ouvert en 1903 ; j’ai l’impression qu’il n’a guère changé depuis.

Et ce n’est pas fini...

 

 

Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
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Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.
Musée Gustave MOREAU.

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Musée Picasso (encore!)

17 Décembre 2024, 12:02pm

Publié par Bernardoc

J’ai commencé par ce musée car il ouvre trente minutes avant la plupart des autres musées parisiens. Et je crois que c’est la première fois que les œuvres du peintre occupaient la majorité des salles. Il y avait une (petite) exposition consacrée à Jackson POLLOCK : les premières années 1934 – 1937.

Voici donc un album des tableaux ou sculptures, plus ou moins connus, qui ont attiré mon œil.

Bonne visite.

Et ce n’est pas fini...

Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)
Musée Picasso (encore!)

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Sexe.

16 Décembre 2024, 16:46pm

Publié par Bernardoc

« On dit toujours que ce sont ceux qui en parlent le plus qui pratiquent le moins. La bonne nouvelle, c’est qu’il vous suffira simplement d’écouter.

Je vous propose qu’on partage une heure de sexe.

Une heure de sexe, parfois c’est court, parfois c’est long. Ce qui est sûr, c’est qu’une heure ensemble, ce sera forcément bon. » Bérengère KRIEF

Bérengère KRIEF questionne avec humour notre consommation de la sexualité. Dans une société en pleine « sex-récession », elle apporte un nouvel éclairage et un regard sensible sur la place du plaisir dans notre éducation qui prône souvent plus la prévention que l'extase.

Salle comble au théâtre de l’Oeuvre en ce jeudi 5 décembre ; je pense que j’étais un des spectateurs les plus âgés. Je ne connaissais pas cette artiste, mais je l’avais entendue lors d’une émission à la radio, et ce qu’elle avait dit avait éveillé ma curiosité, et je dois dire que je n’ai pas été déçu.

Hier son spectacle était critiqué au Masque et la plume, et la moitié des critiques l’ont descendue en flèche. Elle ne mérite pas ça, au contraire, je pense que son spectacle devrait être diffusé dans tous les établissements scolaires à partir de la 3ème dans le cadre de l’éducation affective et sexuelle à l’école.

Curieux quand même : le billet ne mentionne pas « Sexe », mais « nouveau spectacle ».

Et ce n’est pas fini...

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St Germain des prés.

15 Décembre 2024, 14:13pm

Publié par Bernardoc

En attendant ma soirée théâtrale, je me suis rendu dans ce quartier qui abrite le musée national Eugène DELACROIX. Situé au cœur de Paris, dans les anciens appartement et atelier du peintre Eugène Delacroix, le musée national Eugène-Delacroix forme un espace muséal singulier et captivant, un lieu rare dans Paris.

Les collections du musée réunissent depuis la fondation du musée en 1932 plus d’un millier d’œuvres. Elles rassemblent des œuvres de Delacroix – peintures, dessins, estampes, manuscrits – comme des objets qui lui ont appartenu, et des œuvres créées par des artistes qui l’admirèrent.

Grosse déception, malgré l’exposition Nu comme habillé, Delacroix et le vêtement. Pour voir les œuvres célèbres du peintre, mieux vaut aller au Louvre ou à Orsay.

En sortant, petit tour à l’église que je ne connaissais pas.

L’église de Saint-Germain-des-Prés est une ancienne abbaye bénédictine de Paris fondée au milieu du VIe siècle par le roi mérovingien Childebert Ier et l'évêque de Paris saint Germain. L'abbaye a eu plusieurs noms connus sous le vocable Saint-Vincent et Sainte-Croix. Elle est située au cœur de Paris et du quartier latin.C'est une abbaye royale, qui bénéficie donc d'une exemption et est directement soumise au pape. La première église abbatiale est consacrée le 23 avril 558 à la sainte-Croix et à saint-Vincent-de-Saragosse. Cette basilique possède des colonnes de marbre, un plafond lambrissé et des fenêtres vitrées.

L'abbaye est nécropole royale jusqu'à la création de la basilique de Saint-Denis. Les reliques de saint Germain y sont vénérées, mais plus aucune sépulture médiévale ne subsiste à ce jour, et les reliques se sont considérablement amoindries. L'église est rebâtie par l'abbé Morard, à partir de la fin du Xe siècle.

Le quartier hébergeait un petit marché de Noël, et j’ai apprécié un vin chaud avant de reprendre le métro.

Et ce n’est pas fini...

St Germain des prés.
St Germain des prés.St Germain des prés.St Germain des prés.
St Germain des prés.St Germain des prés.St Germain des prés.
St Germain des prés.St Germain des prés.St Germain des prés.

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La saison est lancée

14 Décembre 2024, 09:20am

Publié par Bernardoc

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Et ce n'est pas fini...

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Sens dessus dessous.

13 Décembre 2024, 16:13pm

Publié par Bernardoc

C’était le titre du récital que nous a présenté André DUSSOLLIER pendant presque une heure et demie au théâtre des Bouffes parisiens, théâtre que je découvrais.

Le décor était intéressant, avec des projections animées retraçant le Paris d’antan se transformant en images contemporaines et la projection un court instant du nom de l’auteur et du titre du texte venant d’être dit, chaque fois dans un nouveau coin de la scène. A part cela, il était très dépouillé avec seulement un bureau et une chaise peu utilisés.

Voici comment Dussollier présente son spectacle :

« Quand on les dit, quand on les vit, ils prennent tout leur relief, ils acquièrent toute leur ampleur...Qu’ils soient écrits par Victor HUGO,Aragon, Charles BAUDELAIRE, Roland DUBILLARD, Sacha GUITRY, Henri MICHAUX, Raymond DEVOS, André FREDERIQUE, L’abbé de L’Attaignant, la beauté les unit, leur originalité nous surprend ; ils sont de tous les temps ».

Il vous reste peu de temps, la dernière est le 31 décembre.

Et ce n’est pas fini...

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Un nouveau musée.

12 Décembre 2024, 14:42pm

Publié par Bernardoc

Après ma balade « champêtre », et en attendant le théâtre du soir, découverte d’un nouveau musée consacré à un peintre dont, à ma grande honte, je n’avais jamais entendu parler, Jean-Jacques HENNER (1829 - 1905). En fait il abritait une exposition intitulée Elles, les élèves de Jean-Jacques HENNER.

Auteur d’une œuvre abondante, il a une réputation de portraitiste et de dessinateur apprécié de son vivant. Il est surtout connu pour ses nombreux nus féminins aux chairs pâles, à la chevelure rousse et aux poses alanguies. Il est resté toute sa vie à l’écart des évolutions artistiques de son époque. En 1889, il est élu membre de l'Académie des beaux-arts.

Alors que l’École des Beaux-Arts leur était interdite, comment les femmes se formaient-elles à l’art durant la seconde moitié du XIXe siècle ?
L’exposition est dédiée aux élèves féminines de Jean-Jacques HENNER, qui ont suivi les enseignements du peintre. L’occasion de redonner une place aux femmes artistes, d’aborder des sujets tels que leur apprentissage, leur professionnalisation et de mettre en avant leurs œuvres et leurs liens avec Jean-Jacques HENNER

Déployée dans tous les espaces du musée, l’exposition s'attache à mettre en lumière les carrières de ces femmes artistes incarnées par une quarantaine d’œuvres emblématiques souvent inédites.

Sont abordées à travers un parcours thématique et pédagogique les questions de l’apprentissage, de la sororité et de la filiation. En pénétrant l'intimité de cet atelier féminin, le visiteur est ainsi invité à mieux comprendre comment se formait et travaillait une femme artiste à la fin du XIXe siècle.

Et ce n’est pas fini...

 

 

 

Un nouveau musée.
Un nouveau musée.Un nouveau musée.Un nouveau musée.
Un nouveau musée.Un nouveau musée.Un nouveau musée.
Un nouveau musée.Un nouveau musée.Un nouveau musée.

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Balade nature à Paris.

11 Décembre 2024, 16:10pm

Publié par Bernardoc

C'est le titre d'un bouquin que j'avais acheté il y a bien longtemps à la boutique de la CGT à Montreuil. Maintenant que j'ai terminé mes cinq visites au Père Lachaise, je vais tester les 16 balades lors de mes visites parisiennes.

La première, intitulée « Canards bienheureux et platanes amoureux », allait me conduire du métro Guy MÔQUET jusqu'au métro Rome.

Le départ est donc dans le quartier des Épinettes (un ancien cépage de qualité) et très vite nous arrivons au square du même nom, où trône une statue de Maria DERAISMES, définie comme journaliste et féministe, sans aucune mention indiquant qu'elle fut la co-fondatrice du Droit Humain, la première obédience maçonnique mixte. De l'autre côté du square une autre statue se dresse, érigée par les ouvriers à la gloire de leur patron Jean LECLAIRE !

Un peu plus loin, après être passé au dessus de l'ancienne voie de chemin de fer de la petite ceinture, nous traversons la « Cité des fleurs », créée en 1847. Cette suite de maisons bourgeoises est interrompue à un moment par une école publique et vu la période, une grande affiche rappelait la grève du lendemain pour réclamer des moyens humains et matériels.

En poursuivant mes déambulations, j'arrive au square des Batignolles, et c'est là que nous voyons les « canards bienheureux », sous le soleil qui a accompagné toute ma balade. le lendemain il pleuvait, mais nous étions à l'abri pour travailler.

En terminant ma balade, je passe devant le lycée Chaptal (mon deuxième choix lorsque je suis passé en 6ème), un beau bâtiment qui semble avoir été mieux entretenu que Jacques Decour.

Et ce n'est pas fini...

Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
Balade nature à Paris.
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Zamenhof tago.

10 Décembre 2024, 09:34am

Publié par Bernardoc

Le 15 décembre, partout dans le monde, les espérantistes se rassemblent pour célébrer l’anniversaire du Doktoro Esperanto, Louis Lazare ZAMENHOF, le créateur de l’espéranto, cette langue anationale qui met tous ses locuteurs sur un pied d’égalité.

Cette année, Espéranto Gironde, qui a quitté Cenon (contre son gré) après plus de 50 ans de présence sur cette commune, a devancé la date en organisant un concert (annoncé plus haut dans le blog) dimanche 8. Nous avons donc accueilli Christian LEDUC, chanteur girondin militant qui nous a délivré pendant deux heures une histoire aux accents révolutionnaires, avec un répertoire commençant bien avant La Commune au XIX° siècle et arrivant, avec la chanson La grève, à l’époque actuelle avec la reprise des slogans (ceux de Lutte Ouvrière ? ) courants dans nos manifestations.

Le décor est très important pour ce chanteur, et chaque élément est expliqué à un moment ou un autre, mais c’est le drap de fond de scène qui mérite le plus d’être observé, avec la représentation de différents personnages exemplaires dans la lutte pour le progrès social. D’ailleurs, en fin de spectacle, le chanteur les applaudit.

Il a chanté une chanson en espéranto, chanson catalane traduite avec l’aide d’Isabela MARTINEZ, qui avait fui le franquisme et que nous avons côtoyée pendant de nombreuses années dans nos stages de fin de semaine.

La plupart des spectateurs n’étaient pas espérantistes, et nous avons donc réussi notre but de faire connaître cette langue à un nouveau public.

Et ce n’est pas fini...

Zamenhof tago.
Zamenhof tago.Zamenhof tago.
Zamenhof tago.Zamenhof tago.
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Une date importante.

9 Décembre 2024, 14:49pm

Publié par Bernardoc

Oui, nous devons célébrer chaque année le 9 décembre, date anniversaire de cette loi de liberté qui organisa la séparation de l’Église et de l’État, comme l’immense Victor HUGO l’avait proclamé quelques années auparavant : « L’Église chez elle, l’État chez lui ».

Donc, ce lundi matin, invité par l’union des DDEN (Délégués Départementaux de l’Education Nationale) de la Gironde, j’étais à Arès pour assister à la plantation d’un « arbre de la laïcité » par les élèves d’une école de cette ville. Cet arbre était un acacia, arbre que je connais bien.

Il y avait un bon nombre de spectateurs de différents horizons, mais tous ardents défenseurs de l’école de la République pour écouter les brillants discours de Janine DARROUZES (DDEN) et du maire d’Arès. A ces discours a succédé un poème à plusieurs voix dit par une classe de l’école voisine ; et que choisir comme plus bel exemple que le texte de Paul ELUARD : Liberté. En fait je m’attendais à ce qu’ils disent « Laïcité » à la fin, mais non, ils s’en sont tenus à l’original.

Enfin, ils se sont mis à plusieurs pour combler le trou avec la terre pour s’assurer que l’arbre prenne bien racine.

Cela fait quinze ans qu’en Gironde deux arbres de la laïcité sont plantés : un dans la métropole bordelaise et un « à la campagne ». Il faudra que je suggère que l’année prochaine ma ville métropolitaine soit choisie pour la plantation, car impossible de donner le nom d’un des maîtres d’oeuvre de la loi de séparation : c’était tous des hommes !

Et ce n’est pas fini...

Une date importante.Une date importante.
Une date importante.Une date importante.Une date importante.
Une date importante.Une date importante.

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