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Le blog de Bernard SARLANDIE

Archives nationales.

23 Avril 2025, 15:49pm

Publié par Bernardoc

Après ma balade autour du Faubourg St Antoine, direction vers les Archives nationales où débutait une nouvelle exposition dans ce bâtiment historique, l’h^tel de Soubise, que je ne connaissais pas : Musique et République.

L’exposition met en lumière les liens entre la musique et la construction de la république, de la Révolution française au Front populaire. Les Archives nationales retracent l’histoire de cette rencontre entre le citoyen et la musique. Des partitions inédites retrouvées dans les fonds des Archives nationales, des instruments de musique, des correspondances politiques, des commandes passées à des compositeurs prestigieux et de nombreux autres documents racontent une histoire mouvementée : celle d’un siècle et demi de production, d’éducation et de pratique musicales,, envisagées en regard de l’idée républicaine.

Outre cette exposition temporaire, qui se termine le...14 juillet, le musée des Archives nationales présente, dans le décor néo-rocaille restauré de son ancienne salle de lecture, un panorama d'une centaine de documents illustrant les différents types d'archives conservés par l'institution – des rouleaux de parchemin aux fichiers numériques - et l'évolution de la graphie dans les papiers officiels émanés des chancelleries, ministères ou études notariales comme dans ceux relevant du for privé.

Une belle visite, surtout pour quelqu’un qui s’intéresse aux archives !

Et ce n’est pas fini...

 

Archives nationales.Archives nationales.

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Autour du faubourg St Antoine

22 Avril 2025, 15:30pm

Publié par Bernardoc

 

Par une superbe matinée de printemps, profitant d'une journée de répit entre mes différents engagements parisiens, je partais sur les pavés parisiens entre Ledru-Rollin et Montgallet. Ce fut une promenade fort agréable, agrémentée d'incursions dans différentes cours, toutes plus ou moins végétalisées. En plus, tôt le matin, il n'y avait pas bousculade dans les rues.

 Vraiment super ce petit livre de Georges FETERMAN qui nous propose une vingtaine de balades nature dans Paris. Il m'en reste donc encore un certain nombre !

Et ce n'est pas fini...

Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine
Autour du faubourg St Antoine

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Mortalité infantile : la France plonge dans le classement européen

21 Avril 2025, 11:01am

Publié par Bernardoc

In Pourquoi Docteur du 21 mars 2025

"Alors que l’espérance de vie progresse et que la mortalité des plus âgés recule, notre pays connaît une stagnation préoccupante de la mortalité infantile", prévient l'Institut National d’Études Démographiques (Ined) dans son rapport. 

En 2022, le taux de mortalité infantile (c’est-à-dire que le décès survient pendant la première année de vie) atteignait 4,5 décès pour 1.000 naissances chez les garçons et 3,7 décès pour 1.000 naissances chez les filles. Ces chiffres sont particulièrement élevés lorsqu’on les compare à la moyenne européenne : 3,5 ‰ et 3,0 ‰ respectivement."Une douzaine de pays européens affichent désormais des taux inférieurs à 3 ‰. En comparaison, la Suède présente un taux de mortalité infantile de 2,5 ‰, soit presque deux fois inférieur à celui de la France", ajoute l’organisme public de recherche. 

Comment l’Hexagone qui était en tête du classement en 1990 et dans le top 10 en 2010 a pu chuter à la 23e place ? À la différence de ses voisins, la mortalité infantile ne diminue plus dans le pays.

"Cette stagnation de la mortalité infantile en France contraste avec les progrès observés ailleurs en Europe et pose un véritable défi pour notre système de santé", reconnaît Magali BARBIERI, Directrice de recherche à l’Ined. 

Si des changements de définition concernant les naissances vivantes sont susceptibles d'avoir contribué en partie à cette évolution défavorable, note la spécialiste, d’autres facteurs possibles sont cités : facteurs médicaux et état de santé des mères, inégalités territoriales et sociales d'accès aux soins, qualité de la prise en charge.

Les tensions hospitalières peuvent, en effet, conduire à des situations pouvant mettre en péril la vie des tout-petits. La famille d’un bébé hospitalisé pour une bronchite sévère dans un établissement de la région parisienne a confié récemment à Pourquoi Docteur que l’équipe médicale avait avoué lors de la sortie de leur petite fille que si elle était tombée malade lors d’un pic d’épidémie qu’ils n’auraient “pas eu les moyens de lui consacrer autant d’attention et l’issue n’aurait peut-être pas été aussi rapide et aussi heureuse…”

L’Ined avance encore une autre cause possible à la stagnation de la mortalité infantile : les progrès de la néonatalogie. "L’amélioration de la prise en charge des grands prématurés permet à certains nouveau-nés de survivre quelques heures ou jours avant de décéder, alors qu'ils auraient auparavant été considérés comme mort-nés, augmentant ainsi mécaniquement le nombre de décès enregistrés sans pour autant refléter une dégradation des soins."

Et ce n’est pas fini...

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Mur/mure.

20 Avril 2025, 15:30pm

Publié par Bernardoc

Dernier spectacle parisien lors de mon dernier séjour ; ce n’était pas prévu, mais le spectacle choisi avait été annulé. Découverte d’un nouveau théâtre, La Michodière, bien placé au deuxième rang du balcon, face à la scène (important pour ce spectacle) pour la modique somme, comparée aux tarifs provinciaux, de 20 €. Comme il faisait chaud, on nous a distribué des éventails.

Machin (Clovis CORNILLAC), inventeur loufoque et misanthrope assumé, n'a besoin que d'une chose : le silence absolu. Grâce à ses inventions aussi ingénieuses que saugrenues, il a toujours réussi à faire fuir ses voisins. Jusqu'au jour où une pianiste, Machine, emménage seule pour la première fois de sa vie… dans l'appartement mitoyen !

Comment deux personnes, que tout oppose, pourraient s'entendre, se rencontrer... sans se voir ?

Mise en scène somptueuse, avec un décor circulaire tournant offrant trois paysages différents, ce qui permettait d’avoir unn seul lieu ou deux lieux mitoyens selon les scènes. C’est une pièce que nous ne pourrions pas jouer actuellement, car il ne s’agit pas d’une actrice jouant du piano, mais d’une pianiste jouant la comédie.

Un spectacle fort agréable, que je recommande fortement.

Et ce n’est pas fini...

 

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Marianne

19 Avril 2025, 20:19pm

Publié par Bernardoc

 Triste jour en ce samedi matin où nous accompagnions Marianne pour son dernier voyage. c'est la deuxième fois que je voyais la salle du crématorium de Mérignac si pleine que certains étaient obligés de rester debout.

 Ensuite, un buffet était préparé à la salle de France à Pessac,, et c'est là que j'ai lu le court hommage suivant :

J’ai connu Marianne il y a une trentaine d’années lorsque j’étais Principal-adjoint du collège Francisco Goya qui faisait partie de son secteur.

Toujours attentive aux souffrances, parfois cachées, des enfants, elle s’investissait également dans de nombreuses associations politiques ou sociales. C’était une militante dans l’âme. Et c’est tout naturellement qu’à la retraite elle a rejoint la CGT-Educ’action où elle défendait âprement le secteur médico-social, trop absent à son goût des préoccupations de notre syndicat.

Nous avions participé à la Conférence nationale de notre Section Nationale des Retraités à Malines en Lorraine il y a deux ans.

J’étais en quelque sorte devenu son référent syndical et elle m’appelait souvent pour me demander si telle ou telle action était envisagée, mais pas que. Très férue de culture, elle nous appelait aussi pour signaler un livre, un film ou une émission de télé.

Malade, elle n’avait pu participer à notre dernier congrès départemental, et c’est donc en son nom que j’avais fait ajouter dans le document d’orientation une mention concernant le médico-social et la nécessité de recruter massivement dans ce secteur de l’Éducation nationale.

Je la croisais aussi régulièrement dans des manifestations avec son drapeau de l’ARAC qu’elle faisait flotter avec fierté.

Hier soir nous avons bien pensé à elle lors du repas gras du vendredi dit saint avec les amis libre-penseurs. Sans être adhérente, elle était comme moi un compagnon de route de cette association.

Salut Marianne, jusqu’au bout tu pouvais être fière de te regarder dans la glace.

Et comme je ne sais pas terminer une intervention sans chanter, je vous invite à reprendre avec moi :

Debout les damnés de la terre...

Et ce n'est pas fini...

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Entre-Temps.

18 Avril 2025, 12:16pm

Publié par Bernardoc

Nous sommes allés voir la troisième représentation de cette création « interstellaire » de Philippe DECOUFLE (l'homme du Bicentenaire sur les Champs Elysées) hier soir au Carré des Jalles dans une salle comble où il ne restait pas un strapontin de libre. Il y avait bien longtemps que nous n’étions pas allés dans cette salle et nous avons choisi d’aller au premier rang du balcon.

Le spectacle commence par des apparitions/disparitions originales de multiples personnages qui finissent par se rencontrer. Les personnages, tout de noir vêtus, me rappelaient dans leurs déambulations mécaniques les créations de Jean-Christophe AVERTY d’il y a une soixantaine d’années. Mais je dois dire, ô sacrilège, que j’ai d’abord pensé à une mise en scène via l’IA. C’est au cours de cette première partie que j’ai remarqué une grosse horloge (style gare) qui semblait n’en faire qu’à sa tête : en avant, en arrière, à l’arrêt. Il y avait des bruitages, censés être des bribes de conversations, mais totalement incompréhensibles : cela m’a un peu gêné.

Par contraste, la deuxième partie éclatait de couleurs et il y avait tellement de tableaux qu’il était impossible de tout voir en même temps. Légèrement plus courte que la première, cette deuxième partie se terminait avec l’entrée en scène d’une nombreuse troupe d’amateurs qui s’intégrait parfaitement au spectacle.

C’était le troisième spectacle d’une semaine culturelle bien remplie.

Et ce n’est pas fini...

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Cinéma au conseil départemental.

16 Avril 2025, 15:38pm

Publié par Bernardoc

Hier nous étions invités à la projection de deux courts-métrages à l’amphithéâtre Badinter : Side to side et Auxiliaire, deux films ayant trait au handicap et aux accompagnants/aidants.

Le premier retraçait un voyage en side-car jusqu’en Iran avec un hémiplégique : ils pensaient que c’était impossible, alors ils l’ont fait ! Et le handicap était quasiment oublié, symbole d’une parfaite réussite de l’aventure.

Le deuxième film nous montrait le couple que formait un handicapé et son auxiliaire de vie, les rapports de complicité, la franchise indispensable dans les relations et surtout l’humour qui présidait à leur relation, qui ont failli se dégrader lorsque l’auxiliaire envisageait de partir pour une croisière d’un an. Finalement, l’attachement a été le plus fort et il a renoncé à sa croisière (si j’ai bien compris), d’ailleurs il était présent dans la salle avec le réalisateur.

Je suis intervenu en disant que l’accompagnement devait commencer dès l’école pour les handicapés de naissance, et pour cela il faudrait rendre visibles et reconnaître les AESH (Accompagnants d’Elèves en Situation de Handicap) tout en en recrutant massivement.

Parmi les invités à la table ronde il y avait l’ancien maître de Maeva en UPI que je suis allé saluer et lui dire qu’elle ne l’avait pas oublié. A l’époque il se déplaçait avec de cannes anglaises, maintenant il est en fauteuil motorisé : la sclérose en plaques l’a bien diminué et il nous a expliqué qu’il avait besoin d’être aidé dans ses tâches quotidiennes.

Un après-midi humainement enrichissant.

Et ce n’est pas fini...

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Pas de courrier pour les losers.

15 Avril 2025, 09:59am

Publié par Bernardoc

Deux jeunes comédiennes talentueuses, Angelina COLOMBANI et Zoé LACOMBE interprètent cette comédie tendre de Montaine MORICE, mise en scène par la même.

J’ai vu cette pièce au Passage vers les étoiles, un théâtre du côté du Père Lachaise. Ci-dessous la présentation par le théâtre.

 

A quand remonte votre dernière lettre ? Et votre dernière carte postale ?

Pour Zoé et Sabine, la question ne se pose pas, elles n’en ont jamais reçu.
C’est d’ailleurs ce qui les a rapproché au départ. Pas la moindre carte postale, lettre d’amour ou d’amitié. Elles prennent leur revanche en inventant un monde qui est le leur autour de tout ce qui échoue dans leur boîte aux lettres. Prospectus, publicités et journal offert par la mairie deviennent leur terrain de jeu. Jusqu’à ce que l’une d’entre elles reçoive le Graal : une lettre écrite pour elle…

Leur amitié prend un nouveau tournant entre jalousie, soutien et envie de s’ouvrir au monde.

Avec tendresse et humour, cette comédie vous donnera envie de ressortir votre carnet d’adresses pour envoyer des lettres à tout votre entourage !

Comme l’indique l’affiche, les réprésentations sont terminées...pour le moment. Tant pis pour vous !

Et ce n’est pas fini...

 

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Dubuffet.

14 Avril 2025, 15:50pm

Publié par Bernardoc

Une exposition intitulée « Dubuffet monumental » se tient jusqu’au 11 juillet à la fondation du même nom au 137 rue de Sèvres. En sortant du métro Duroc, je me demandais si je ne m’étais pas trompé. Après vérification, j’étais face à la bonne adresse et seule une petite plaque de cuivre à côté de la double porte verte indiquait le nom. Je sonne et annonce que je viens visiter.

Je découvre une petite cour et la fondation se trouve au bout de l’allée. Je suis fort bien accueilli par deux jeunes femmes, dont l’une est chargée de la médiation culturelle et elle a pu répondre à plusieurs questions que je me posais.

Il y avait beaucoup de documents relatifs à cet artiste ; je leur ai fait remarquer qu’il en manquait un : celui de la Bibliothèque de Travail (pédagogie Freinet). En effet, le numéro 841 de 1977 lui était consacré. Cette brochure de 40 pages est devenue un livre rare puisqu’on la trouve d’occasion à pas loin de 20 € !

Visite rapide sur trois étages (avec ascenseur) où l’on se balade au milieu des sculptures.

Et ce n’est pas fini...

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Au revoir et merci !

13 Avril 2025, 17:50pm

Publié par Bernardoc

Eh non, je vais continuer à alimenter mon blog. Il s’agit du titre du spectacle que nous avons vu hier soir à la salle des fêtes du Grand Parc. En effet Chanson plus bifluorée a décidé de tirer sa révérence par une dernière tournée après 40 ans sur scène. C’était donc un cadeau de choix que nous avaient offert nos enfants.

Nous étions arrivés une demi-heure en avance et,, miracle, nous avons trouvé à nous garer juste devant la salle. C’est un peu le style cabaret avec des guéridons entourés de chaises, qui permettent de consommer pendant le spectacle (à condition d’acheter avant!). Mais tous les sièges étaient occupés et nous sommes donc allés nous installer sur les gradins.

Le tour de chant a commencé par Le moteur à explosion : quelle belle synchronisation, au millimètre près, quel travail pour en arriver à cette perfection scénique !

Suivirent L’Internationale revisitée et La Marseillaise de la paix (celle de Cempuis).

Une autre séquence fut reproduite plusieurs fois : le shaker à chansons, qui consiste à inverser paroles et musique de deux chansons : hilarant.

Un moment fort a mérité une ovation debout de plusieurs minutes : Quand on a que l’humour, en hommage aux victimes de Charlie.

La fin du spectacle fut plombée par la chanson d’adieu, mais les rappels nous ont remis en joie.

En sortant nous avons pu nous rendre compte que le public semblait très populaire, moins guindé que dans d'autres salles de spectacles métropolitaines.

Je n’ai pas les dates ni les lieux des prochains concerts, mais s’ils passent près de chez vous, ne ratez pas ces grands artistes.

Et ce n’est pas fini...

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