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Le blog de Bernard SARLANDIE

SOS abeilles

7 Mars 2025, 09:15am

Publié par Bernardoc

Les multinationales agro-industrielles font peser une nouvelle menace grave sur les insectes pollinisateurs et la biodiversité en tentant d'imposer à Bruxelles un nouveau règlement européen autorisant la dissémination d'organismes génétiquement trafiqués, à grande échelle sur tout le territoire de l’Union européenne

 Si ce règlement était adopté : 

 > il n’y aurait plus AUCUNE évaluation des risques que ces nouveaux produits pourraient faire peser sur les abeilles et l’environnement ;

 > il n’y aurait plus AUCUN étiquetage, aucune traçabilité et donc aucun moyen pour nous, citoyens et consommateurs, de savoir si les aliments que nous achetons en magasin contiennent ces nouveaux organismes génétiquement trafiqués ;

 > il n’y aurait plus AUCUN rempart contre l’emprise des industriels de l’agrochimie et de l'agro-alimentaire sur le monde agricole : les multinationales accapareront une partie importante du monde vivant, qu'elles contrôleront en déposant des milliers de brevets chaque année.

 Tout cela, au profit d’une poignée de firmes qui engrangent déjà des bénéfices indécents sur le dos de nos agriculteurs et des citoyens - et au détriment de la liberté des consommateurs de choisir une alimentation sans OGM et sans petites magouilles génétiques !

 Mais il est encore possible de les en empêcher ! Seule une réaction puissante et générale de la société civile pourrait nous permettre de bloquer les négociations.

Grâce à votre mobilisation, et aux centaines de milliers de citoyennes et citoyens comme vous déjà engagés dans ce combat, POLLINIS se bat pour faire entendre la voix et les intérêts des citoyens et des agriculteurs...

 et forcer tous ensemble les représentants politiques à refuser l'adoption du règlement autorisant les trafics génétiques dans la nature et jusque dans nos assiettes !

Début janvier, POLLINIS a lancé une nouvelle pétition qui a déjà recueilli 78 000 signatures

Et ce n’est pas fini...

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Médecins cubains.

6 Mars 2025, 10:48am

Publié par Bernardoc

Quelle ironie alors que Cuba a montré une fois de plus sa solidarité dans le cadre de l’épidémie de COVID (58 brigades médicales cubaines ont alors apporté leur soutien dans 42 pays d’Europe, d’Amérique, d’Afrique, d’Asie et d’Océanie) et que plusieurs territoires considérés comme des « déserts médicaux » en Europe ont fait appel à cette coopération médicale (c’est le cas en Italie) ou mènent campagne pour la venue en renfort de médecins cubains (comme en France à l’instar des Côtes d’Armor et d’autres départements).

Les États-Unis vont étendre leur politique de restriction des visas liée à Cuba, qui inclura désormais la suspension des visas associés aux accords de coopération médicale internationale.

Cette mesure restreindra la délivrance de visas aux fonctionnaires, actuels ou anciens, du gouvernement cubain ainsi qu’à ceux de pays tiers, considérés comme responsables ou impliqués dans ce qui est qualifié de « programme d’exportation de main-d’œuvre cubaine » et aux personnes responsables de ce programme international de soins médicaux.

Marco RUBIO reprend les arguments de ceux qui osent accuser Cuba d’exporter une « main-d’œuvre exploitée », accusations qui visent à associer l’île à des pratiques d’« esclavage moderne » et de « traite des êtres humains ».

Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno RODRIGUEZ PARRILLA, a aussitôt dénoncé cette mesure et souligné que « la décision annoncée aujourd’hui, fondée sur des mensonges et la coercition, vise à affecter les services de santé de millions de personnes à Cuba et dans le monde, au profit de groupes d’intérêts spéciaux pour lesquels Rubio garantit la dilapidation des fonds du contribuable américain ».

Pour sa part Johanna TABLADA, directrice adjointe de la Direction générale américaine du ministère a précisé que « les programmes médicaux de Cuba dans le monde étaient conformes aux programmes de coopération Sud-Sud des Nations unies, dans le cadre desquels des pays comme Cuba apportent leurs ressources humaines et d’autres pays qui ne disposent pas de ces ressources compensent par des revenus les services fournis, une partie de ces revenus allant aux travailleurs sous contrat et une autre directement au système de santé publique cubain  ».

Et ce n’est pas fini...

 

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Paroles, paroles, paroles...

5 Mars 2025, 14:25pm

Publié par Bernardoc

Et ce n'est pas fini...

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Tous les pays (non démocratiques) ne font-ils pas pareil ?

4 Mars 2025, 11:22am

Publié par Bernardoc

in Franceinfo du 4 mars 2025
Quand l'Algérie tente de faire taire ses opposants sur le territoire français

Selon les révélations de "L'Œil du 20 heures", des opposants au régime sont approchés en France afin qu'ils partagent des informations sur les militants qu'ils côtoient et sur leurs activités, en échange d'un retour en Algérie et de l'abandon des poursuites à leur encontre.

Des manœuvres sur le sol français pour mettre la pression sur les opposants au régime, bien au-delà des campagnes sur les réseaux. C'est ce que mettrait en œuvre le pouvoir algérien, selon les révélations de "L'Œil du 20 heures", diffusé lundi 3 mars. Dans une note confidentielle, les renseignements territoriaux français confirment "l'existence d'une stratégie d'influence développée par Alger auprès de sa diaspora, qui s'appuie sur les réseaux sociaux". Mais, dans l'ombre, l'enquête de "L'Œil du 20 heures" démontre que le pouvoir algérien manœuvre également directement sur le sol français, pour neutraliser et récupérer ses opposants.

Ghilas AÏNOUCHE est algérien, opposant au régime et réfugié en France. Ce caricaturiste de 36 ans a été condamné par contumace à dix ans de prison pour "atteinte à la personne du président de la République algérien". Mais même en France, ses dessins lui valent des menaces sans ambiguïté des partisans du régime. "C'est toujours les mêmes termes. Nous sommes des harkis, des traîtres, des collabos, à la solde de la France. Ils disent qu'on est payés pour insulter l'Algérie et le peuple algérien", témoigne le dessinateur. 

Ils, ce sont "le régime et ses partisans", ajoute-t-il, tout en affirmant être régulièrement contacté par les autorités algériennes, qui lui proposent un marché : l'annulation de sa peine de prison contre un ralliement au régime. "On a déjà essayé de m'approcher pour faire sauter les dix ans de prison. On m'a appelé, mais je n'ai pas voulu me rendre à ce rendez-vous. J'ai refusé, assure-t-il. Je ne pense pas qu'il y ait un opposant que le régime n'ait pas essayé d'approcher."

Si Ghilas AÏNOUCHE n'a jamais donné suite, d'autres opposants ont voulu savoir ce qui se cachait derrière cette promesse. Trois opposants membres du MAK, le Mouvement autonomiste kabyle, classé organisation terroriste par Alger pour "atteinte à l'unité nationale", donnent rendez-vous dans un petit local parisien qui leur sert de QG. Il y a six mois, l'un d'eux a été approché, via les réseaux sociaux, par un homme qui affirmait parler au nom de l'Etat algérien, avec une proposition explicite : "Si tu veux rentrer, on peut t'aider. Ta condamnation sera effacée."

Le soir de leur rencontre avec "L'Œil du 20 heures", ils ont accepté un rendez-vous téléphonique avec leur interlocuteur, un certain Mourad A. qui affirme travailler au ministère de l'Intérieur algérien. "Un ministère puissant", ajoute-t-il. L'échange est cordial. En réponse à la question de l'un des opposants, "Pourquoi l'Algérie accepte-t-elle qu'on revienne alors qu'on a quand même trahi, qu'on est classifiés comme terroristes ?", Mourad A. l'assure : "L'Algérie n'abandonne jamais ses enfants."

Pour ceux qui acceptent, la suite se passe dans certains consulats algériens en France. Nous avons pu nous procurer l'enregistrement audio de la convocation d'un opposant. Ce document inédit révèle les méthodes d'intimidation pour retourner les voix dissidentes. Ce jour-là, l'homme est conduit vers le bureau de sécurité, un département officieux du consulat, rattaché aux services de renseignements algériens. "Cher monsieur, mettez-vous à l'aise", lui dit un homme. "Ne soyez pas stressé !". Face à lui, deux hommes en civil, dont l'un se présente comme un haut cadre du consulat.

L'échange, d'apparence cordiale, tourne rapidement à l'interrogatoire : "Qui traîne avec vous ? Quand avez-vous rejoint le mouvement ?" Puis les questions se font plus précises : "En tant que militant, vous étiez en charge de quoi ? Qui a l'ascendant ?" Comprendre : qui est le chef ? Et le ton se fait plus pressant : "Qui sont tes amis les plus proches ? Est-ce que tu sens qu'ils sont récupérables ? S'il te plaît, continue."

Les interlocuteurs quittent régulièrement la pièce et reviennent avec des documents. L'opposant découvre qu'il est déjà fiché et que ses hôtes savent tout de lui et de ses proches : "Tous ces noms, on les a, on connait tout le monde. Ce qui nous intéresse, c'est que tu t'engages à combattre ces gens."

Puis vient l'ultimatum : "Je vais te donner le papier, tu vas le signer." L'un des deux hommes tend une lettre de renonciation et d'allégeance. Dans le texte soumis à la signature de l'opposant, il est écrit noir sur blanc que celui-ci s'engage "à cesser toute activité subversive ou hostile susceptible de porter atteinte aux intérêts de [son] pays, l'Algérie, (...) à dévoiler tous les noms et plans de [son] mouvement, (...) à collaborer avec les services de renseignements algériens." Puis il se termine par "Je certifie n'avoir subi aucune sorte de pression." Si l'opposant au régime signe, on lui promet de rentrer au pays sans être inquiété. 

Contacté, le consulat algérien n'a pas répondu. Mais nous avons appelé le fameux Mourad, celui qui approche les opposants. Il l'affirme : "L'Algérie a initié une procédure pour tout Algérien égaré qui veut rentrer dans son pays. Un Algérien qui se considère algérien, il est aux côtés de son pays et il doit défendre l'Algérie face à la France." Quant aux autorités françaises, elles confient : "Alger déploie des moyens substantiels pour récupérer ses opposants. Les procédés, on les connaît. On fait savoir qu'on sait, mais ça n'est pas toujours suffisant."

Et ce n’est pas fini...

 

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On ira voir ça au mois de mai.

3 Mars 2025, 09:06am

Publié par Bernardoc

In L’humatinale DU 3 MARS 2025

Une nouvelle fresque découverte à Pompéi étonne les scientifiques et révèle un aspect méconnu de la place des femmes dans la société romaine de l’époque.

C’est une découverte exceptionnelle que viennent de faire les archéologues qui travaillent à Pompéi. Dans une riche domus de la cité, engloutie par l’éruption du Vésuve en l’an 79 de notre ère, ils ont mis au jour une mégalographie, autrement dit une représentation grandeur nature. Occupant trois murs d’une salle de banquet, la fresque serait datée des années 40 à 30 avant Jésus-Christ, juste après la mort de Jules César.

Elle représente une bacchanale : le cortège du dieu Bacchus (Dionysos chez les Grecs), avec chasseurs, satyres jouant de la flûte ou versant le vin, bacchantes que l’ivresse porte à l’extase ou à la fureur… Et au centre, c’est une femme qui trône.

Une mortelle, qui plus est, ce qui porte à croire qu’on a là une figuration du culte rendu à Bacchus – très mal connu, puisque pratiqué par des initiés et sans traces écrites. La présence de cette initiée en majesté laisse donc penser que les femmes y jouaient un rôle majeur, à rebours de la place qu’on leur accorde habituellement dans la société romaine.

Et ce n’est pas fini...

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Vers un nouvel âge colonial ?

2 Mars 2025, 19:14pm

Publié par Bernardoc

Nous terminons le premier quart du XXI° siècle, et nous voici replongés dans l’esprit du dernier quart du XIX° siècle, avec cependant des acteurs différents. Ce ne sont plus la République Française, le Royaume Uni, le Portugal, l’Allemagne ou l’Italie qui sont à la manœuvre, mais la Russie, les USA et Israël.

Depuis sa création, l’État juif rêve d’effacer le peuple palestinien de la carte. Après Gaza, on n’entend (presque) plus parler de la Cisjordanie. Pourtant les expulsions de Palestiniens, l’annexion de terres et l’établissement de colons se poursuivent. Condamné à de nombreuses reprises par l’ONU (qui, comme chacun sait, est fondamentalement anti-sémite), Israël semble pourtant être sur le point de gagner la bataille sémantique en établissant une vérité alternative, telle qu’entendue mardi dernier sur France-inter : « Cisjordanie, l'autre enclave palestinienne en Israël. »

Après avoir annexé la Crimée il y a plus de dix ans, la Russie tente depuis trois ans d’envahir l’Ukraine, en faisant même appel à des soldats nord-coréens. Les sanctions à l'encontre de ce pays envahisseur semblent insuffisantes pour freiner sa soif d'expansionnisme.

Le porte-parole du fasciste Elon MUSK, le président des USA Donald TRUMP, se croit tout permis : annexer le Groenland, le Canada, reprendre possession du canal de Panama, transformer Gaza en Riviera...Établissant une censure féroce en licenciant tous les démocrates en postes importants, muselant la presse qui refuse de se plier à ses lubies (AP), il est prêt à aller jusqu’au bout puisqu’il est grand et fort. A ce propos, il faut saluer la dignité du président ukrainien devant les insultes proférées par son homomlogue étatsunien.

De nature plutôt optimiste, je dois avouer que l’avenir me paraît pourtant bien sombre.

Et ce n’est pas fini...

 

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Les jeunes exilés invisibles du centre de Paris

1 Mars 2025, 09:07am

Publié par Bernardoc

In Street Press du 20 février 2025 (extraits)

Des femmes, des enfants et des ados, tous exilés, font la queue sous le parvis du BHV Marais, en face de l’Hôtel de Ville. Il est 20h30 et les vitrines irradient de lumière dans la nuit de cette fin janvier. Ibrahima jette un œil aux luxueux vêtements portés par les mannequins. Lui n’a rien, juste une doudoune et quelques vêtements restés dans sa tente. Lorsqu’il est arrivé de Guinée Conakry il y a un an, il s’est présenté au département de Paris pour faire valoir sa minorité et être pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance (ASE). Selon la loi française, tout enfant isolé, sans parents ou représentant légal sur le territoire, doit être protégé et pris en charge. Le garçon dit avoir 15 ans. Mais après une série de tests – dont la fiabilité est régulièrement contestée – il est déclaré majeur. Depuis, son quotidien se résume à la rue et à l’errance :

Tous les soirs, comme des dizaines de jeunes hommes venus d’Afrique subsaharienne, il vient ici, devant la mairie de Paris, dans l’espoir de récupérer un peu de nourriture ou une couverture. Des denrées distribuées par Utopia 56, une association d’aide aux étrangers en situation irrégulière. Ibrahima a fait un recours auprès du juge pour enfants, pour contester la décision et réaffirmer sa minorité. Environ 3.800 jeunes exilés seraient dans la même situation. Le Guinéen attend depuis une date d’audience, dont les délais s’étendent entre six et neuf mois en moyenne. Selon une étude, 60% des jeunes sont finalement reconnus mineurs à la suite de leur recours en France. Le pays a d’ailleurs été sanctionné par le Comité des droits de l’enfant de l’ONU en 2023 pour son manquement à assurer la protection d’un mineur isolé non accompagné (MNA) durant la période de son recours.

Sous la pluie battante, un ado se démène avec sa couverture, sa tente et son sac pour ne pas les faire tomber sur le béton mouillé. Les Parisiens comme les touristes, armés de parapluies, passent vite sans le remarquer. Le garçon, comme Ibrahima, traîne pourtant souvent dans le quartier : après les distributions, ils filent retrouver leur tente du côté de Pont Marie, celui qui relie l’île Saint-Louis au quai de l’Hôtel-de-Ville, à moins de 800 mètres. La journée, ils trouvent un peu de chaleur à la bibliothèque du Centre Pompidou, à 20 minutes à pied. De Paris, ils ne connaissent pas grand-chose de plus que ces quelques rues du 4e arrondissement. Les jeunes hommes n’en sortent que pour se rendre dans le parc de Belleville, devenu un lieu de rendez-vous et de sociabilité entre personnes migrantes. Ils n’ont jamais vu la tour Eiffel. Visiter la capitale n’est pas leur priorité, explique Mohamed :

« On m’a volé ma tente ! », appelle désemparé un jeune homme. Derrière l’Hôtel de ville, dans la rue qui longe les quais pour arriver au Pont Marie, des dizaines d’exilés ont installé leur campement sous les arches de la Cité internationale des Arts, au niveau de la galerie marchande. Ils y passent la soirée en groupe, puis rejoignent leurs tentes jusqu’au petit matin, avant l’ouverture des magasins. « Il faut tout ranger avant 7 heures parce qu’il y a des gens qui travaillent », explique, sérieux, Abdou, l’un des locataires sans-abris. Si les familles – femmes et enfants – sont orientées chez des habitants bénévoles ou dans des locaux de l’association Utopia 56, les ados, eux, dorment dehors. Il n’y a pas assez de place pour tout le monde, alors il faut prioriser, expliquent, dépités, les militants.

Et ce n’est pas fini..

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Santé.

28 Février 2025, 16:45pm

Publié par Bernardoc

Depuis 1990, nous participions tous les cinq ans à un bilan de santé gratuit offert par la Sécu, bilan qui devenait de plus en plus léger au fil des années. Le dernier a eu lieu au début de l’année 2020, juste avant les confinements. On m’avait proposé de participer à un atelier diététique qui fut repoussé. Après la levée du confinement, deux fois j’ai reçu un SMS me demandant si j’étais toujours d’accord. Deux fois j’ai répondu « oui » par retour et je n’ai jamais été contacté. Ils ont dû penser qu’ayant dépassé 70 ans, j’étais trop vieux.

Le mois dernier, je reçois une lettre de l’AGIRC-ARRCO me proposant un rendez-vous pour un bilan de prévention. Pourquoi cette proposition moi qui ait eu une carrière de fonctionnaire ? Probablement parce que je touche une (petite) retraite IRCANTEC. En plus le conjoint pouvait aussi bénéficier de ce rendez-vous.

Ce matin nous avons donc rencontré, chacun à notre tour, une gériatre et une psychologue avec qui nous avons fait le point. Ce furent deux heures durant lesquelles nous avons pu échanger librement, participer à des tests et bénéficier de conseils.

Nous en sommes sortis satisfaits et n’avons plus qu’à attendre le rapport qui doit nous être adressé. Ce bilan (gratuit) peut être renouvelé tous les trois ans. Nous n’y manquerons pas.

Et ce n’est pas fini...

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Mort de Rémi FRAISSE

27 Février 2025, 09:22am

Publié par Bernardoc

In Franceinfo le 27 février 2025

La France est reconnue responsable et condamnée par la Cour européenne des droits de l'homme.

La Cour européenne des droits de l'homme a condamné la France pour sa responsabilité dans la mort de Rémi FRAISSE, en 2014, lors d'affrontements contre le projet de barrage de Sivens. Dans leur décision, rendue jeudi 27 février, les juges invoquent une violation de l’article 2 de la Convention européenne des droits de l'Homme, concernant le "droit à la vie".

La Cour estime que "le niveau de protection requis" pour parer aux risques posés par le "recours à une force potentiellement meurtrière" n'a pas été "garanti", et souligne les "lacunes du cadre juridique et administratif alors applicable" et les "défaillances de l'encadrement dans la préparation et la conduite des opérations litigieuses".

A Lisle-sur-Tarn (Tarn), où le conseil départemental, avec l'appui de l’État, développe actuellement un nouveau projet de barrage, le botaniste de 21 ans avait été tué par l'explosion d'une grenade offensive lancée par un gendarme, dans la nuit du 25 au 26 octobre 2014.

Et ce n’est pas fini...

 

 

 

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Communiqué de la fédération CGT des Services publics

26 Février 2025, 09:11am

Publié par Bernardoc

La fédération CGT des Services publics exprime son soutien total à la famille de la personne victime d’un attentat terroriste ainsi qu’aux policiers municipaux de la ville de Mulhouse blessés.

Nous condamnons avec la plus grande fermeté cet acte barbare.
À cette heure, il apparaît que le fanatisme, quelle qu’en soit l’origine, a frappé notre pays.

Celles et ceux qui assurent au quotidien les missions de service public de sécurité publique en sont les premières victimes.

Nos pensées vont à la famille du défunt ainsi qu’aux policiers municipaux blessés.

En ces moments difficiles, nous affirmons notre solidarité envers les forces de sécurité et réitérons notre engagement en faveur de la protection et du respect de celles et ceux qui œuvrent au service du public.

L’heure n’est pas à la polémique, ni à la récupération politicienne.

La fédération CGT des Services publics, attachée à l’état de droit, a confiance en la justice de notre pays.

La fédération CGT des Services publics restera toujours mobilisée contre toute forme de violence et pour une société de solidarité, de paix et de justice.

Et ce n’est pas fini...
 

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