J'espère qu'il est passé chez vous
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Et ce n'est pas fini...
Pour éviter d'avoir à me répéter, notes en vrac d'un retraité, incorrigible militant.
Et ce n'est pas fini...
À l'approche de la fin de l'année, nous souhaitons attirer votre attention sur une cause urgente : l'accès aux vaccins essentiels pour tous les enfants.
En 2023, 21 millions d'enfants ont été privés de vaccins essentiels. Le budget d'aide internationale de la France, qui finance notamment Gavi, l'Alliance du Vaccin, pourrait chuter de 2 milliards d'euros en 2025 si le prochain gouvernement maintient le cap lancé par le Premier ministre sortant Michel BARNIER. Cette réduction aura des conséquences dramatiques sur la santé des enfants à travers le monde.
La vaccination est cruciale pour protéger les enfants contre des maladies mortelles. Gavi a besoin de notre soutien pour continuer à sauver des millions de vies. C'est pourquoi nous avons collaboré avec Steves Hounkponou pour créer une vidéo inspirante, adressée au Président Emmanuel Macron. Steves, qui a la chance de pouvoir soigner sa maladie génétique, s'associe à ONE pour demander à la France de ne pas baisser son engagement financier à Gavi en 2025.
Pour en savoir plus et nous soutenir, rendez-vous sur notre compte Instagram @onefrance_ong. Visionnez, likez et partagez notre vidéo réalisée en collaboration avec Steves Hounkponou. N'oubliez pas de taguer @emmanuelmacron en commentaire pour attirer son attention sur cette cause cruciale !
Et ce n’est pas fini...
In La Croix du 18 décembre 2024
L’augmentation des tarifs des mutuelles en 2025 sera en moyenne de 6 %, a indiqué la Mutualité française mercredi 18 décembre. Moins forte que l’année précédente, cette hausse restera supérieure à la moyenne observée sur la dernière décennie.
Les complémentaires santé à statut mutualiste augmenteront leurs tarifs en moyenne de 6 % en 2025, une hausse moins forte qu’en 2024, mais qui reste bien supérieure à celle observée sur la dernière décennie, a indiqué la Mutualité française, la fédération qui les représente, mercredi 18 décembre.
Les complémentaires santé à statut mutualiste sont la plus importante famille de complémentaires santé, avec 47 % des cotisations collectées, et les chiffres qu’elles annoncent peuvent être considérées comme une bonne approximation de l’ensemble du marché.
Les contrats individuels, souscrits notamment par les retraités, « augmenteront en moyenne de 5,3 % », a indiqué mercredi dans un communiqué la Mutualité française, en se basant sur les chiffres de 41 mutuelles, représentant 19,9 millions de personnes couvertes.
Les contrats collectifs obligatoires couvrant les salariés via leur entreprise « augmenteront de 7,3 % en moyenne », et les contrats collectifs facultatifs « de 6,8 % », détaille la Mutualité.
Pour 2024, la Mutualité et les autres familles avaient affiché des hausses record (+ 8,1 % pour la Mutualité), après + 4,7 % en 2023, et + 3,4 % en 2022.
Sur les dix années antérieures, la hausse était de 2,6 % en moyenne chaque année. « L’augmentation des cotisations des mutuelles en 2025 est inévitable » en raison de plusieurs facteurs, dont la hausse « structurelle » des dépenses de santé en France, soit + 5,2 % en 2023, indique la Mutualité.
À cet effet structurel vient s’ajouter une participation plus grande des complémentaires santé au financement de certaines dépenses, comme les frais dentaires – dont les complémentaires santé assument désormais 40 %, contre 30 % avant 2023, ajoute-t-elle.
« Nous comprenons que les personnes s’interrogent sur cette augmentation mais celle-ci se fait au niveau strictement nécessaire pour pérenniser la protection de tous », indique le président de la Mutualité, Éric CHENUT, qui appelle tous les acteurs de la santé à se mettre autour de la table pour tenter de mieux maîtriser la croissance des dépenses du secteur.
Celles-ci « augmentent deux à trois fois plus vite que la richesse nationale. Avec le vieillissement de notre population et les avancées scientifiques, et sans refonte structurelle, ces dépenses continueront d’augmenter jusqu’à ce que nous ne puissions plus y faire face », avertit-il.
Les deux autres grandes familles de complémentaires santé sont les entreprises d’assurances (36 % des cotisations collectées) et les institutions de prévoyance, à gestion paritaire patronat/syndicat (17 % des cotisations collectées).
Et ce n’est pas fini...
In Marianne du 20 décembre 2024
Ce mercredi 18 décembre, Nicolas Sarkozy a été définitivement condamné pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire Bismuth à trois ans d'emprisonnement, dont un ferme, après un rejet de son pourvoi par la Cour de cassation. Toutefois, l'ancien président a bénéficié d'un aménagement de peine, sous la forme d'une détention à domicile sous surveillance électronique, et ne mettra donc pas un pied en cellule. Quels sont les profils concernés par ce dispositif ? Comment est-il contrôlé ? « Marianne » répond aux questions sur le fonctionnement du bracelet électronique.
Tout premier ancien chef de l’État condamné à une peine de prison ferme, Nicolas Sarkozy a été reconnu coupable de corruption et trafic d’influence par la Cour de cassation, ce mercredi 18 décembre, qui a rejeté son pourvoi dans l’affaire Bismuth. S’il a écopé de trois ans d’emprisonnement dont un ferme, dans les faits, l'ex-président de la République ne mettra pas un pied dans un centre pénitentiaire. Pour cause, le condamné a bénéficié d’un aménagement de peine, sous la forme d’une détention à domicile sous surveillance électronique.
Autrement dit, Nicolas Sarkozy devra porter à la cheville un bracelet électronique pendant une année. Créé par la loi du 19 décembre 1997, ce dispositif est de plus en plus accordé par les juges, qui voient en cette mesure une solution pour pallier la surpopulation carcérale. Rappelons qu’au 1er septembre dernier, les prisons françaises comptaient 78 969 personnes incarcérées, avec une densité carcérale globale de 127,3 %. Profils concernés, contrôle, politiques condamnés… Marianne revient sur les questions qui se posent autour du fonctionnement du bracelet électronique.
Il n’y a pas de causalité entre une infraction et l’ordonnance du port d’un bracelet électronique, qui s’impose pour certaines situations juridiques. En effet, pour les condamnations allant de un à six mois, le juge des libertés a l’obligation d’aménager la peine. Trois options sont alors possibles : la semi-liberté, le placement extérieur ou la détention à domicile sous surveillance électronique.
Pour les peines de prison ferme allant de six à douze mois, l'aménagement de la peine est laissé à la libre appréciation du juge de l’application des peines en fonction du profil de la personne condamnée. Dès le passage devant le tribunal, lorsque le procureur requiert une peine d’emprisonnement ferme, l’avocat peut formuler cette demande – comme l’a fait le conseil de Nicolas Sarkozy lors du procès. En revanche, si la durée de la peine est supérieure à un an, aucun aménagement n'est possible.
A noter que le bracelet électronique peut également être accordé à des détenus en fin de peine, dans les cas où le cumul des peines restantes est inférieur ou égal à 2 ans, ou dans le cas d’une remise en liberté après une longue période de détention.
Aujourd’hui, ce dispositif constitue l’aménagement de peine le plus courant et le plus accordé par les juges en France. Au 1er novembre 2024, 15 591 personnes portaient un bracelet électronique, sur un total de 96 569 personnes écrouées, selon les chiffres du ministère de la Justice. Un chiffre en constante augmentation ces dernières années, puisqu’en 2022, 14 719 condamnés en ont bénéficié, contre 10 620 en 2019.
Le bracelet électronique est vissé à la cheville du condamné, généralement au greffe de l’établissement pénitentiaire ou au service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP). En parallèle, un surveillant installe dans le logement de la personne écrouée un boîtier, relié à la ligne téléphonique et permettant de localiser le bracelet.
C’est au juge de l’application des peines de déterminer les modalités de la détention, comme les horaires de sortie du domicile. Généralement, ces dernières sont fixées entre 8 et 19 heures pour permettre au condamné de se rendre à son travail.
Sur son site, le ministère de la Justice indique qu’outre l’exercice d’une activité professionnelle, une personne placée sous surveillance électronique peut suivre une formation professionnelle, bénéficier d’un suivi médical, passer les portiques de sécurité d’un magasin sans que le bracelet ne déclenche l’alarme et même se doucher avec.
Si le condamné n'est pas chez lui aux horaires fixés, une alerte se déclenche et directement transmise à un surveillant pénitentiaire, alors chargé d’appeler au domicile de la personne pour confirmer – ou non – sa présence. Un compte rendu d’incident, transmis au juge, au procureur de la République et au SPIP, est également rédigé par un agent du centre de surveillance.
Par ailleurs, la bonne application du dispositif est contrôlée par le SPIP, dont les membres peuvent décider de convoquer le condamné ou se rendre à son domicile. Toute tentative d’enlever, de casser ou de détériorer le bracelet électronique ou le boîtier peut entraîner des poursuites judiciaires, pouvant aller jusqu'à l'incarcération.
Condamnés à trois ans de prison ferme et dix ans d’inéligibilité pour fraude fiscale en mars 2020, Isabelle et Patrick Balkany ont bénéficié, en raison de leur âge supérieur à 70 ans, de cet aménagement de peine. Rappelons qu’entre 2019 et 2020, l’ancien maire de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) avait été incarcéré cinq mois tandis que son épouse a toujours évité la prison pour raisons de santé. Toutefois, en 2022, la justice a révoqué le placement sous bracelet électronique des époux Balkany, en raison de multiples manquements à leurs obligations judiciaires.
Et ce n’est pas fini...
In L’Humanité du 20 décembre 2024
« La CGT, c’est aussi ça : proposer des alternatives de progrès », s’enorgueillissait sur X Sophie BINET en juillet, lors du lancement de la coopérative d’imagerie médicale Axel à Moirans (Isère). La société coopérative d’intérêt collectif (Scic) vient de franchir un nouveau cap avec le dépôt de son dossier de création au tribunal de commerce de Grenoble. Le projet imaginé par la CGT Thales en 2012 prend ainsi corps. À l’époque, la multinationale envisageait de se défaire de sa branche imagerie médicale pour se recentrer sur ses activités cyber et défense. Les représentants du personnel se sont alors battus afin de pérenniser les compétences et matériels de haute technicité du site. Douze ans plus tard, Axel, avec ses sociétaires Thales et Fortil, le CHU de Grenoble et des écoles d’ingénieurs du cru, ainsi que la CGT elle-même, prend son envol. La coopérative va structurer une filière industrielle de l’imagerie médicale en assurant des synergies dans la recherche et développement.
Et ce n’est pas fini...
Enseignements Privés / Enseignement Public
(ici la règle du pluriel a toute son importance.)
« Jésus disait : Aimer. L’église dit : Payer. » Victor Hugo.
Les mots du poète n’ont rien perdu de leur force, mais il est plus que temps de réactualiser la conscience du promeneur cégétiste égaré au milieu des cynismes du libéralisme ambiant. Aujourd’hui, le pèlerin cégétiste est convié à la célébration d’une messe d’action de grâce demandée par les directions diocésaines et la direction des enseignements privés, à dominante catholique de 97 %. Il s’agit bien de remercier le dieu libéralisme de pouvoir puiser dans les caisses de l’État, et, sans contrôle, jouer avec de l’argent qui ne lui appartient pas depuis 1905 .
Notre pèlerin cégétiste s’installe sur l’une des chaises du fond. Il sait qu’il n’est pas le bienvenu, mais il s’en fout, il a trop besoin de savoir jusqu’où va la dilapidation de son argent. Le bâtiment gris et angoissant se nomme Notre Dame des Entourloupes, érigé au bout du boulevard du Mépris des Services Publics. Une géométrie incontournable place depuis la Loi Debré de 1959 les différentes instances autour du coffre fort central. Dans le Chœur, quelques vieux prêtres s’assoupissent, ils savent qu’ils ne sont plus très importants dans la pratique des additions et des multiplications. Cela fait longtemps que la soutane a été remplacée par la cravate club.
Dans la nef, par l’importance des sommes versées, s’installent, dans les premiers rangs, les « généreux » donateurs de la puissance publique : l’État et les collectivités territoriales ( régions et mairies). Les chiffres parlent d’eux-mêmes : l’enseignement privé qui accueille 17% d’élèves (plus de deux millions d’élèves en France) est financé à 75 % par la République Française. Investissement annuel en 2022 de 8 milliards d’Euros qui représente 13,9 % de la dépense publique en matière d’éducation.
Derrière eux, beaucoup plus discret, le Patronat, le doigt sur la couture du carnet de chèques, certains sont parfumés à l’eau bénite, prêts pour les bonnes œuvres pédagogiques : pour toi du neuf en informatique, pour toi une nouvelle salle de sports, pour toi le malchanceux au milieu d’un quartier populaire le matériel usagé du premier établissement cité. « Ah ces dames patronnesses qui reconnaissent leurs pauvres à grand-messe ! » Le grand Jacques BREL, avec ses mots désabusés est plus que le bienvenu dans ce tableau effrayant. Les visiteurs cégétistes ne sont pas au bout de leurs surprises et s’interrogent maintenant sur l’identité sociale de celles et ceux qui composent les derniers rangs.
Voici enfin « les cochons de payants » : les parents d’élèves. Ils ont choisi « pour le meilleur de leur enfant » la réalité d’un établissement privé. C’est ici qu’il faut expliquer le pluriel du sur-titre. A la différence de l’enseignement public gratuit et accessible pour toutes et tous, les écoles, collèges, lycées du privé sont payants et opèrent une sélection à l’entrée. Le mot sélection ne doit pas faire peur, mais il désigne une intrusion malsaine dans le « privé » économique et social de chaque famille. Dans le meilleur des cas, l’analyse de la feuille d’impôt est de mise. Ainsi les parents demandeurs se verront proposer une « tranche » de scolarité mensuelle adaptée à leurs revenus. Résultat des courses : les établissements de l'Enseignement catholique sont financés, aux trois quarts, par l'État et les collectivités territoriales et refusent tout contrôle de la fonction publique sur leurs moyens de gestion. Ben voyons !
Rappel historique : en 1984, le parti socialiste, par la proposition de la Loi Savary, voulut mettre fin à cette injustice. Cette proposition de loi visait à intégrer l’enseignement privé dans le service public d’éducation, ce que demande encore et toujours les personnels cégétistes du privé. La droite s’est mobilisée en masse : 500 000 « catholiques » se sont retrouvés dans la rue, pas n’importe laquelle, devant le château de Versailles. Ça ne s’invente pas. Depuis la grand-messe pour le dieu coffre-fort est célébrée chaque jour pour justifier des dépenses avec le fric qui est normalement destiné à l’enseignement public. Un jour, si la CGT retrousse ses manches républicaines, un jour peut-être, cessera le bruit des cloches de la grand-messe des escrocs.
Laurent BENOIT
Au nom du Collectif Retraités Éducation Nationale pour la Région Nord.
Et ce n’est pas fini...
Le billet du musée Jean-Jacques HENNER me donnait droit à l’entrée dans les 72 heures au musée national Gustave MOREAU. Ce fut donc ma dernière visite avant de reprendre le train.
Gustave MOREAU né le 6 avril 1826 Paris.
Son père Louis MOREAU, architecte, lui inculque une solide culture classique. Sa mère Pauline entoure de ses soins le jeune garçon de santé fragile.
1836-1840
Études secondaires au collège Rollin (actuel Lycée Jacques Decour). Depuis l'âge de huit ans, le jeune garçon ne cesse de dessiner.
1846 : Il est admis à l’École royale des Beaux-Arts.
1851
Moreau se lie d'amitié avec Théodore CHASSERIAU, ancien élève d'Ingres et il loue un atelier voisin de celui-ci, avenue Frochot, près de la place Pigalle. L'influence de Chassériau sur Moreau est capitale.
1852
Moreau est admis pour la première fois au Salon officiel. Il fréquente le théâtre et l'opéra. Ses parents achètent à son nom une maison particulière au 14 rue de La Rochefoucauld. L'atelier du peintre est aménagé au troisième étage...
1895
Il achève le chef-d'œuvre de sa vieillesse, Jupiter et Sémélé* et fait transformer la maison familiale du 14 rue de La Rochefoucauld pour qu'elle devienne un musée après sa mort. C’est l’architecte Albert LAFON qui transforme la maison familiale en musée. Les appartements du premier étage sont aménagés comme un petit musée sentimental où sont accrochés les portraits de famille et les œuvres offertes par ses amis Théodore CHASSERIAU, Eugène FROMENTIN ou Edgar DEGAS. Les deuxième et troisième étages deviennent de grands ateliers vitrés au nord, conçus pour offrir le plus d'espace possible. Un majestueux escalier à vis les relie entre eux. Plusieurs centaines de peintures et aquarelles ainsi que des milliers de dessins peuvent alors être exposés.
1898
Il meurt le 18 avril. Funérailles à l'église de la Trinité à Paris. Il est enterré au cimetière Montmartre.
Le musée a ouvert en 1903 ; j’ai l’impression qu’il n’a guère changé depuis.
Et ce n’est pas fini...
J’ai commencé par ce musée car il ouvre trente minutes avant la plupart des autres musées parisiens. Et je crois que c’est la première fois que les œuvres du peintre occupaient la majorité des salles. Il y avait une (petite) exposition consacrée à Jackson POLLOCK : les premières années 1934 – 1937.
Voici donc un album des tableaux ou sculptures, plus ou moins connus, qui ont attiré mon œil.
Bonne visite.
Et ce n’est pas fini...
« On dit toujours que ce sont ceux qui en parlent le plus qui pratiquent le moins. La bonne nouvelle, c’est qu’il vous suffira simplement d’écouter.
Je vous propose qu’on partage une heure de sexe.
Une heure de sexe, parfois c’est court, parfois c’est long. Ce qui est sûr, c’est qu’une heure ensemble, ce sera forcément bon. » Bérengère KRIEF
Bérengère KRIEF questionne avec humour notre consommation de la sexualité. Dans une société en pleine « sex-récession », elle apporte un nouvel éclairage et un regard sensible sur la place du plaisir dans notre éducation qui prône souvent plus la prévention que l'extase.
Salle comble au théâtre de l’Oeuvre en ce jeudi 5 décembre ; je pense que j’étais un des spectateurs les plus âgés. Je ne connaissais pas cette artiste, mais je l’avais entendue lors d’une émission à la radio, et ce qu’elle avait dit avait éveillé ma curiosité, et je dois dire que je n’ai pas été déçu.
Hier son spectacle était critiqué au Masque et la plume, et la moitié des critiques l’ont descendue en flèche. Elle ne mérite pas ça, au contraire, je pense que son spectacle devrait être diffusé dans tous les établissements scolaires à partir de la 3ème dans le cadre de l’éducation affective et sexuelle à l’école.
Curieux quand même : le billet ne mentionne pas « Sexe », mais « nouveau spectacle ».
Et ce n’est pas fini...
En attendant ma soirée théâtrale, je me suis rendu dans ce quartier qui abrite le musée national Eugène DELACROIX. Situé au cœur de Paris, dans les anciens appartement et atelier du peintre Eugène Delacroix, le musée national Eugène-Delacroix forme un espace muséal singulier et captivant, un lieu rare dans Paris.
Les collections du musée réunissent depuis la fondation du musée en 1932 plus d’un millier d’œuvres. Elles rassemblent des œuvres de Delacroix – peintures, dessins, estampes, manuscrits – comme des objets qui lui ont appartenu, et des œuvres créées par des artistes qui l’admirèrent.
Grosse déception, malgré l’exposition Nu comme habillé, Delacroix et le vêtement. Pour voir les œuvres célèbres du peintre, mieux vaut aller au Louvre ou à Orsay.
En sortant, petit tour à l’église que je ne connaissais pas.
L’église de Saint-Germain-des-Prés est une ancienne abbaye bénédictine de Paris fondée au milieu du VIe siècle par le roi mérovingien Childebert Ier et l'évêque de Paris saint Germain. L'abbaye a eu plusieurs noms connus sous le vocable Saint-Vincent et Sainte-Croix. Elle est située au cœur de Paris et du quartier latin.C'est une abbaye royale, qui bénéficie donc d'une exemption et est directement soumise au pape. La première église abbatiale est consacrée le 23 avril 558 à la sainte-Croix et à saint-Vincent-de-Saragosse. Cette basilique possède des colonnes de marbre, un plafond lambrissé et des fenêtres vitrées.
L'abbaye est nécropole royale jusqu'à la création de la basilique de Saint-Denis. Les reliques de saint Germain y sont vénérées, mais plus aucune sépulture médiévale ne subsiste à ce jour, et les reliques se sont considérablement amoindries. L'église est rebâtie par l'abbé Morard, à partir de la fin du Xe siècle.
Le quartier hébergeait un petit marché de Noël, et j’ai apprécié un vin chaud avant de reprendre le métro.
Et ce n’est pas fini...