Et pendant ce temps-là, il nous emmerde.
J'ai mes trois doses, mais le méprisant m'emmerde depuis le calamiteux quinquennat Hollande.
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in Siné mensuel de janvier 2022
Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
J'ai mes trois doses, mais le méprisant m'emmerde depuis le calamiteux quinquennat Hollande.
in Siné mensuel de janvier 2022
Et ce n'est pas fini...
- Le variant Travolta donne toujours de la fièvre, mais seulement le samedi soir.
- Le variant Suisse reste neutre, quel que soit le test PCR, antigénique ou sérologique.
- Pour le variant Bordelais, pas de souci on a les Médoc.
- Le variant Normand est difficile à prévoir : "P'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non".
- Le variant Belge serait redoutable, ça finit généralement par une mise en bière.
- Ne craignez plus le variant Chinois, il est cantonné.
- Par contre, le variant SNCF arrivera plus tard que prévu.
- Contrairement aux apparences, le variant du Bénin serait grave voire dangereux.
- En ce qui concerne le variant Italien, vous en prenez pour Milan.
- De son côté, le variant Ecossais se tient à carreau.
- Apparemment, avec le variant Japonais, il y a du sushi à se faire.
- On parle de l'émergence d'un variant Colombien, mais il semblerait que ce soit de la poudre aux yeux.
- S'agissant du variant Moscovite, c'est un méchant virusse.
- Pour sa part, le variant Corse s'attaque au bouleau puisqu’il est transmis par l'écorce.
- Le premier symptôme du variant Breton, c'est quand on commence à entendre le loup, le renard et la belette chanter.
Prenez soin de vous et ça commence par de l'humour !!!!!
Que 2022 soit sous le signe de la bonne humeur
-auteur inconnu-
Et ce n'est pas fini...
Découverte en 1995, son inventeur, Jean-Luc SIRIEIX, n'eut pas le loisir d'en profiter puisqu'il se noya lors de sa deuxième exploration. Elle est ouverte à tout public depuis 2010 et un fauteuil roulant peut même être mis à disposition : ce fut une aubaine pour Maeva, qui sinon aurait moins apprécié la visite. En principe, j'ai horreur des audioguides, mais celui qui nous est fourni gratuitement avec le billet est bien fait et élargit même le commentaire strict de la grotte. L'accueil fut très chaleureux et le personnel très disponible.
Ensuite, nous sommes allés faire un tour dans le village, pour regarder de plus près l'ensemble formé par l'église abbatiale Saint-Pierre-ès-Liens, romane des XIIe et XIIIe siècles, et l'ancienne abbaye bénédictine qui se dressent au bord de l'Auvézère. Elles font partie des monuments historiques.
Mais Tourtoirac a aussi in homme célèbre, Antoine de Tounens, autoproclamé roi de Patagonie, et poursuivi à ce titre par le gouvernement chilien de l'époque. Il est enterré au cimetière du village.
Les photos en diront plus.
Et ce n'est pas fini...
Condat de Vesera
Troisième et avant dernière étape en ce jour de Noël. Dans mon imaginaire, Condat était lié au Lardin et à son usine de papeterie. Comme quoi, il vaut mieux aller voir sur place !
Le nom de Condat viendrait du mot « condate », d’origine gauloise, signifiant confluent de deux cours d’eau, en l’occurrence la Vézère et le Coly. Les premiers écrits évoquant Condat remontent au Moyen-Age.Jusqu'à la Révolution, la paroisse fut le siège de la principale Commanderie de l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte en Périgord.A la nouvelle de la prise de la Bastille, les habitants de Condat pillèrent les meubles de la Commanderie qui seront vendus comme biens nationaux. En 2019, la commune comptait 880 habitants, en diminution de 3,72 % par rapport à 2014.
En partant, avant de rentrer sur Limeyrat, nous avons fait un petit crochet par Cubjac.
En somme, une belle journée de Noël au « Pays de l'homme », qui est aussi le mien.
Et ce n'est pas fini...
Bona annada !
Feliĉan novjaron, pacon kaj sanon !
Et ce n'est pas fini...
Deuxième étape de notre balade de Noël. Le nom de la localité est attesté sous les formes Ambas au XIII° siècle, Aubas en 1365. Le nom pourrait provenir d'aubars, correspondant aux saules blancs en occitan.En 2019, la commune comptait 622 habitants, en diminution de 3,57 % par rapport à 2014.Elle est traversée du nord au sud-ouest par la Vézère qui, en deux endroits lui sert de limite naturelle. C'est d'ailleurs au bord de cet affluent de la Dordogne que nous nous sommes arrêtés sur la grand place. Différents panneaux explicatifs sont disséminés autour du bourg, et ils sont trilingues, l'occitan y trouvant nécessairement sa place. De plus une borne sonore diffuse à la demande un chant occitan dédié à la Vézère.
L'ancienne cure abrite la bibliothèque municipale, concurrencée (?) par une ancienne cabine téléphonique transformée en boîte à livres, abritée par LE platane.
Nous avons également fait un saut jusqu'à l'église St Cyr du XII° siècle.
Et ce n'est pas fini...
À l'est du département de la Dordogne, Auriac-du-Périgord est une commune du nord Sarladais.Elle est traversée de l'ouest au sud-est par la Laurence, un petit affluent de la Vézère.Le nom de la commune vient du nom d'un personnage gallo-romain, Aureus, suivi du suffixe -acum, correspondant au « domaine d'Aureus ».En 2018, la commune comptait 391 habitants, en diminution de 2,25 % par rapport à 2013.
C'est un village que nous avons pu découvrir le jour de Noël, avec un temps agréable : une belle place, de belles maisons, un beau lavoir et l'église St Étienne méritaient bien la courte halte que nous y avons faite. Quelques photos en témoignent.
Et ce n'est pas fini...
Ce matin, dans l'excellente émission Boomerang sur France inter, j'ai entendu le brillant Augustin TRAPENARD qualifier son invitée, Kae TEMPEST, d'« ambassaderice ». Ce journaliste, agrégé d'anglais, n'a pu se tromper à ce point dans la prononciation. En y réfléchissant, je pense qu'il a voulu « ieler » le mot, qu'il aurait écrit « ambassadeurice », négligeant ainsi la défense de la langue française dont la radio nationale s'était fait un devoir. Rappelons-nous les chroniques du regretté Alain REY qui ont illuminé nos matinales pendant des années !
Si même les émissions culturelles tombent dans le travers qui vise à compliquer notre langue, ce ne sont certes pas les enseignants qui ont en charge les élèves « à besoins particuliers » (oh ! Le bel euphémisme!) qui encourageront l'écoute des ondes nationales.
Mais après tout, le français est-il amené à persister comme langue de communication ? D'aucuns diront que l'anglais suffit bien.
Périodiquement on parle de simplifier notre langue, mais cette dernière mode, que j'espère éphémère, va exactement à l'encontre de ce qui est souhaité et conduit même à des aberrations telle que celle que j'ai vue dans un écrit syndical et qui pensait que «laïc » était le masculin de « laïque ».
Au secours !
Et ce n'est pas fini...
Le village en poésie périgourdin a sacrifié à la magie de saison. Initiées par la mairie, les décorations ont pris une grande ampleur grâce à la participation des habitants. Deux visites s'imposaient : une diurne et une nocturne. Voici le résultat.
Et ce n'est pas fini...
C'est (un peu) mieux que l'an dernier : nous avons pu fêter Noël en famille (en mode restreint). En revanche, il n'en sera pas de même pour le réveillon du 31 où nous serons tous les trois avec Maeva. restons prudents, nous ne sommes pas encore sortis des ronces.
Et ce n'est pas fini...