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Le blog de Bernard SARLANDIE

Les chiffres-clés de la pauvreté en France

7 Janvier 2025, 09:11am

Publié par Bernardoc

5,1 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté selon l’Insee en 2022 (dernière année disponible). Elles représentent 8,1 % de la population.

Être pauvre, selon le seuil que nous utilisons, c’est vivre avec moins de la moitié du niveau de vie du Français du milieu, celui qui se situe entre les 50 % les plus pauvres et les 50 % les plus riches. Pour une personne seule, le seuil de pauvreté est de 1 000 euros par mois, prestations sociales comprises. Pour un couple sans enfant, cela représente 1 500 euros. Et pour une famille avec deux enfants de plus de 14 ans, 2 500 euros.

La pauvreté n’explose pas. Mais elle gagne du terrain. Les chiffres avaient atteint un point bas en 2002. Vingt ans plus tard, on compte 1,4 million de pauvres supplémentaires. Le taux de pauvreté a augmenté d’1,5 point.

Les revenus des pauvres stagnent. Leur niveau de vie médian a gagné seulement 60 euros en 20 ans, passant de 772 euros par mois en 2002 pour une personne seule à 832 euros en 2022.

Notre modèle social a amorti les crises récentes, mais pour toute une partie de la population, les revenus du travail régressent, malgré la baisse du chômage. Deux décennies d’extension de la pauvreté et de stagnation des bas revenus pèsent lourd sur les perspectives et le sentiment d’abandon des catégories populaires par les responsables politiques. Pendant ce temps, le soutien massif des Français pour les plus pauvres ne se dément pas : seuls 12 % des Français estiment que l’État en fait trop pour les plus démunis, selon le ministère des Solidarités (donnée 2023).

Et ce n’est pas fini...

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Tout à fait !

6 Janvier 2025, 17:10pm

Publié par Bernardoc

 Article complet dans l'antépénultième numéro de l'excellent Siné mensuel, puisque, hélas, il mettra la clé sous la porte au mois de mars.

Et ce n'est pas fini...

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L'esclavage et le racisme persistent en Mauritanie

5 Janvier 2025, 19:11pm

Publié par Bernardoc

In Vatican news

Dans la Mauritanie actuelle, le racisme et l’esclavage continuent de porter un sérieux coup aux droits humains. S’il n’existe pas encore à ce jour des statistiques officielles sur le nombre de personnes victimes, plusieurs communautés sont au quotidien confrontées à cette dure réalité, qui constitue une grave atteinte à la dignité humaine selon Dieynaba N'DIOM, sociologue et féministe mauritanienne.

 «Aujourd'hui encore en 2024, on voit de manière très claire et un peu partout qu'on a de l'esclavage qui se pratique ici en Mauritanie sous différentes formes, et c'est le seul pays où vous allez entendre parler du tribunal contre l'esclavage. Rien que la présence de ce tribunal témoigne l'existence aussi de cette pratique. L’esclavage et le racisme sont deux réalités encore au 21 ème siècle en Mauritanie».

La pratique de l’esclavage

Dans les faits, plusieurs personnes vivent par exemple sous le statut d’esclave ou d’ancien esclave. «La personne n'a pas la liberté de ses mouvements. Elle ne jouit pas du droit à l’éducation par exemple. En fait, c'est une personne qui est soumise à d'autres qui l'utilisent à leur guise. Certaines sont des personnes qui ont été "affranchies". Mais il y a par contre plusieurs autres qui sont encore sous l'esclavage. Dans la mesure où la personne ne peut rien faire d'elle-même, ne peut rien décider, n'a accès à rien du tout. Elle n'est là que pour le désir et le bon vouloir du "maître"», confie la militante des droits humains.

Des personnes socialement inférieures aux «autres»

La Mauritanie regroupe plusieurs composantes sociolinguistiques et culturelles. Des Soninkés, Wolofs, Peuls, Maures blancs, Arabes, Berbères et aussi les Bambaras pour ne citer que celles-ci. «C’est dans les communautés Négro-mauritaniennes notamment les Wolof, les Poular et les Soninké qu’il existe encore ces pratiques esclavagistes, mais sous une forme où c'est une caste qui subit encore toutes les discriminations possibles parce que la personne n'est pas née dans la bonne famille ou elle est considérée comme descendante d'esclaves, entre autres. Donc la personne est de ce fait considérée socialement comme inférieure aux autres», affirme le cœur meurtri, Dieynaba N'DIOM avant d’ajouter: «Il y’a aussi les Arabo-berbères qui sont un peu en relation avec la communauté descendant des esclaves qu’on appelle "Haratines". Ce sont en effet les Arabo-berbères, qui ont soumis les "Haratines” à l'esclavage. Et c'est souvent de cette forme d'esclavage qu'on parle le plus, parce que c'est le plus effroyable et c'est le plus visible aussi en Mauritanie», dit-elle.

Les femmes, principales victimes

Les personnes qui payent le lourd tribut des différentes pratiques esclavagistes, ce sont bien évidemment les femmes. «C'est la femme qui souffre le plus parce qu’elle subit des viols à répétition. Des femmes qui subissent aussi les violences physiques, sexuelles, psychologiques (...). Ce sont des femmes qui n'ont aucune dignité humaine et qui ne sont là que pour le bon vouloir des chefs, des hommes, des mâles, de la tribu», explique Dieynaba N'DIOM.

Les personnes anciennement réduites à l'esclavage vivent avec ce poids au sein de la société. Leur libération n’est toujours pas évidente. «Les personnes qui ont été dans cette situation, ce n’est pas facile de les enlever du bras du "maître ". Car une personne qu'on n'a pas outillée, qu'on n'a pas éduquée de telle sorte qu'elle soit autonome, c’est toujours difficile de la libérer. Il y a même certains "esclaves" qui ne veulent pas être libérés. D’autres disent carrément qu’ils préfèrent être "esclaves" à vie. Tout ça, parce que on leur a appris toute leur vie à être dépendants d'autres personnes et forcément pour ces gens, même si on les libère, ils se sentiront selon eux encore plus perdus. Car ils pensent qu’ils n'arriveront pas à s'intégrer de manière optimale dans la société», décrie-t-elle.

L’esclavage et le racisme: deux problèmes bien distincts

L'esclavage est un fait en Mauritanie, le racisme aussi. Le phénomène dit-elle «touche tous les noirs» dans son pays. Une autre terrible réalité qu’il faut combattre à tout prix. «Tout noir mauritanien qu'il soit issu de l'esclavage ou pas, qu'il soit né libre ou pas subit le racisme. Tout simplement parce que tu es un noir qui évolue en Mauritanie. Une personne peut donc être en Mauritanie ne pas être victime d'esclavage mais être plutôt victime du racisme», argue-t-elle.

Quelle que soit leur classe sociale, quelle que soit leur identité, quelle que soit la communauté à laquelle elles appartiennent, «les personnes noires subissent toutes, d'une manière ou d'une autre, le racisme». Le racisme en Mauritanie «est d'abord systémique. Ce n’est pas forcément à coup de loi, mais c'est fait de manière très subtile», témoigne l’amazone des droits humains.

Conséquences palpables

L’ampleur du problème est tel que les conséquences ne tardent pas. «Il y a ces discriminations qui sont là, qui planent toujours, qui font que dans ces communautés, les populations sont les plus vulnérables, elles n'ont pas forcément accès à beaucoup de choses, par exemple les terres, les positions politiques dans les villages…et c'est encore ces personnes qui sont discriminées», lance-t-elle. Le pire c’est qu’«il n'y a aucun levier de pouvoir qui est détenu par des Noirs.

Depuis la création de la Mauritanie jusqu'à ce jour, il n'y a eu aucun Noir qui a été président du pays. Il n'y a aucun Noir en Mauritanie qui dispose d'une télévision ou d'une radio. Il n'y a aucun Noir en Mauritanie qui a une banque. Il y a aucun Noir en Mauritanie qui occupe un poste de responsabilité stratégique».

En revanche « les Noirs aujourd'hui subissent les foudres du système en place, car ce sont eux malheureusement le maillon faible de la société. Ils n’ont pas accès à une éducation de qualité, n'ont pas accès à un système de santé de qualité, n'ont pas accès au travail», affirme Dieynaba avant de poursuivre son propos. «Dans les années 1986 à 92 il y a eu un génocide qui a visé que les Noirs mauritaniens. Des villages entiers ont été décimés. Ça c'est avant. Mais aujourd'hui, on assiste à une autre forme de génocide qu'on appelle le "génocide biométrique". On est en train d'enregistrer la population de manière biométrique et on se rend compte que les seules personnes qui ne sont pas encore enregistrées et qui ont des difficultés à avoir leurs papiers, ce sont les Noirs», se désole Dieynaba N'DIOM, qui croit dur comme fer que ce sombre tableau est le fruit du système politique actuel.

“La Mauritanie à plusieurs composantes sociologiques. Mais on a mis la langue arabe au-dessus de toutes les autres langues. Ce qui fait que tout le système éducatif est complètement arabisé. Aujourd'hui en Mauritanie, l’éducation n'est rien d'autre que le reflet de l'idéologie politique du système en place, qui n'est rien d'autre qu'un moyen de domination d'une population par rapport aux autres. On va vers une aliénation culturelle au vu et au su de tous”

Un construit social

Pour la sociologue mauritanienne l’existence de l’esclavage et du racisme «est avant tout un construit social». Dieynaba N'DIOM explique la persistance de ces pratiques par le fait qu’il «y a des gens qui sont construits socialement, qui pensent qu'ils sont les maîtres des autres, qui pensent qu'ils sont supérieurs aux autres, qui pensent qu'ils ont le droit de disposer de l'intégrité physique et morale de quelqu'un d'autre». La féministe engagée affirme qu’avec des normes sociales pareilles «on enregistrera toujours ces énormités».

Pesanteurs socioculturelles et religieuses

Dans une société diversifiée et complexe comme la Mauritanie, la mauvaise interprétation de la religion fait perdurer l’existence de l’esclavage, du racisme et autres discriminations. «On a des livres écrits par des grands savants arabes et musulmans qui cautionnent et même parlent de l'esclavage comme étant une pratique qui est partie intégrante de la religion musulmane. Donc forcément, il y a bien sûr cette teinte de la religion musulmane qui est là, qui tolère et qui explique», confie t-elle. À cela s’ajoute les pesanteurs socio-culturelles.

“Nous vivons sous les normes socioculturelles qui nous oppressent. Nous vivons en fait sous des normes où le système patriarcal crée des discriminations dont nous sommes en fait toutes victimes.

Les stratégies de lutte

En Mauritanie, l'esclavage a été officiellement aboli en 1981, mais n'a été reconnu dans ce pays comme crime contre l'humanité que depuis 2015. Pourtant «il y a peu de cas de personnes qui sont allées en prison pour pratiques d’actes esclavagistes. Parce que ceux qui sont censés juger les personnes qui commettent ce forfait, sont les premiers à être des esclavagistes.

Et c'est quelque chose qui est tellement ancré dans les consciences mauritaniennes que ceux qui le pratiquent pensent que c'est normal», témoigne-t-elle.

«Seule la lutte libère»

Aujourd’hui, explique la sociologue, le plus grand travail serait de «démêler le vrai du faux par rapport à la religion. Que dit vraiment la religion dit dans sa pratique fondamentaliste? Que pouvons-nous en tirer?», s’insurge-t-elle.

Le combat pour le respect des droits humains c’est tout suite et maintenant. Dieynaba N'DIOM qui a consacré presque toute sa vie au nom du combat pour le respect de la dignité humaine affirme avec force que «seule la lutte libère». Elle plaide pour qu’en Mauritanie «les tribunaux anti-esclavagistes soient plus opérationnels mais surtout que la loi soit respectée». Elle souhaite plus que jamais «que les personnes qui sont ou qui étaient en situation d’esclavages soient prises en charges et réintégrées» à travers des programmes au sein de la société.

Et ce n’est pas fini...

 

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Une bonne nouvelle pour commencer l'année

4 Janvier 2025, 09:14am

Publié par Bernardoc

Le Zimbabwe abolit officiellement la peine de mort

 

In L’humanité du 2 janvier 2025

Le président zimbabwéen, condamné à mort par le passé pour avoir fait exploser un train pendant la guerre d’indépendance, a officiellement aboli la peine capitale ce mardi 31 décembre.

Emmerson MNANGAGWA y était opposé de longue date et une loi commue désormais en peines d’emprisonnement les condamnations d’une soixantaine de personnes condamnées à mort. L’ONG Amnesty International salue sur X un « grand progrès » et une « lueur d’espoir pour le mouvement abolitionniste dans cette région (…), une étape majeure dans la quête collective mondiale visant à mettre fin à ce châtiment cruel, inhumain et dégradant ».

Toutefois, une disposition prévoit que cette abolition peut être levée en cas d’état d’urgence. Un moratoire sur les exécutions était déjà en vigueur au Zimbabwe depuis 2005, date de la dernière exécution, mais les tribunaux ont continué à prononcer la peine capitale pour des crimes tels que le meurtre, la trahison et le terrorisme.

Et ce n’est pas fini...

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2025

1 Janvier 2025, 09:30am

Publié par Bernardoc

Meilleure que l'an dernier, moins bonne que 2026 : tous les espoirs sont permis.

Bonan novjaron al vi geamikoj !

Et ce n'est pas fini...

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Pourquoi il faut défendre la laïcité

27 Décembre 2024, 09:59am

Publié par Bernardoc

« L’Église chez elle et l’État chez lui »*

 

Un bel article trouvé dans Le livre bordelais n°82 (bulletin des retraités de la Filpac).


En préambule je dirai : on peut être un citoyen croyant, mais pas un croyant citoyen.

Si la laïcité est un principe constitutionnel français, elle n’est pas pour autant strictement définie.

Cependant, elle s’exprime par des règles fondamentales que sont la séparation des églises et de l’État, la liberté de conscience et de culte et l’égalité des citoyens devant la loi, peu importent leurs croyances ou leurs convictions.
La séparation des églises et de l’État implique la neutralité des agents du service public (service public qui est rendu de la même façon à tous les usagers sans aucune discrimination). L’application de ces règles permet la
liberté et l’égalité du citoyen.

De même, la société évite l’effet pervers du communautarisme. Par sa neutralité dans le service public et sa tolérance dans la sphère privée, la laïcité est indubitablement un facteur d’émancipation.


NEUTRALITÉ ABSOLUE

C’est dans cette optique que la loi a imposé la neutralité à une catégorie d’usagers du service public : les élèves des écoles, collèges et lycées. L’acceptation d’une neutralité absolue dans les affaires relevant de la chose publique (la res publica), d’une liberté limitée dans le secteur privé (par le bon fonctionnement de l’entreprise) et d’une liberté quasi absolue dans la sphère strictement privée (sauf à commettre un délit) permet d’assurer une cohésion sociale efficace.

Pour que la laïcité puisse s’appliquer ainsi, il y a une condition sine qua non, qui consiste à accepter que la loi soit une norme supérieure à tout précepte religieux. Et cela n’a pas pour but de brimer le sentiment religieux, ni d’empêcher les cultes de s’exercer.

Notons que les instances judiciaires européennes (CEDH et CJUE) apportent aussi leurs pierres à la construction juridique de la laïcité; la tendance est à reconnaître que la laïcité dans les textes français, comme l’interdiction de porter un signe ostensiblement religieux à l’école (loi du 15 mars 2004) n’est pas contraire aux libertés fondamentales de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

La laïcité a donc une importance fondamentale pour la création d’un citoyen éclairé appartenant à une société épanouie.

Elle est en vérité un bien commun appartenant aussi bien à ceux qui croient en un dieu et pratiquent un culte qu’à ceux qui n’y croient pas. La société laïque permet l’acceptation de tous. Mais il faut jouer le jeu, comme aurait dit Félix ÉBOUE.

Comment se fait-il que nos concitoyens, nos politiques, dans leur grande majorité, soient aussi peu nombreux à spontanément mettre en avant leurs convictions en matière de laïcité ?

FISCALITÉ ET FINANCEMENT

La fiscalité ne doit reconnaître que ce qui est d'intérêt commun. Le financement indirect des religions par l'exonération fiscale des dons au denier du culte porte atteinte au principe de séparation.
L'hypothèse d'un « don spiritualité » déductible des impôts (comme le proposait le Rapport Baroin) est une réintroduction détournée du financement des cultes, abandonné en 1905.

Le financement des lieux de culte doit rester une affaire privée. L'exemple de la cathédrale d'Evry et du Musée d'art chrétien est une infraction à ce principe, et il ne saurait faire jurisprudence.

La décentralisation ne peut donner lieu à un transfert de charges sociales des écoles privées à l'État.

Le plafonnement des fonds versés aux écoles privées, tel qu'il était prévu par la Loi Falloux, ne saurait être remis en question, sauf provocation à l'égard des défenseurs de la laïcité.

Les glissements trop fréquents de culturel à cultuel ressortissent à une conception communautariste : ils font d'un particularisme religieux un
critère d'identification culturel, comme si le cultuel et le culturel étaient intimement mêlés et inséparables.

Conception dangereuse de la culture, car elle en dénie le caractère libre.
Du religieux comme essence de la culture au fanatisme politico-religieux au nom de l'identité culturelle, il n'y a qu'un pas.

La laïcité c'est la liberté d'opinion de chacun.

La laïcité c'est l'égalité dans la sphère publique de chacun.

La laïcité c'est la fraternité sur le vivre ensemble.

La laïcité c'est l'égalité de tous devant la loi.

C'est une notion qui procure des droits et des obligations, qui sert à réunir les hommes dans un même idéal : celui de vivre en bonne intelligence dans la paix, la liberté et l'égalité.

Qui pourrait douter de cette nécessité au sein de notre République ?

Jean-Luc VALEGEAS

* Victor Hugo. Discours du 14 janvier 1850 à l’Assemblée Nationale

Et ce n’est pas fini...

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Musée mer marine.

26 Décembre 2024, 17:18pm

Publié par Bernardoc

Enfin, presque six ans après son ouverture, nous avons pris le temps d’aller visiter le dernier né des musées bordelais. Nous y sommes allés en voiture car sinon nous aurions eu du mal à tout voir dans le temps que nous nous étions alloué en cette veille de Noël, et nous avons pu nous garer juste devant, ce qui était très bien pour Maeva.

Accueillis par un grand requin blanc qui nous sourit (?) nous découvrons un vaste hall, et nous nous engouffrons tout de suite dans l’ascenseur pour le premier étage où se trouve une exposition temporaire consacrée à de superbes photos d’animaux marins du Bassin d’Arcachon. Les titres de chaque photo étaient choisis avec soin et suggéraient le rêve.

Retour au rez-de-chaussée pour l’exposition permanente ; voici ce qu’en dit le prospectus de présentation : « Dans une scénographie moderne et épurée, une exceptionnelle collection privée d’œuvres d’art, de bateaux et de pièces iconiques de l’univers maritime vous raconte les grandes batailles, les aventures des explorateurs et des pirates, les croyances et les légendes de la mer... »

Dans une autre aile du premier étage, c’est l’histoire de la Royale, la marine nationale, puis une présentation originale des grands navigateurs contemporains.

Et notre visite s’est arrêtée là, puisque Guilhem et sa famille étaient en route vers la maison.

Nous y reviendrons !

Et ce n’est pas fini...

Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
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Musée mer marine.
Musée mer marine.
Musée mer marine.
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J'espère qu'il est passé chez vous

25 Décembre 2024, 13:43pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Communiqué de l’ONG ONE

23 Décembre 2024, 09:21am

Publié par Bernardoc

À l'approche de la fin de l'année, nous souhaitons attirer votre attention sur une cause urgente : l'accès aux vaccins essentiels pour tous les enfants. 

En 2023, 21 millions d'enfants ont été privés de vaccins essentiels. Le budget d'aide internationale de la France, qui finance notamment Gavi, l'Alliance du Vaccin, pourrait chuter de 2 milliards d'euros en 2025 si le prochain gouvernement maintient le cap lancé par le Premier ministre sortant Michel BARNIER. Cette réduction aura des conséquences dramatiques sur la santé des enfants à travers le monde. 

La vaccination est cruciale pour protéger les enfants contre des maladies mortelles. Gavi a besoin de notre soutien pour continuer à sauver des millions de vies. C'est pourquoi nous avons collaboré avec Steves Hounkponou pour créer une vidéo inspirante, adressée au Président Emmanuel Macron. Steves, qui a la chance de pouvoir soigner sa maladie génétique, s'associe à ONE pour demander à la France de ne pas baisser son engagement financier à Gavi en 2025. 

Pour en savoir plus et nous soutenir, rendez-vous sur notre compte Instagram @onefrance_ong. Visionnez, likez et partagez notre vidéo réalisée en collaboration avec Steves Hounkponou. N'oubliez pas de taguer @emmanuelmacron en commentaire pour attirer son attention sur cette cause cruciale ! 

Et ce n’est pas fini...

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Les mutuelles augmenteront leurs tarifs de 6 % en moyenne en 2025

22 Décembre 2024, 09:13am

Publié par Bernardoc

In La Croix du 18 décembre 2024

L’augmentation des tarifs des mutuelles en 2025 sera en moyenne de 6 %, a indiqué la Mutualité française mercredi 18 décembre. Moins forte que l’année précédente, cette hausse restera supérieure à la moyenne observée sur la dernière décennie.

Les complémentaires santé à statut mutualiste augmenteront leurs tarifs en moyenne de 6 % en 2025, une hausse moins forte qu’en 2024, mais qui reste bien supérieure à celle observée sur la dernière décennie, a indiqué la Mutualité française, la fédération qui les représente, mercredi 18 décembre.

Les complémentaires santé à statut mutualiste sont la plus importante famille de complémentaires santé, avec 47 % des cotisations collectées, et les chiffres qu’elles annoncent peuvent être considérées comme une bonne approximation de l’ensemble du marché.

Les contrats individuels, souscrits notamment par les retraités, « augmenteront en moyenne de 5,3 % », a indiqué mercredi dans un communiqué la Mutualité française, en se basant sur les chiffres de 41 mutuelles, représentant 19,9 millions de personnes couvertes.

Les contrats collectifs obligatoires couvrant les salariés via leur entreprise « augmenteront de 7,3 % en moyenne », et les contrats collectifs facultatifs « de 6,8 % », détaille la Mutualité.

Pour 2024, la Mutualité et les autres familles avaient affiché des hausses record (+ 8,1 % pour la Mutualité), après + 4,7 % en 2023, et + 3,4 % en 2022.

Sur les dix années antérieures, la hausse était de 2,6 % en moyenne chaque année. « L’augmentation des cotisations des mutuelles en 2025 est inévitable » en raison de plusieurs facteurs, dont la hausse « structurelle » des dépenses de santé en France, soit + 5,2 % en 2023, indique la Mutualité.

À cet effet structurel vient s’ajouter une participation plus grande des complémentaires santé au financement de certaines dépenses, comme les frais dentaires – dont les complémentaires santé assument désormais 40 %, contre 30 % avant 2023, ajoute-t-elle.

« Nous comprenons que les personnes s’interrogent sur cette augmentation mais celle-ci se fait au niveau strictement nécessaire pour pérenniser la protection de tous », indique le président de la Mutualité, Éric CHENUT, qui appelle tous les acteurs de la santé à se mettre autour de la table pour tenter de mieux maîtriser la croissance des dépenses du secteur.

Celles-ci « augmentent deux à trois fois plus vite que la richesse nationale. Avec le vieillissement de notre population et les avancées scientifiques, et sans refonte structurelle, ces dépenses continueront d’augmenter jusqu’à ce que nous ne puissions plus y faire face », avertit-il.

Les deux autres grandes familles de complémentaires santé sont les entreprises d’assurances (36 % des cotisations collectées) et les institutions de prévoyance, à gestion paritaire patronat/syndicat (17 % des cotisations collectées).

Et ce n’est pas fini...

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